1044 résultats pour "commentaire jean robertet 14xx exposition couleurs 17110 5559"
- Jean ROBERTET (14xx-1503) - L'exposition des couleurs
- Jean ROBERTET (14xx-1503) - Ballade
- Après avoir lu plusieurs chroniques de Jean Giono, l'écrivain Jean-Louis Bory faisait ce commentaire : Giono avait longtemps cru que la machine et les allumettes chimiques, voilà les responsables du malheur. Tout se passait comme s'il ouvrait les yeux et sous la somptueuse peau de tigre, qu'est le feuillage des arbres, découvrait un corps cruel. Dans quelle mesure, Un roi sans divertissement peut-il illustrer ces propos ?
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Sur l'océan couleur de fer
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Grande bête dorée, Amour couleur de femme
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Commentaire : Paul-Jean Toulet « L’Alchimiste »
Commentaire : Paul-Jean Toulet « L’Alchimiste » L’École Fantaisiste était un mouvement littéraire désignant un groupe de poète du XIXe siècle qui tentèrent un renouveau poétique. Les Fantaisistes se sont attachés à ne suivre que les caprices de leurs imagination sans se préoccuper des règles de la littérature classique. Non seulement, ils souhaitaient s’affranchir de la loi commune, railler le bon sens et créer des paradoxes. Mais ils voulaient aussi étonner le lecteur avec de l’exception...
- Jean de l'Espine du PONT-ALAIS (14xx-15xx) - L'argent
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Jean de Rotrou
Jean de Rotrou 1609-1650 II fit partie du groupe des cinq auteurs du Cardinal. Lieutenant-criminel à Dreux, il regagna délibérément son poste pendant une épidémie, et en mourut. Il a beaucoup écrit, et de tant de tragédies et de comédies de cet homme que Corneille, son aîné, se plaisait à appeler "mon père", subsistent les Sosies (1636), qui imposent la comparaison avec l'Amphitryon de Molière, Saint-Genest (1646), qui rappelle Polyeucte ; Venceslas (1647), qui est sans doute son chef-d'œuvre ;...
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- Guillaume HAUDENT (14xx-14xx) (Recueil : Apologues d'Esope) - D'un corbeau et d'un renard
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Comment faire un commentaire composé ?
Dissertation et commentaire composé posent les mêmes problèmes, dès lors que l'on passe du stade de l'élaboration à celui de la rédaction. Une fois établi le plan détaillé qui servira de charpente au développement, vous vous attacherez à rédiger entièrement sur une feuille de brouillon l'introduction et la conclusion de votre travail. Vous recopierez ensuite au propre l'introduction et, après avoir laissé un blanc, attaquerez directement au propre le développement. Le temps imparti à l'examen ne...
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Jean Rostand
Jean Rostand 1894-1977 Fils d'Edmond Rostand et de Rosemonde Gérard, Jean Rostand passa sa jeunesse à Cambo-les-Bains et poursuivit en Sorbonne ses études scientifiques. Marié en 1921, ce biologiste devenu célèbre ne sort jamais, ne fréquente aucun salon. Pour se distraire, peut-être, de ses recherches, il écrivit, pendant quelques années, une série d'essais littéraires : La Loi des riches, Pendant qu'on souffre encore (1923), Ignace ou l'Écrivain (1924), Les Familiotes (1925), Deux Angoisses (1...
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Pierre Jean Jouve
Pierre Jean Jouve 1887-1976 L'on s'accorde à dire que Baudelaire est à l'origine du mouvement poétique contemporain. Marcel Raymond ajoute que ce mouvement est double : qu'il comprend les artistes — c'est la filière Valéry-Mallarmé, et les voyants — c'est la filière qui va de Rimbaud aux "chercheurs d'aventures". Parmi ceux-ci, il range Jouve. Cependant il juge ainsi en 1933, quand Sueur de Sang vient de paraître : poème qui s'avance si vertigineusement dans l'homme souterrain que les mots en ef...
- « Un personnage n'est jamais qu'un morceau intime de nous-même, et toute oeuvre, quelle qu'elle soit, est une confession qui subit une métamorphose ». Pierre Jean Jouve, Commentaires, Mercure de France, 1950.
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Biographie de Jean COCTEAU
La poésie de Cocteau, à travers son oeuvre aussi bien littéraire que cinématographique et picturale, tente de dévoiler le mystère de l'invisible caché derrière les apparences du monde réel. « Je suis un mensonge qui dit toujours la vérité. » La poésie de Jean Cocteau révèle des correspondances entre termes incompatibles, contradictoires. C'est cette confusion entre l'illusion et la réalité, entre l'objet et son reflet, qui rend magique le langage de ce poète du paradoxe. L'inspiration poétique v...
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Jean Froissart
Jean Froissart 1333-vers 1401 Lorsqu'on pense aux chroniqueurs de notre Moyen Âge, un nom vient tout de suite de préférence et comme de luimême à l'esprit, celui de Jean Froissart, et c'est justice : non seulement sa Chronique est, de toutes, la plus étendue et celle qui a eu le plus de succès, celle qui a été représentée dans les bibliothèques seigneuriales par le plus grand nombre de manuscrits et les plus richement enluminés, mais encore aucun auteur n'a été au même degré que lui le fidèle in...
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Jean Vauthier
Jean Vauthier 1910-1992 On se souvient du Capitaine Bada et du Personnage combattant, ce dernier remarquablement interprété par JeanLouis Barrault au Petit-Marigny, en 1956. Peu d'événements dans ce théâtre intrigue volontairement réduite à l'essentiel ou à l'indispensable. Lyrique ou savant, Jean Vauthier sait atteindre une extrême densité dramatique. Après La Nouvelle Mandragore et Les Prodiges (1958), sa pièce Le Rêveur (1961) a révélé un nouvel auteur comique, confirmé par Le Sang (1968) et...
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Jean-Marie Domenach, Le Retour du Tragique
Dans une société qui porte sur toute chose son regard économique, la littérature est devenue une carrière exploitable à merci. Elle partage avec le tourisme ce précieux avantage : la consommation ne l'appauvrit pas ( Racine, comme le soleil, est inépuisable ; Victor Hugo, comme la mer). Elle s'en accroît plutôt : des livres ajoutés aux livres allongent la promenade en repoussant toujours plus loin le mystère. Nous approchons du moment où la critique se constituera à son tour en industrie autonom...
- Jean Giono, Regain.
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Jean Anouilh
Jean Anouilh Le théâtre d'après la Libération est marqué par la présence de deux équipes d'auteurs bien distinctes : d'une part les écrivains qui, comme Achard ou Salacrou, ont survécu à l'épreuve de l'occupation et dont l'après-guerre a consacré le talent ; d'autre part, ceux qui, comme Montherlant, Marcel Aymé, Ionesco ou Dubillard, n'ont commencé leur carrière que depuis 1940. Comme il est normal, la plupart des premiers ont continué à s'adresser surtout aux spectateurs de leur génération, et...
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Jean Joinville
Jean Joinville Jean de Job, de Champagne, vassal du comte Thibault qui était aussi roi de Navarre, avait environ vingt-quatre ans quand, au moins d'août 1248, il s'embarqua à Marseille, avec le roi Louis IX et la fleur de la noblesse française, pour entreprendre la septième croisade, pieuse aventure qui finit assez mal, après avoir retenu Joinville six années hors de France. Le sénéchal était octogénaire quand, en 1305, la reine Jeanne de Navarre, femme de Philippe le Bel et fille de son suzera...
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Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul
Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul 1763-1825 "Ce fut en l'année 1763 que vint au monde, le 15 février, la paix de Hubertsbourg (qui mit fin à la guerre de Sept Ans) et, quelque temps après elle, Johann Paul Friedrich Richter, — et ce, dans le mois où avec lui vinrent encore la lavandière jaune et la grise, le rouge-gorge, la grue, la poule d'eau et maints autres oiseaux des marécages, à savoir en mars —, et ce, le jour du mois où, si l'on avait voulu couvrir son berceau de fleurs, la c...
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Syrtes) - Oisillon bleu
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Jean Rostand, Peut-on modifier l'Homme ?
DÉFENSE DES SCIENTISTES Ce n'est pas, en effet, parce qu'on les admire, ces merveilleux progrès de la biologie, parce qu'on ne peut faire autrement que de s'enthousiasmer pour les perspectives grandioses que le laboratoire découvre au destin de l'homme, ce n'est pas pour cela qu'on ne voit pas, qu'on ne comprend pas, qu'on ne sent pas ce qu'il peut y avoir de troublant, de déconcertant, d'effrayant à voir l'homme peu à peu s'approcher de l'homme avec ses grosses mains et se préparer à éprouver s...
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le citadin) - Je ne chanterai pas très haut ni très longtemps
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Jean Tardieu
Jean Tardieu 1903-1995 Jean Tardieu est l'auteur d'une oeuvre poétique toute de discrétion et de profondeur. Dans Le Choix de Poèmes (1961), le lecteur retrouvera les thèmes familiers, comme les recherches de langage, qui forment, avec les esquisses dramatiques de Théâtre de chambre, Un Mot pour un autre, Une Voix sans personne et Les Poèmes à jouer, l'essentiel d'une longue et féconde création, à la connaissance de laquelle aident, pour leur part, d'autres ouvrages, tels que Accents (1939), Le...
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Pâle matin de Février
- Guillaume HAUDENT (14xx-14xx) (Recueil : Apologues d'Esope) - D'un renard et d'un bouc
- Guillaume HAUDENT (14xx-14xx) - Le variable discours de la vie humaine (fragment)
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : La forêt bleue) - Les Zingaris
- Jean-François de SAINT-LAMBERT (1716-1803) - L'automne
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Jean Cocteau
Jean Cocteau Dès le 4 avril 1908, une première lecture des poèmes de Jean Cocteau est organisée dans un théâtre parisien. Immédiatement le poète, qui n'a pas vingt ans, est admiré. Il est reçu dans les salons parisiens. Il fréquente aussi bien Anna de Noailles qu'Edmond Rostand, Léon Daudet que Marcel Proust. En 1912 il compose pour Diaghilev un argument de ballet, Le Dieu bleu. Un soir, sur la place de la Concorde, le créateur des Ballets russes, qui redoute que le jeune poète ne perde son tal...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Qui sont, qui sont ceux-là, dont le coeur idolâtre
Jean de SPO N DE ( 1557-1595) « Qui s ont, qui s ont c eux-là, dont le c œur idolâtre… » « Qui s ont, qui s ont c eux-là, dont le c œur idolâtre Se jette aux pieds du M onde, et flatte s e s honneurs Et qui s ont c e s valets , et qui s ont c e s Seigneurs , Et c e s â m e s d'Ebène, et c e s fac e s d'Albâtre ? C e s m a s q u e s d é g u i s é s , dont la troupe folâtre S ' a m u s e à c ares s er je ne s a i s q u e l s donneurs De fumées de Cour, et c e s entrepreneurs De vainc re enc or...
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Résumé: Le Hussard sur le toit de JEAN GIONO
Le Hussard sur le toit de JEAN GIONO Autodidacte, fils de Manosque, berger et montagnard, Jean Giono (1895-1970) avait voulu, dans ses premiers romans, décrire une vie simple et pastorale où l'homme et la nature communient dans un même bonheur. Mais, militant pacifiste, il est arrêté après la guerre pour ses sympathies au régime de Vichy. Cette expérience accroît son amertume et il se réfugie dans l'évocation d'un passé qu'il se plaît à peindre heureux. Après avoir cru à un bonheur rousseauiste,...
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Jean-Paul SARTRE, préface au guide Nagel sur la Suède.
Nous ne croyons plus qu'il y ait dans une cité, dans une nation, des parties nobles et des parties infâmes. Nous pensons qu'un pays est un organisme complexe dont chaque organe s'explique par tous les autres. Nous pensons qu'une belle ruine est un vestige du passé, mais qu'elle est aussi une partie vivante d'une ville moderne. Nous aimerions savoir ce que les habitants pensent d'elle, s'ils passent avec indifférence le long de ses murs ou s'ils en sont fiers. Mais pour cela il faudrait qu'on nou...
- Jean LE MAIRE DE BELGES (1473-1525) - Chanson de Galathée, bergère
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les douze mois) - La Saint-Jean
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PEINTURE: Jean Goujon (v. 1510-v. 1564/1569)
Jean Goujon (v. 1510-v. 1564/1569) Jean Goujon est l'un des plus grands sculpteurs de la Renaissance française. Il fut architecte du roi Henri II et contribua à la décoration du Louvre. Son chef-d'oeuvre est la fontaine des Innocents dont il sculpta les bas-reliefs. Son art, tout de grâce et de souplesse, s'inspire directement de la sculpture antique. Au service du roi Henri II. On ne sait pas grand chose de la jeunesse de Jean Goujon, sinon qu'il est vraisemblablement d'origine normande. Nous i...
- Jean Giono
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Cantique de saint Jean
Introduction. Ce poème se rattache au cycle d'Hérodiade. Dans la « scène » avec la nourrice, Mallarmé associait de blanches visions à l'image d'une héroïne encore vierge. Il songe ici à Hérodiade devenue impure, à « celle qu'un sang farouche et radieux arrose », comme il l'a désignée déjà dans le poème intitulé Les Fleurs, à celle qui fit décapiter Saint Jean-Baptiste, trop ardent à dénoncer son union honteuse avec son oncle Hérode Antipas. Dans ce « Cantique », la victime est devenue bourreau;...
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Hérodiade - Cantique de saint Jean
Introduction. Ce poème se rattache au cycle d'Hérodiade. Dans la « scène » avec la nourrice, Mallarmé associait de blanches visions à l'image d'une héroïne encore vierge. Il songe ici à Hérodiade devenue impure, à « celle qu'un sang farouche et radieux arrose », comme il l'a désignée déjà dans le poème intitulé Les Fleurs, à celle qui fit décapiter Saint Jean-Baptiste, trop ardent à dénoncer son union honteuse avec son oncle Hérode Antipas. Dans ce « Cantique », la victime est devenue bourreau;...
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- Jean Paulhan
- Jean Giono, Regain.
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Jean de La Bruyère
Jean de La Bruyère Jean de La Bruyère n'a écrit seul livre, mais immortel : Les Caractères (1688). Ce recueil de réflexions, de notes et de portraits, où s'exprime une vision à la fois large et minutieuse de l'homme, se plaçait directement dans la suite des Maximes de La Rochefoucauld et des Pensées de Pascal, qui venaient de mettre en honneur les ouvrages morcelés. La Bruyère avait, dès 1668, commencé de réunir les éléments des Caractères. Il menait alors, à Paris, une vie effacée, oisive, de s...
- JEAN LEMAIRE DE BELGES
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Corbeau et le Renard
Jean de La Fontaine, Les Fables, « Le Corbeau et le Renard ». 1. Maître Corbeau, sur un arbre perché, 2. Tenait en son bec un fromage. 3. Maître Renard, par l'odeur alléché, 4. Lui tint à peu près ce langage : 5. « Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau. 6. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! 7. Sans mentir, si votre ramage 8. Se rapporte à votre plumage, 9. Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois ». 10. A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; 11. Et pour montrer sa...
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Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - À beaucoup de danger est sujette la fleur
Jean-Baptiste Chassignet, Mespris de la vie et consolation contre la mort, « À beaucoup de danger est sujette la fleur ». 1. À beaucoup de danger est sujette la fleur, 2. Ou l'on la foule aux pieds ou les vents la ternissent, 3. Les rayons du soleil la brûlent et rôtissent, 4. La bête la dévore, et s'effeuille en verdeur : 5. Nos jours entremêlés de regret et de pleur 6. À la fleur comparés comme la fleur fleurissent, 7. Tombent comme la fleur, comme la fleur périssent, 8. Autant comme du froid...
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Corbeau voulant imiter l'Aigle
Jean de La Fontaine, Les Fables, « Le Corbeau voulant imiter l'Aigle ». 1. L'Oiseau de Jupiter enlevant un mouton, 2. Un Corbeau témoin de l'affaire, 3. Et plus faible de reins, mais non pas moins glouton, 4. En voulut sur l'heure autant faire. 5. Il tourne à l'entour du troupeau, 6. Marque entre cent Moutons le plus gras, le plus beau, 7. Un vrai Mouton de sacrifice : 8. On l'avait réservé pour la bouche des Dieux. 9. Gaillard Corbeau disait, en le couvant des yeux : 10. Je ne sais qui fut ta...
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ROMAIN ROLLAND et JEAN-CHRISTOPHE
ROMAIN ROLLAND (1 866-1944) Normalien, puis agrégé, puis membre de l'École de Rome, admirateur de Tolstoï avec lequel il correspond, ROMAIN ROLLAND se spécialise dans l'histoire de l'art, tout en écrivant des drames, des vies de grands hommes et son JeanChristophe, qui est publié par Péguy aux Cahiers de la quinzaine. Il regrettera toujours de n'avoir pas lui-même, comme son héros, consacré sa vie à la musique. Marié en 1892, divorcé en 1901, d'humeur plutôt solitaire, ayant peu de vrais amis, i...
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- Jean Tardieu : « Lettre d'ici », extrait de Une voix sans personne
- Jean DOUBLET (1529-160x) - De Fontainebleau