2622 résultats pour "s+aimant"
-
Pourquoi la mort est-elle un des thèmes privilégiés de la poésie lyrique ? [Corpus : « Sur un tombeau », Plaintes d'Acante de Tristan l'Hermite ; « Lorsque la mort viendra », Pour un Vitrail de Anne Perrier ; « Les jours bleuiront », extrait des Coqs à l'âne - Norge] ?
L'expression "poésie lyrique" est à prendre avec précaution : si de nombreuses poésies au XIXe sont classées d'emblée dans la poésie lyrique (celles de Lamartine, de Vigny) il reste assez difficile de définir précisément ce qu'on entend par "tonalité lyrique" et "souffle lyrique" : des poètes contemporains, comme Mallarmé ou Apollinaire, semblent aussi exprimer quelque chose qui relève du lyrisme dans leur poésie, bien qu'elle soit très différente de celle de Lamartine. On peut dégager quelques...
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - La spirale sans fin dans le vide s'enfonce
-
L'ART DE LOTI
PIERRE LOTI (1850-1923) Né d'une famille protestante, à Rochefort, JULIEN VIAUD y passa son enfance. La ville est triste. Il resta cependant attaché à cet Aunis, dont il aimait les horizons plats. L'exemple de son frère aîné, chirurgien de la marine, lui donna l'idée de préparer l'École navale. Il y fut admis en 1861. L'un de ses premiers voyages le mena jusqu'à Tahiti, où il reçut d'une jeune indigène le surnom de Loti, qu'il garda comme pseudonyme. Il séjourna dans de nombreux pays : Sénégal,...
-
L'art de NICOLAS BOILEAU
NICOLAS BOILEAU NICOLAS BOILEAU est le quinzième enfant d'un greffier au Parlement de Paris. Orphelin de mère à un an, il est élevé durement par une vieille domestique. Il se destine au métier d'avocat, mais la mort de son père le met en possession d'une fortune qui le dispense d'exercer sa profession. Il se fait désormais appeler Despréaux, du nom d'une terre familiale. Par son frère Gilles, écrivain déjà en renom, il est introduit auprès de Chapelain, qui facilite ses débuts. Puis il se lie av...
- Jean BERTAUT (1552-1611) - Elégie (1)
- Voltaire, L'Éducation d'une fille
-
Selon un poète contemporain le monde poétique est celui d'une autre planète ? En vous aidant des poèmes ou des chansons que vous connaissez, vous vous demanderez quelles peuvent être les relations qui unissent le monde poétique et le monde réel ?
Selon un poète contemporain le monde poétique est celui d'une autre planète ? En vous aidant des poèmes ou des chansons que vous connaissez, vous vous demanderez quelles peuvent être les relations qui unissent le monde poétique et le monde réel ? Il est toujours dangereux d'opposer le monde poétique au monde réel : ne pas oublier que la poésie est d'abord langage, parole produite par un individu (plus ou moins) bien ancré dans le monde réel. La problématique se pose donc d'abord au niveau du lan...
- Jacques DELILLE (1738-1813) - Les jardins
-
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Le jugement de Komor
-
ARAGON, Les Beaux Quartiers
Sur l'autre rive débutent les beaux quartiers. Ouest paisible, coupé d'arbres, aux édifices bien peignés et clairs, dont les volets de fer laissent passer à leurs fentes supérieures la joie et la chaleur, la sécurité, la richesse. Oh! c'est ici que les tapis sont épais, et que de petites filles pieds nus courent dans de longues chemises de nuit parce qu'elles ne veulent pas dormir : la vie est si douce et il y aura du monde ce soir à en juger par le linge sorti, par le service de cristal sur...
-
Le sort qui de l'honneur nous ouvre la barrière, Offre à notre constance une illustre matière, Et comme il voit en nous des âmes peu communes, Hors de l'ordre commun, il nous fait des fortunes. Par ces vers qu'il place dans la bouche du jeune Horace,
Corneille ne vous paraît-il pas définir l'essentiel de sa conception
de la tragédie
?
Le sort qui de l'honneur nous ouvre la barrière, Offre à notre constance une illustre matière, Et comme il voit en nous des âmes peu communes, Hors de l'ordre commun, il nous fait des fortunes. Par ces vers qu'il place dans la bouche du jeune Horace, Corneille ne vous paraît-il pas définir l'essentiel de sa conception de la tragédie? Dans son premier discours sur le poème dramatique, Corneille soutient qu'une tragédie, pour être belle, doit aller « au-delà du vraisemblable ». Voilà pourquoi il p...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Les Pleurs) - La sincère
-
Expliquez et discutez cette opinion de Pierre Loti en s'appuyant sur des exemples précis: Les vrais poètes, dans le sens le plus libre et le plus général du mot, naissent avec deux ou trois chansons qu'il leur faut à tout prix chanter, mais qui sont toujours les mêmes: qu'importe, du reste, s'ils les chantent chaque fois avec tout leur coeur ?
Expliquer et discuter cette opinion de Pierre Loti en s'appuyant sur des exemples précis : « Les vrais poètes, dans le sens le plus libre et le plus général du mot, naissent avec deux ou trois chansons qu'il leur faut à tout prix chanter, mais qui sont toujours les mêmes : qu'importe, du reste, s'ils les chantent chaque fois avec tout leur coeur!... » (Baccalauréat.) REMARQUES POUR UN PLAN 1. Le texte de Loti est difficile à orienter parce que, tout en étant extrêmement naïf, il touche un des pr...
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La louange de la vie) - D'anciennement transposé (II)
-
Coco Chanel aurait déclaré: Il faut mieux suivre la mode, même si elle est laide. S'en éloigner, c'est devenir un personnage comique. Commentez et discutez.
PLAN ADOPTÉ DANS LE DEVOIR I. La nécessité de suivre la mode A . Sa fonction sociale B. L'expression des goûts d'une génération C . Le poids des médias IL La nécessité de prendre ses distances avec elle A . La mode ne doit pas asservir B. Résister aux pressions de la société de consommation C . C réer un espace de liberté et d'individualité DEVOIR RÉDIGÉ La mode est un phénomène social qui touche à tous les aspects de notre vie : vêtements, mais aussi forme du corps, choix des vacances, de la dé...
- « Un des lieux communs qu'on rabâche dans certains milieux, c'est que désormais la littérature n'aura plus à jouer qu'un rôle secondaire ; l'avenir est au cinéma, à la télé : à l'image. Je n'en crois rien. L'image sur le moment nous envoûte ; mais ensuite elle pâlit et s'atrophie. Les mots ont un immense privilège : on les emporte avec soi. » Que pensez-vous de cette affirmation de Simone de Beauvoir ?
-
-
Discutez cette pensée de Rousseau: j'aime mieux être un homme à paradoxes qu'un homme à préjugés (Emile) ?
Diderot connaissait bien Rousseau, lui qui lui conseilla en 1749 de "donner l'essor à ses idées" et de dire son fait à la société, en traitant la question posée par l'Académie de Dijon. Et Jean-Jacques lui-même n'avait pas tort de prendre la défense d'Alceste et de se reconnaître dans ce personnage. Ii a été toute sa vie l'homme qui s'oppose, l'homme qui contredit, l'homme qui se plaît à bousculer les opinions reçues.... Il s'en rendait bien compte et il s'en faisait gloire; J'aime mieux être un...
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A M. V. H.
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - J'avais froid
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Fut-il en nous une seule tendresse
-
Voltaire, Zadig, chapitre 6, 1747 « Ministre du roi »
Voltaire, Zadig, chapitre 6, 1747. À la cour du roi de Babylone, le jeune Zadig se fait apprécier pour ses qualités. Il se heurte aux méchants mais, après de nombreuses péripéties, il est nommé ministre du roi. Le roi avait perdu son premier ministre. Il choisit Zadig pour remplir cette place. Toutes les belles dames de Babylone applaudirent à ce choix, car depuis la fondation de l'empire il n'y avait jamais eu de ministre si jeune. Tous les courtisans furent fâchés ; l'envieux en eut un crachem...
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - Ce qui dure
- Etienne DURAND (1586-1618) - Stances sur des fleurs
-
Résumé: René de CHATEAUBRIAND
René de CHATEAUBRIAND Comme Chateaubriand (1768-1848) le raconte dans les Mémoires d'outre-tombe, écrits de 1811 à 1848, son enfance au château de Combourg fut propice à développer chez lui le sens de l'imagination et à entretenir un climat de mélancolie maladive. Un voyage en Amérique (1791-1792) l'incita à dépayser ces sensations d'adolescence. Parmi les « sauvages » qui peuplaient les rives du Meschacebé, vrai nom du Mississippi, vivait dans la peuplade indienne des Natchez, vers 1725, un vie...
-
- Dans son Discours de Suède, Albert Camus affirme que la noblesse de son métier s'enracinera toujours dans deux engagements difficiles à maintenir : le refus de mentir sur ce que l'on sait et la résistance à l'oppression". Vous expliquerez et justifierez d'abord ce point de vue en vous appuyant sur son oeuvre La Peste. Dans une deuxième partie vous envisagerez les objections que l'on peut faire à A. Camus en vous appuyant aussi sur la peste et d'autres oeuvres.
-
Je suis moi-même la matière de mon livre, a dit Montaigne. Quelle idée vous faites-vous de la personnalité de l'auteur des Essais, non seulement d'après ses confidences directes, mais encore d'après la composition de son oeuvre et la qualité originale de son style ?
INTRODUCTION «Les Essais, écrivait Gustave Lanson, c'est Montaigne», et de fait peu d'œuvres littéraires nous entretiennent aussi complai-samment de leur auteur. Il ne nous laisse autant dire rien ignorer de son aspect physique, de ses habitudes de vie, de son caractère. D'ailleurs, même s'il s'était montré avare de confidences sur lui-même, la manière dont il a composé son ouvrage et la qualité originale de son style suffiraient presque à nous renseigner sur ce qu'il est. Sa personnalité vigou...
- Pierre-Aimé Touchard écrivait dans une étude récente sur Molière : « l'auteur dramatique n'est auteur que parce qu'il est lui-même le théâtre d'un incessant conflit qu'il ne peut ni résoudre ni dépasser, et dont il essaye de se délivrer en l'objectivant, en le dépliant sous nos yeux. » Vous examinerez quelques exemples pour expliquer et au besoin discuter cette assertion.
-
On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires le plus conventionnel. Quelles sont ces conventions et pourquoi le spectateur s'y plie-t-il volontiers et accepte-t-il sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
-
En réfléchissant sur quelques exemples pris dans des oeuvres littéraires, vous commenterez cette formule de Fromentin : « Le bonheur réside dans l'égalité des désirs et des forces ». ?
INTRODUCTION II est difficile de prétendre que notre bonheur dépend entièrement de nous. Les circonstances nous donnent notre lot. Mais il nous appartient de le saisir ou non, de faire fructifier nos chances ou de les laisser se perdre. C'est là que le moraliste a son mot à dire. Selon Fromentin, « le bonheur réside dans l'égalité des désirs et des forces ». Il ne propose pas là une formule magique, mais plutôt une sorte de formule scientifique : appliquons à la multiplicité des cas un même rapp...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Les esclaves d'Amour ont tant versé de pleurs
-
Francisque Sarcey affirmait: Je suis convaincu qu'un drame excellent doit se pouvoir jouer dans une grange et y réussir, tout aussi bien que sur une grande scène, où s'ajoute pourtant au mérite de l'oeuvre, la séduction du décor et du costume. Expliquez et discutez ?
1. Le sujet se rapproche des deux précédents en ce sens qu'il nous invite à réfléchir sur l'essence du spectacle théâtral : cette essence est-elle dans le spectacle (« séduction du décor et du costume ») ou dans ce que Sarcey appelle d'un mot assez vague « le mérite de l'œuvre »? 2. Mais il est beaucoup plus large, puisque Sarcey oppose à une décoration tout extérieure le mérite intrinsèque d'une pièce : la psychologie, l'intrigue et peut-être même le jeu des acteurs, la mise en scène, en exclua...
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - Le temps de vivre
-
-
Jacques Brel, « Le plat pays »
Introduction Ce texte de Jacques Brel s'inscrit dans une longue tradition qui fait de la chanson un domaine artistique authentique, qu'elle soit d'origine populaire ou savante. Ignorant les poètes anciens ou modernes, beaucoup d'hommes retrouvent les sources de la poésie à travers les chansons. Encore faut-il qu'elles possèdent les qualités de celle-ci : à partir d'un thème si souvent traité, Jacques Brel crée une œuvre dont le charme prenant est soutenu par la musique. 1. Le paysage naturel don...
- Aristide BRUANT (1851-1925) (Recueil : Dans la rue) - Fantaisie triste
- MAETERLINCK: LE POÈTE ET LE DRAMATURGE
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Madrigal triste
-
Henri Frédéric Amiel
Henri Frédéric Amiel 1821-1880 Un homme dont la vie s'écoula sans aventure et sans gloire, que ses concitoyens considéraient comme un original assez ordinaire et que les gamins du quartier appelaient "la mouche à miel" ; un professeur monotone qui écrivit nombre de poèmes, de chants et d'articles modérément loués par ses proches et ses collègues, mais fort ignorés du grand public ; un célibataire qu'entourèrent des affections féminines platoniques un peu ternes, et qui, à trente-neuf ans, connut...
-
André Malraux
André Malraux Quand André Malraux naît à Paris, la France s'essuie de l'Affaire Dreyfus et entre allégrement dans cette "belle époque" qu'interrompra seulement le coup de revolver de Sarajevo. Mais si belle soit-elle, une belle époque n'est pas belle pour tout le monde. La jeunesse d'André Malraux, marquée par des deuils tragiques, n'a guère subi le charme de la frivolité de son temps. C'est dans l'ébrouement de l'adolescence que l'enfant annonce l'homme qu'il sera : encore faut-il que le clima...
-
L'imagination chez Victor Hugo
LE GÉNIE DE VICTOR HUGO A La personnalité. Équilibre, orgueil et générosité apparaissent comme les traits essentiels de la physionomie morale de Victor Hugo. L'ÉQUILIBRE. Victor Hugo n'a rien d'un inadapté ni d'un névrosé; il possède au contraire un équilibre qui lui permit toujours de faire face aux nécessités communes de l'existence. Il jouissait d'une santé robuste; sexagénaire, à Guernesey, il partait, seul, hiver comme été, pour d'interminables promenades; il se délassait de ses travaux lit...
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Les bijoux
-
-
« Presque tous les arguments contre Voltaire s'adressent, en somme, au trop d'esprit qu'il eut. Puisqu'il avait tant d'esprit, il était donc superficiel. Puisqu'il avait trop d'esprit, c'est donc qu'il manquait de coeur. Tels sont les jugements du monde. » (Paul Valéry.) Vous discuterez ce « jugement du monde », en vous fondant sur la connaissance que vous avez de la vie et de l'oeuvre de Voltaire.
« Presque tous les arguments contre Voltaire s'adressent, en somme, au trop d'esprit qu'il eut. Puisqu'il avait tant d'esprit, il était donc superficiel. Puisqu'il avait trop d'esprit, c'est donc qu'il manquait de cœur. Tels sont les jugements du monde. » (Paul Valéry.) Vous discuterez ce « jugement du monde », en vous fondant sur la connaissance que vous avez de la vie et de l'œuvre de Voltaire. Voltaire est par excellence le philosophe du XVIIIe siècle. Dans une époque où les « grands » et le...
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Nocturne
-
Jean Joinville
Jean Joinville Jean de Job, de Champagne, vassal du comte Thibault qui était aussi roi de Navarre, avait environ vingt-quatre ans quand, au moins d'août 1248, il s'embarqua à Marseille, avec le roi Louis IX et la fleur de la noblesse française, pour entreprendre la septième croisade, pieuse aventure qui finit assez mal, après avoir retenu Joinville six années hors de France. Le sénéchal était octogénaire quand, en 1305, la reine Jeanne de Navarre, femme de Philippe le Bel et fille de son suzera...
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - Francine a si bonne grace
- Antoine de LA SABLIERE (1624-1679) - Qu'on puisse oublier ce qu'on aime
-
Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Liturgies intimes) - A Charles Baudelaire
Commentaire d’un poème de Verlaine « à Charles Baudelaire » Introduction : Dès l’adolescence, Verlaine est partagé entre les « deux positions simultanées » dont parle Baudelaire « l’une vers Dieu, l’autre vers Satan ». Dans ce poème, Verlaine, qui n’a jamais connu Baudelaire affirme l’influence que ce dernier a eue sur sa poésie, même si les deux hommes n’ont jamais pu se rencontrer. Baudelaire meurt en 1967 ; ce poème peut donc apparaître comme un poème d’adieu. A cette époque, la vie de Verla...
- Jean DESMARETS DE SAINT-SORLIN (1595-1676) - De l'Humilité
- Corneille, Le Cid, Acte III, scène 3.
-
-
Mérimée: vie et oeuvre
MÉRIMÉE (1803-1870) Né dans un milieu voltairien et artiste, PROSPER MÉRIMÉE fait, non sans dilettantisme, d e solides études littéraires. Il fréquente le« grenier » du peintre Delécluze, se lie d'amitié avec Stendhal et conquiert une réputation enviable d'écrivain à la mode par des ouvrages où il s'amuse à mystifier ses lecteurs. Il se vante d'avoir été pendant quelques années « un très grand vaurien ». En 1830, il parcourt l'Espagne qui l'enchante. A son retour, profitant du changement de régi...
- Guy de MAUPASSANT (1850-1893) (Recueil : Des vers) - Désirs