1467 résultats pour "s+acheve"
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Expliquez et discutez cette opinion de Pierre Loti en s'appuyant sur des exemples précis: Les vrais poètes, dans le sens le plus libre et le plus général du mot, naissent avec deux ou trois chansons qu'il leur faut à tout prix chanter, mais qui sont toujours les mêmes: qu'importe, du reste, s'ils les chantent chaque fois avec tout leur coeur ?
Expliquer et discuter cette opinion de Pierre Loti en s'appuyant sur des exemples précis : « Les vrais poètes, dans le sens le plus libre et le plus général du mot, naissent avec deux ou trois chansons qu'il leur faut à tout prix chanter, mais qui sont toujours les mêmes : qu'importe, du reste, s'ils les chantent chaque fois avec tout leur coeur!... » (Baccalauréat.) REMARQUES POUR UN PLAN 1. Le texte de Loti est difficile à orienter parce que, tout en étant extrêmement naïf, il touche un des pr...
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L'oeuvre de CHATEAUBRIAND
A La jeunesse tourmentée (1768- 18 00 ) LES ANNÉES BRETONNES (1768-1791). François-René de Chateaubriand est né au bord de la mer, à Saint-Malo. Il a conté, dans les Mémoires d'outre-tombe, ses jeux et ses rêveries sur les grèves de sa ville natale, et surtout ses mélancoliques séjours dans le manoir de Combourg, auprès d'un père taciturne et redouté, d'une mère superstitieuse et maladive, d'une soeur tendre et exaltée. Dès l'enfance, il s'ouvre à la poésie de l'océan et de la lande sauvage qui...
- « Un des lieux communs qu'on rabâche dans certains milieux, c'est que désormais la littérature n'aura plus à jouer qu'un rôle secondaire ; l'avenir est au cinéma, à la télé : à l'image. Je n'en crois rien. L'image sur le moment nous envoûte ; mais ensuite elle pâlit et s'atrophie. Les mots ont un immense privilège : on les emporte avec soi. » Que pensez-vous de cette affirmation de Simone de Beauvoir ?
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Résumé: René de CHATEAUBRIAND
René de CHATEAUBRIAND Comme Chateaubriand (1768-1848) le raconte dans les Mémoires d'outre-tombe, écrits de 1811 à 1848, son enfance au château de Combourg fut propice à développer chez lui le sens de l'imagination et à entretenir un climat de mélancolie maladive. Un voyage en Amérique (1791-1792) l'incita à dépayser ces sensations d'adolescence. Parmi les « sauvages » qui peuplaient les rives du Meschacebé, vrai nom du Mississippi, vivait dans la peuplade indienne des Natchez, vers 1725, un vie...
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L'abbé Prévost et L'histoire d'une passion : Manon Lescaut.
UNE CARRIÈRE TOURMENTÉE Antoine-François Prévost, de bonne heure attiré par l'aventure, quitte le noviciat jésuite pour s'engager dans l'armée; mais, en 1720, il revient à la vie religieuse et entre chez les Bénédictins. Il étudie la théologie, enseigne les humanités; ordonné prêtre en 1726, il remporte de vifs succès comme prédicateur mondain. Il commence à rédiger en secret les Mémoires d'un homme de qualité. En 1727, il s'échappe de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés; poursuivi par son ordre,...
- Dans son Discours de Suède, Albert Camus affirme que la noblesse de son métier s'enracinera toujours dans deux engagements difficiles à maintenir : le refus de mentir sur ce que l'on sait et la résistance à l'oppression". Vous expliquerez et justifierez d'abord ce point de vue en vous appuyant sur son oeuvre La Peste. Dans une deuxième partie vous envisagerez les objections que l'on peut faire à A. Camus en vous appuyant aussi sur la peste et d'autres oeuvres.
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On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires le plus conventionnel. Quelles sont ces conventions et pourquoi le spectateur s'y plie-t-il volontiers et accepte-t-il sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
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Francisque Sarcey affirmait: Je suis convaincu qu'un drame excellent doit se pouvoir jouer dans une grange et y réussir, tout aussi bien que sur une grande scène, où s'ajoute pourtant au mérite de l'oeuvre, la séduction du décor et du costume. Expliquez et discutez ?
1. Le sujet se rapproche des deux précédents en ce sens qu'il nous invite à réfléchir sur l'essence du spectacle théâtral : cette essence est-elle dans le spectacle (« séduction du décor et du costume ») ou dans ce que Sarcey appelle d'un mot assez vague « le mérite de l'œuvre »? 2. Mais il est beaucoup plus large, puisque Sarcey oppose à une décoration tout extérieure le mérite intrinsèque d'une pièce : la psychologie, l'intrigue et peut-être même le jeu des acteurs, la mise en scène, en exclua...
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La fin du siècle
La fin du siècle La fin siècle commence en 1885, à la mort de Victor Hugo. Date importante : la même année, Mallarmé ouvre aux jeunes poètes sa salle à manger de la rue de Rome, et Edmond de Goncourt, aux jeunes romanciers, son Grenier d'Auteuil. Certes, les cénacles n'avaient pas attendu 1885 pour s'affirmer en tant que foyer d'activité novatrice. Depuis l'hôtel de Rambouillet si l'on fait abstraction des cours d'amour les poètes avaient toujours éprouvé le besoin de s'assembler pour échanger d...
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L'ESTHÉTIQUE DE MALLARMÉ
STÉPHANE MALLARMÉ Il y a peu d'événements dans la vie d'ÉTIENNE (dit STÉPHANE) MALLARMÉ. Professeur d'anglais à Tournon, Besançon puis Avignon, il s'y sentait en exil. De retour à Paris en 1871, il enseigna dans plusieurs lycées, sans jamais s'intéresser à un métier auquel il reprochait d'interrompre quotidiennement sa « noble faculté poétique ». Il n'était célèbre que parmi les écrivains d'avant-garde, quand le roman de Huysmans, A rebours, révéla son nom au grand public. Dans son modeste appar...
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Marcel Arland
Marcel Arland 1899-1986 Il y a deux Arland. Non pas certes deux hommes, mais deux oeuvres imbriquées l'une dans l'autre et qui, souvent, s'opposent entre elles... Voici d'abord la part la mieux connue, la plus ouverte au public — et qui lui a apporté le succès : elle se confond avec une enquête fiévreuse des chances départies à l'homme dans le monde un peu sot d e l'autre après-guerre. Voici donc des exaltés, des indignés. Certains échappent hors d'Europe, d'autres restent pour démontrer à la vi...
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Jules Romains
Jules Romains Au début de ce siècle, qu'il allait marquer d'une forte empreinte, un jeune écrivain, à peine âgé de vingt ans, s'imposait déjà à l'attention des milieux littéraires sous le pseudonyme de Jules Romains, son vrai patronyme étant Louis Farigoule. Si le nom d'emprunt évoquait les fastes d'un art éloquent et une ambition de caractère impérial, le nom familial sentait bon l'herbe des champs et la vérité de la terre : on dirait volontiers que tout l'avenir du jeune homme était signifié d...
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Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui e
« Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujo...
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Percy Bysshe Shelley
Percy Bysshe Shelley "Tous ceux qui me connaissent ou entendent parler de moi hormis, je crois, cinq personnes tout au plus me regardent comme un rare prodige de crime et de pollution", écrit Shelley à son ami Peacock en 1819. Il est bien vrai que les contemporains du poète sont presque unanimes à l'accabler de leur réprobation, l'indignité de ses moeurs témoignant à leurs yeux de celle de ses doctrines. Pourtant cette vie n'est rien de plus que celle d'un adolescent qui s'est trop hâté d'être...
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Méthode et théorie scientifique de BUFFON
BUFFON (1707-1788) BUFFON est né au château de Montbard en Bourgogne. Il fait d'honnêtes études chez les jésuites de Dijon. Sa jeunesse est assez dissipée. En 1730, après une fâcheuse affaire, un duel où il tue son adversaire, il se met à voyager. Il parcourt le midi de la France, l'Italie la Suisse, l'Angleterre, en compagnie d'un jeune Anglais, le duc de Kingston, et de son précepteur, un homme passionné pour les sciences de la nature. La réputation de Buffon dans les milieux savants s'établit...
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LA COMÉDIE HUMAINE DE BALZAC
Balzac a réparti les œuvres qui composent La Comédie humaine en Études de moeurs, Études philosophiques et Études analytiques. Les Études analytiques ne comportent guère que la Physiologie du Mariage. Les Études philosophiques sont beaucoup plus importantes et s'ordonnent toutes autour d'une idée centrale. Les Études de moeurs, qui sont les plus nombreuses, se répartissent en Scènes de la vie privée, Scènes de la vie de province, Scènes de la vie parisienne, Scènes de la vie politique, Scènes de...
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COMMYNES
COMMYNES Né en Flandre, PHILIPPE DE COMMYNES se met d'abord au service des ducs de Bourgogne. Dans la nuit du 7 au 8 août 1472, il déserte le camp bourguignon et va rejoindre Louis Xl. Son nouveau maître, qu'il servira fidèlement, le prend pour confident et le comble de faveurs. Après la mort de Louis XI, Commynes intrigue contre la régente. Il est dépouillé de ses charges et de ses terres et enfermé à Loches dans une cage de fer. En 1490, il rentre en faveur. Charles VIII, puis Louis XII l'emmè...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Dernières poésies) - La jeune captive
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Vous direz si selon vous le roman et le genre narratif ont seulement pour fonction de distraire le lecteur ?
On entend ordinairement par « distraction » une étourderie de l'esprit, souvent synonyme d'une légèreté, d'une indifférence de la conscience aux problèmes concret qui lui sont posés. La tournure restrictive « ne que » dévalorise visiblement cette attitude, et interroge par extension le genre narratif lui-même. De plus, le recours au terme de « distraction » renvoie implicitement au concept de « divertissement » mis en place par Pascal, et achève de donner à la fonction ludique du genre narratif...
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Le roman a-t-il pour seul but de diverir ?
On entend ordinairement par « distraction » une étourderie de l'esprit, souvent synonyme d'une légèreté, d'une indifférence de la conscience aux problèmes concret qui lui sont posés. La tournure restrictive « ne que » dévalorise visiblement cette attitude, et interroge par extension le genre narratif lui-même. De plus, le recours au terme de « distraction » renvoie implicitement au concept de « divertissement » mis en place par Pascal, et achève de donner à la fonction ludique du genre narratif...
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JULES LAFORGUE
UNE EXISTENCE DOULOUREUSE Jules Laforgue est né en 1860, à Montevideo, de parents bretons. Dès l'enfance, il perd sa mère; et il reporte sur sa soeur toute sa tendresse. Il est timide, maladif, désenchanté avant d'avoir vécu. Il achève ses études à Paris, puis, en 1881, part pour Berlin, où il doit exercer des fonctions de lecteur auprès de l'Impératrice. Il s'initie aux ouvrages de Schopenhauer, de Hartmann; et, sous l'influence de ces philosophes, sa tristesse devient un pessimisme systématiqu...
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La fantaisie dans l'oeuvre de Victor HUGO
L'écrivain exilé ne s'est pas toujours tenu sur les cimes. Aux accents solennels du prophète qui vaticine face à l'Océan se mêlent parfois, jusque dans les oeuvres les plus graves, les accents frivoles d'un faune qui gambade en liberté par les chemins et les taillis. La fantaisie répond chez Victor Hugo à une exigence permanente du tempérament : déjà présente dans les oeuvres antérieures à l'exil, elle lui dicte le rythme de ses chansons, dans les Châtiments, inspire de nombreux poèmes dans les...
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Yasunari Kawabata
Yasunari Kawabata Né à Osaka, Yasunari Kawabata se trouva très tôt orphelin de père et de mère et perdit successivement ses grands-parents et sa soeur aînée. Cette enfance triste et isolée exerça une profonde influence sur son caractère déjà sensible et sur sa santé délicate et développa son goût de la tendresse, de la pureté et de la beauté qui domine toute son oeuvre Ayant achevé ses études à l'Université impériale de Tokyo, il fonda, en 1924, avec quelques amis, une petite revue : "le Temps...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Une dentelle s'abolit ...
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Malraux, dans l'Homme précaire et la littérature, écrit que « le génie du romancier est dans la part du roman qui ne peut être ramené au récit ». Vous commenterez et éventuellement discuterez cette affirmation à la lumière d'exemples précis empruntés à votre expérience personnelle de lecteur de romans ?
Analyse du sujet et problématisation : Il s'agit d'abord d'expliquer cette citation de Malraux sur le génie du romancier. Malraux semble ici postuler l'existence d'un champ du roman qui se situerait hors du récit et qui serait le siège du génie. Le roman est divisé en deux champs : d'une part un champ qui serait celui du récit, c'est-à-dire, celui de la narration d'une histoire, de la description d'un cadre spatio-temporel dans lequel évoluent des personnages, d'autre par, un autre champ qui ser...
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L'HUMANISME (XVIe siècle)
L'HUMANISME (XVIe siècle) Apparue dès le XIVe siècle en Italie, la Renaissance littéraire gagne la France à la fin du XVe, sous l'influence de professeurs et d'étudiants venus travailler dans les universités italiennes. Ils en rapportent le goût des lettres anciennes et la passion de l'Antiquité. C'est ainsi qu'un des premiers ouvrages sortis de l'imprimerie de la Sorbonne, la Rhétorique, de Guillaume Fichet, affirme l'objectif d'enseigner «l'art de bien dire» puisé «à la source féconde du génie...
- T. S. Eliot
- Verlaine - Sagesse: Le son du cor s'afflige vers les bois...
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Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies diverses) - Épitaphe
Une certaine tradition veut que le poète laisse, avant de mourir, une « épitaphe », inscription que l'on met sur un tombeau - sorte de descriptif rapide du « gisant », de notice nécrologique, non dénuée d'humour parfois. La plus célèbre de ces épitaphes presque autobiographiques est la fameuse Épitaphe d'un paresseux de Jean de La Fontaine, à la fois évocation souriante de la mort, et autoportrait désinvolte d'un homme qui ne se prit jamais tout à fait au sérieux... C'est sous ce haut patronage...
- Paul SCARRON (1610-1660) - Chanson : Helas ! elle s'en va...
- Antoine de LA SABLIERE (1624-1679) - Je ne sais pas, Iris, à quoi mon coeur s'attend
- Charles LE GOFFIC (1863-1932) - Une aube de douceur s'éveille sur la lande
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- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Il s'en alloit prier,...
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De l'absent de s'amie
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Syrtes) - Sur la nappe ouvragée où le festin s'exalte
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Tout s'enfle contre moy, tout m'assaut, tout me tente
- Olivier de MAGNY (1530-1561) (Recueil : Odes) - De l'absence de s'amie
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Comme un qui s'est perdu dans la forest profonde
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Le ciel en nuit, s'est déplié
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Saint Luc
Saint Luc Ier siècle C'est un médecin. Son nom, Luc, est grec. Sa langue et sa culture aussi. Compagnon de Paul au moins depuis Troas (Actes 15, II ss.), il semble avoir tenu comme un journal de leur voyage dont il insérera plus tard de larges extraits dans sa composition des Actes des Apôtres. Ses orientations de pensée sont plutôt celles de Paul, comme celles de Marc, qu'il connaîtra d'ailleurs personnellement, étaient plutôt celles de Pierre. Dans un temps où il n'avait pas encore écrit son o...
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Quand deux coeurs en s'aimant ont doucement vieilli
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Voici encor de l'heure qui s'argente
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Le poète s'en va dans les champs
- Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, II - Puis s'adressant à Bougainville, il ajouta...
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Melancholia
Demande d'échange de corrigé de Faramond Victor ([email protected]). Sujet déposé :Commentaire rédigé sur Mélancholia de Victor Hugo. Le poème Mélancholia, apparaît dans le recueil des Contemplations, au livre III, dans la section « Les luttes et les Rêves », écrit et publié par Victor Hugo en avril 1856. Le poète engagé dans les causes sociales de son époque, dénonce dans ce texte le travail des jeunes enfants, soumis à la folie des hommes cupides. Nous allons étudier les différents moyens utilis...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Sonnets pour Hélène) - Tant de fois s'appointer, tant de fois se fascher
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Un grand voile obscurci parmi l'air s'étendait
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Durant les grand's chaleurs, j'ai vu cent mille fois
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- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Ballade de s'amie bien belle
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Mélancolie) - Jusqu'au ciel d'azur gris le pré léger s'élève