1477 résultats pour "s+affirme"
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LE CONTE ET LA NOUVELLE
LE CONTE ET LA NOUVELLE Ce sont des récits comme le roman mais beaucoup plus brefs. Le conte se présente comme une fiction non réaliste, souvent non localisée dans le temps ni l'espace. Il apporte le plaisir d'une histoire racontée, le dépaysement par l'intervention du merveilleux (Contes de Perrault) ou du fantastique (Le Diable amoureux de Cazotte ; les Contes de Nodier), une leçon morale (Perrault) ou philosophique (Voltaire). Le conte fantastique est particulièrement florissant au 19e siècle...
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Le théâtre de RACINE
RACINE (1639-1699) Né à la Ferté-Milon, où son père exerçait les fonctions modestes de contrôleur du grenier à sel, JEAN RACINE se trouve orphelin à l'âge de trois ans. Il est recueilli par ses grands-parents paternels, famille pieuse, étroitement liée avec le monastère de Port-Royal. Sagrand-mère, devenue veuve en 1649, se retire à Port-Royal, l'y emmenant. Sa jeune tante, Agnès, y était déjà religieuse depuis plusieurs années. Jusqu'en 1653, il est élève des « petites écoles ». De 1653 à 1655,...
- Gouhier dans son oeuvre l'essence du théâtre affirme que "l'âme du théâtre c'est d'avoir un corps". Commentez et discutez cette opinion ?
- « Le genre parodie/pastiche [...] suppose une certaine compétence du lecteur comme condition du pacte de lecture. » Expliquez cette affirmation ?
- Pourquoi la littérature s'intéresse-t-elle à des destins tragiques (tel celui d'Emma Bovary) plutôt qu'à des destins heureux ?
- Est-il vrai que dans ses oraisons funèbres Bossuet s'attache plus à la démonstration d'une vérité religieuse qu'au panégyrique d'un personnage ?
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Rousseau écrit: La tragédie est si loin de nous, elle nous présente des êtres si gigantesques, si boursouflés, si chimériques que l'exemple de leurs vices n'est guère plus contagieux que celui de leurs vertus n'est utile. Partagez-vous cette condamnation de la tragédie par Rousseau ? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis tirés des tragédies de RACINE que vous connaissez ?
Sujet : Rousseau écrit: La tragédie est si loin de nous, elle nous présente des êtres si gigantesques, si boursouflés, si chimériques que l'exemple de leurs vices n'est guère plus contagieux que celui de leurs vertus n'est utile. Partagez-vous cette condamnation de la tragédie par Rousseau ? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis tirés des tragédies de RACINE que vous connaissez ? On connaît la thèse de la Lettre à d'Alembert : le théâtre est pernicieux. La tragédie est funes...
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Le lyrisme courtois.
Le lyrisme courtois. La civilisation de langue d'oc eut ses poètes, les troubadours, dont l'influence s'étendit jusqu'en Italie et en Espagne. Ils écrivaient des oeuvres courtes, d'inspiration sentimentale, de forme strophique, destinées à être chantées. Pour chaque nouveau poème, ils s'ingéniaient à trouver une combinaison métrique et une mélodie originales. On dénombre plus de quatre cents troubadours. Beaucoup s'expriment en dialecte limousin, d'autres en provençal. Le plus ancien qui nous so...
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- Quel(s) intérêt(s) présente la forme du compte dans le combat des idées ou dans la critique d'une société ?
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La littérature permet-elle aux hommes de s'ouvrir au monde ?
Analyse du sujet et problématisation : Ce sujet porte sur la littérature en général. Il importe donc de définir ce qu'on entend par « littérature » ; la littérature peut être définie comme toute production de textes écrits à visée artistique et esthétique. On prendra ici littérature au sens plus concret d'œuvre littéraire. Le sujet invite donc à mobiliser des références issues de tous les genres littéraires. L'expression « s'ouvrir au monde » peut revêtir diverses significations : on peut entend...
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Hélène de Surgères
Hélène de Surgères XVIe siècle Ronsard allait atteindre la cinquantaine — la vieillesse alors — quand il s'éprit d'Hélène de Surgères ("la docte de la cour, aussi l'appelle-t-on la Minerve", dit Brantôme ; et selon Ronsard, on la voyait toujours "quelque livre en la main"). Elle semble ne lui avoir jamais rien accordé, que l'honneur de la chanter. Est-elle la triste héroïne du scandale auquel donna lieu certaine perquisition policière au Louvre, le 2 juin 1574, qui dut faire rire aux dépens de l...
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Claude Roy
Claude Roy né en 1915 Étudiant à Angoulême, à Bordeaux, à Paris. Pendant la guerre, il est fait prisonnier et s'évade. Séjours à Vichy, à Marseille, à Nice. Il devient amoureux, poète et communiste. Il a voyagé comme correspondant de guerre, puis pour son propre compte, en Europe et aux USA. Ses premiers livres ont paru en 1949. Il s'agit de Clefs pour l'Amérique, Le Poète mineur et Les Descriptions critiques dont le cinquième volume date de 1960. Claude Roy a publié Clefs pour la Chine (1953),...
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Ernst von Salomon
Ernst von Salomon 1902-1972 Né à Kiel, mort en Basse-Saxe. Fils d'un officier de police. Cadet dans l'armée prussienne, il n'embrassa pourtant pas la carrière d'officier. Engagé politiquement à l'extrême-droite aux débuts de la République de Weimar. Écrivain jusqu'en 1933, il s'orienta alors vers le cinéma, revint à la littérature en 1949. Dans la période troublée qui suivit la Première Guerre mondiale, Ernst von Salomon s'engagea dans la lutte contre la jeune république. Ces menées contre tout...
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Madame Simone
Madame Simone 1877-1985 Née à Paris, élève au lycée Racine. Étudiante à la Sorbonne, Pauline Benda suivit les cours de Boutroux et de Faguet et, au Collège de France, ceux de Ribot et de Pierre Janet. S'intéressant à la pathologie expérimentale, elle songea à se consacrer à l'étude des maladies mentales. Mais sa famille s'opposa à ce projet et lui fit prendre des cours de diction, qu'elle suivit sans conviction. Sarah Bernhardt, pourtant, la décida à paraître sur scène : elle débuta au Gymnase e...
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HENRI-GEORGES CLOUZOT
Clouzot a commencé à s'imposer en 1942, par le dialogue des Inconnus dans la maison, de Henri Decoin, et la réalisation de L'Assassin habite au 21. L'intensité dramatique et la virtuosité technique du Corbeau lui valurent, l'année suivante, un succès considérable, mêlé de quelque scandale. Clouzot semblait, de parti pris, s'acharner à décrire, avec une virulence aiguë, des individus tarés et des milieux purulents. Avec Quai des Orfèvres (1947) et Manon (1949), on comprit que cette brutalité impl...
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Bien des écrivains ont goûté et célébré la solitude. Avez-vous vous-même éprouvé l'utilité et le charme de la solitude ? Qu'il en soit ainsi ou non, essayez de dégager très sincèrement ce que vous ressentez dans un moment de solitude. Vous éclairerez votre analyse en comparant votre propre expérience avec les réactions que vous inspirent des écrivains comme Montaigne, Descartes, Pascal, La Fontaine, Rousseau, Chateaubriand, Lamartine, etc.
Bien des écrivains ont goûté et célébré la solitude. Avez-vous vous-même éprouvé l'utilité et le charme de la solitude ? Qu'il en soit ainsi ou non, essayez de dégager très sincèrement ce que vous ressentez dans un moment de solitude. Vous éclairerez votre analyse en comparant votre propre expérience avec les réactions que vous inspirent des écrivains comme Montaigne, Descartes, Pascal, La Fontaine, Rousseau, Chateaubriand, Lamartine, etc. Introduction : La solitude a inspiré ses Rêveries d'un...
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Hugo, Hernani, acte I, scène 2
Hugo, Hernani, Acte I scène 2 Doña Sol : Je vous suivrai. Hernani : Parmi nos rudes compagnons, Proscrits, dont le bourreau sait d'avance les noms, Gens dont jamais le fer ni le coeur ne s'émousse, Ayant tous quelque sang à venger qui les pousse? Vous viendrez commander ma bande, comme on dit? Car, vous ne savez pas, moi je suis un bandit! Quand tout me poursuivait dans toutes les Espagnes, Seule, dans ses forêts, dans ses hautes montagnes, Dans ses rocs, où l'on est que de l'aigle aperçu, La vi...
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Roger Peyrefitte
Roger Peyrefitte né en 1907 Roger Peyrefitte s'est fait connaître avec un roman qui continue d'être considéré comme son meilleur livre et un des chefs-d'oeuvre de nos lettres contemporaines : Les Amitiés particulières. André Gide lui écrivit : "Je ne sais pas si vous aurez le Prix Goncourt, mais je puis vous dire que, dans cent ans, on lira encore Les Amitiés particulières." C'était en 1944. Le livre reçut le Prix Renaudot. Depuis, Roger Peyrefitte ne s'est pas contenté de frôler le scandal...
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Saint Luc
Saint Luc Ier siècle C'est un médecin. Son nom, Luc, est grec. Sa langue et sa culture aussi. Compagnon de Paul au moins depuis Troas (Actes 15, II ss.), il semble avoir tenu comme un journal de leur voyage dont il insérera plus tard de larges extraits dans sa composition des Actes des Apôtres. Ses orientations de pensée sont plutôt celles de Paul, comme celles de Marc, qu'il connaîtra d'ailleurs personnellement, étaient plutôt celles de Pierre. Dans un temps où il n'avait pas encore écrit son o...
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Traduction: Chrétien de Troyes - Le chevalier au lion (Prologue, vers 1-38.)
Li boins roys Artus de Bretaigne, La qui proeche nous ensengne Que nous soions preus et courtois, Tint court si riche comme rois A chele feste qui tant couste, C'on doit nommer le Penthecouste. Li rois fu a Cardoeil en Gales. Aprés mengier, par mi les sales, Li chevalier s'atropelerent La ou dames les apelerent Ou damoiseles ou pucheles. Li un recontoient nouveles, Li autres parloient d'Amours, Des angousses et des dolours Et des grant biens qu'en ont souvant Li desiple de son couvant, Qui lors...
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E. M. Forster
E. M. Forster Né à Londres, Edward Morgan Forster fut élevé par sa mère et ses tantes et étudia au King's College de Cambridge où, expérimentant une liberté nouvelle, il saisit la chance offerte de suivre ses propres inclinations intellectuelles. Il opta pour une carrière littéraire et se mit à écrire dans un style plus familier que celui privilégié par les écrivains de la fin de l'ère victorienne. Bien qu'il explorât la plupart des thèmes populaires de l'époque, son œuvre comportait une dimens...
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MUSIQUE: Erik Satie (1866- 1925)
Erik Satie (1866- 1925) Par son intransigeance dans le domaine esthétique, ainsi que par son indépendance et sa grande originalité, Satie orienta l'esprit de toute une époque. On le considéra bien comme le chef de file du groupe des Six, mais il refusa cet honneur. Humour et mysticisme. Erik Satie, de son vrai nom Alfred Eric Leslie-Satie, perdit sa mère très jeune, et l'origine écossaise de celle-ci ne fut sans doute pas étrangère à son sens de l'humour. Fixé à Paris en 1858, il entra au Conser...
- Imaginez que Goya vous explique, en s'appuyant sur un commentaire de sa gravure, pourquoi l'art ne doit pas être idéaliste mais représenter l'homme dans toutes ses composantes, sous tous ses aspects ?
- Commenter cette remarque de Brunetière sur le théâtre de Corneille: Ce n'est proprement ni le devoir ni la passion qu'il s'est plu à nous représenter; c'est la volonté, quel qu'en fût d'ailleurs l'objet ?
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Schinderhannese - Apollinaire, Alcools (1912)
Apollinaire, poète du début du XXe siècle, annonce le mouvement surréaliste, sans y appartenir véritablement, puisqu'il meurt pendant la guerre de 14-18. Très attiré par l'Allemagne, il fit de nombreux séjours en Rhénanie, ce qui lui inspira les Rhénanes, neuf poésies du recueil Alcools. L'une de ces Rhénanes, Schinderhannes, publiée dès 1904, retrace d'une façon assez originale la vie d'un célèbre brigand que chantaient de vieilles chansons allemandes... L'apparence romantique de ce poème mêlée...
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Analyse de l'oeuvre poétique d'Apollinaire
GUILLAUME APOLLINAIRE (1880-1918) Né à Rome, il est le fils naturel d'un officier italien et d'une jeune femme fantasque d'origine balte, Angelica de Kostrowitzky, dont il porta le nom, avant d'adopter le pseudonyme de GUILLAUME APOLLINAIRE fait de ses deux premiers prénoms francisés (Guillelmus Apollinaris). Son enfance est une suite d'aventures, où l'entraîne l'impécuniosité de sa mère. Chargé d'un préceptorat en Rhénanie, il s'éprend d'une jeune Anglaise, Annie, dont il sera le « mal aimé »,...
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Le testament) - Ballade à s'amie
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Corneille, Le Cid, Acte IV, scène 3.
Corneille, Le Cid, Acte IV, scène 3. DON RODRIGUE 1. Sous moi[1] donc cette troupe s'avance, 2. Et porte sur le front une mâle assurance. 3. Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort 4. Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port, 5. Tant, à nous voir marcher avec un tel visage, 6. Les plus épouvantés reprenaient leur courage! 7. J'en cache les deux tiers, aussitôt qu'arrivés, 8. Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés; 9. Le reste, dont le nombre augmentait à toute h...
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Pierre Corneille, Rodogune princesse des Parthes, acte V, scène 4.
Pierre Corneille, Rodogune princesse des Parthes, acte V, scène 4. Timagène Surpris d’un tel spectacle, à l’instant je m’écrie ; Et soudain, à mes cris, ce prince, en soupirant, Avec assez de peine entr’ouvre un oeil mourant, Et ce reste égaré de lumière incertaine Lui peignant son cher frère au lieu de Timagène, Rempli de votre idée, il m’adresse pour vous Ces mots où l’amitié règne sur le courroux : "Une main qui nous fut bien chère Venge ainsi le refus d’un coup trop inhumain. Régnez, et surt...
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Une charogne
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Une Charogne ». 1. Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, 2. Ce beau matin d'été si doux: 3. Au détour d'un sentier une charogne infâme 4. Sur un lit semé de cailloux, 5. Le ventre en l'air, comme une femme lubrique, 6. Brûlante et suant les poisons, 7. Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique 8. Son ventre plein d'exhalaisons. 9. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, 10. Comme afin de la cuire...
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Flaubert, l'Éducation sentimentale, deuxième partie, chapitre 6
Commentaire d’un extrait de l’Education sentimentale de Flaubert ( Partie II, chap 6) Introduction : Flaubert publie l’Education Sentimentale en 1869. Ce roman souvent qualifié de « roman d’apprentissage » présente, à travers les péripéties d'un jeune provincial en route pour Paris, son apprentissage du monde au sein d'une société en pleine effervescence. Le contexte historique de la Révolution de 1848 est présent en arrière plan de l’œuvre. Dans notre extrait, l’histoire politique et l’histoir...
- Dans Madame Bovary, un personnage disait que les ouvrages ne touchant pas le coeur s'écartait du vrai but de l'art. Donnez votre point de vue.
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- Pensez-vous que la littérature doive s'inspirer d'événements historiques réels et se nourrir de documents authentiques ? Quel parti peut-elle en tirer ? Quels dangers cela peut-il présenter pour elle ?
- « La pensée complexe est non pas ce qui évite ou supprime le défi, mais ce qui aide à le relever ». Dans un développement structuré, vous exposerez les réflexions et commentaires que vous inspire cette affirmation ?
- Voltaire affirme : Moi, j'écris pour agir. Quelle action permet lŽécriture et si cŽest la seule fonction que lŽon attend dŽun texte littéraire ?
- En quoi les rapports qui s'établissent entre maîtres et valets dans la comédie du XVIIe siècle que vous avez étudiée permettent-ils au dramaturge d'«arracher les masques » ?
- Ne s'abuse-t-on pas sur La Fontaine quand on nous le présente comme un rêveur et un paresseux ? Ses fables ne révèlent-elles pas un homme qui sait observer la réalité et un poète qui a le souci de son art ?
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Melancholia
Demande d'échange de corrigé de Faramond Victor ([email protected]). Sujet déposé :Commentaire rédigé sur Mélancholia de Victor Hugo. Le poème Mélancholia, apparaît dans le recueil des Contemplations, au livre III, dans la section « Les luttes et les Rêves », écrit et publié par Victor Hugo en avril 1856. Le poète engagé dans les causes sociales de son époque, dénonce dans ce texte le travail des jeunes enfants, soumis à la folie des hommes cupides. Nous allons étudier les différents moyens utilis...
- Vous direz par quel côté les Oraisons funèbres de Bossuet touchent à l'histoire et par quel côté elles s'en écartent.
- L'art du roman est de savoir mentir affirme Louis Aragon dans J'abats mon jeu en 1959.
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Racine, Phèdre, Acte V, scène 7.
Racine, Phèdre, Acte V, scène 7. THESEE Hé bien ! vous triomphez, et mon fils est sans vie. Ah ! que j'ai lieu de craindre ! et qu'un cruel soupçon, L'excusant dans mon coeur, m'alarme avec raison ! Mais, Madame, il est mort, prenez votre victime : Jouissez de sa perte, injuste ou légitime. Je consens que mes yeux soient toujours abusés. Je le crois criminel puisque vous l'accusez. Son trépas à mes pleurs offre assez de matières, Sans que j'aille chercher d'odieuses lumières, Qui ne pouvant le r...
- « Le public aime les romans faux » déclarent les frères Goncourt dans la préface de Germinie Lacerteux, êtes-vous d'accord avec cette affirmation ? Vous fonderez votre réflexion sur des exemples précis.
- "En toute société, l'artiste, l'écrivain demeure un étranger" affirme Simone de Beauvoir dans la Force de l'Âge. Partagez-vous cette opinion sur la place et la fonction de l'artiste dans la société ?
- Discutez ce propos : la poésie moderne s'écrit en haine du monde. (Le Spleen de Paris, Epilogue, Baudelaire, Ville, Rimbaud, Zone, Apollinaire) ?
- "Le public aime les romans faux" déclarent les frères Goncourt dans la préface de Germinie Lacerteux, êtes-vous d'accord avec cette affirmation ? Vous fonderez votre réflexion sur des exemples précis ?
- « L'épaisseur d'un tel mot est inépuisable. » À votre tour, vous rédigerez un dialogue dans lequel deux personnages choisissent un mot et s'efforcent d'expliquer ce que Philippe Jaccottet appelle son « épaisseur ». ?
- En toute société, l'artiste, l'écrivain demeure un étranger affirme Simone de Beauvoir dans la Force de l'Âge. Partagez-vous cette opinion sur la place et la fonction de l'artiste dans la société ?
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L'art et la doctrine de BOSSUET
BOSSUET (1627-1704) JACQUES-BÉNIGNE BOSSUET est né à Dijon, d'une famille de magistrats. Élève des jésuites, il se montre particulièrement studieux. A dix ans, il reçoit la tonsure. Il est formé à la rigueur doctrinale par son maître du collège de Navarre, Nicolas Cornet, grand adversaire du jansénisme, et à l'esprit de charité par Vincent de Paul, qui dirige sa retraite de prêtrise. Ordonné prêtre en 1652, il choisit de résider à Metz, où il avait déjà passé une partie de son enfance. Il s'y em...
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- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui ne pense qu'en s'amie
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Qui sont, qui sont ceux-là, dont le coeur idolâtre
Jean de SPO N DE ( 1557-1595) « Qui s ont, qui s ont c eux-là, dont le c œur idolâtre… » « Qui s ont, qui s ont c eux-là, dont le c œur idolâtre Se jette aux pieds du M onde, et flatte s e s honneurs Et qui s ont c e s valets , et qui s ont c e s Seigneurs , Et c e s â m e s d'Ebène, et c e s fac e s d'Albâtre ? C e s m a s q u e s d é g u i s é s , dont la troupe folâtre S ' a m u s e à c ares s er je ne s a i s q u e l s donneurs De fumées de Cour, et c e s entrepreneurs De vainc re enc or...