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Roger Peyrefitte

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Roger Peyrefitte né en 1907 Roger Peyrefitte s'est fait connaître avec un roman qui continue d'être considéré comme son meilleur livre et un des chefs-d'oeuvre de nos lettres contemporaines : Les Amitiés particulières. André Gide lui écrivit : "Je ne sais pas si vous aurez le Prix Goncourt, mais je puis vous dire que, dans cent ans, on lira encore Les Amitiés particulières." C'était en 1944. Le livre reçut le Prix Renaudot. Depuis, Roger Peyrefitte ne s'est pas contenté de frôler le scandale avec des peintures, parfois cruelles, des milieux aussi célèbres que méconnus que sont la diplomatie, l'Église romaine et les sociétés secrètes. Son procès avec le Vatican, consécutif à la publication des Clés de Saint-Pierre, est célèbre. Les Ambassades et La Fin des ambassades ont fait couler beaucoup d'encre. Son roman Les Fils de la lumière (1961), éclaire à sa manière les rites surprenants et "inédits" de la franc-maçonnerie en France. D'autres livres font oublier ce souci de satire et de démystification devenu systématique : ce sont L'Oracle, "roman de l'archéologie et du libertinage, plein d'éléments divertissants" a dit André Maurois ; La Mort d'une mère, où le coeur rejoint enfin l'intelligence, Du Vésuve à l'Etna, véritable guide touristique de la main du plus sur connaisseur, et Le Spectateur nocturne, dialogue dramatique dont le héros est un "Hibou" nommé Restif de la Bretonne. Pour être inoffensif, ce divertissement n'en est pas moins savoureux. Peyrefitte s'est également essayé à l'histoire avec une biographie d'Alexandre le Grand (1977-1981).

« Roger Peyrefitte né en 1907 Roger Peyrefitte s'est fait connaître avec un roman qui continue d'être considéré comme son meilleur livre et un des chefs-d'oeuvre de nos lettres contemporaines : Les Amitiés particulières.

André Gide lui écrivit : "Je ne sais pas si vous aurez le Prix Goncourt, mais je puis vous dire que, dans cent ans, on lira encore Les Amitiés particulières." C'était en 1944.

Le livre reçut le Prix Renaudot.

Depuis, Roger Peyrefitte ne s'est pas contenté de frôler le scandale avec des peintures, parfois cruelles, des milieux aussi célèbres que méconnus que sont la diplomatie, l'Église romaine et les sociétés secrètes.

Son procès avec le Vatican, consécutif à la publication des Clés de Saint-Pierre, est célèbre.

Les Ambassades et La Fin des ambassades ont fait couler beaucoup d'encre.

Son roman Les Fils de la lumière (1961), éclaire à sa manière les rites surprenants et "inédits" de la franc-maçonnerie en France.

D'autres livres font oublier ce souci de satire et de démystification devenu systématique : ce sont L'Oracle, "roman de l'archéologie et du libertinage, plein d'éléments divertissants" a dit André Maurois ; La Mort d'une mère, où le coeur rejoint enfin l'intelligence, Du Vésuve à l'Etna, véritable guide touristique de la main du plus sur connaisseur, et Le Spectateur nocturne, dialogue dramatique dont le héros est un "Hibou" nommé Restif de la Bretonne.

Pour être inoffensif, ce divertissement n'en est pas moins savoureux.

Peyrefitte s'est également essayé à l'histoire avec une biographie d'Alexandre le Grand (1977-1981).. »

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