Résultats pour "vie+ah"
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Ah ! ce bruit affreux de la vie !
- Isaac HABERT (1560-1615) - Ah ! ne me baisez plus, ah ! mon coeur, je me meurs
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - Ah longues nuicts d'hyver de ma vie bourrelles
- Madame de PRESSENSÉ (1826-1901) - Ah ! ne me dites pas...
- René-Guy Cadou : « Ah ! Je ne suis pas métaphysique, moi., extrait de Hélène ou le Règne végétal
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Quand le fil de ma vie...
- Calderon, La vie est un songe, Troisième journée
- Napoléon Bonaparte : Lettre à Joséphine (1796)
- Marivaux, L'Île des esclaves, scène 1.
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pensée des morts
- Balzac, Le Père Goriot (corruption des ménages : amour et argent).
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pourquoi mon âme est-elle triste ?
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« Il y a deux sortes de romans : le roman qui nous fait oublier la vie, et le roman qui nous explique la vie. » qu'en pensez-vous ?
Analyse du sujet et problématisation : Cette phrase établit une bipartition au sein du genre romanesque faisant état de deux catégories exclusives : les romans qui font oublier la vie et ceux qui l'expliquent. Les romans « qui font oublier la vie » sont les romans permettant l'évasion du lecteur hors de sa réalité quotidienne, romans fondés souvent sur une imagination débordante de l'auteur. Ces romans où règne l'imagination peuvent être qualifiés de romans à tendance fantastique ou merveilleuse...
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A la Malibran
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Toute une vie en nous, non visible, circule
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« Il y a deux sortes de romans : le roman qui nous fait oublier la vie, et le roman qui nous explique la vie. » Qu'en pensez-vous ?
Analyse du sujet et problématisation : Cette phrase établit une bipartition au sein du genre romanesque faisant état de deux catégories exclusives : les romans qui font oublier la vie et ceux qui l'expliquent. Les romans « qui font oublier la vie » sont les romans permettant l'évasion du lecteur hors de sa réalité quotidienne, romans fondés souvent sur une imagination débordante de l'auteur. Ces romans où règne l'imagination peuvent être qualifiés de romans à tendance fantastique ou merveilleuse...
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Epaves) - Ah ! le cours de mes ans...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Souvent le malheureux songe à quitter la vie
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Mon âme est triste jusqu'à la mort !
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Le jeune malade
- Marivaux (1688-1763), L'île des esclaves (1725).
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - La Maîtresse rousse
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Théâtre en liberté) - Être aimé
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre CXXXVII
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - Les voeux stériles
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L'école doit certes ouvrir sur la vie: mais l'ouvrir à la vie est une ineptie destructrice. Qu'en pensez-vous ?
La fonction de l'école, et la position qu'elle doit adopter par rapport au monde extérieur représentent un sujet souvent débattu par les hommes politiques, la presse, les enseignants, les parents et les élèves eux-mêmes. Roger Ikor, dans son livre Je porte plainte, donne sa position à ce propos : « L'école doit certes ouvrir sur la vie, mais l'ouvrir à la vie est une ineptie destructrice. » La formulation un peu surprenante de cette phrase ne doit pas faire oublier qu'elle présente un point de v...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Chanson de la plus haute tour
- SOUS UN PORTRAIT DE L'AUTEUR - Tristan Corbière
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Aux chrétiens dans les temps d'épreuves
- Emile DESCHAMPS (1791-1871) - Aux mânes de Joseph Delorme
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - L'immortalité
- Vie et oeuvre de ROUSSEAU
- Jean Edouard DU MONIN (1557-1586) (Recueil : Les nouvelles oeuvres) - Si quand il faut tirer le rideau de la vie
- Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - Nous n'entrons point d'un pas plus avant en la vie
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Pierre Mathieu: LA VIE EST UN ECLAIR
LA VIE EST UN ECLAIR VII « La vie est un éclair, une fable, un mensonge, Le souffle d’un enfant, une peinture à l’eau, Le songe d’un qui veille, et l’ombre encor d’un songe, Qui de vaines vapeurs lui brouillent le cerveau. VIII Cette vie aux échecs proprement se rapporte, Autant de place y tient le Pion que le Roi : L’un scrute, l’autre court, l’un surprend, l‘autre emporte. Les noms sont distingués, et tout n’est que du bois. XIII La vie est une table, où pour jouer ensemble On voit quatre j...
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mortels, qui des mortels avez pris vostre vie
- Guillaume CRÉTIN (1460-1525) - Chant royal de l'arbre de vie
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A votre avis, la littérature a-t-elle le pouvoir de changer la vie ?
Analyse du sujet et problématisation Le sujet invite à une réflexion personnelle sur le pouvoir de la littérature. Par « littérature », il faut entendre toute production de textes écrits à visée artistique et esthétique. On prendra ici littérature au sens plus concret d'œuvre littéraire. L'évocation du pouvoir qu'aurait la littérature de « changer la vie » est ici très générale et vague et appelle plusieurs interrogations qu'il faudra prendre en compte dans le cours du devoir : comment changer l...
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Dans la préface de son recueil de poèmes Les Contemplations (1856), Victor Hugo répond à ceux qui se plaignent des écrivains qui disent moi : « Ah ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ?
LE ROMANTISME Hugo écrit dans une de ses préfaces : « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas P Ah ! insensé qui 1t:rois que je ne suis pas toi. » En appliquant ce jugement à l'ensemble de nos poètes roman~ tiques, vous montrerez que les sentiments qu'ils expriment, les grands problèmes qu'il évoquent, ont une portée largement humaine. (Rennes) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Comme il arrive souvent, la citation n'est qu'un point de départ. Les indications pr...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - L'action
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O. Wilde aurait dit au sujet d'un personnage de Balzac : « La mort de Lucien de Rubempré est le plus grand drame de ma vie ». M. Vargas LLosa commentant cette phrase ajoute : « Une poignée de personnages littéraires ont marqué ma vie de façon plus durable qu'une bonne partie des êtres en chair et en os que j'ai connus ». Que pensez-vous de ces affirmations ? Vous répondrez en vous appuyant sur des exemples précis ?
L e s d e u x c itations s ur les q u e l l e s no u s a v o n s à réfléc hir aujourd'hui abondent dans l e m ê m e s e n s : les pers o n n a g e s littéraires peuvent a c e point s e faire c onnaitre, appréc ier, aimer de nous , qu'ils n ou s d e v i e n n e n t a u s s i proc h e s , s i n o n d a v a n t a g e , q u e l e s i n d i v i d u s réels dont nous s o m m e s les c o n t e m p o r a i n s . Alors qu'Os c ar Wilde exprime d'un ton fac étieux et s pirituel c ette idée, en donnant pou...
- Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui même. Sa manière d'être interieure sa véritable vie n'est connue que de lui; mais en l'écrivant, il l'a déguise ; il se montre comme il veut être vu, mais point du tout comme il est. Dans un développement composé vous commenterez et discuterez cette citation d'un écrivain cotemporain en prenant apuis sur les textes que vous avez étudié en classe et vos propres lectures ?
- Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui même. Sa manière d'être intérieure sa véritable vie n'est connue que de lui; mais en l'écrivant, il l'a déguise ; il se montre comme il veut être vu, mais point du tout comme il est. Dans un développement composé, vous commenterez et discuterez cette citation d'un écrivain contemporain en prenant appuis sur les textes que vous avez étudiés en classe et vos propres lectures ?
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Oeuvres) - Ô misérable vie ! ici bas agitée
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - La crypte
- Marivaux, Avertissement à la seconde partie de La Vie de Marianne.
- Pierre LOUŸS (1870-1925) (Recueil : Derniers vers) - Et je m'étais fait une vie
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laissée la lecture de la Fontaine.
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laiss...
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Usons ici le fiel de nos fâcheuses vies
- Marivaux, La Vie de Marianne. PREMIERE PARTIE