3617 résultats pour "grand+s"
-
Bahia de tous les saints de Jorge Amado
Bahia de tous les saints de Jorge Amado Roman écrit en 1935. Contexte Premier volet de la série des romans consacrés à l'univers trépident et burlesque de Bahia, ce roman lyrique, où le message politique est très important, a été écrit juste avant que son auteur ne connaisse la prison réservée aux opposants politiques. Principaux personnages - Antonio Balduino, enfant puis jeune homme noir habitant les quartiers pauvres, animé d'une grande soif de vivre et d'un fort charisme, amoureux depuis son...
-
VINCENT VOITURE: vie et oeuvre
VINCENT VOITURE D'origine roturière, mais n'ayant jamais rougi de sa roture, VINCENT VOITURE sut si bien se pousser dans la haute société qu'en 1625 il fut introduit à l'Hôtel de Rambouillet. Il en fut pendant plus de vingt ans le principal animateur. Il dut s'en éloigner en 1632, pour suivre Gaston d'Orléans, au service duquel il était attaché. Il ne revint à Paris qu'en 1634, après avoir parcouru l'Espagne. Bien vu de Richelieu, nanti de charges lucratives, il disposait de revenus importants,...
-
Un écrivain contemporain déclare: C'est une profonde erreur de porter un roman à l'écran. Partagez-vous ce sentiment ?
Analyse du sujet et problématisation : Le sujet porte sur une forme particulière de réécriture : l'adaptation cinématographique d'une œuvre littéraire, et, plus précisément, d'un roman. Dans ce sujet, un jugement négatif est porté sur cette forme de réécriture. Par « porter un roman à l'écran »,on entendra les adaptations au cinéma, mais aussi à la télévision de romans. Problématique : L'adaptation cinématographique d'une œuvre romanesque ne présente-t-elle aucun intérêt ? Offre-t-elle toujours...
-
PEINTURE: Jean-Baptiste Greuze (1725 - 1805)
Jean-Baptiste Greuze (1725 - 1805) Greuze fut l'un des peintres les plus admirés de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Il peignit surtout des scènes familiales avec une intention moralisatrice. Ses compositions théâtrales, peuplées de personnages aux physionomies et aux attitudes pathétiques, furent louées par Diderot pour leur expressivité, mais nous semblent aujourd'hui d'une sentimentalité outrancière. La peinture de genre. Originaire de Tournus, Greuze étudia chez un peintre de Lyon, puis g...
-
Maupassant, La Parure, 1884.
Maupassant, La Parure, 1884. C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique. Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leu...
-
Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - L'échafaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « L'échafaud ». 1. C’était fini. Splendide, étincelant, superbe, 2. Luisant sur la cité comme la faulx sur l’herbe, 3. Large acier dont le jour faisait une clarté, 4. Ayant je ne sais quoi dans sa tranquillité 5. De l’éblouissement du triangle mystique, 6. Pareil à la lueur au fond d’un temple antique, 7. Le fatal couperet relevé triomphait. 8. Il n’avait rien gardé de ce qu’il avait fait 9. Qu’une petite tache imperceptible et rouge. 10. Le bourreau s’en ét...
-
Charles Baudelaire : Je n'ai pas oublié, voisine de la ville... (Les Fleurs du Mal, Spleen et Idéal, LXX, 1857).
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Spleen et Idéal, LXX, « Je n'ai pas oublié, voisine de la ville... ». 1. 2. Je n'ai pas oublié, voisine de la ville, 3. 4. 5. 6. 7. Sa Pomone (1) de plâtre et sa vieille Vénus (2) Notre blanche maison, petite mais tranquille ; Dans un bosquet chétif cachant leurs membres nus, Et le soleil, le soir, ruisselant et superbe, Qui, derrière la vitre où se brisait sa gerbe, Semblait, grand oeil ouvert dans le ciel curieux, 8. Contempler nos dîners longs et s...
-
Pascal et l'humanisme
Introduction C'est avec la Renaissance que s'épanouit la confiance en l'homme RABELAIS et, dans une certaine mesure, MONTAIGNE la transmettront aux « philosophes » du XVIIIe siècle et ces derniers à tout le XIXe siècle. Mais il est un penseur qui semble contester à lui seul tout ce mouvement, c'est PASCAL. On connaît, en effet, la sévérité de ses jugements sur les Essais. VOLTAIRE l'a violemment pris à partie dans ses Lettres philosophiques et va jusqu'à passer complètement sous silence les Pens...
-
-
« La chanson tout court, rien que la chanson, c'est là un phénomène poétique qu'on doit bien se garder de méconnaître. » M. Pérez.
« La chanson tout court, rien que la chanson, c'est là un phénomène poétique qu'on doit bien se garder de méconnaître. » M. Pérez. La chanson poésie du pauvre. M. Pérez : « On méprise à juste titre la chanson commerciale. Produit industriel, fabriqué à la chaîne, destiné à flatter le goût du jour, mis à toutes les modes, la chanson est un frisson démagogique. » Georges Jean « La chanson poétique ne mord que très faiblement sur le grand public qui se contente de chansons parfois charmantes et for...
-
PEINTURE: Quentin de La Tour
Quentin de La Tour Virtuose du pastel, La Tour fut le grand portraitiste du milieu du XVIIIe siècle. Avide de saisir la plus fugitive expression de ses modèles, il insufflait une vie intense à ses tableaux. Sa renommée lui valut de nombreuses commandes de personnages en vue. Curieux de tout, il fréquenta les encyclopédistes. L'art du pastel. Né à Saint-Quentin, Maurice Quentin Delatour - il écrivit plus tard son nom en trois mots - fut attiré très jeune par le dessin ; il commença donc par copie...
-
Robert Graves
Robert Graves 1895-1985 Robert Ranke Graves est né à Londres, d'un père irlandais, lui-même poète, et d'une mère d'origine allemande. Entré tardivement à Charterhouse, en 1914, il avait dès avant cette date écrit quelques poèmes orientés vers la chevalerie, l'aventure, la féerie. Engagé volontaire, il servit dans le régiment de Siegfried Sassoon. Blessé, envoyé en convalescence à Oxford, il s'y maria en 1918. La guerre l'avait profondément marqué. Il y avait pris conscience d'une révolte fondame...
-
PEINTURE: Antoine Watteau (1684-1721)
Antoine Watteau (1684-1721) Le peintre des fêtes galantes. Natif de Valenciennes, arrivé très jeune à Paris, Jean Antoine Watteau débute en copiant des tableaux religieux. Entre 1703 et 1708, élève de Claude Gillot, spécialiste des scènes burlesques, il se familiarise avec les personnages de la comédie bouffe. Au palais du Luxembourg où l'accueille le peintre Audran, il est séduit par les Rubens de la galerie Médicis. Aidé d'Audran, il travaille à la décoration des châteaux de la Muette et...
-
PEINTURE: François Girardon (1626- 1715)
François Girardon (1626- 1715) Sculpteur officiel de Louis XIV, Girardon fut l'un des principaux artistes de Versailles. Il décora aussi des églises et réalisa plusieurs tombeaux. Il avait étudié attentivement l'art antique et reste l'un des meilleurs représentants de la sculpture classique à son apogée. Le sculpteur du roi. Fils d'un maître fondeur, Girardon entre en 1640 chez un sculpteur sur bois et s'essaya aussi à la peinture. Remarqué par le chancelier Séguier, son concitoyen de Troyes, il...
-
Il paraît qu'il est immoral de parler de soi. Moi je ne sais guère que parler de moi. Le moi n'est pas du tout haïssable, bien au contraire, écrit Paul Léautaud dans son Journal. Qu'en pensez-vous ?
Blaise Pascal dans une formule célèbre des Pensées proclame que « le moi est haïssable ». Il s'en explique au nom de valeurs morales : « En un mot, le moi a deux qualités : il est injuste en soi, en ce qu'il se fait centre de tout ; il est incommode aux autres, en ce qu'il les veut asservir : car chaque moi est l'ennemi et voudrait être le tyran de tous les autres ! » (VII, 455). C'est pourquoi Pascal condamne les Essais de Montaigne : « Le sot projet qu'il a de se peindre ! » (II, 62). Trois si...
-
La puissance de l'espoir - Paul Eluard, le temps déborde
* La puissance de l’espoir * « Autant parler pour avouer mon sort : Je n’ai rien mien, on m’a dépossédé Et les chemins où je finirai mort Je les parcours n esclave courbé ; Seule ma peine est ma propriété : Larmes, sueurs et le plus dur effort. Je ne suis plus qu’un objet de pitié Sinon de honte aux yeux d’un monde fort. J’ai de manger et de boire l’envie Autant qu’un autre à en perdre la tête ; J’ai de dormir l’ardente nostalgie : Dans la chaleur, sans fin, comme une bête. Je dors trop peu, ne...
-
Bernardin de Saint-Pierre: vie et oeuvre
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE (1737-1814) Né au Havre, BERNARDIN DE SAINT-PIERRE est emmené à la Martinique à douze ans, termine ses études en France, devient ingénieur aux armées, perd son grade et va chercher fortune dans plusieurs pays étrangers : Hollande, Russie, Pologne, Allemagne. Hanté par le rêve d'une vie selon la nature, il saisit avec empressement l'occasion qui lui est offerte de se rendre à l'île de France (l'île Maurice). 1; y séjourne de 1768 à 1771, et en revient déçu. Il fréquente...
-
-
La littérature américaine contemporaine
La littérature américaine contemporaine Quoi de commun entre Eudora Welty, Richard Brautigan ou John Updike, et Hunter S. Thompson ? Peu de choses sinon la langue, l'identité américaine. Tout les différencie. Tout, parce que la littérature américaine est riche et diversifiée plus peut-être que partout au monde. Faut-il l'aborder par genre ? Par thèmes ? Par style ? Pourquoi ne pas prendre la route ? Et, dans une longue balade que ne renierait pas un seul des auteurs que nous rencontrerons aller...
-
A propos du théâtre, Victor Hugo déclare : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains sur la scène, des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans la salle ».
Demande d'échange de corrigé de dupont pierre ([email protected]). Sujet déposé : SUJET : A propos du théâtre, Victor Hugo déclare : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains sur la scène, des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans...
-
On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires, le plus conventionnel. Après avoir précisé quelles sont les conventions essentielles que le théâtre impose, vous chercherez les raisons pour lesquelles, selon vous, le spectateur se soumet volontiers à ces conventions et accepte sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
-
Vous commenterez, en vous appuyant sur des exemples précis, cette opinion de Fénelon : « La poésie est plus sérieuse et plus utile que le vulgaire ne le croit ».
Introduction De tout temps, la poésie et les poètes ont rencontré méfiance ou incompréhension. Platon voulait les bannir de la cité, Vigny nous montre dans Chatterton le sort impitoyable qui leur est réservé par une société matérialiste, et Baudelaire dans l'Albatros, leur incapacité à se faire comprendre des autres hommes. Fénelon, lui, s'opposant à l'opinion du commun des mortels, se fait le défenseur de la poésie : « Elle est plus sérieuse et plus utile que le vulgaire ne le croit, » affirme-...
-
Salvatore Quasimodo
Salvatore Quasimodo 1901-1968 Lorsque, pendant la guerre, fut publié Ed è subito sera — recueil qui contient toute la production poétique de Quasimodo depuis ses débuts jusqu'à 1942 — le mouvement qui groupait certains poètes et critiques sous la bannière de "l'hermétisme" touchait à son terme. Il n'est certes pas facile d'indiquer brièvement — et il n'y a pas lieu de le faire ici — ce qu'a été l'hermétisme, qui s'apparente à certains égards au mouvement surréaliste européen. Beaucoup lui reproc...
-
Malraux, dans l'Homme précaire et la littérature, écrit que « le génie du romancier est dans la part du roman qui ne peut être ramené au récit ». Vous commenterez et éventuellement discuterez cette affirmation à la lumière d'exemples précis empruntés à votre expérience personnelle de lecteur de romans ?
Analyse du sujet et problématisation : Il s'agit d'abord d'expliquer cette citation de Malraux sur le génie du romancier. Malraux semble ici postuler l'existence d'un champ du roman qui se situerait hors du récit et qui serait le siège du génie. Le roman est divisé en deux champs : d'une part un champ qui serait celui du récit, c'est-à-dire, celui de la narration d'une histoire, de la description d'un cadre spatio-temporel dans lequel évoluent des personnages, d'autre par, un autre champ qui ser...
-
Tourisme, aventure et ennui
Introduction Le texte de P. Bruckner et A. Finkielkraut (en tout cas cet extrait) apparaît de prime abord comme un persiflage à propos d'une certaine réaction « snob » au tourisme de masse. Remontant aux origines du phénomène et du vocable, les auteurs analysent la mutation du contenu social et psychologique du tourisme : d'abord privilège d'une « élite » friande d'aventures et de découvertes personnelles, pour affirmer son originalité, puis, par un devenir progressif, habitude de masse ; un des...
-
AGRIPPA D'AUBIGNÉ
AGRIPPA D'AUBIGNÉ Le zèle politique et religieux d'Agrippa d'Aubigné a fourni l'élan des Tragiques, mais sa capacité de « voyant » a restitué la vraie Mémoire poétique, telle que la concevaient les Anciens : génératrice de formes et peintre de fresques animées. Le poète divin et ses combats Issu de la petite noblesse par sa mère et de la bourgeoisie de robe par son père, juge à Pons (Saintonge), Agrippa d'Aubigné peut faire de brillantes études sous la direction de Mathieu Béroalde, humaniste et...
-
-
L'écriture poétique peut-elle s'inspirer du quotidien et des choses ordinaires ?
L'écriture poétique peut-elle s'inspirer du quotidien et des choses ordinaires ? Analyse du sujet et problématisation : La poésie est un genre littéraire très ancien aux formes variées qui se constitue aussi bien en vers qu'en prose et dans lequel l'importance dominante est accordée à la "forme. Le mot poésie vient du grec poiein qui signifie « faire, créer » ; le poète est donc un créateur de mots, un inventeur de formes expressives qui démultiplie la puissance de signification des mots par so...
- Félix ARVERS (1806-1850) - La villégiature
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - La mère qui pleure
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Épître
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) (Recueil : Le chemin des saisons) - Le faisan doré
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Dans un parfum de roses blanches
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Octobre est doux...
- La comédie et la tragédie au XVIIIe siècle
-
- Jean Giono, Regain.
- AUTEUR ANONYME (Recueil : Comptines) - Une pomme rouge
- Antoine HEROËT (1492-1568) - Chanson
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Chaque jour un oiseau rencontre ce garçon
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies complémentaires) - Sur une morte
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Les meules qui brûlent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les vignes de ma muraille) - L'éternelle lueur
-
- Henri Michaux, « La paresse »
- Hervé Bazin, Vipère au poing.
- Le Pont Mirabeau - Guillaume Apollinaire- Alcools
- Benjamin Constant, Adolphe, chapitre 10.
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Soir de Printemps
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - La chance
- Antoine HEROËT (1492-1568) - La parfaite amie
- Camus, La Peste, Incipit.
-
- Stuart MERRILL (1863-1915) (Recueil : Les gammes) - Refrains mélancoliques
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est le premier matin du monde









