1496 résultats pour "s+assura"
-
Frédéric Mistral
Frédéric Mistral Il naquit à Maillane, non loin de Saint-Rémy-de-Provence, le 8 septembre 1830. Son enfance champêtre au mas du Juge, sur le domaine du patriarche campagnard qu'était son père, a quelque chose d'évangélique, de même ses études à l'école rurale de Saint-Michel-de-Frigolet, puis au pensionnat Dupuy, en Avignon. Bachelier à Nîmes, puis licencié en droit à A ix, il devait, pour tout usage de ses diplômes, rejoindre paisiblement le mas paternel, où l'appelait une vocation déjà très m...
-
Ionesco écrit dans Notes et contre-notes : « Le comique n'est comique que s'il est un peu effrayant. » En vous appuyant sur votre expérience théâtrale et cinématographique, mais aussi sur les comiques dont vous connaissez les sketches, vous direz si cette affirmation correspond à l'idée que vous vous faites du comique ?
Introduction On constate à la fois, de nos jours, une prolifération de films et de spectacles comiques, correspondant à un renouveau du genre dû notamment au café-théâtre, et une présence plus grande de l'angoisse aussi bien dans nos vies que dans nos villes. Ces deux phénomènes sont-ils contradictoires ? Un auteur contemporain, Ionesco, déclarait pour sa part dans Notes et contre-notes : « Le comique n'est comique que s'il est un peu effrayant. » Nous essaierons de montrer qu'il n'y a là qu'un...
-
L'oeuvre de CAMUS
L'INQUIÉTUDE DE L'HUMANISTE Albert Camus a été souvent salué comme le constructeur d'un humanisme moderne: La noble inspiration d'une oeuvre comme La Peste, l'accent assuré de quelques éditoriaux, l'éclat des déclarations sur la nécessité, pour l'homme, de « créer ses propres valeurs », l'ont désigné à ses contemporains comme un guide, comme un maître à penser. Mais il inclinait de plus en plus à se poser des questions, souvent sans pouvoir y répondre. Certains silences, qui étaient des scrupule...
-
Intellectualisme et poétique de Valéry
PAUL VALÉRY (187I-I945) Né à Sète, d'origine corse par son père, génoise par sa mère, PAUL VALÉRY, après avoir rêvé d'être marin, se résigne à étudier le droit. En 1890, il rencontre Pierre Louis, qui l'introduit dans le monde littéraire parisien. Il devient le disciple de Mallarmé, l'ami de Gide. Ses premiers poèmes, ses essais en prose le montrent en possession de son esthétique et de sa méthode, mais passent à peu près inaperçus. Il se persuade alors que « le souci de l'effet à produire sur l...
-
Informations et communication a l'époque moderne
2021-2022 Informations et communications Nous allons voir que le public est devenu inexorablement un interlocuteur indispensable petit à petit au XVIe siècle et au XVIIe siècle. Il a fallu d’abord l’informer ensuite le séduire et aussi le convaincre. Au XVIIIe siècle voit le jour le terme « d’opinion publique », on ne le trouve pas dans l’encyclopédie de Diderot mais on a des termes assez proches : « esprit public », « murmures ». On a, au début du XVIIe siècle, des moyens de communicati...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - La providence à l'homme
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Le Corps ravi, l'Âme s'en émerveille
-
Un journaliste, féru de théâtre, déplore le manque de goût de ses contemporains pour ce genre littéraire. Il décide d'écrire, dans son hebdomadaire, un long article pour exhorter ses lecteurs à s'intéresser davantage aux pièces théâtrales de quelque siècle que ce soit. Vous rédigerez cet article qui développera les arguments incitatifs du journaliste. Exploitez le corpus et les oeuvres que vous avez lues ou vues.
Un journaliste, féru de théâtre, déplore le manque de goût de ses contemporains pour ce genre littéraire. Il décide d'écrire, dans son hebdomadaire, un long article pour exhorter ses lecteurs à s'intéresser davantage aux pièces théâtrales de quelque pièce que ce soit. Vous rédigerez cet article qui développera les arguments incitatifs du journaliste. Exploitez le corpus et les œuvres que vous avez lues ou vues. Dans votre article, vous devez vanter le théâtre, donner des arguments afin de persua...
-
-
"L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste de la politique, l'excitant essentiel de la gloire et des grandes amours, - l'origine d'une quantité de recherches et de méditations." (Valéry)
La condition mortelle de l'homme et la conscience qu'il en a l'invitent à repousser ces limites, ces entraves à son action. L'idée de mort, parce qu'elle est inexorable et représente un mystère insondable, ne déclenche pas un réflexe d'impuissance chez l'homme mais explique au contraire la plupart de ses activités. Ainsi Valéry, préfaçant le livre de James Frazer La Peur des morts écrit : « L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste...
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Le sonneur se suspend, s'élance
-
Confucius
Confucius K'ong Tseu (Confucius) était le fils d'une famille noble appauvrie vivant dans la principauté de Lou au Chantoung. Il abandonne sa fonction de conseiller auprès du Prince de Lou quand celui-ci cède aux ruses d'un prince rival. Puis, pendant treize ans, il erre de principauté en principauté à la recherche d'un souverain digne de ce nom, qui pourrait faire appel à ses services. Trois ans avant sa mort, il rentre à Lou, s'adonne à des travaux littéraires et à l'enseignement de ses discip...
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Quand Rachel s'accoucha...
-
La poésie de DU BELLAY
DU BELLAY (1522-156o) JOACHIM DU BELLAY appartient à une illustre famille angevine. Orphelin dès l'enfance, il est placé sous la tutelle dépourvue de tendresse de son frère aîné. Vers 1545, il se trouve à Poitiers, où il étudie le droit. Il y rencontre des humanistes et des poètes : Marc-Antoine Muret, Salmon Macrin, Jean de la Péruse. Il lie amitié avec Ronsard et, en 1547, il se rend près de lui au collège de Coqueret. La Défense et l'Olive le mettent au premier rang des poètes de la Brigade....
- Madeleine de l' AUBESPINE (1546-1596) - L'on verra s'arrêter le mobile du monde
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Dames, s'il est permis
-
Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie I, chapitre IV
Demande d'échange de corrigé de adel charaf ([email protected]). Sujet déposé : commentaire Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie 1 , chapitre IV Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1) partie, chapitre IV La noce est un morceau de choix dans la littérature réaliste du XIX siècle (cf. Zola dans L'Assommoir). Flaubert ne rate pas cette belle occasion de nous présenter une noce normande dans une description en mouvement d'un grand réalisme même si le narrateur adopte un regard amusé sur ces p...
-
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Quelque si doux espoir où ma raison s'appuie
-
« qu'est-ce que l'acanthe grecque ? Un artichaut stylisé. Stylisé, c'est-à-dire humanisé : tel que l'homme l'eût fait s'il eût été Dieu. l'homme sait que le monde n'est pas à l'échelle humaine ; et il voudrait qu'il le lût. Et lorsqu'il le reconstruit, c'est à cette échelle qu'il le reconstruit... Dans ce qu'il a d'essentiel, notre art est une humanisation du monde. » c'est ainsi qu'André Malraux, dans Les Noyers de l'Altenburg, lait parler, au colloque international de l'Altenburg, le
S~jets traités « Qu'est-tc que l'acant he gn:cque '? 11 artichaut stylisé. Stylisé, c'est-à-dire humanisé : tel CJUC l'homme l'eîll htit s'il etît été Dieu. L'homme sait que le monde n'est pas à l'échelle humaine ; et il Yondrait qu'il le fîu. Et lorsqu'il le n:construit. c'est à celle échelle qu'il le reconMruit... Dans ce qu'il a d'essentiel. notre art est une humanisation du monde. >> C'est aitL~i qu'Amlré MalratLx, dan Les },~l'I'I "S de I'Ailmburg, fait parler, a11 colloque intematicmal...
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Elle s'avance, comme je viens
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Qui niera, Gillebert, s'il ne veut résister
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Voulez-vous voir ce traict qui si roide s'eslance
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Noces du samedi ! noces où l'on s'amuse
- La Fontaine, Fables, livre VII, 4 « Le Rat qui s'est retiré du monde ».
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Le tens leger s'enfuit sans m'en apercevoir
-
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Si ma raison en moy s'est peu remettre
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - S'il est vrai que le ciel ait sa course éternelle
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille
-
LES THÈMES D'INSPIRATION DE GEORGE SAND
LES THÈMES D'INSPIRATION DE GEORGE SAND Les romans de George Sand sont habituellement classés sous quatre rubriques : romantiques, socialistes, champêtres, romanesques. Ces quatre manières correspondraient en gros à quatre périodes qui vont respectivement de 1832 à 1837, de 1838 à 1845, de 1846 à 1853 et de 1854 à 1876. Dans la réalité, les choses ne sont pas aussi simples. S'il est vrai que chaque période a bien sa dominante, toutes ces inspirations s'entremêlent et d'autres thèmes interviennen...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - L'Aigle, la Laie, et la Chatte
-
Antoine de Saint-Exupéry
Antoine de Saint-Exupéry Parce qu'il est né dans une famille catholique, aristocratique et provinciale ; parce qu'il était aviateur et que la solidarité de l'équipage fut pour toujours pour lui le modèle des liens qui peuvent exister entre les hommes ; parce que son oeuvre ne nous propose guère que des exemples de courage, d'honneur et de fidélité ; parce que le Petit Prince fait la joie de tous les instituteurs du monde...; parce qu'il est mort "en plein ciel de gloire", à quarante-quatre ans.....
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque s'épand sur notre seuil la neige fine
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - Le feu brusque, et leger, aus Astres s'achemine
-
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Cheval s'étant voulu venger du Cerf
- Montaigne, Essais, "Apologie de Raymond Sebond" (II, 12) - Quant à l'erreur et incertitude...
-
La pensée philosophique de Victor HUGO
LE GÉNIE DE VICTOR HUGO A La personnalité. Équilibre, orgueil et générosité apparaissent comme les traits essentiels de la physionomie morale de Victor Hugo. L'ÉQUILIBRE. Victor Hugo n'a rien d'un inadapté ni d'un névrosé; il possède au contraire un équilibre qui lui permit toujours de faire face aux nécessités communes de l'existence. Il jouissait d'une santé robuste; sexagénaire, à Guernesey, il partait, seul, hiver comme été, pour d'interminables promenades; il se délassait de ses travaux lit...
-
Jean Anouilh, Antigone, (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est...
-
Jean Anouilh, Antigone, extrait (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est cela,...
-
La comédie est faite pour divertir mais sa vocation est également d'instruire. À partir de votre connaissance du théâtre comique et en particulier de Tartuffe, vous construirez un développement argumenté d'une quarantaine de lignes pour montrer comment les débats d'idées trouvent au théâtre un mode d'expression efficace ?
Au cours de ce travail, nous ne prendrons pas le terme de "comédie" dans le sens que la modernité lui a donne, a savoir de représentation théâtrale a caractère comique, c'est a dire s'efforçant de susciter le rire. Par comédie, nous entendrons la représentation théâtrale dans son ensemble, c'est a dire l'acte qui consiste a figurer sur scène des actions fictives, qu'elles appartiennent au genre du drame, de la comédie, de la tragédie... Ce faisant, nous retournons au sens ancien du terme "comédi...
-
Charles Augustin Sainte-Beuve
Charles Augustin Sainte-Beuve Charles Augustin Sainte-Beuve, qui eût pu sans usurpation ajouter une particule à son nom, est né à Boulogne-surMer, 146, rue du Pot d'Étain, le 23 décembre 1804. Il est mort à Paris, rue du Montparnasse, le 13 octobre 1869. Il a publié son premier article au journal Le Globe le 10 octobre 1824. Ces trois dates bornent la durée d'une existence et d'une oeuvre. Pour être fixé sur l'importance de cette existence et de cette oeuvre, il suffit de les supprimer en pensée...
- Molière, Le Misanthrope, Acte IV, scène 3
-
- Molière, Le Misanthrope, Acte IV Scène III (Passion et Jalousie).
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Mais quoi ! déjà les Cieux s'accordent à pleurer
- « Le théâtre peut apparaître comme un genre littéraire inférieur, un genre mineur. Il fait toujours un peu gros. C'est un art à effets sans doutes. On a l'impression que les choses s'y alourdissent. Les nuances des textes de littérature l'éclipsent. Un théâtre de subtilité littéraire s'épuise vite. » Commentez cette citation de Ionesco.
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - La spirale sans fin dans le vide s'enfonce
- FURETIÈRE, Le Roman bourgeois, 1666 Avertissement du libraire au lecteur
-
Expliquez et discutez cette opinion de Pierre Loti en s'appuyant sur des exemples précis: Les vrais poètes, dans le sens le plus libre et le plus général du mot, naissent avec deux ou trois chansons qu'il leur faut à tout prix chanter, mais qui sont toujours les mêmes: qu'importe, du reste, s'ils les chantent chaque fois avec tout leur coeur ?
Expliquer et discuter cette opinion de Pierre Loti en s'appuyant sur des exemples précis : « Les vrais poètes, dans le sens le plus libre et le plus général du mot, naissent avec deux ou trois chansons qu'il leur faut à tout prix chanter, mais qui sont toujours les mêmes : qu'importe, du reste, s'ils les chantent chaque fois avec tout leur coeur!... » (Baccalauréat.) REMARQUES POUR UN PLAN 1. Le texte de Loti est difficile à orienter parce que, tout en étant extrêmement naïf, il touche un des pr...
- « Un des lieux communs qu'on rabâche dans certains milieux, c'est que désormais la littérature n'aura plus à jouer qu'un rôle secondaire ; l'avenir est au cinéma, à la télé : à l'image. Je n'en crois rien. L'image sur le moment nous envoûte ; mais ensuite elle pâlit et s'atrophie. Les mots ont un immense privilège : on les emporte avec soi. » Que pensez-vous de cette affirmation de Simone de Beauvoir ?
- Dans son Discours de Suède, Albert Camus affirme que la noblesse de son métier s'enracinera toujours dans deux engagements difficiles à maintenir : le refus de mentir sur ce que l'on sait et la résistance à l'oppression". Vous expliquerez et justifierez d'abord ce point de vue en vous appuyant sur son oeuvre La Peste. Dans une deuxième partie vous envisagerez les objections que l'on peut faire à A. Camus en vous appuyant aussi sur la peste et d'autres oeuvres.
-
-
On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires le plus conventionnel. Quelles sont ces conventions et pourquoi le spectateur s'y plie-t-il volontiers et accepte-t-il sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
-
« Pourquoi aurions-nous peur de demain, puisque c'est nous qui le faisons grâce à notre travail d'aujourd'hui?» écrivait Emile Zola. Partagez-vous, en 1981, cet optimisme et cette assurance ?
« Pourquoi aurions-nous peur de demain, puisque c'est nous qui le faisons grâce à notre travail d'aujourd'hui?» écrivait Emile Zola. Partagez-vous, en 1981, cet optimisme et cette assurance? remarques Les remarques qui suivent ne constituent pas le plan détaillé. Elles indiquent des directions que l'élève doit développer. La peur aujourd'hui La phrase d'Emile Zola tente d'exorciser la crainte de l'avenir. Que celle-ci demeure vivace aujourd'hui ne fait aucun doute. Les résumés en témoignent; Rob...