1201 résultats pour "plus+"
- José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Plus ultra
- Isaac HABERT (1560-1615) - J'ai cette nuit goûté les plus douces douceurs
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Vu que tu es plus blanche
- Raymond RADIGUET (1903-1923) (Recueil : Poèmes inédits) - Pas plus que montagnes de glace
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : La musette) - Ton corps plus doux que ton esprit
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Plaisir n'ai plus, mais vis en déconfort
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Les vents grondaient en l'air, les plus sombres nuages
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Regrets sur ma vieille robe de chambre ou avis à ceux qui ont plus de goût que de fortune par Denis DIDEROT
Le titre, avec le mot clé regrets, donne le ton : c'est avec mélancolie que Diderot évoque un vêtement longtemps porté, dans lequel il était parfaitement à l'aise. La symétrie des deux membres de la deuxième phrase le prouve : Elle était faite à moi ; j'étais fait à elle. Cette symétrie, renforcée par l'emploi constant de la parataxe, se retrouve dans les oppositions entre la vieille robe de chambre et la nouvelle, mais ces deux vêtements représentent deux périodes distinctes de la vie de l'aute...
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Qu'heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu'heureux
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Vous qui avez écrit qu'il n'y a plus en terre
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Sonnet : Se voir le plus possible...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Va ton chemin sans plus t'inquiéter
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Cent fois plus qu'à louer on se plaît à médire
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L'oeuvre de CAMUS
L'INQUIÉTUDE DE L'HUMANISTE Albert Camus a été souvent salué comme le constructeur d'un humanisme moderne: La noble inspiration d'une oeuvre comme La Peste, l'accent assuré de quelques éditoriaux, l'éclat des déclarations sur la nécessité, pour l'homme, de « créer ses propres valeurs », l'ont désigné à ses contemporains comme un guide, comme un maître à penser. Mais il inclinait de plus en plus à se poser des questions, souvent sans pouvoir y répondre. Certains silences, qui étaient des scrupule...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Chanson de la plus haute tour
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- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - Plus de neiges aux prés...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - Je n'ay plus que les os, un Schelette je semble
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) - Je n'ay plus soif, tairie est la fontaine
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Roses de juin, vous les plus belles
- Voltaire a écrit : « Les livres les plus utiles sont ceux dont les lecteurs font eux-mêmes la moitié. » Comment comprenez-vous cette formule ?
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Plus qu'aux bords Aetëans le brave fils d'Eson
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Si la foi plus certaine en une âme non feinte
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Pétrone
Pétrone "La mentalité primitive" qui faisait florès au temps où je préparais en Sorbonne mon certificat de morale et sociologie, déjà contestée alors, a maintenant fait long feu. A une époque où les progrès de la science de la possibilité de désagréger la terre à la réalité des machines susceptibles "d'apprendre" semblent hisser l'homme moderne à mille coudées (un peu plus haut que la tour Eiffel) au-dessus du plus récent de ses ancêtres le si ridicule et si chéri, l'homo MCM-us, ledit homme mod...
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Isaac Babel
Isaac Babel 1894-1941 De taille moyenne, trapu, presque sans cou, le front ridé, le nez en bec de canard, les yeux petits, les lunettes épaisses, Isaac Babel aurait pu être, comme son grand-père, un rabbin privé de l'exercice de son ministère pour cause de blasphème, vendre du poisson au marché, comme son grand-oncle, ou devenir, comme son père, petit commerçant. À 15 ans, il écrivait déjà, et la littérature devait être son métier, sa maladie, son ravissement. Il était à peine majeur — en 1915—l...
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Molière
Molière Des grands écrivains représentatifs de l'art dramatique classique, le plus proprement français est sans doute Racine ; Molière est le plus certainement universel. Il est malaisé à un Français de faire partager l'admiration qu'il a pour Racine à des étrangers, à moins qu'il ne s'agisse d'étrangers déjà francisés, déjà acclimatés dans notre culture ; en France même, il demande des lecteurs ou des spectateurs privilégiés, des oreilles et des esprits sensibilisés par l'éducation littéraire :...
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Alexandre Pouchkine
Alexandre Pouchkine Voici le plus européen et le moins compris en Europe des grands écrivains de la Russie, le plus grand et le plus intraduisible des poètes. Sa gloire est fermement établie, mais pour ceux qui n'entendent pas sa langue elle n'est fondée, somme toute, que sur des ouï-dire, et s'ils s'avisent d'y aller voir eux-mêmes, ils risquent fort de la trouver injustifiée. Un poème de Pouchkine, traduit honnêtement mais sans miracle, produit l'impression la plus fâcheuse, celle du lieu com...
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Albert Camus, L'Etranger, 1942.
Albert Camus, L’Étranger, « Quand je suis entré en prison ». Quand je suis entré en prison, on m'a pris ma ceinture, mes cordons de souliers, ma cravate et tout ce que je portais dans mes poches, mes cigarettes en particulier. Une fois en cellule, j'ai demandé qu'on me les rende. Mais on m'a dit que c'était défendu. Les premiers jours ont été très durs. C'est peut-être cela qui m'a le plus abattu. Je suçais des morceaux de bois que j'arrachais de fa planche de mon lit. Je promenais toute la jour...
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Marianne Moore
Marianne Moore La personnalité de Marianne Moore et sa carrière constituent un des phénomènes les plus curieux de la littérature américaine actuelle. Voici un poète qui a reçu les prix les plus estimés et les plus honorables, dont l'art pousse le raffinement jusqu'aux recherches extrêmes, qui n'a jamais et d'aucune façon sollicité l'adhésion du “ grand public ”, qui semble, parfois, l'écarter délibérément, et qui, cependant, a acquis une très vaste audience. Tenu pour “ ésotérique ” ou “ hermét...
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Précisez en quoi le récit littéraire, avec les moyens qui lui sont propres, constitue-t-il une voie efficace pour transmettre au lecteur des vérités de portée universelle.
- L'écrivain ne peut rester enfermé dans sa bulle fictive et ressent le besoin de poser un regard sur le réel. Ainsi en tant que messager, il choisit de faire passer certaines vérités auprès de ses lecteurs. - Cependant, on peut se demander pourquoi certains écrivains ont recours à la fiction pour transmettre des vérités ou des leçons. I. Pour des raisons propres à l'auteur 1. Pour éviter la censure Si l'on prend le cas des Fables de la Fontaine, les dénonciations sont exprimées à travers des...
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Les oeuvres de fiction quelles qu'elles soient vous paraissent-elles le meilleur moyen de convaincre le lecteur ou le spectateur ? Vous répondrez en vous référant aux oeuvres étudiées en classe et à votre culture personnelle.
« Une fiction littéraire » est une définition qui peut s'appliquer à tous types d'œuvres littéraires. La formule ne pose pas forcément le problème du contraste entre réalité et imagination, car un roman même réaliste, même autobiographique est une fiction – à savoir un ensemble de productions issues de l'imagination créatrice des auteurs et cela quelle que soit la part de réalité et de fiction qui s'y trouve. Ainsi, en partant de ce postulat il est légitime de s'interroger sur l'étendu du rôle d...
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Les auteurs de L'Honneur des poètes ont choisi, dans leur préface, de présenter ainsi leur ouvrage : « C'est vers l'action que les poètes à la vue immense sont, un jour ou l'autre, entraînés ». Partagez-vous cette conception de la poésie ? Vous organiserez votre réponse en vous appuyant nécessairement sur les poèmes du corpus et d'autres poèmes que vous avez lus ou étudiés ?
Héritier des philosophes des Lumières, le poète du XXe siècle se donne pour mission de s'engager à changer la vie. Une position qui est devenue à ses yeux une nécessité existentielle et un rôle qui est autant social qu'humanitaire. Il s'agit, en effet, de guider le peuple dans sa marche vers l'avenir, Victor Hugo l'avait formulé ainsi: « Peuples, écoutez le poète !» (Les rayons et les ombres). Ainsi on peut s'interroger sur la nature des liens qui peuvent exister entre poésie et engagement polit...
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Samuel Beckett, Oh ! les beaux jours (1963)
Demande d'échange de corrigé de Smith Elodie ([email protected]). Sujet déposé :Commentaire de \"Oh Les Beaux Jours\" de Beckett Oh les Beaux Jours est une pièce a deux personnages, si on peut considere Willie comme un personnage, qui emmetera quelques grognements durant la piece. Elle fait partie de la fameuse trilogie de théâtre de l'absurde de Beckett avec En Attendant Godot et Fin de Partie. Beckett illustre a travers ces oueuvres la condition humaine qui sera confronte a différent problè...
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MONTAIGNE - Essais - Livre III, 2.
Introduction Comme tous les grands Essais de MONTAIGNE, l'essai «Du repentir » (III, 2) contient certains développements dont le rapport avec le titre échappe. Cependant, sous la plupart de ces digressions, le moi de l'écrivain est devenu, dans ce livre III, beaucoup plus présent. On sait, par exemple, que MONTAIGNE n'a écrit « Du repentir » (vers 1584-1586) qu'après avoir été haut magistrat, diplomate et maire de Bordeaux. Retiré au château de Montaigne, il nous découvre, dans une page de cet e...
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Marguerite Duras - Un barrage contre le Pacifique
La vie qu'on mène n'est pas toujours - pas souvent ? - à la hauteur de nos rêves, ambitions ou illusions... Pour certains, aux jours ternes et monotones de la vie quotidienne, il faut substituer des jours en couleurs, des jours de lumière où l'esprit se perd : quelques-uns s'évadent dans des paradis artificiels, d'autres préfèrent les paradis, plus nobles, de la poésie, d'autres encore - Emma Bovary - s'élancent par des romans faciles vers des cieux plus beaux... Le XXe siècle inventa la plus su...
- La littérature d'idée trouve-t-elle une meilleure efficacité en divertissant son lecteur? Cette distraction provoquée par la légèreté ne risque-t-elle pas de détourner le lecteur (du message philosophique) des idées de l'auteur ? N'existe t-il pas d'autres stratégies plus aptes à faire adhérer le lecteur à ces idées ?
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La poésie italienne
La poésie italienne La fin de la Seconde Guerre mondiale constitue dans l'histoire de la poésie italienne contemporaine un jalon qui n'est pas uniquement d'ordre chronologique. C'est surtout une ligne de démarcation, à la fois morale, morphologique et technique, qu'ont du franchir, plus ou moins consciemment, tous les poètes qui s'étaient déjà exprimés antérieurement à cette époque. D'aucuns ont cru devoir, durant les années qui suivirent la guerre, écarter purement et simplement du tableau cert...
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Kabir
Kabir 1440-1518 Dans l'abondant lyrisme religieux que l'Inde a produit, plus spécialement entre le VIIe et le XVIe siècle, l'Occident s'est plu à mettre à part le cas de Kabir, surtout depuis les traductions, enjolivées, que Tagore a données en anglais. Il serait vain de chercher à savoir s'il est vraiment le plus grand parmi tant d'autres ; il n'est certes pas le poète le plus habile ou le plus harmonieux ; il n'est sans doute pas le plus pathétique. Mais on peut le considérer comme le représen...
- « Un des lieux communs qu'on rabâche dans certains milieux, c'est que désormais la littérature n'aura plus à jouer qu'un rôle secondaire ; l'avenir est au cinéma, à la télé : à l'image. Je n'en crois rien. L'image sur le moment nous envoûte ; mais ensuite elle pâlit et s'atrophie. Les mots ont un immense privilège : on les emporte avec soi. » Que pensez-vous de cette affirmation de Simone de Beauvoir ?
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Jean Froissart
Jean Froissart 1333-vers 1401 Lorsqu'on pense aux chroniqueurs de notre Moyen Âge, un nom vient tout de suite de préférence et comme de luimême à l'esprit, celui de Jean Froissart, et c'est justice : non seulement sa Chronique est, de toutes, la plus étendue et celle qui a eu le plus de succès, celle qui a été représentée dans les bibliothèques seigneuriales par le plus grand nombre de manuscrits et les plus richement enluminés, mais encore aucun auteur n'a été au même degré que lui le fidèle in...
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xxx ?
1. Le patriotisme Horace, le vieil Horace, Curiace immolent à leur idéal patriotique leurs affections les plus chères et les plus légitimes. Lorsque le jeune Horace apprend qu'il vient d'être désigné avec ses frères comme le champion de Rome, il éclate d'une joie farouche. Il proclame qu'il luttera jusqu'à la mort. Il s'étonne et s'indigne à la pensée que Curiace le pleurera s'il meurt dans le combat. Quand il apprend que Curiace sera son adversaire, il n'a pas une hésitation : il se battra avec...
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Le Roman français
Le Roman français Le roman n'existe que s'il existe des romanciers. L'auteur de Francion ne se prend pas pour un romancier. Celui de Gargantua non plus. Ni Mme de La Fayette, ni Marivaux, ni Rousseau. Il ne suffit pas de raconter une histoire, se déroulant dans le temps et l'espace, mettant en scène des personnages auxquels l'auteur prétend nous intéresser, pour qu'il y ait roman. Comme l'ode au XVIe siècle, la tragédie au XVIIe le drame au début du XIXe le genre romanesque naît au moment où le...
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PORTRAIT DU DUC DE BOURGOGNE de SAINT-SIMON
PORTRAIT DU DUC DE BOURGOGNE Il était plutôt petit que grand, le visage long et brun, le haut parfait avec les plus beaux yeux du monde, un regard vif, touchant, frappant, admirable, assez ordinairement doux, toujours perçant, et une physionomie agréable, haute, fine, spirituelle jusqu'à inspirer de l'esprit. Le bas du visage assez pointu, et le nez long, élevé, mais point beau, n'allait pas si bien; des cheveux châtains si crépus et en telle quantité qu'ils bouffaient à l'excès; les lèvres et l...
- A de multiples signes, on sent dans la jeunesse actuelle une soif d'affirmation créatrice. Si la culture, sous toutes ses formes, n'est pas au rendez-vous, on ne sait trop comment et par quoi pourra se manifester un besoin qu'elle est seule à pouvoir vraiment satisfaire. Sans elle, la créativité risque de ne s'exprimer que par ses formes les plus sommaires, comme le bricolage, ou par la violence, qui n'est qu'une créativité retournée, la volonté de détruire par rage de ne pouvoir const
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L'excellence n'est-elle qu'une question de records ?
L'excellence, est selon la définition du dictionnaire (Le Petit Robert) : un « degré éminent de perfection qu'une personne, une chose a en son genre ». Définir l'excellence, c'est donc définir une valeur (« la perfection »). Or, cette évaluation apparaît d'emblée difficile. En effet, doit-on et peut-on juger de la valeur de quelque chose ou de quelqu'un selon des critères objectifs ? Selon Edmond Vandermeersch, l'excellence se définit aujourd'hui en termes de records. Etre excellent, ce serait ê...
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Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
Joachim DU BELLAY, Les Regrets, « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage ». 1. Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, 2. Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, 3. Et puis est retourné, plein d'usage et raison, 4. Vivre entre ses parents le reste de son âge ! 5. Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village 6. Fumer la cheminée, et en quelle saison 7. Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, 8. Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? 9. Plus me plaît le...
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Charles de Montesquieu
Charles de Montesquieu Charles-Louis de Secondat naît le 18 janvier 1689 au Château de la Brède, près de Bordeaux. Lors de son baptême, on lui donne un mendiant pour parrain, afin qu'il se rappelle toute sa vie que les pauvres sont ses frères. Il étudie le droit à Bordeaux, puis à Paris et compose à vingt-deux ans un traité aujourd'hui perdu sur la Damnation éternelle des païens. Il y affirme que les philosophes de l'antiquité ne méritèrent pas l'enfer. En 1714, il est nommé conseiller au Parlem...
- Dans le discours qu'il prononça en Suède lors de la remise de son prix Nobel, Albert Camus disait : « L'art n'est pas à mes yeux une réjouissance solitaire. Il est un moyen d'émouvoir le plus grand nombre d'hommes en leur offrant une image prilvilégiée des souffrances et des joies communes. » En l'appliquant au domaine de la littérature, vous direz quelles réflexions vous inspire cette formule, sans omettre de vous appuyer sur des exemples précis et variés.
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SENANCOUR (1770-1846), Oberman (1804), Lettre VII.
Lassé de « l'agitation des terres humaines », le narrateur s'est réfugié à Saint-Maurice dans les Alpes. Au cours d'une excursion en montagne, il découvre ce qu'il appelle lui-même « un monde nouveau ». La journée était ardente, l'horizon fumeux, et les vallées vaporeuses. L'éclat des glaces remplissait l'atmosphère inférieure de leurs reflets lumineux ; mais une pureté inconnue semblait essentielle à l'air que je respirais. A cette hauteur, nulle exhalaison des lieux bas, nul accident de lumièr...
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En vous référant à votre expérience personnelle aussi bien qu'à votre connaissance du répertoire racinien, vous commenterez et, éventuellement discuterez cette affirmation d'Eugène Ionesco : « Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football, de boxe, de tennis. Le match nous donne en effet l'idée la plus exacte de ce qu'est le théâtre à l'état pur : antagonismes en présence, oppositions dynamiques, heurts sans raison de volontés contraires » ?
Sujet: "Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football", dit le dramaturge Eugène Ionesco, car le théâtre montre des "antagonismes en présence, [des] oppositions dynamiques, [des] heurts sans raison de volontés contraires" Que pensez-vous de cette conception du théâtre comme reposant sur l'affrontement ? - - On constate souvent que les évènements sportifs procurent aux spectateurs des émotions, parfois intenses. Il en est de même pour le théâtre selon Eugène Ionesco pour qui : "I...