Résultats pour "rapporte"
- En vous référant à des exemples précis, vous commenterez et discuterez ces réflexions : « Au nom d'un matérialisme de la lettre, certains ont vidé la poésie de tout rapport avec l'être et avec la matière. Ils se sont adonnés aux glissements intensifs de la chaîne signifiante, où se perdent de vue les signifiés. Moyennant quoi, leur écriture est devenue parfois illisible, et ils ont contribué à détourner les lecteurs de la poésie. La lisibilité d'un poème se fonde en effet sur un double rapport des mots qui le composent avec l'horizon interne du texte et avec l'horizon externe du monde. Se priver de l'un de ces deux horizons, c'est s'exposer soit au réalisme, soit à l'hermétisme ». (Michel Collot, L'Horizon fabuleux, Librairie José Corti, 1988, p. 214) ?
- Au théâtre, si l'on veut créer l'illusion (du réel), pensez-vous d'une part que la mise en abyme suffise, d'autre part que le rapport frontal scène-public soit efficace ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute
- François de La Rochefoucault, Maximes, Réflexions Diverses, XI. Du rapport des hommes avec les animaux
- Quels rapports Valéry établit-il ici entre le langage usuel et le langage poétique ? Quelle analyse fait-il de l'originalité du langage poétique ? Que pensez-vous des idées exprimées par Valéry dans ce texte ?
- Quel est l'intéret du conte philosophique par rapport à un simple discours argumentatif ?
- Qu'avez-vous à dire des rapports qu'entretiennent Dom Juan et Sganarelle dans cette comédie ?
- Les rapports entre maîtres et valets dans le théâtre du XVIIIe siècle sont-ils faits d'opposition, de confrontation, ou de complicité ?
- Par rapport à la poétique des Fleurs du Mal, commentez ce propos : Un sonnet ne se fait pas avec des idées mais avec des mots ?
- En quoi les rapports qui s'établissent entre maîtres et valets dans la comédie du XVIIe siècle que vous avez étudiée permettent-ils au dramaturge d'«arracher les masques » ?
- d'après Anouilh, la caractéristique essentielle de la tragédie réside dans le rapport entre les héros et la fatalité. Après avoir expliqué cette conception, vous direz si elle vous parait juste ?
- Après la lecture de ce corpus, un des poèmes vous paraît correspondre plus particulièrement à ce que vous appréciez dans la poésie. Vous l'adressez à une revue de poésie et dans votre lettre d'accompagnement vous en défendez l'intérêt par rapport à d'autres types de poèmes. Vous rédigez cette lettre ?
- Ecrire une fable par rapport à une morale déjà donnée. La morale est "mieux vaut être seul que mal accompagné". Pour commencer cette fable j'ai décidé de prendre comme animal l'âne et le singe et j'ai fait la fable mais je ne suis pas sûre d'être dans le
- Après la lecture de ce corpus, un des poèmes vous paraît correspondre plus particulièrement à ce que vous appréciez dans la poésie. Vous l'adressez à une revue de poésie et dans votre lettre d'accompagnement vous en défendez l'intérêt par rapport à d'autres types de poèmes. Vous rédigez cette lettre ?
- Ecrire une fable par rapport à une morale déjà donnée. La morale est "mieux vaut être seul que mal accompagné". Pour commencer cette fable j'ai décidé de prendre comme animal l'âne et le singe et j'ai fait la fable mais je ne suis pas sûre d'être dans le sujet ?
- « Quel roman ! » dit-on d'une histoire invraisemblable. Et quand on veut isoler un fait réel des commentaires superflus qu'il a suscités, on ajoute parfois : « tout le reste est littérature ». Est-ce à dire que l'oeuvre littéraire n'entretient aucun rapport avec la vie réelle ?
- Montrer qu'en dépit de leur apparente diversité tous les grands ouvrages de Rousseau se rapportent à une thèse unique : « Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme. » ?
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« Pour connaître quelqu'un vraiment, il ne faut pas le connaître seulement comme ami, ou en dehors du travail ; il faut le connaître lorsqu'il est ton chef, lorsque tu en dépends ; là tu peux apprécier un homme et savoir exactement ce qu'il vaut. » Ainsi témoigne un ouvrier. Travailler deux heures par jour, Collectif ADRET Editions du Seuil. Votre expérience vous permet-elle de dire dans quelle mesure un rapport hiérarchique est révélateur des qualités humaines ?
« Pour connaître quelqu'un vraiment, il ne faut pas le connaître seulement comme ami, ou en dehors du travail ; il faut le connaître lorsqu'il est ton chef, lorsque tu en dépends ; là tu peux apprécier un homme et savoir exactement ce qu'il vaut. » Ainsi témoigne un ouvrier. Travailler deux heures par jour, Collectif ADRET Editions du Seuil. Votre expérience vous permet-elle de dire dans quelle mesure un rapport hiérarchique est révélateur des qualités humaines ? analyse de la citation Issue du...
- Etudiez ces réflexions d'Alfred de Vigny sur la vérité dans l'art : « L'ART ne doit jamais être considéré que dans ses rapports avec sa BEAUTE IDÉALE. Il faut le dire, ce qu'il y a de VRAI n'est que secondaire; c'est seulement une illusion de plus dont il s'embellit, un de nos penchants qu'il caresse. Il pourrait s'en passer, car la VÉRITÉ dont il doit se nourrir est la vérité d'observation sur la nature humaine, et non l'authenticité du fait. Les noms des personnages ne font rien à la chose. « L'IDÉE est tout. Le nom propre n'est rien que l'exemple et la preuve de l'idée. » (Cinq-Mars, Préface, 1826.) (C. A. Lettres, Jeunes Filles, 1946.) ?
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses rapports de perspective. Le vrai formalisme est silence. De même, le réalisme ne peut se passer d'un minimum d'interprétation et d'arbitraire. La meilleure des photographies trahit déjà le réel, elle naît d'un choix et donne une limite à ce qui n'en a pas. L'artiste réaliste et l'artiste formel cherchent l'unité où elle n'est pas, dans le réel à l'état brut, ou dans la création imaginaire qui croit expulser toute réalité. Au contraire, l'unité en art surgit au terme de la transformation que l'artiste impose au réel. Elle ne peut se passer ni de l'une ni de l'autre. Cette correction, que l'artiste opère par son langage et par une redistribution d'éléments puisés dans le réel, s'appelle le style et donne à l'univers recréé son unité et ses limites. » (L'Homme révolté, pp. 332-333.) ?