898 résultats pour "grand+place"
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On a dit que Polyeucte était la moins cornélienne des tragédies de Corneille. Dans quelle mesure pouvez-vous souscrire à ce jugement ?
INTRODUCTION Parmi les grandes tragédies cornéliennes, Polyeucte occupe une place à part et les contemporains pouvaient à bon droit se trouver déroutés par une œuvre où l'auteur renouvelait aussi largement sa manière. Sans doute le roman de Pauline et de Sévère offrait-il à nouveau aux dévots de Corneille, après celui de Rodrigue et de Chimène, un exemple de ces intrigues d'amour chevaleresque et malheureux où se complaisaient, à l'époque, tant d'imaginations. Mais ni le style, ni l'évocation du...
- Boris Vian, L'Ecume des jours, (le mariage de Colin et Chloé).
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Comment faire un commentaire composé ?
Dissertation et commentaire composé posent les mêmes problèmes, dès lors que l'on passe du stade de l'élaboration à celui de la rédaction. Une fois établi le plan détaillé qui servira de charpente au développement, vous vous attacherez à rédiger entièrement sur une feuille de brouillon l'introduction et la conclusion de votre travail. Vous recopierez ensuite au propre l'introduction et, après avoir laissé un blanc, attaquerez directement au propre le développement. Le temps imparti à l'examen ne...
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Voltaire, Candide, chapitre 18. CE QU'ILS VIRENT DANS LE PAYS D'ELDORADO
Voltaire, Candide, chapitre XVIII, Ce qu'ils virent dans le pays d'Eldorado [1]. Après cette longue conversation, le bon vieillard fit atteler un carrosse à six moutons, et donna douze de ses domestiques aux deux voyageurs pour les conduire à la cour. Excusez-moi, leur dit-il, si mon âge me prive de l'honneur de vous accompagner. Le roi vous recevra d'une manière dont vous ne serez pas mécontents, et vous pardonnerez sans doute aux usages du pays, s'il y en a quelques uns qui vous déplaisent. Ca...
- Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, Première partie, chapitre XIII.
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - Or voy-je bien qu'il faut vivre en servage
- Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes
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Quelles sont les conditions qui font qu’un élève peut se produire à la sortie de l’école d’une façon convenable ?
QUESTIONS Quelles sont les conditions qui font qu’un élève peut se produire à la sortie de l’école d’une façon convenable ? Cause matérielle : on produit l’élève à partir d’un certain matériau : - le savoir exemples : apprendre à faire des résumés, connaître le règne de Louis XIV => Tous les savoirs ne se travaillent pas de la même manière, on peut faire des distinctions. Certains savoirs ne se construisent pas, certains sont plus élaborés (« construire son savoir » dépend de la natu...
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- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - L'Oyseau dont l'Arabie a fait si grande feste
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PIERRE CORNEILLE
Corneille naît à Rouen, rue de la Pie. Il ne quitte cette maison pour habiter Paris qu'en 1662, plus de cinquante-cinq ans après sa naissance. Après des études chez les jésuites, il obtient sa licence de droit à dix-huit ans. En 1628, son père lui achète l'office d'avocat du roi au siège des Eaux et Forêts et à l'amirauté de France à Rouen. Dès l'année suivante, il donne une comédie, Mélite, puis une tragi-comédie, Clitandre ou l'Innocence délivrée, et, entre 1631 et 1634, à nouveau quatre coméd...
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Jean Cocteau
Jean Cocteau Dès le 4 avril 1908, une première lecture des poèmes de Jean Cocteau est organisée dans un théâtre parisien. Immédiatement le poète, qui n'a pas vingt ans, est admiré. Il est reçu dans les salons parisiens. Il fréquente aussi bien Anna de Noailles qu'Edmond Rostand, Léon Daudet que Marcel Proust. En 1912 il compose pour Diaghilev un argument de ballet, Le Dieu bleu. Un soir, sur la place de la Concorde, le créateur des Ballets russes, qui redoute que le jeune poète ne perde son tal...
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Blanc est le vestement du grand Pere sans age
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Pepita
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Le trouble-fête
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'étang d'un grand coeur...
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Renan a dit, dans son Discours de réception à l'Académie française : « Le génie de Victor Hugo a sonné chaque heure de notre siècle, donné un corps à chacun de nos rêves, des ailes à chacune de nos pensées.» En vous appuyant sur les pages du grand poète que vous connaissez le mieux, vous essaierez de démontrer la justesse de cette phrase.
Renan a dit, dans son Discours de réception à l'Académie française : « Le génie de Victor Hugo a sonné chaque heure de notre siècle, donné un corps à chacun de nos rêves, des ailes à chacune de nos pensées.» En vous appuyant sur les pages du grand poète que vous connaissez le mieux, vous essaierez de démontrer la justesse de cette phrase. Avant-propos: L'ambition maîtresse de Victor Hugo a été d'être « l'écho sonore » de son siècle. Ce mot aide à comprendre le sens qu'il faut attacher à la formu...
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- Victor de LAPRADE (1812-1883) (Recueil : Symphonies et poèmes) - A un grand arbre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Jeanne dort
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ARCHITECTURE: L'avenue des Champs-Elysées (XVIIe siècle)
L'avenue des Champs-Elysées (XVIIe siècle) Les débuts d'une voie triomphale. Au début du XVIIe siècle, entre les hauteurs de Chaillot et le jardin des Tuileries, s'étend une plaine marécageuse que cultivent, par endroits, quelques maraîchers. En 1616, Marie de Médias y fait ouvrir le Cours-la-Reine, au-delà de la lande qui deviendra la place de la Concorde. La promenade, plantée de quatre rangées d'ormes et formée d'une allée centrale de 20 m de large et de contre-allées, longe la Seine sur 1500...
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Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes.
Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes. Le narrateur reconduit à la maison sa grand-mère qui vient d'être victime d'une congestion cérébrale durant une promenade aux Tuileries. Le soleil déclinait ; il enflammait un interminable mur que notre fiacre avait à longer avant d'arriver à la rue que nous habitions, mur sur lequel l'ombre, projetée par le couchant, du cheval et de la voiture, se détachait en noir sur le fond rougeâtre, comme un char funèbre dans une terre cuite de Pompéi. Enfin nous arriv...
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Naissance des littératures nationales
Naissance des littératures nationales Le domaine des lettres médiévales, dans son évolution, ressemble un peu à l'empire de Charlemagne : un grand corps épique, une sorte de cosmos d'où, avec le temps, émergent des continents distincts, ayant chacun leur tracé et leurs frontières. A mesure que se différencient les peuples et les parlers locaux, de la Saxe aux Pyrénées, naît le besoin d'exprimer dans la langue de tous les jours ce que le latin dit " de décadence " avait exprimé jusque-là. C'est a...
- Joseph de Maistre, Lettre à sa fille, 1808.
- Le théâtre divertit, fait rêver, représente la société et pose de grands problèmes humains. Ces fonctions sont-elles réellement compatibles ?
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SAINTE-BEUVE
SAINTE-BEUVE (18o4-1869) Sainte-Beuve se mêle d'abord au mouvement romantique; il tente sa chance comme poète lyrique et comme romancier, mais ne parvient pas à s'imposer au premier rang. Il renonce alors aux oeuvres d'imagination pour exercer le métier de critique. Amateur d'âmes et d'idées, il conquiert une place, grâce au prestige de son art, parmi les grands créateurs de sa génération, dont il jalousa longtemps la gloire. LE POÈTE. Charles-Augustin Sainte-Beuve, né à Boulogne, mais parisien...
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Rousseau avait critiqué durement les fables De la Fontaine les jugeant trop complexes et utilisant des exemples mal adaptés tandis que Erasme avait applaudit l'efficacité de L'apologue. Quelle est, selon vous, la portée éducative de L'apologue ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet oppose deux points de vue différents sur la finalité didactique de l'apologue : celui de Rousseau qui se présente comme sceptique à la portée didactique de la fable chez La Fontaine, et, celui d'Erasme qui, au contraire, applaudit son efficacité. La question posée interroge la portée éducative de l'apologue. L'apologue est un discours narratif, souvent allégorique, en vers ou en prose ayant une fonction démonstrative et une visée argumentative et ren...
- Musset, Lorenzaccio, Acte II, scène 2
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Montesquieu, Lettres persanes, lettre CX Lettre 110
Montesquieu, Lettres persanes, lettre CX Lettre 110 Rica à***. « Le rôle d'une jolie femme es t beauc o u p p l u s grave que l'on ne pens e: il n'y a rien de plus s érieux que c e qui s e p a s s e le matin à s a toilette, au milieu de s e s d o m e s tiques ; un général d'armée n'emploie pas plus d'attention à plac er s a droite, ou s on c orps de rés erve, qu'elle en met à pos ter une mouc he, qui peut manquer, mais dont elle es père ou prévoit le s u c c è s . Quelle gêne d'es prit, quelle...
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Jean Froissart
Jean Froissart 1333-vers 1401 Lorsqu'on pense aux chroniqueurs de notre Moyen Âge, un nom vient tout de suite de préférence et comme de luimême à l'esprit, celui de Jean Froissart, et c'est justice : non seulement sa Chronique est, de toutes, la plus étendue et celle qui a eu le plus de succès, celle qui a été représentée dans les bibliothèques seigneuriales par le plus grand nombre de manuscrits et les plus richement enluminés, mais encore aucun auteur n'a été au même degré que lui le fidèle in...
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Eschyle
Eschyle Eschyle est le seul des grands poètes grecs de l'âge classique qui ait vu de ses propres yeux la brillante victoire de la démocratie athénienne, à l'intérieur sur la tyrannie, à l'extérieur sur l'agression perse, et qui l'ait aidée de ses propres mains à la remporter. A vrai dire, Sophocle, alors âgé de seize ans, fut présent à Salamine, mais Hérodote et Euripide étaient encore enfants, et Thucydide et Socrate n'étaient pas encore nés. Eschyle a donc une place à part, non seulement à cau...
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Robert Musil
Robert Musil Quand le romancier autrichien Robert Musil mourut en exil à Genève, âgé de soixante-deux ans (on était en 1942), l'événement ne fit guère de bruit dans un monde où son nom était oublié ou inconnu, ses oeuvres presque introuvables. Peu auparavant, il avait écrit non sans amertume à l'un de ses rares amis d'exil, le pasteur zurichois Robert Lejeune : "Devoir attendre sa mort pour pouvoir vivre, quel tour de force ontologique !" Quelques années plus tard, un grand article du Times ina...
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Pascal mentionne souvent l'art de convaincre et l'art de persuader. Selon vous, l'argumentation mise en oeuvre par les philosophes des Lumières n'est-elle pas un savoir-faire, une technique du discours ou un véritable art littéraire comme le sont les grands genres littéraires ?
Pascal mentionne souvent l'art de convaincre et l'art de persuader. Selon vous, l'argumentation mise en oeuvre par les philosophes des Lumières n'est-elle pas un savoir-faire, une technique du discours ou un véritable art littéraire comme le sont les grands genres littéraires ? Analyse du sujet et problématisation : Le sujet envisage l'argumentation dans toute sa complexité et fixe une borne temporelle et culturelle : le siècle des Lumières et ses philosophes. L'argumentation est d'abord envisag...
- Montrer qu'en dépit de leur apparente diversité tous les grands ouvrages de Rousseau se rapportent à une thèse unique : « Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme. » ?
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« Une des grandes causes du malentendu entre pères et fils, éducateurs et élèves, tient aux Jugements différents que chaque génération commence à porter sur le concept de travail ».
Il est commode de chercher à réduire le malaise que peuvent éprouver les enfants devant leurs parents, ou les élèves face à leurs professeurs par quelques clichés de langue tels que « conflit des générations », « révolte juvénile », « crise d'identité », ou autre formule du même modèle qui traîne un peu partout depuis toujours. Ce que toutes ces expressions laissent entendre, c'est qu'il s'agit seulement d'une phase naturelle et transitoire de l'évolution d'un jeune. Certes parents et enfants se...
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"L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste de la politique, l'excitant essentiel de la gloire et des grandes amours, - l'origine d'une quantité de recherches et de méditations." (Valéry)
La condition mortelle de l'homme et la conscience qu'il en a l'invitent à repousser ces limites, ces entraves à son action. L'idée de mort, parce qu'elle est inexorable et représente un mystère insondable, ne déclenche pas un réflexe d'impuissance chez l'homme mais explique au contraire la plupart de ses activités. Ainsi Valéry, préfaçant le livre de James Frazer La Peur des morts écrit : « L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste...
- Quelle est la place de la famille dans les contes ?
- La Grande Misère de la France de Ivan Goll
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Derniers vers) - Sur une défunte
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Charles Péguy
C harles Péguy C e qui m'a plu tout de suite dans Péguy, quand j'ai regardé pour la première fois un livre de lui, c'est qu'il écrit comme on marche. O u peut-être comme on travaille de ses mains ? A han ahan. Son origine, peut-être ? Le père menuisier, la grand-mère rempailleuse de chaises. Là cadence est surtout binaire. 0 mère, ense/velie/hors du/premier/jardin Il arrive que l'attaque soit ternaire : C omme Dieu/ne fait rien mais le premier temps est comme le regard sur la route qu'il va fal...
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Classicisme au théâtre.
Classicisme au théâtre. La tragédie garde tout son prestige. Une multitude d'auteurs s'y essaient, mais la plus grande partie de leur production est médiocre. Selon le mot cruel de Victor Hugo, « sur le Racine mort le Campistron pullule ». Bien que l'imitation soit ici le principe essentiel, quelques innovations sont suggérées ou pratiquées. La Motte-Houdar rêve d'une tragédie affranchie des règles et l'abbé Trublet d'une tragédie en prose. Les tragédies de Crébillon (Atrée et Thyeste, Rhadamist...
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Anton Tchekhov
Anton Tchekhov "Je suis un prolétaire. Dans mon enfance, je vendais des chandelles dans notre boutique de Taganrog", écrit Tchekhov. Petit-fils d'un serf, fils d'un boutiquier, Tchekhov, en tant qu'homme, n'a rien d'un prolétaire, en tant qu'artiste, rien d'un écrivain prolétarien parlant au nom d'une classe et en faveur d'une classe. Tchekhov est avant tout un indépendant et un solitaire. Sa vie : se discipliner, s'affiner, comprendre et aimer son prochain, méditer sur la vie, apprendre à suppo...
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Béatrice
Béatrice vers 1265-vers 1290 L'histoire est trop connue pour être vraie. Un petit garçon de neuf ans rencontre à Florence une fillette de son âge. Jeune homme, il la croise de nouveau, dans la rue ; elle sourit. C'est tout. Elle en a épousé un autre ; bientôt, elle sera morte. Lui l'aime depuis l'enfance, l'aimera toujours. Comme il est poète, très grand poète, le plus grand, le seul grand poète selon ses dévots qui l'appellent l'Altissime, il fera de l'Aimée le centre, le soleil de son oeuvre,...
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Nocturne provincial
- Rousseau, Les Confessions, II - Portrait de Mme de Warens
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A propos du théâtre, Victor Hugo déclare : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains sur la scène, des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans la salle ».
Demande d'échange de corrigé de dupont pierre ([email protected]). Sujet déposé : SUJET : A propos du théâtre, Victor Hugo déclare : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains sur la scène, des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans...
- Théophile Gautier, Préface de Mademoiselle de Maupin (1835).
- Théophile Gautier (1811-1872), Préface de Mademoiselle de Maupin (1835)
- Stendhal, La Chartreuse de Parme.
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Pourquoi, dans les apologues, les personnages sont-ils parfois des animaux plutôt que des humains ? Quels intérêts y trouvent les auteurs ?
Sujet : Pourquoi, dans les apologues, les personnages sont-ils parfois des animaux plutôt que des humains ? Quels intérêts y trouvent les auteurs ? Définition : L'apologue est un type de narration à visée morale, philosophique ou didactique. Il s'agit d'une invention qui remonte à l'Antiquité. Son genre désigne aussi bien les fables que les contes philosophiques, l'utopie ou la parabole (etc.). L'apologue représente un outil assez puissant pour révéler des vérités et montrer le monde tel qu'il e...
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Pourquoi, dans les apologues, les personnages principaux sont-ils parfois des animaux plutôt que des humains ? Quel intérêt y trouvent les auteurs ?
Définition : L'apologue est un type de narration à visée morale, philosophique ou didactique. Il s'agit d'une invention qui remonte à l'Antiquité. Son genre désigne aussi bien les fables que les contes philosophiques, l'utopie ou la parabole (etc.). L'apologue représente un outil assez puissant pour révéler des vérités et montrer le monde tel qu'il est. De la sorte, les écrivains le considèrent au cours des siècles comme un instruments privilégié qui permet d'accompagner le texte d'une morale ex...
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Heinrich Heine
Heinrich Heine Écrivain allemand, il a vécu en France ; juif, il s'est toujours senti attiré par la figure du Christ ; socialiste, il s'est plu dans le luxe et la fantaisie ; amoureux passionné, il a été malheureux en amour ; poète, il a refusé de s'abandonner à l'inspiration ; sentimental et d'une sensibilité maladive, il a caché le fond de sa nature sous l'ironie et la blague - tout le destinait à rater sa vie et son œuvre. Le résultat ? un des monuments de la littérature universelle : Heinric...