Résultats pour "+quelque"
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Contr'amours) - Quelque lieu, quelque amour, quelque loi qui t'absente
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Quelque si doux espoir où ma raison s'appuie
- SUR QUELQUES NOTIONS PÉRIMÉES - ROBBE-GRILLET, Pour un nouveau roman
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans quelque ville morte, au bord de l'eau
- François de MALHERBE (1555-1628) - Quelques louanges nonpareiIles
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les roses) - Été : être pour quelques jours
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Quand Philis chaque jour inventait quelque outrage
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - De quelque autre sujet que j'écrive, Jodelle
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Quelques mots à un autre
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - J'estois prest d'encourir pour jamais quelque blasme
- Emmanuel DES ESSARTS (1839-1909) (Recueil : Poèmes de la révolution) - J'eusse été citoyen de quelque république
- Jacques TAHUREAU (1527-1555) - Contre quelques-uns qui le blamaient de suivre la poésie
- Dans l'extrême variété des oeuvres qu'on appelle « romans » que cherchez-vous : des personnages attachants, une histoire passionnante, l'évocation d'un milieu réel ou imaginaire, une incitation à la réflexion ou au rêve ou quelque autre intérêt ?
- QUELQUES CONSEILS EN COURANT SUR QUATRE ROUES - Joyce Mansour
- Commentez cette phrase de Ionesco : « Je ne fais pas de la littérature. Je fais quelque chose de tout à fait différent je fais du théâtre ».
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Il n'y a pas d'oeuvre rigoureusement impersonnelle, je n'en connais pas une qui ne nous livre quelque confidence sur la vie de son auteur et sur l'ambiance de son époque ?
L'IMPERSONNALITÉ · « Il n'Y a pas d'œuvre rigoureusement ùnpe:rsonnelle.•• En dépit des ·lois d'un genre ou des principes d'une ~le, je n'en connais pas une qui ne nous livre quelque confidence sur la vie de son auteur et sur l'ambiance de son épaque. » Par l'étude d'une œuvre à votre choix, vous illustrerezce juge. ment d'un critique contemporain. (Rennes) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Le sens e~•t clair et les deux grandes parties nettement indiquées : I. Confidences sur la çie de l'auteur. IL...
- Développer ce jugement de Fénélon: Ronsard n'avait pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie et pour dénouer notre versification naissante ?
- Le moraliste La Bruyère reproche quelque chose aux Grands dans le chapitre 9. Est-ce de se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas, ne sont plus, ou de ne plus être le mot « grand » ?
- Que faut-il entendre, selon vous, lorsque, de nos jours, on qualifie un paysage, une idée, un sentiment, une révolution ou un être de « romantique » ? Aimez-vous personnellement ce qui est « romantique ». Tentez de fonder votre définition et votre sentiment sur l'évocation précise de quelques exemples probants ?
- Dans le préambule des Confessions, Rousseau écrit : « et même s'il m'est arrivé d'employer quelque ornement indifférent, ce n'a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ». Peut-on justifier et apprécier cette pratique dans le cadre de l'autobiographie ou de la biographie ?
- Un critique a dit de Vigny: Cette pensée grave et profonde germa parfois en poèmes dont quelques-uns sont égaux à tous les chefs-d'oeuvres. Vous commenterez ce jugement et vous essaierez, en vous inspirant des poèmes que vous connaissez, de caractériser le talent et l'art de Vigny ?
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Développez ce jugement de Fénelon : « Ronsard n'avait pas tort, ce me semble de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie et pour dénouer notre versification naissante ».
Fénelon, dans un jugement sur Ronsard, loue le chef de la Pléiade de ses efforts pour enrichir notre langue, enhardir notre poésie, dénouer notre versification naissante. I. Critique de quelques expressions de Fénelon. Aujourd'hui que nous connaissons mieux l'importance du rôle joué par Ronsard et la valeur de son oeuvre, nous pouvons nous étonner de la tiédeur des éloges que lui décerne Fénelon (n'avait pas tort) et du soin qu'il prend de nous présenter son jugement comme une opinion strictemen...
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Examiner ce jugement de Chateaubriand sur le Génie du Christianisme: Maintenant, dans la supposition que mon nom laisse quelque trace, je le devrai au Génie du Christianisme. Sans illusion sur la valeur intrinsèque de l'ouvrage, je lui reconnais une valeur accidentelle: il est venu à son moment. qu'en pensez-vous ?
XIX 0 SI~CLB Examiner ce jugement de Chateaubriand sur le a Génie du Christianisme » : • Maintenant, dans la supposition que mon nom laisse quelque trace, je le devrai au Génie du Christianisme. Sans illusion sur la valeur intrinsèque de l'ouvrage, je lui reconnais une valeur accidentelle : il est venu à son moment. • (Mémoires d'Outre-Tombe.) • Ce fut au milieu des débris de nos temples que je publiai le • Génie du Christianisme "• dit Chateaubriand. C'est vrai, mais le Concordat venait d'êtr...
- Commentez : "À moins de rompre en quelque façon le pacte de solidarité qui le lie à l'oeuvre, le critique n'est capable que de paraphrase ou de pastiche (...) Ainsi, malgré notre désir de nous abîmer dans les profondeurs vivantes de l'oeuvre, nous sommes contraints de nous distancer d'elle pour pouvoir en parler."
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Un critique écrit : « l'oeuvre d'art n'offre jamais une copie minutieuse et servile de la réalité dont elle s'inspire... l'Art est simplification, interprétation, confession ». En vous appuyant sur quelques exemples précis, vous commenterez ce jugement.
INTRODUCTION La véritable oeuvre d'art porte toujours la marque du talent original qui l'a conçue et réalisée. Et la qualité de l'artiste se remarque d'abord par la manière dont il a, comme d'instinct, simplifié, stylisé le modèle qu'il avait sous les yeux. D'emblée il a su retenir les détails riches de signification. Par là son oeuvre n'est plus une copie mais une interprétation forte et suggestive. Dans cette oeuvre, enfin, il a mis beaucoup de lui-même, révélé certains aspects de sa personnal...
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Selon André Breton, un poème doit être une débâcle de l'intellect. Paul Valéry affirme au contraire: j'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité quelque chose de faible, que d'enfanter à la faveur d'une transe et hors de moi-même un chef d'oeuvre d'entre les plus beaux. Faut-il donc condamner totalement le surréalisme ?
INTRODUCTION C omme tout mouvement littéraire profondément novateur, le surréalisme sus cita de vives réactions d'hos tilité. Elles se manifestèrent avec d'autant plus de vigueur que les nouvelles théories esthétiques étaient plus déconcertantes . A insi, loin d'accepter avec A ndré Breton que le poème fût une « débâcle de l'intellect », P aul V aléry proclamait : «J'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité, quelque chose de faible, que d'enfanter à la f...
- Quelques soient les méthodes utilisées, le Narrateur s'assignera pour mission de traduire la séparation entre la conscience de soi et la conscience du monde (mais aussi leurs interférences) ainsi que l'activité immédiate de la vie mentale. Il devra faire en sorte que le monologue soit un mode de relation entre le héros et le monde, et de communication entre le héros et le lecteur. Michel Zéraffa, La Révolution romanesque, 1969. En quoi cette citation semble rendre compte de Combray et de Mrs Dalloway ?
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Un journaliste, féru de théâtre, déplore le manque de goût de ses contemporains pour ce genre littéraire. Il décide d'écrire, dans son hebdomadaire, un long article pour exhorter ses lecteurs à s'intéresser davantage aux pièces théâtrales de quelque siècle que ce soit. Vous rédigerez cet article qui développera les arguments incitatifs du journaliste. Exploitez le corpus et les oeuvres que vous avez lues ou vues.
Un journaliste, féru de théâtre, déplore le manque de goût de ses contemporains pour ce genre littéraire. Il décide d'écrire, dans son hebdomadaire, un long article pour exhorter ses lecteurs à s'intéresser davantage aux pièces théâtrales de quelque pièce que ce soit. Vous rédigerez cet article qui développera les arguments incitatifs du journaliste. Exploitez le corpus et les œuvres que vous avez lues ou vues. Dans votre article, vous devez vanter le théâtre, donner des arguments afin de persua...
- Gabriel-Joseph de Guilleragues, Lettres portugaises, Lettre V
- Pierre-Aimé Touchard écrivait dans une étude récente sur Molière : « l'auteur dramatique n'est auteur que parce qu'il est lui-même le théâtre d'un incessant conflit qu'il ne peut ni résoudre ni dépasser, et dont il essaye de se délivrer en l'objectivant, en le dépliant sous nos yeux. » Vous examinerez quelques exemples pour expliquer et au besoin discuter cette assertion.
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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit d...
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Vous illustrerez par l'étude d'une tragédie de Racine cette définition que La Bruyère donne du poème tragique : « Le poème tragique vous serre le coeur dès son commencement, vous laisse à peine dans tout son progrès la liberté de respirer et de vous remettre ; ou s'il vous donne quelque relâche, c'est pour vous replonger dans de nouveaux abîmes, dans de nouvelles alarmes. Il vous conduit à la terreur par la pitié ou, réciproquement, à la pitié par la terreur, vous mène par les larmes, par les sanglots, par l'incertitude, par l'espérance, par la crainte, par les surprises et par l'horreur jusqu'à la catastrophe. » ?
INTRODUCTION La valeur d'une pièce de théâtre se mesure d'abord à l'emprise qu'elle exerce sur les spectateurs. D'emblée elle doit susciter leur intérêt à l'égard des personnages et des problèmes auxquels ils se heurtent. Et au cours du déroulement de la représentation, cet intérêt doit aller grandissant jusqu'au dénouement. La tragédie de Phèdre répond pleinement à ces exigences. Dès le premier acte, elle nous émeut par l'évocation du drame intérieur d'Hippolyte et de Phèdre. Elle ne nous fait...
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«j'aime à suivre les règles, écrit quelque part Corneille, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet. »
Ce que vous savez de ses principales pièces vous paraît-il prouver que Corneille aime, comme il le dit, à suivre les règles ? Ne prend-il pas à chaque occasion des libertés avec elles? Dans quelle mesure ces libertés s'expliquent-elles par sa conception de la tragédie
?
«J'aime à suivre les règles, écrit quelque part Corneille, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet. » Ce que vous savez de ses principales pièces vous paraît-il prouver que Corneille aime, comme il le dit, à suivre les règles ? Ne prend-il pas à chaque occasion des libertés avec elles? Dans quelle mesure ces libertés s'expliquent-elles par sa conception de la tragédie? Corneille ne s'est jamais trouvé à l'aise dans le cadre étroit des tr...
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laissée la lecture de la Fontaine.
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laiss...
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Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujours un délire, à savoir l'inadéquation fondamentale du langage et du réel. Je disais à l'instant que le littérature est catégoriquement réaliste, en ce qu'elle n'a jamais que le réel pour objet de désir ; et je dirai maintenant, sans me contredire [...], qu'elle est tout aussi obstinément irréaliste ; elle croit sensé le désir de l'impossible. Roland Barthes, Leçon inaugurale prononcée le 7 janvier 1977 au Collège de France (Paris, Seuil, 1978). Vous commenterez et discuterez ces propos ?
« Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujo...
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BAUDELAIRE écrit dans son grand article sur Victor Hugo : Quand on se figure ce qu'était la poésie française avant qu'il apparût, et quel rajeunissement elle a subi depuis qu'il est venu, quand on imagine le peu qu'elle eût été s'il n'était pas venu, combien de sentiments mystérieux et profonds, qui ont été exprimés, seraient restés muets; combien d'intelligences il a accouchées, il est impossible de ne pas le considérer comme un de ces esprits rares et providentiels qui opèrent, dans l'ordre littéraire, le salut de tous, comme d'autres dans l'ordre moral, et d'autres dans l'ordre politique. Le mouvement créé par Victor Hugo se continue encore sous nos yeux. («Réflexions sur quelques-uns de mes contemporains », Revue fantaisiste, 15 juin 1861). Vous examinerez cette appréciation d'un créateur sur un autre créateur, en tenant compte du fait qu'un artiste en juge toujours un autre au nom de son esthétique personnelle. Le mouvement créé par Victor Hugo s'est-il continué longtemps après BAUDELAIRE ?
BAUDELAIRE écrit dans son grand article sur Victor Hugo : Quand on se figure ce qu\'était la poésie française avant qu\'il apparût, et quel rajeunissement elle a subi depuis qu\'il est venu, quand on imagine le peu qu'elle eût été s\'il n\'était pas venu, combien de sentiments mystérieux et profonds, qui ont été exprimés, seraient restés muets; combien d\'intelligences il a accouchées, il est impossible de ne pas le considérer comme un de ces esprits rares et providentiels qui opèrent, dans l\'o...
- Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, cinquième promenade