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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.

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Voltaire dit : « Je veux qu'un contre soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » Le Taureau blanc. En effet, Voltaire définit le conte comme un récit d'aventures imaginaires mais qui donne l'apparence de la vérité, il souhaite conter de façon amusante des faits qui s'inspirent directement de la réalité et qui s'en éloignent peu. On peut dire ainsi que Candide rempli la fonction d'apologue, texte amusant exposant une vérité morale. En outre nous pouvons nous demander de quelle manière l'oeuvre de Candide rempli-t-elle cette fonction, et notamment comment, correspond-t-elle à la définition de Voltaire énoncée auparavant. C'est ainsi qu'après avoir vu que Candide est une oeuvre distrayante nous envisagerons que c'est aussi et par ailleurs une oeuvre didactique.

« Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve.

Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant.

Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire.

» - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc. FRANÇAIS : DISSERTATION Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve.

Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant.

Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire.

» Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc. Voltaire dit : « Je veux qu'un contre soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve.

Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant.

Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire.

» Le Taureau blanc.

En effet, Voltaire définit le conte comme un récit d'aventures imaginaires mais qui donne l'apparence de la vérité, il souhaite conter de façon amusante des faits qui s'inspirent directement de la réalité et qui s'en éloignent peu.

On peut dire ainsi que Candide rempli la fonction d'apologue, texte amusant exposant une vérité morale. En outre nous pouvons nous demander de quelle manière l'oeuvre de Candide rempli-t-elle cette fonction, et notamment comment, correspond-t-elle à la définition de Voltaire énoncée auparavant.

C'est ainsi qu'après avoir vu que Candide est une oeuvre distrayante nous envisagerons que c'est aussi et par ailleurs une oeuvre didactique. En premier lieu, Voltaire définit le conte comme une oeuvre fondé sur la vraisemblance et la réalité, il se refuse à conter de longues histoires merveilleuses reposant sur l'extravagance et le rêve.

Il donne ainsi une définition particulière du conte, qui par ses nombreuses vertus donne naissance à un nouveau genre, le conte philosophique, et dans notre cas, Candide fait parti de ce registre. De manière générale, le premier chapitre d'une oeuvre porte en germes les thèmes et les procédés récurrents de l'oeuvre.

Dans Candide, le chapitre d'ouverture évoque une situation qui servira de référence tout au long du récit. A ce titre, il est important de voir comment ce chapitre remplit sa fonction informative et comment se mettent en place dès la première page, les lignes de force du conte.

La construction de l'histoire, le schéma narratif du conte est respecté dans ce récit ; l'incipit expose l'équilibre de la situation initiale brisé par un élément perturbateur, pour trouver enfin un nouvel équilibre dans le dernier chapitre, la situation finale.

Et tout au long du conte le « héros » va surmonter un certain nombre de péripétie dont il se sortira à chaque fois de façon exemplaire.

De la même manière que le conte traditionnel, l'oeuvre est introduite par la formule introductive, « Il y avait en Vestphalie » (l.1) ; l'imparfait utilisé ici est un imparfait duratif, ce qui exprime une certaine volonté de ne pas situer l'action précisément, de manière générale les repères spatio-temporels sont vagues.

De ce fait, le lecteur sait déjà qu'il s'agit d'un conte se demande ce qu'il va se passer.

Tout comme dans le conte traditionnel, Voltaire donne des noms porteurs de sens à ses personnages, en effet, Candide de son étymologie signifie Blanc, ce qui fait référence à une page blanche où il est possible d'inscrire quelque chose, on verra que de son voyage initiatique Candide ressortira de ses périples plus fort et se sera forgé sa propre philosophie ; son patronyme est associé à la candeur, il fait référence à un garçon simple d'esprit, naïf.

Aussi, Pangloss, signifie bavard, il parle trop et incarne le raisonnement faux.

Comme par exemple, Cendrillon, où encore le Petit Poucet, où l'intérêt de son nom réside dans sa petite taille. Les héros de Voltaire sont parés de traits de caractère enviables, Candide, donc, est « un jeune garçon à qui la nature avait donné les moeurs les plus douces ».

Le Schéma du récit en lui-même s'apparente au conte, l'histoire débute dans un château, la famille du Baron est aristocratique, Candide est amoureux de la « princesse » et désigné comme indigne de sa bien aimé il se voit chassé du paradis de Thunder-ten-tronckh ; le héros va parcourir des kilomètre pour retrouver sa dulcinée et l'épouser enfin ; les péripéties qui constituent le récit s'apparente également au conte : rencontre avec d'autres personnages très diversifiés, de haut rang très souvent, découverte de la plus grande richesse avec une constante forme d'exagération, proposant une vision élogieuse du lieu : « L'Eldorado » présenté de façon utopique dans le chapitre dix-huit.

Les lieux sont présentés ainsi comme de véritables édens, les personnages évoluent dans un univers merveilleux où le temps n'a pas d'effet sur eux, ni les épreuves qu'ils traversent, Pangloss ressuscite, et Candide semble le même tout au long de son voyage. Les lieux immuables et hors de l'espace temps, et le schéma narratif du récit tiennent du conte traditionnel. Notamment, la description des personnages. Les personnages du récit sont importants car ce sont eux qui vont guider Candide dans sa quête initiatique du progrès, pour qu'il se forge sa propre philosophie. Tout d'abord la famille du baron, elle est surévaluée et leur puissance repose sur l'apparence de la richesse et dans le titre en lui-même.

Voltaire attribue des détails sans importance à la puissance des Barons, en utilisant des rapprochements faussement logiques, il crée une relation de cause à effet entre la puissance du baron et une des caractéristiques de son château, il associe le poids de la baronne avec sa considération, et définit Cunégonde comme une denrée consommable de part ses vertus physionomiques.

Cependant ils apparaissent comme des personnages enviables et importants, leur mode de vie sera le modèle reprit tout au long du récit.

Ensuite Pangloss. »

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