Résultats pour "certains"
- Julien Gracq compare volontiers au sentiment amoureux la prédilection qu'il porte à certaines oeuvres. Il écrit par exemple : « Le Rouge et le Noir a été en littérature mon premier amour, sauvage, ébloui, exclusif, et tel que je ne peux le comparer à aucun autre ». Certaines oeuvres littéraires ont-elles été pour vous l'occasion d'expériences aussi intenses ?
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : L'art poétique) - Il est certains esprits...
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Si la foi plus certaine en une âme non feinte
- Vous illustrerez et discuterez cette opinion de René Huyghe, en vous fondant sur votre expérience personnelle des oeuvres littéraires ou artistiques : « L'oeuvre d'art n'est pas un simple miroir passif, elle joue dans notre psychologie un rôle agissant. Les images créées par l'art remplissent dans notre vie deux rôles très différents et presque opposés : tantôt elles y insinuent des manières de sentir et de penser, nous les imposent; tantôt, elles nous libèrent, au contraire, de certaines obsessions, de certaines forces qui travaillaient notre inconscient. ».
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Commentez les propos de Proust sur le Beau en littérature : Si l'on cherche ce qui fait la beauté absolue de certaines choses, on voit que ce n'est pas la profondeur, ou telle ou telle autre vertu qui semble éminente. Non, c'est une espèce de fondu, d'unité transparente où les choses, perdant leur premier aspect de choses sont venues se ranger les unes à côté des autres dans une espèce d'ordre, pénétrées de la même lumière. Je suppose que c'est ce qu'on appelle le vernis des peintres ?
Commentez les propos de Proust sur le Beau en littérature : Si l'on cherche ce qui fait la beauté absolue de certaines choses, on voit que ce n'est pas la profondeur, ou telle ou telle autre vertu qui semble éminente. Non, c'est une espèce de fondu, d'unité transparente où les choses, perdant leur premier aspect de choses sont venues se ranger les unes à côté des autres dans une espèce d'ordre, pénétrées de la même lumière. Je suppose que c'est ce qu'on appelle le vernis des peintres ? Analyse...
- Un certain nombre d'oeuvres littéraires ou cinématographiques mettent en scène des personnages marginaux.
- « Le genre parodie/pastiche [...] suppose une certaine compétence du lecteur comme condition du pacte de lecture. » Expliquez cette affirmation ?
- Pierre REVERDY: La poésie n'est certainement pas dans les choses...
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Les complaintes) - Complainte sur certains ennuis
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Les complaintes) - Complainte d'un certain dimanche
- Claude d' ESTERNOD (1592-1640) - L'ambition de certains courtisans nouveaux venus
- L'apparition du poème en prose a soulevé beaucoup de réticences, certains ont meme parlé à son sujet d'aveu d'impuissance. Que pensez vous de ce point de vue ?
- Considèrent-ils que, d'une certaine façon, le passé est (ou peut être) présent ou que l'homme ne vit pas que dans le présent ? Qu'en pensez-vous ?
- Certains ont pu considérer les Confessions comme une oeuvre sombre. Votre lecture des quatre premiers livres de cet ouvrage vous conduit-elle à partager ce point de vue ?
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Certains critiques préfèrent en littérature le 16e siècle au 17e; ils le trouvent plus riche, plus libre, plus séduisant. Dites votre avis ?
Le XVIe siècle est certainement l'un des plus féconds et dès plus intéressants de notre littérature. C'est l'époque des initiatives généreuses et des grandes audaces. La pensée antique retrouvée dans les chefs-d'œuvre latins et grecs mieux connus avait fait croire à une sorte de renaissance de l'esprit humain. Aussi voit-on chez les auteurs de ce temps une spontanéité, une richesse, une exubérance, une joie de vivre et de penser qu'on ne retrouvera plus au même degré plus tard. On comprend le se...
- Dans le domaine de la réflexion morale, certains auteurs privilégient l'essai et le discours. Selon vous, ces genres sont-ils les plus efficaces pour défendre un point de vue ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les textes que vous avez lus et étudiés ?
- Un certain nombre d'oeuvres littéraires mettent en scène des personnages marginaux (mauvais garçons, courtisanes aussi bien que l'aventurier ou le solitaire par choix). En vous appuyant sur des exemples précis ce qui fait leur marginalité et comment à travers eux la société est mise en question
- Analysant la complexité de la pensée de Camus sur la religion, Marcel Mélançon conclut : La position la plus honnête (...) est certainement celle qui prend la pensée de Camus là où elle s'est arrêtée : entre le OUI et le NON. On ne peut pas dire qu'il soit athée, puisqu'il a le sens du sacré, on ne peut pas non plus affirmer qu'il soit chrétien puisqu'il l'a refusé. Expliquez et critiquez cette réflexion ?
- Montherlant écrit dans ses Notes de Théâtre (Théâtre, Bibliothèque de la Pléiade, p. 1075) : « Une pièce de théâtre ne m'intéresse que si l'action extérieure, réduite à la plus grande simplicité, n'y est qu'un prétexte à l'exploration de l'homme; si l'auteur s'y est donné pour tâche non d'imaginer et de construire mécaniquement une intrigue, mais d'exprimer avec le maximum de vérité, d'intensité et de profondeur un certain nombre de mouvements de l'âme humaine. » Expliquez et discutez ?
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Dans la préface d'une de ses tragédies, Racine prétend « avoir suivi l'Histoire avec beaucoup de fidélité ». Certains critiques se sont plu, au contraire, à retrouver dans ses pièces un reflet de son époque.
En faisant la part de la vérité historique et de l'actualité dans le théâtre de Racine, vous montrerez qu'il se recommande surtout par sa valeur générale et humaine.
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Dans la préface d'une de ses tragédies, Racine prétend « avoir suivi l'Histoire avec beaucoup de fidélité ». Certains critiques se sont plu, au contraire, à retrouver dans ses pièces un reflet de son époque. En faisant la part de la vérité historique et de l'actualité dans le théâtre de Racine, vous montrerez qu'il se recommande surtout par sa valeur générale et humaine. LES GRANDES LIGNES DU PLAN Les trois points essentiels sont nettement indiqués. Mais les sous-parties? Le plan précédent, sans...
- En vous référant à des exemples précis, vous commenterez et discuterez ces réflexions : « Au nom d'un matérialisme de la lettre, certains ont vidé la poésie de tout rapport avec l'être et avec la matière. Ils se sont adonnés aux glissements intensifs de la chaîne signifiante, où se perdent de vue les signifiés. Moyennant quoi, leur écriture est devenue parfois illisible, et ils ont contribué à détourner les lecteurs de la poésie. La lisibilité d'un poème se fonde en effet sur un double rapport des mots qui le composent avec l'horizon interne du texte et avec l'horizon externe du monde. Se priver de l'un de ces deux horizons, c'est s'exposer soit au réalisme, soit à l'hermétisme ». (Michel Collot, L'Horizon fabuleux, Librairie José Corti, 1988, p. 214) ?
- L'écrivain contemporain, Claude Roy écrit dans Défense de le Littérature (1968) : Certains esprits refusent le roman. Ils y voient une amusette, un gaspillage de force. Ils trouvent la vie (ou l'Histoire) plus riche en histoire, la science plus excitante et que la philosophie donne mieux à penser. Vous direz, en vous appuyant sur les textes du corpus, sur les romans que vous avez étudiez et sur vos lectures personnelles ce que vous pensez de ce jugement sur les romans rapporté par Claude Roy.
- Que pensez-vous de ce jugement porté en 1859 par Baudelaire sur le réalisme : « Dans ces derniers temps nous avons entendu dire de mille manières différentes : « Copiez la nature; ne copiez que la nature. Il n'y a « pas de plus grande jouissance ni de plus beau triomphe « qu'une copie excellente de la nature. » Et cette doctrine, ennemie de l'art, prétendait être appliquée non seulement à la peinture, mais à tous les arts, même au roman, même à la poésie. A ces doctrinaires si satisfaits de la nature un homme imaginatif aurait certainement eu le droit de répondre : « Je trouve inutile et fastidieux « de représenter ce qui est, parce que rien de ce qui est « ne me satisfait. La nature est laide, et je préfère les « monstres de ma fantaisie à la trivialité positive. » (Curiosités esthétiques. Salon de 1859, Édition de la Pléiade, p. 764.) ?