1251 résultats pour "saint+jean+"
- « Un personnage n'est jamais qu'un morceau intime de nous-même, et toute oeuvre, quelle qu'elle soit, est une confession qui subit une métamorphose ». Pierre Jean Jouve, Commentaires, Mercure de France, 1950.
- Traduction: Jean de Joinville - Vie de Saint Louis
- Guillaume DES AUTELZ (1529-1581) (Recueil : Amoureux Repos) - Du nom de sa Sainte, imitation de Pétrarque
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THEATRE & CINEMA: Jean-Philippe Rameau (1683 - 1764)
Jean-Philippe Rameau (1683 - 1764) Celui qui fut "le compositeur de la chambre du roi" (Louis XV) composa essentiellement de la musique pour clavecin et pour la scène. Mais il fut également un grand théoricien de la musique. De la théorie au clavecin. Né à Dijon, dans une famille de musiciens, Jean-Philippe Rameau eut un unique professeur, son père, et il travailla en semi-autodidacte tant pour la théorie que pour la composition. Après un séjour à Milan, il fut maître de chapelle à Avignon (1702...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Curé et le Mort
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La Généreuse
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Or qu'il soit de vivre ...
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Le XXe siècle réintroduit les mythes dans le théâtre. Jean Cocteau choisit de réécrire le mythe d'Oedipe dans une tragédie moderne : La Machine Infernale. Quel est l'intérêt d'actualiser le mythe et la tragédie à l'époque contemporaine ?
Le XXe siècle réintroduit les mythes dans le théâtre. Jean Cocteau choisit de réécrire le mythe d'Oedipe dans une tragédie moderne : La Machine Infernale. Quel est l'intérêt d'actualiser le mythe et la tragédie à l'époque contemporaine ? La Machine infernale est une pièce surréaliste de Jean Cocteau, rédigée en 1934. Elle se fonde sur Œdipe roi de Sophocle. 1934 : après la Première Guerre Mondiale, avant la Seconde (mais un an après la montée au pouvoir d'Hitler). Au XXe siècle, de nombreux aute...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
Jean de SPONDE, « Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve ». Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve Qui traîne lentement les ondes dans la mer, Sans que les Aquilons le fassent écumer Ni bondir, ravageur, sur les bords qu'il abreuve. Et contemplant le cours de ces maux que j'épreuve, Ce fleuve, dis-je alors, ne sait que c'est d'aimer ; Si quelque flamme eût pu ses glaces allumer, Il trouverait l'amour ainsi que je le treuve. S'il le sentait si bien, il aurait plus de flots, L'Amou...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Je sens dedans mon âme une guerre civile
Jean de SPONDE, « Je sens dedans mon âme une guerre civile ». 1. Je sens dedans mon âme une guerre civile, 2. D'un parti ma raison, mes sens d'autre parti, 3. Dont le brûlant discord ne peut être amorti 4. Tant chacun son tranchant l'un contre l'autre affile. 5. Mais mes sens sont armés d'un verre si fragile 6. Que si le coeur bientôt ne s'en est départi 7. Tout l'heur vers ma raison se verra converti, 8. Comme au parti plus fort, plus juste et plus utile. 9. Mes sens veulent ployer sous ce pes...
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Corbeau et le Renard
Jean de La Fontaine, Les Fables, « Le Corbeau et le Renard ». 1. Maître Corbeau, sur un arbre perché, 2. Tenait en son bec un fromage. 3. Maître Renard, par l'odeur alléché, 4. Lui tint à peu près ce langage : 5. « Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau. 6. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! 7. Sans mentir, si votre ramage 8. Se rapporte à votre plumage, 9. Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois ». 10. A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; 11. Et pour montrer sa...
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Et maintenant nuit ...
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PEINTURE: Jean-Jacques Waltz, dit Hansi (1873-1951)
Jean-Jacques Waltz, dit Hansi (1873-1951) A l'assaut du pangermanisme. Jean-Jacques Waltz naît à Colmar où son père est conservateur du musée d'Unterlinden. Depuis 1871, l'Alsace est devenue allemande et Hansi, que sa famille élève dans le culte du particularisme alsacien, ne tarde guère à se révolter contre les tentatives de germanisation que font subir aux écoliers les professeurs allemands. «Mon séjour au lycée de Colmar compte parmi les plus mauvais souvenirs de ma vie, dira-t-il ; les rigue...
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Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La solitude
Marc-Antoine Girard, sieur de Saint-Amant, « La solitude ». 1. Ô ! que j'aime la solitude ! 2. Que ces lieux sacrés à la nuit, 3. Eloignés du monde et du bruit, 4. Plaisent à mon inquiétude ! 5. Mon Dieu! Que mes yeux sont contents 6. De voir ces bois qui se trouvèrent 7. A la nativité du temps, 8. Et que tous les Siècles révèrent, 9. Etre encore aussi beaux et verts, 10. Qu'aux premiers jours de l'Univers ! 11. Que j'aime à voir la décadence 12. De ces vieux châteaux ruinés, 13. Contre qui les...
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Hector de SAINT-DENYS GARNEAU (1912-1943) (Recueil : Les solitudes) - Ma maison
Hector de SAINT DENYS GARNEAU, Les Solitudes, « Ma maison ». 1. Je veux ma maison bien ouverte, 2. Bonne pour tous les miséreux. 3. Je l'ouvrirai à tout venant 4. Comme quelqu'un se souvenant 5. D'avoir longtemps pâti dehors, 6. Assailli de toutes les morts 7. Refusé de toutes les portes 8. Mordu de froid, rongé d'espoir 9. Anéanti d'ennui vivace 10. Exaspéré d'espoir tenace 11. Toujours en quête de pardon 12. Toujours en chasse de péché. Poète Hector de Saint-Denys Garneau (1912-1943) : poète...
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Moïse sauvé
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée
Jean de SPONDE, « Si c est dessus les eaux que la terre est pressée ». 1. Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée, 2. Comment se soutient-elle encor si fermement, 3. Et si c'est sur les vents qu'elle a son fondement, 4. Qui la peut conserver sans être renversée ? 5. Ces justes contrepoids qui nous l'ont balancée 6. Ne penchent-ils jamais d'un divers branlement ? 7. Et qui nous fait solide ainsi cet élément, 8. Qui trouve autour de lui l'inconstance amassée ? 9. Il est ainsi, ce corps...
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Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - À beaucoup de danger est sujette la fleur
Jean-Baptiste Chassignet, Mespris de la vie et consolation contre la mort, « À beaucoup de danger est sujette la fleur ». 1. À beaucoup de danger est sujette la fleur, 2. Ou l'on la foule aux pieds ou les vents la ternissent, 3. Les rayons du soleil la brûlent et rôtissent, 4. La bête la dévore, et s'effeuille en verdeur : 5. Nos jours entremêlés de regret et de pleur 6. À la fleur comparés comme la fleur fleurissent, 7. Tombent comme la fleur, comme la fleur périssent, 8. Autant comme du froid...
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) - Le beau souleil, le jour saint Valentin
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Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Plainte sur la mort de Sylvie
Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT, « Plainte sur la mort de Sylvie ». 1. Ruisseau qui cours après toi-même 2. Et qui te fuis toi-même aussi, 3. Arrête un peu ton onde ici 4. Pour écouter mon deuil extrême. 5. Puis, quand tu l'auras su, va-t'en dire à la mer 6. Qu'elle n'a rien de plus amer. 7. Raconte-lui comme Sylvie, 8. Qui seule gouverne mon sort, 9. A reçu le coup de la mort 10. Au plus bel âge de la vie, 11. Et que cet accident triomphe en même jour 12. De toutes les forces d'Amour. 13. L...
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - A ma mère
- Charles FONTAINE (1515-158x) - Chant sur la naissance de Jean, second fils de l'auteur
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La poésie française contemporaine
La poésie française contemporaine La poésie, tout en étant dominée par la permanence poétique apportée par les auteurs qui ont commencé à publier avant la Seconde Guerre mondiale, comme René Char, Henri Michaux, Saint-John Perse ou encore Aragon, fait preuve dans les années 60 et 70 d'une belle vitalité. Dresser un panorama de la poésie française de ces trente dernières années ne saurait donner une vision autre que subjective et lacunaire. La multiplicité des revues et des maisons d'éditions mal...
- Thérèse Martin, dite Sainte THÉRÈSE DE LISIEUX (1873-1897) (Recueil : Poésies) - Mon Ciel à moi !
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Corbeau voulant imiter l'Aigle
Jean de La Fontaine, Les Fables, « Le Corbeau voulant imiter l'Aigle ». 1. L'Oiseau de Jupiter enlevant un mouton, 2. Un Corbeau témoin de l'affaire, 3. Et plus faible de reins, mais non pas moins glouton, 4. En voulut sur l'heure autant faire. 5. Il tourne à l'entour du troupeau, 6. Marque entre cent Moutons le plus gras, le plus beau, 7. Un vrai Mouton de sacrifice : 8. On l'avait réservé pour la bouche des Dieux. 9. Gaillard Corbeau disait, en le couvant des yeux : 10. Je ne sais qui fut ta...
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Jean-Baptiste Antoine Suard
Jean-Baptiste Antoine Suard 1733-1817 Collaborateur du Journal étranger (1754), de la Gazette littéraire de l'Europe, de la Gazette de France, des royalistes Nouvelles politiques sous le Directoire, du Publiciste du 18 Brumaire à 1810, des Archives littéraires de l'Europe, du Journal de Paris... Un vrai journaliste. Et presque tous ses autres écrits ont quelque rapport à sa profession. Censeur royal, il accepta le dangereux Mariage de Figaro. Mais cela ne compense pas tout a fait sa porte f...
- JEAN FERRAT - Nuit et brouillard
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Que pensez-vous de cette formule de Sainte-Beuve: Lamartine ignorant qui ne sait que son âme ?
~LAMARTINE mmmru~ Que pensez-vous de cette formule de Sainte-Beuve:
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Jean Anouilh, Antigone, (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Sainte
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) - Épitaphe d'un paresseux
- Jean GOUDEZKI (1866-1934) - Invitation
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- Saint-Exupéry écrit dans Terre des hommes : « Etre homme, c'est précisément être responsable. C'est connaître la honte en face d'une misère qui ne semblait pas dépendre de soi. C'est être fier d'une victoire que les camarades ont remportée. C'est sentir, en posant sa pierre, que l'on contribue à bâtir le monde. » Vous étudierez avec soin cette définition de la responsabilité, en indiquant dans quelle mesure elle rejoint votre expérience personnelle.
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Jean Anouilh, Antigone, extrait (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est cela,...
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Charles-Irénée Castel, abbé de Saint-Pierre
Charles-Irénée Castel, abbé de Saint-Pierre 1658-1743 Ami de Segrais, de Nicole, de Malebranche, il publia en 1718 son Discours sur la Polysynodie où, tout en louant le Régent, il juge sévèrement Louis XIV : hardiesse qui le fit exclure incontinent de l'Académie. Les idées de ce penseur aimable et ferme se firent jour dans de nombreux livres, jugés par les uns ridicules utopies, par d'autres, tel le cardinal Dubois, "les rêveries d'un homme de bien" : Projet de paix perpétuelle (1713), Mémoire s...
- MARC-ANTOINE GIRARD, SIEUR DE SAINT-AMANT
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Si, transporté d 'une d'une sainte fureur, ...
- Qui était SAINT-EVREMOND ?
- Eugène LE MOUËL (1859-x) - A la sainte, martyre et vierge
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Nature et solitude (Livre XII) - Rousseau - Les Confessions
Nature et solitude (Livre XII) - Rousseau - Les Confessions Pour les après-dînées, je les livrais totalement à mon humeur oiseuse et nonchalante, et à suivre sans règle l'impulsion du moment. Souvent, quand l'air était calme, j'allais immédiatement en sortant de table me jeter seul dans un petit bateau, que le Receveur m'avait appris à mener avec une seule rame; je m'avançais en pleine eau. Le moment où je dérivais me donnait une joie qui allait jusqu'au tressaillement, et dont il m'est impossib...
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Jean de La Fontaine
Jean de La Fontaine Il ne semble pas que les temps soient à La Fontaine. Nous avons besoin de héros et de prophètes. Suivre son humeur, être libre, n'être que soi, mais l'être en pur artiste : voilà l'auteur des Fables. Il n'est qu'un promeneur ; tout le tente et l'amuse ; s'il enseigne (pourquoi pas ?), il s'amuse encore. Il n'est pas sérieux. Il n'a rien d'actuel. Non, La Fontaine n'est pas un héros, ni dans la vie, ni dans les Lettres. De tous nos grands écrivains, le plus discret, le plus "...
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : La forêt bleue) - Les Zingaris
- Remy de GOURMONT (1858-1915) (Recueil : Saintes du Paradis) - Agathe
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : La forêt bleue) - Les nymphes
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Une Sainte en son auréole
- Rousseau, Dialogues, Rousseau juge de Jean-Jacques (1782)
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JEAN GIRAUDOUX, La Guerre de Troie n'aura pas lieu, II, 5.
O vous qui ne nous entendez pas, qui ne nous voyez pas, écoutez ces paroles, voyez ce cortège. Nous sommes les vainqueurs. Cela vous est bien égal, n'est-ce pas ? Vous aussi, vous l'êtes. Mais nous, nous sommes les vainqueurs vivants. C'est ici que commence la différence. C'est ici que j'ai honte. Je ne sais si, dans la foule des morts, on distingue les morts vainqueurs par une cocarde. Les vivants, vainqueurs ou non, ont la vraie cocarde. Ce sont leurs yeux. Nous, nous avons deux yeux, mes pauv...
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Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938)
Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938) [Egisthe a épousé la reine Clytemnestre, veuve du roi Agamemnon, et a pris le pouvoir. Redoutant qu'Electre, fille d'Agamemnon et de Clytemnestre, ne se révolte si elle parvenait au pouvoir, il l'a promise au jardinier. Mais un étranger, qui n'est autre qu'Oreste, fils d'Agamemnon et de Clytemnestre et frère d'Electre, fait annuler ce mariage. Le jardiner se retrouve seul, et occupe la scène pendant l'entracte séparant les deux acte...
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Jean Giono, Le Hussard sur le toit, ch. VI (1951)
Jean Giono, Le Hussard sur le toit, ch. VI (1951) Durant la grande épidémie de choléra qui sévit en Provence au milieu du XIXe siècle, le héros du Hussard sur le toit, Angélo, perché sur les toits de Manosque, assiste à une procession destinée à conjurer les forces du mal. Bien longtemps avant que le soleil se lève, une petite cloche se mit à sonner dans les collines. Il y avait de ce côté-là, sur une éminence couronnée de pins, un ermitage semblable à un osselet. La lumière encore relativement...
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - L'Horoscope
Jean de la Fontaine, « L'horoscope », questions. 1. On rencontre sa destinée 2. Souvent par des chemins qu'on prend pour l'éviter. 3. Un père eut pour toute lignée 4. Un fils qu'il aima trop, jusques à consulter 5. Sur le sort de sa géniture 6. Les diseurs de bonne aventure. 7. Un de ces gens lui dit, que des Lions sur tout 8. Il éloignât l'enfant jusques à certain âge ; 9. Jusqu'à vingt ans, point davantage. 10. Le père pour venir a bout 11. D'une précaution sur qui roulait la vie 12. De celui...