1358 résultats pour "mere+grand"
- Le moraliste La Bruyère reproche quelque chose aux Grands dans le chapitre 9. Est-ce de se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas, ne sont plus, ou de ne plus être le mot « grand » ?
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Marcel Proust, Les Plaisirs et les Jours.
Celui qui est las des chemins de la terre ou qui devine, avant de les avoir tentés, combien ils sont âpres et vulgaires, sera séduit par les pâles routes de la mer, plus dangereuses et plus douces, incertaines et désertes. Tout y est plus mystérieux, jusqu'à ces grandes ombres qui flottent parfois paisiblement sur les champs nus de la mer, sans maisons et sans ombrages, et qui étendent les nuages, ces hameaux célestes, ces vagues ramures. La mer a le charme des choses qui ne se taisent pas la nu...
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« Toute l'invention, dit Racine, consiste à faire quelque chose de rien. » Expliquez cette phrase par une étude de son théâtre.
L'INVENTION DANS LE THEATRE DE RACINE ' « Toute l'invention, dit Racine, consiste à faire quelque chose de rien. » Expliquez cette phrase par une étude de son théâtre. Introduction : Par le mot « rien », il faut entendre un sujet réduit à un rien, c'est-à-dire très simple (premier point). Pour faire preuve d'invention, le poète tragique devra tirer de ce rien quelque chose. Et comment ? Racine nous le dit lui-même dans sa première préface de Britannïcus : en inventant une action très simple ell...
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IL FAUT TENTER DE VIVRE! - PAUL VALÉRY, Le Cimetière marin.
IL FAUT TENTER DE VIVRE! - PAUL V ALÉRY, Le Cimetière marin. Non, non!... Debout! Dans l'ère successive! Brisez, mon corps, cette forme pensive! Buvez, mon sein, la naissance du vent! Une fraîcheur, de la mer exhalée, Me rend mon âme... O puissance salée! Courons à l'onde en rejaillir vivant! Oui! Grande mer de délires douée, Peau de Panthère et chlamyde trouée De mille et mille idoles du soleil, Hydre absolue, ivre de ta chair bleue, Qui te remords l'étincelante queue Dans un tumulte au silence...
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Vie et oeuvre de George SAND
GEORGE SAND (1804-1876) Aurore Dupin est fille d'un officier de l'armée impériale. Par lui, elle descend de Maurice de Saxe et des rois de Pologne. Du côté maternel, elle se rattache au petit peuple parisien. Orpheline de père à quatre ans, elle est élevée par sa grand-mère paternelle à Nohant, modeste village proche de La Châtre. Son éducation s'achève à Paris, dans l'aristocratique couvent des Augustines anglaises. En 1822, elle épouse Casimir Dudevant, fils d'un baron d'Empire. Elle ne tarde...
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Ma mère
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Espana) - Au bord de la mer
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Jeanne fait son entrée
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Raymond Queneau
Raymond Queneau "Je naquis au Havre un vingt et un février en mil neuf cent et trois. Ma mère était mercière et mon père mercier : ils trépignaient de joie." Ainsi Raymond Queneau nous renseigne-t-il lui-même, dans son roman psychanalytique en vers Chêne et Chien, sur la date et les conditions tant psychologiques que sociologiques de sa naissance. Continuons le portrait : l' "Académicien Goncourt", l'auteur à la mode de Zazie dans le métro, le styliste cocasse des Exercices de style joués par le...
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Pierre Corneille
Pierre Corneille Si l'on se tourne vers la vie de l'homme, il est difficile de dégager Corneille de sa légende. Il naît rue de la Pie, à Rouen, le 6 juin 1606. Sa soeur Marthe (qui sera la mère de Fontenelle), ses frères, dont l'un, Thomas, va connaître au théâtre le plus grand succès du siècle, la maison de campagne à Petit-Couronne où l'on passe les vacances d'été, un interminable procès pour un mur de séparation le long d'une mare, l'entrée au collège des Jésuites, ces menus faits alimentent...
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Victor Hugo
Victor Hugo En ces trente dernières années, Hugo, après avoir connu auprès du public une faveur sans précédent dans l'histoire des lettres françaises, est tombé en disgrâce auprès des esprits distingués qui lui reprochent un manque d'intelligence, un manque de goût et une facilité, au plus mauvais sens du mot, qui feraient de lui une sorte d'industriel de l'alexandrin. Il est vrai que, dans certaines parties de son oeuvre, il a pu mériter de semblables reproches, mais cela ne doit pas faire oubl...
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Puisse en dépit du Ciel et du grand Jupiter
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Vauvenargues a dit: «Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir. »
Vauvenargues a dit: «Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir. » Introduction : « Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder en face. » Ce mot de La Rochefoucauld aurait pu être longuement médité par Vauvenargues, puisque cet h o m m e courageux jusqu'à la témérité passa la moitié d e sa vie à risquer la mort sans y succomber — et l'autre moitié à méditer sur le thème d e la mort lorsque son état d e santé ne lui permettait plus d e continuer à viv...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Chanson de grand-père
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Comme l'on voit de loin sur la mer courroucée
- François de MALHERBE (1555-1628) - A la reine mère du roi pendant sa régence
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - La sieste
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Ma nef passe au destroit d'une mer courroucée
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Choses du soir
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Analyse complète de l'oeuvre de CHATEAUBRIAND
CHATEAUBRIAND (1768-1848) FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND est l'un des nombreux enfants d'une famille noble, qui avait retrouvé quelque lustre grâce au « commerce de mer ». Il passe à Saint-Malo une enfance sans contrainte, fait ses études aux collèges de Dol et de Rennes, est tenté par le sacerdoce, s'aperçoit qu'il n'a pas la vocation et rentre au château paternel de Combourg. Il y reste deux ans, livré à des rêveries sans objet, n'ayant personne à qui se confier en dehors de sa soeur Lucile au...
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Le théâtre de RACINE
RACINE (1639-1699) Né à la Ferté-Milon, où son père exerçait les fonctions modestes de contrôleur du grenier à sel, JEAN RACINE se trouve orphelin à l'âge de trois ans. Il est recueilli par ses grands-parents paternels, famille pieuse, étroitement liée avec le monastère de Port-Royal. Sagrand-mère, devenue veuve en 1649, se retire à Port-Royal, l'y emmenant. Sa jeune tante, Agnès, y était déjà religieuse depuis plusieurs années. Jusqu'en 1653, il est élève des « petites écoles ». De 1653 à 1655,...
- Hervé Bazin, Vipère au poing.
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MALHERBE: Prière pour le Roi Henri le Grand, allant en Limousin
Localisation du morceau. Cette poésie est une œuvre de circonstance. Elle a été composée pu Malherbe h la demande du roi Henri IV qui allait partir (septembre pour le Limousin, où devaient se tenir les Grands Jours. Malherbe, alors âgé de cinquante ans, venait d'arriver à Paris et fut présenté à la cour par un de ses amis, le poète normand Des Yveteaux, mais y était précédé par sa réputation. On lui propose d'être l'interprête de la nation à l'égard du roi, qui est en train d'accomplir la enivre...
- Pierre-Jean de BÉRANGER (1780-1857) - Les souvenirs du peuple
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- Charles FONTAINE (1515-158x) - Chant sur la naissance de Jean, second fils de l'auteur
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Vous commenterez ce jugement d'un critique contemporain sur Pascal : « Ce puissant génie nous confond par la diversité de ses dons. Comme savant il est l'égal des plus illustres. Ses pensées nous le révèlent comme un grand moraliste. Son style est celui d'un homme de science et d'un poète. » ?
PLAN DÉTAILLÉ Ce qui frappe dès l'abord chez Pascal, c'est la diversité de ses dons. Homme de science, il a ouvert, par ses découvertes dans le domaine des mathématiques et de la physique, des voies nouvelles et fécondes. Moraliste profond et nuancé, il s'attache à analyser les faiblesses de la nature humaine. Écrivain, il unit dans son style, à la précision du savant, la sensibilité et l'imagination d'un poète. I. Le savant La formation de Pascal et ses aptitudes l'orientèrent d'abord vers les...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Petit Paul
- Hugo, Les Misérables, I, IV, 3 (l'Alouette)
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Soleil et chair
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Les étrennes des orphelins
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Thomas Bernhard
Thomas Bernhard Auteur dramatique à scandale et l'un des plus grand dramaturges de langue allemande contemporain, Thomas Bernhard est né en février 1931 à Heerlen, aux Pays-Bas, d'un père menuisier qui abandonne sa mère, fille de l'écrivain Johannes Freumbicher, à sa naissance. Il est mis en nourrice, puis rejoint ses grands-parents, d'abord à Vienne puis près de Salzburg. Enfant révolté et en proie à un mal d'être qui ne le quittera sans doute jamais, il est inscrit au lycée à Salzburg, étudie...
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- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La Frégate La Sérieuse
- Auguste BRIZEUX (1803-1858) (Recueil : Marie) - Le mois d'août
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage
- « Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage... » (Marbeuf, Recueil de vers, 1628)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Chanson des oiseaux
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le voyage
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A celle qui est restée en France
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - Le roc
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- Georges Perec, W ou le souvenir d'enfance, 1975.
- LA MORT D'ISEUT - THOMAS ET BEROUL, Tristan et Iseut, entre 1150 et 1200.
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MUSIQUE: Erik Satie (1866- 1925)
Erik Satie (1866- 1925) Par son intransigeance dans le domaine esthétique, ainsi que par son indépendance et sa grande originalité, Satie orienta l'esprit de toute une époque. On le considéra bien comme le chef de file du groupe des Six, mais il refusa cet honneur. Humour et mysticisme. Erik Satie, de son vrai nom Alfred Eric Leslie-Satie, perdit sa mère très jeune, et l'origine écossaise de celle-ci ne fut sans doute pas étrangère à son sens de l'humour. Fixé à Paris en 1858, il entra au Conser...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Aux proscrits
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Les pauvres gens
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Excipit de Madame Bovary
Flaubert, Madame Bovary, La mort de Charles. Excipit => fin du roman. Le lendemain, Charles alla s'asseoir sur le banc, dans la tonnelle. Des jours passaient par le treillis ; les feuilles de vigne dessinaient leurs ombres sur le sable, le jasmin embaumait, le ciel était bleu, des cantharides bourdonnaient autour des lis en fleur, et Charles suffoquait comme un adolescent sous les vagues effluves amoureux qui gonflaient son coeur chagrin. A sept heures, la petite Berthe, qui ne l'avait pas vu de...
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Le roman au XX ième siècle
TÉMOINS DE LEUR TEMPS De nombreux romanciers d'aujourd'hui prennent à tâche de témoigner sur une époque dramatique entre toutes : l'histoire contemporaine peut être suivie à travers les récits qui en sont les reflets. Ainsi ont été évoqués les épisodes de la guerre (Jules Roy : La Vallée heureuse; Robert Merle : Week-end à Zuydcoote), le régime de Vichy (Henri Queffélec : Journal d'un salaud), l'occupation avec ses rigueurs, ses incidents pittoresques ou ses scandales (Jean-Louis Curtis : Les Fo...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - La pente de la rêverie
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- Marcel PAGNOL, Le château de ma mère.
- Francis Ponge, « La jeune-mère »