82 résultats pour "regardais"
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Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) - En regardant vers le païs de France
Sujet: Charles d’ORL EANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) « E n regard an t vers le p aïs d e Fran ce » E n reg ardan t vers le p aïs d e Fran ce U n jou r m'avin t, a Dovre su r la mer, Qu 'il me sou vin t de la d oulce p laisan ce Qu e sou loye ou d it p ays trou ver Si commençay d e cu eu r a sou spirer Comb ien certes qu e g rant b ien me faisoit De voir France q u e mon cu eu r amer d oit. Je m'avisay q u e c'estoit non savan ce De telz sousp irs ded en s mon cueu r g ard er, Veu q u e...
- A la manière des textes du corpus, faites l'éloge (ou éventuellement la satire) des yeux et du regard d'une personne sous la forme d'un sonnet en alexandrins. L'éloge ou la satire du regard doit représenter les éléments de la personnalité de la personne décrite. (Sonnet : deux quatrains et deux tercets : rimes : ABBA ABBA CCD EED) ?
- Dans son essai critique Sur Racine, Roland Barthes qualifie Bérénice de « tragédie de l'aphasie » ; Jean Starobinski, quant à lui, souligne « que dans le théâtre français classique, et singulièrement chez Racine, les gestes tendent à disparaître au profit du langage, il faut ajouter au profit du regard. Les scènes chez Racine sont des « entrevues ». Les personnes du drame se parlent et s'entre-regardent mais les regards échangés ont valeur d'étreinte et de blessure... Ils troublent les
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Rondeaux) - Dieu, qu'il la fait bon regarder
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Chanson (Proscrit, regarde les roses...)
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Fragments) - Regarde-le
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Sonnets pour Hélène) - Te regardant assise auprès de ta cousine
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Un soir que je regardais le ciel
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Regardez : les enfants se sont assis en rond
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Seigneur, je ne saurais regarder d'un bon oeil
- Jean VAUQUELIN DE LA FRESNAYE (1535-1607) - Philis, quand je regarde au teins promt et leger
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Ô regards ensouffrés, yeux de lynx homicides
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Regarde au fond de nous : nous sommes l'Emeraude
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Quand tes yeux conquerans estonné je regarde
- Flaubert, L'Éducation sentimentale, 1re partie, chapitre 5 - Il passait des heures à regarder...
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- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Ô doux regards, ô yeux pleins de beauté
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Nathalie SARRAUTE, Le planétarium
« Qui est là? — C'est moi, ton frère, c'est Pierre... » Il entend comme un pépiement, un remue-ménage heureux, un déclic rapide, un bruit de chaîne léger, joyeux, la porte s'ouvre... « Ah, c'est toi... » Il avait oublié ce regard sous les paupières usées, fardées, un bon regard d'où ruisselle une tendre émotion... « C'est toi, Pierre... Mais bien sûr que tu ne me déranges pas... Je suis contente de te voir, tu viens si rarement... Mais fais voir un peu, que je te regarde, que je regarde un peu l...
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Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
Stendhal, Le Rouge et le Noir, partie I, chapitre 6, « L’ennui ». Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes, Mme de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait sur le jardin, quand elle aperçut près de la porte d'entrée la figure d'un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement pâle et qui venait de pleurer. Il était en chemise bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette. Le teint de ce pe...
- "En me regardant je me construis". En quoi cette phrase peut elle correspondre au style autobiographique ? Quelles en sont ses limites ?
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Blaise Cendrars, Feuilles de route, 1924
Introduction • Biaise Cendrars, poète français de ce siècle, semble né pour voyager comme l'illustre le titre de ses œuvres : Bourlinguer et ici Feuilles de route. • Pour l'auteur de la « Prose du Transsibérien », l'amour lui-même est un voyage. Il en a la liberté, la nouveauté toujours recommencée, la richesse infinie. • Ce qui étonne et séduit, dans cet extrait de Feuilles de route, ce sont précisément la spontanéité, la liberté de ton et l'enthousiasme communicatif qui caractérisent les senti...
- Gilles CORROZET (1510-1568) - Regarder la fin de son oeuvre
- En quoi la scène d'exposition au théatre peut-elle être à la fois atrayante, agréable à lire à regarder mais aussi traditionnel ?
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...
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- Hector de SAINT-DENYS GARNEAU (1912-1943) (Recueil : Regards et jeux dans l'espace) - Les ormes
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les rayons et les ombres) - Regard jeté dans une mansarde
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Victor Hugo, Choses vues, 1846.
Victor Hugo, Choses Vues, 1846. Hier, 22 février (1), j'allais à la Chambre des Pairs (2). Il faisait beau et très froid, malgré le soleil de midi. Je vis venir rue de Tournon un homme que deux soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard ; trente ans à peu près, un pantalon de grosse toile, les pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles pour tenir lieu de bas ; une blouse courte, souillée de boue derrière le dos, ce qui indiqua...
- Hector de SAINT-DENYS GARNEAU (1912-1943) (Recueil : Regards et jeux dans l'espace) - Rivière de mes yeux
- Hector de SAINT-DENYS GARNEAU (1912-1943) (Recueil : Regards et jeux dans l'espace) - C'est là sans appui
- Appréciez cette opinion d'un critique contemporain: Les circonstances de la vie de Molière l'ayant mis à même d'embrasser du regard toute la comédie humaine, c'est toute la comédie humaine qu'il a transportée sur le théâtre ?
- P. Jaccottet écrit : « Les oeuvres ne nous éloignent pas de la vie, elles nous y ramènent, nous aident à mieux vivre, en rendant au regard son plus haut objet ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous avez appréciées ?
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Balzac, Le Lys dans la vallée.
Sujet: Balzac, Le Lys dans la vallée. Aussitôt je sentis un parfum de femme qui brilla dans mon âme comme y brilla depuis la poésie orientale. Je regardai ma voisine, et fus plus ébloui par elle que je ne l'avais été par la fête; elle devint toute ma fête. Si vous avez bien compris ma vie antérieure, vous devinerez les sentiments qui sourdirent en mon coeur. Mes yeux furent tout à coup frappés par de blanches épaules rebondies sur lesquelles j'aurais voulu pouvoir me rouler, des épaules légèreme...
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Flaubert, Madame Bovary, I, 9.
Le Bovarysme, se définissant comme une évasion dans l’imaginaire par insatisfaction, doit son nom à l’héroïne Flaubertienne de Madame Bovary, Emma Bovary. Le roman est, en effet, centré sur un personnage qui tente d’échapper à l’ennui et la médiocrité de son mariage en cédant à la rêverie et à la construction fantasmée d’un monde romantique. L’extrait présente la description d’une scène musicale qu’Emma Bovary observe depuis « les vitres de la salle ». A l’image de cette séparation concrète entr...
- Commentez cette citation de Claude Roy sur la poésie : « ce n'est pas ce qui est regardé qui définit la poésie, c'est le regard. Ce ne sont pas les choses qui arrivent qui font un poème, c'est la façon du poète d'arriver dans les choses ».
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Chateaubriand, Le Port de Brest.
Cette mer que je devais rencontrer sur tant de rivages, baignait à Brest l'extrémité de la péninsule armoricaine : après ce cap avancé, il n'y avait plus rien qu'un océan sans bornes et des mondes inconnus; mon imagination se jouait dans ces espaces. Souvent assis sur quelque mât qui gisait le long du quai de Recouvrance, je regardais les mouvements de la foule : constructeurs, matelots, militaires, douaniers, forçats passaient et repassaient devant moi. Des voyageurs débarquaient et s'embarquai...
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Chateaubriand, Le Port de Brest
Cette mer que je devais rencontrer sur tant de rivages, baignait à Brest l'extrémité de la péninsule armoricaine : après ce cap avancé, il n'y avait plus rien qu'un océan sans bornes et des mondes inconnus; mon imagination se jouait dans ces espaces. Souvent assis sur quelque mât qui gisait le long du quai de Recouvrance, je regardais les mouvements de la foule : constructeurs, matelots, militaires, douaniers, forçats passaient et repassaient devant moi. Des voyageurs débarquaient et s'embarquai...
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Un critique écrit : « l'oeuvre d'art n'offre jamais une copie minutieuse et servile de la réalité dont elle s'inspire... l'Art est simplification, interprétation, confession ». En vous appuyant sur quelques exemples précis, vous commenterez ce jugement.
INTRODUCTION La véritable oeuvre d'art porte toujours la marque du talent original qui l'a conçue et réalisée. Et la qualité de l'artiste se remarque d'abord par la manière dont il a, comme d'instinct, simplifié, stylisé le modèle qu'il avait sous les yeux. D'emblée il a su retenir les détails riches de signification. Par là son oeuvre n'est plus une copie mais une interprétation forte et suggestive. Dans cette oeuvre, enfin, il a mis beaucoup de lui-même, révélé certains aspects de sa personnal...
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Jacques Prévert
Jacques Prévert Jacques Prévert, ou la poésie donnée à tout le monde. C'est un fait, mais comme il n'est pas pour plaire au coeur des hommes de lettres, ceux-là, quelquefois, expliquent un cas incomparable par une comparaison. Jacques Prévert, proclament- ils alors, c'est un autre Paul Géraldy. Celui qui écrit : Baisse un peu l'abat jour égalerait par là-même celui qui évoqua la mutilation auto-infligée de Vincent van Gogh, dans ces vers : ... Et l'homme s'enfuit en hurlant Pourchassé par le so...
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Pensez vous que ce sont les mêmes raisons qui attirent le public au théâtre et au cinéma ? Vous vous appuierez sur une expérience personnelle ?
Discussion : L'histoire du théâtre et celle du cinéma ne se superposent pas. Le théâtre remonte à l'Antiquité et ses formes ont été à la fois variées et nombreuses au cours des siècles et selon les sociétés. Le cinéma apparaît au début du XXème siècle et si sa production a connu un rythme exponentiel, il n'empêche qu'elle n'est pas marquée par une traversée aussi continue de l'expérience des hommes. Suggestion de plan : Première partie : Pour une anthropologie du théâtre Le théâtre trouve ses ma...
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Bossuet considérait le genre romanesque comme dangereux pour les moeurs. Le roman contemporain justifie-t-il encore ce jugement ?
Bossuet considérait le genre romanesque comme dangereux pour les mœurs. Le roman contemporain justifie-t-il encore ce jugement ? Analyse du sujet et problématisation : Le sujet invite à considérer dans quelle mesure un jugement du XVIIe siècle peut s'appliquer au roman contemporain. Le jugement est celui de Bossuet écrivain et prédicateur du XVIIe siècle célèbre pour ses Sermons. Bossuet considère le genre romanesque comme dangereux pour les mœurs. Le terme de mœurs mérite ici une attention plus...
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Laine, la Dentellière
(Aimery de Béligné, étudiant, et Pomme, petite coiffeuse, ont leur premier rendez-vous à la terrasse d'un café.) Quelque chose était en train de se passer. Aimery parlait à Pomme. Il parlait très vite et très petit, comme écrivent certaines personnes, en serrant les mots. Pomme ne disait rien. Une partie d'elle-même écoutait; mais seulement une petite partie. Tout le reste commençait à s'enfoncer dans Veau tiède, presqu'un peu trop, d'une rêverie indéfinie. Quelque chose changeait. Pour le jeune...
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Les grandes oeuvres littéraires du passé sont aussi aptes - sinon plus - que celles écrites aujourd'hui en lien direct avec l'actualité à mettre en question le monde dans lequel nous vivons. Partagez-vous cette opinion ?
Les grandes oeuvres littéraires du passé sont aussi aptes - sinon plus - que celles écrites aujourd'hui en lien direct avec l'actualité à mettre en question le monde dans lequel nous vivons. Partagez-vous cette opinion ? Il peut sembler provocant d'affirmer que des oeuvres écrites à une époque antérieure à la nôtre peuvent mieux parler de notre monde que celles qui sont nées au coeur de l'actualité. Cette affirmation pose la question du type de regard qui doit être posé sur l'actualité : n'est-i...
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Croyez-vous qu'il faille encore étudier aujourd'hui les oeuvres littéraires du passé ?
Les grandes oeuvres littéraires du passé sont aussi aptes - sinon plus - que celles écrites aujourd'hui en lien direct avec l'actualité à mettre en question le monde dans lequel nous vivons. Partagez-vous cette opinion ? Il peut sembler provocant d'affirmer que des oeuvres écrites à une époque antérieure à la nôtre peuvent mieux parler de notre monde que celles qui sont nées au coeur de l'actualité. Cette affirmation pose la question du type de regard qui doit être posé sur l'actualité : n'est-i...
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Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Les Destinées) - La mort du loup
Alfred de VIGNY, Les Destinées, « La mort du loup ». I 1. Les nuages couraient sur la lune enflammée 2. Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, 3. Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. 4. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, 5. Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, 6. Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, 7. Nous avons aperçu les grands ongles marqués 8. Par les loups voyageurs que nous avions traqués. 9. Nous avons écouté, retenant notre hal...
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Saint Paul
Saint Paul "Paul apôtre, non pas des hommes ni par l'intermédiaire d'un homme, mais par Jésus-Christ..." Celui qui se présente ainsi est sans doute l'un des douze choisis par Jésus-Christ pour être témoins de sa mort et de sa résurrection ? Non ; Paul avertit sans fard : "J'ai persécuté l'Église de Dieu." Qu'il se soit trouvé à Jérusalem en même temps que Jésus, c'est pure conjecture, car il n'en dit rien ; si son regard a rencontré le Christ, ce fut un regard d'indifférence, plutôt d'hostilité...
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Giono, Regain
Aubignane est collé contre le tranchant du plateau comme un petit nid de guêpes ; et c'est vrai, c'est là qu'ils ne sont plus que trois ? Sous le village la pente coule sans herbe. Presque en bas, il y a un peu de terre molle et le poil raide d'une pauvre oseraie. Dessous, c'est un vallon étroit et un peu d'eau. C'est donc des maisons qu'on a bâties là ; juste au bord, comme en équilibre, puis, au moment où ça a commencé à glisser sur la pente, on a planté, au milieu du village le pieu du cloche...
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
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Un ancien ami journaliste, que Georges Du Roy néglige désormais, a assisté au mariage. Refusant de céder à l'enthousiasme que manifeste la foule, il porte sur Georges Du Roy, et sur la cérémonie dont il a été témoin, un regard peu complaisant. Il rédige un article qu'il compte faire publier. Ecrivez ce texte.
Un ancien ami journaliste, que Georges Du Roy néglige désormais, a assisté au mariage. Refusant de céder à l'enthousiasme que manifeste la foule, il porte sur Georges Du Roy, et sur la cérémonie dont il a été témoin, un regard peu complaisant. Il rédige un article qu'il compte faire publier. Écrivez ce texte. Afin de rédiger cet article, vous devez avoir bien lu et relu l'excipit de Bel Ami pour que vous vous en empreigniez. Un mariage qui rapporte… Il y a deux jours, je me suis rendu au mariage...
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Les Poètes issus du surréalisme
PAUL ÉLUARD (1895-1952) Les premiers poèmes d'Éluard, recueillis dans Capitale de la douleur (1926), L'Amour, la Poésie (1929), La Vie immédiate (1932), La Rose publique (1934), Les Yeux fertiles (1936), illustrent, par de perpétuels chevauchements entre le monde réel et le monde du rêve, l'attitude surréaliste. Puis Éluard renonce à une inspiration uniquement subjective : ses derniers recueils le montrent profondément engagé dans la résistance nationale ou les batailles politiques. Paul Éluard...
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Vladimir Nabokov
Vladimir Nabokov 1899-1977 Né à Saint-Pétersbourg, mort à Montreux (Suisse). Ce romancier d'origine russe, devenu citoyen américain en 1945, abandonne sa langue natale en 1941 pour écrire directement en américain, après plusieurs publications en Europe sous le pseudonyme de Sirine. Passionné par les papillons, il travaille comme chercheur auprès du musée de Zoologie de Harvard, tout en enseignant la littérature russe dans les universités américaines. Après quelques essais, romans et souvenirs d'...