Résultats pour "coupe"
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - La coupe
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Odes anacréontiques) - La coupe
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - La coupe
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : Vers bachiques) - Je ne vay point aux coups exposer ma bedaine
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Marie, à tous les coups vous me venez reprendre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - C'est à coups de canon qu'on rend le peuple heureux
- Musset, extrait de La Coupe et les lèvres.
- David DIOP, Coups de pilon dans Présence Africaine, 1956, « Afrique »
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La nuit
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La lyre
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La colombe blessée
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - Le vin de l'Amour
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La Toison d'Or
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - A la Forêt de Fontainebleau
- « Le principal avantage de mon art c'est qu'il rend capable de discerner à coup sûr si l'esprit du jeune homme enfante une chimère et une fausseté ou un fruit réel et vrai ? » Commentez ce propos de Socrate.
- Diderot, Jacques le Fataliste
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Étudiez cette définition du romantisme que Musset met ironiquement dans la bouche d'un clerc d'avoué : « Le romantisme, mon cher monsieur, mais à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités, ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. Vous saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne, la fleur qui vole et l'oiseau qui embaume ; c'est le jet inespéré, l'extase alanguie, la citerne sous les palmiers et l'espoir vermeil et ses mille amours, l'ange et la perle, la robe blanche des saules; ô la belle chose, monsieur! c'est l'infini et l'étoile, le chaud, le rompu, le désenivré, et pourtant en même temps le plein et le rond, le diamétral, le pyramidal, l'oriental, le nu à vif, l'étreint, l'embrassé, le tourbillonnant; quelle science nouvelle! » (Lettres de Dupuis et Cotonet, première lettre, 1836.) ?
[Introduction] Le drame romantique s'inscrit dans la rupture que les jeunes écrivains romantiques veulent marquer avec l'esthétique du classicisme. Dans cette mesure, on comprend que Musset s'insurge contre une tentative de définition réductrice d'un élan naissant : « Non [...], ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. » Mais, lui, le poète, peut tenter de dire l'indicible en multipliant les images, les antithèses, en évoq...