Résultats pour "celles"
- Un auteur contemporain, André Maurois, a pu dire : La lecture peut prendre 3 formes différentes, celle d'un vice, d'un plaisir sain ou d'un travail. Commentez chacune de ses affirmations en les illustrant par des exemples: romans, théâtre, poésie...
- Roi FRANÇOIS 1er (1494-1547) - Celle qui fut de beauté si louable
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Celle clarté mouvante sans ombrage
- Éphraïm MIKHAËL (1866-1890) - À celle qui aima le cloître
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Celle qui m'a tant pourmené
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Plus riche assez que ne se montrait celle
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Quand celle j'oy parler qui pare nostre France
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Celle qui de son chef les étoiles passait
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - J'étais en liberté quand celle qui m'engage
- La biographie d'un écrivain ou celle d'un grand artiste est-elle inutile ?
- Discutez ce propos : "La grande littérature c'est celle des grandes passions exaltées, violentes, douloureuses" ?
- Comment Bossuet a-t-il concilié les exigences de l'oraison funèbres et celles de l'Histoire ?
- Pour entreprendre le récit d'une vie, faut-il que celle-ci soit hors du commun ?
- HUGO: A celle qui est restée en France (III) - Les Contemplations.
- Nérée BEAUCHEMIN (1850-1931) (Recueil : Les floraisons matutinales) - A celle que j'aime
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A celle qui est voilée
- Écrivez une tirade en vers ou prose dans laquelle un amant raconte à celle qu'il aime, la 1ere fois qu'il l'a rencontrée ?
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Baudelaire « A celle qui est trop gaie », LES FLEURS DU MAL, paru en 1857.
Ce poème fait partie des pièces censurées des Fleurs du Mal ,qui ont valu a Baudelaire son procès . Le poète joue en effet dans ces pièces avec le non-dit, les insinuations, et les codes sociaux en vigueur a l'époque, qui définissent ce qui est bienséant. Il peut être intéressant de regarder dans ce poème comment s'articulent, d'une part, l'acceptation des codes de la bienséance et des codes de la poésie classique ; et d´autre part, le jeu subversif du poète avec ces codes, jeu qui lui a valu la...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celle du jardin
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A celle qui est restée en France
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - A celle qui est trop gaie
- Jules VERNE (1828-1905) - Hésitation
- Expliquez, à partir du poème symboliste Le Bateau ivre?, que Rimbaud pratique une poésie qui dévoile l'Idéal, mais que celle-ci est dangereuse et mène parfois au naufrage mélancolique de l'être ?
- D'après Lévi-Strauss, l'attitude de l'être humain « consiste à répudier purement et simplement les formes culturelles, morales, religieuses, sociales, esthétiques qui sont les plus éloignées de celles auxquelles nous nous identifions ». Qu'en pensez-vous ?
- Pensez-vous comme Lévi-Strauss que l'attitude de l'être humain « consiste à répudier purement et simplement les formes culturelles, morales, religieuses, sociales, esthétiques qui sont les plus éloignées de celles auxquelles nous nous identifions » ?
- À l'instar des romans idéalistes, le genre picaresque a lui aussi l'ambition de susciter à travers la multiplicité épisodique une idée abstraite et inattendue de l'univers qui est celle de la séparation radicale entre l'homme incapable de s'élever jusqu'à la hauteur de la norme morale et son milieu ambiant ?
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Ce que l'on retrouve dans toutes les oeuvres de Chateaubriand, c'est toujours Chateaubriand lui-même. Mais ces confessions nous émeuvent parce qu'elles sont celles d'un poète et d'un artiste ?
LES GRANDES LIGNES DU PLAN Le problème posé est le suivant : quelle est la part des confidences personnelles dans l'œuvre de Chateaubriand ? Quelle est la portée générale et humaine de ces confidences ? La citation vous indique donc les deux points que vous aurez successivement à traiter. Elle vous indique également en quoi consiste la portée générale de ces confidences. Ce sont « celles d'un poète » : en d'autres termes, l'intérêt élargi qu'elles comportent vient des sentiments qu'elles exprime...
- « Il n'y a qu'un classe dangereuse, c'est celle des intellectuels, c'est-à-dire des gens qui possèdent un instrument pour lequel il n'y a pas emploi. » Après avoir expliqué en quoi l'homme de lettres et l'écrivain peuvent être « dangereux » pour la société, vous direz si selon vous le danger qu'ils représentent est toujours nuisible ou peut être nécessaire ?
- « Un suffisant lecteur descouvre souvant ès escrits d'autruy des perfections autres que celles que l'autheur y a mises et apperceües, et y preste des sens et des visages plus riches. » (Montaigne, Essais, Livre I Chapitre XXIV)
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« Pour l'artiste, et en dépit de ses convictions politiques les plus fermes, en dépit même de sa bonne volonté de militant, l'art ne peut être réduit à l'état de moyen au service d'une cause qui le dépasserait, celle-ci fût-elle la plus juste, la plus exaltante ». Vous commenterez et discuterez à l'aide d'exemples précis cette affirmation d'Alain Robbe-Grillet, écrivain contemporain ?
Analyse du sujet et problématisation : Le sujet s'intéresse à l'art en général : il ne faudra donc pas négliger les exemples extra-littéraires, issus du domaine des beaux-arts ou du cinéma. Robbe-Grillet nie ici l'utilisation militante de l'art, au service d'une cause. Cette utilisation est envisagée comme une « réduction » de l'art, comme une sorte d'asservissement incompatible avec les fins véritables de l'art. Robbe-Grillet souligne plus particulièrement ici l'incompatibilité entre art et pol...
- « L'histoire du peuple hébreu d'une part, celle des premiers chrétiens d'autre part et la corruption de la Rome impériale lui fournissent des points de référence continuels pour montrer dans l'histoire de son temps une répétition du passé, élever la circonstance présente à un plan plus général et lui conférer ainsi une valeur d'exemple éternel. Cette lecture vous paraît-elle conforme au dessein d'Agrippa d'Aubigné dans Les Tragiques ?
- Analysant la complexité de la pensée de Camus sur la religion, Marcel Mélançon conclut : La position la plus honnête (...) est certainement celle qui prend la pensée de Camus là où elle s'est arrêtée : entre le OUI et le NON. On ne peut pas dire qu'il soit athée, puisqu'il a le sens du sacré, on ne peut pas non plus affirmer qu'il soit chrétien puisqu'il l'a refusé. Expliquez et critiquez cette réflexion ?
- Charles Juliet : Lambeaux (1995).
- « L'esthétique de l'épopée n'est pas celle du drame : le paroxysme ne se trouve pas à la fin, mais au milieu, comme dans cette chanson où la mort de Roland est la flèche mystique d'une cathédrale héroïque. [...] L'accumulation incantatoire, les répétitions qui tassent le récit, apparentent l'art épique à la musique [...] et à l'architecture, selon une disposition du temps et de l'espace déterminée par une intention symbolique. On veut suggérer l'élan militaire ou mystique, provoquer l'admiration ou l'horreur. » Commentez et discutez ces affirmations de D. Poirion ?
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Edmond DE GONCOURT écrit, dans la préface des Frères Zemganno (1879) : Le réalisme, pour user du mot bête, du mot-drapeau, n'a pas l'unique mission de décrire ce qui est bas, ce qui est répugnant, ce qui pue. Il est venu au monde aussi, lui, pour définir dans de « l'écriture artiste » ce qui est élevé, ce qui est joli, ce qui sent bon, et encore pour donner les aspects et les profils des êtres raffinés et des choses riches : mais cela en vue d'une étude appliquée, rigoureuse et non conventionnelle et non imaginative, de la beauté, une étude pareille à celle que la nouvelle école vient de faire en ces dernières années de la laideur... Le succès du réalisme est là, seulement là, et non plus dans la canaille littéraire. Vous commenterez et discuterez, le plus largement possible, cette définition du réalisme dans le roman.
Edmond DE GONCOURT écrit, dans la préface des Frères Zemganno (1879) : Le réalisme, pour user du mot bête, du mot-drapeau, n\'a pas l\'unique mission de décrire ce qui est bas, ce qui est répugnant, ce qui pue. Il est venu au monde aussi, lui, pour définir dans de « l\'écriture artiste » ce qui est élevé, ce qui est joli, ce qui sent bon, et encore pour donner les aspects et les profils des êtres raffinés et des choses riches : mais cela en vue d\'une étude appliquée, rigoureuse et non conventio...