1811 résultats pour "s+ouvre"
- Antoine-Pierre-Augustin de PIIS (1755-1832) - Harmonie imitative de la langue française
- Victor Hugo : Ruy Blas (1838), acte II, scène 2.
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Paul VERLAINE (1844-1896) - Recueil : Sagesse
DISSERTATION RÉDIGÉE On peut emprisonner les oiseaux, opposer à leur soif de liberté les barreaux d'une cage, les oiseaux chantent toujours. Seulement, leur chant se fait plainte, appel, sanglot. Leurs ailes frémissent, se heurtent au fer de la cage et si leur ivresse de ciel se délivre, leur corps se meurtrit sans cesse. Us ne peuvent ' plus que contempler le triste filet de sang qui coule de leurs ailes déchirées. Verlaine est de ces oiseaux perpétuellement en quête de bonheur (d'un bonheur qu...
- Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, Première partie, chapitre XIII
- Guy Goffette : Prière pour aller au paradis avec Jammes (Le Pêcheur d'eau, 1995).
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Effet de lune
- Ponge, « l'huitre »
- LA LETTRE - Albert COHEN, Belle du Seigneur, 1968.
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Horace
Horace Il est probable qu'Horace ne s'attarda pas à Rome après l'inoubliable journée du 3 juin de l'an 17 av. JC . Ce jour-là avait été le troisième jour des jeux séculaires solennellement organisés par Auguste et c'est Horace qui avait composé la grande cantate officielle exécutée au Palatin et au Capitole par trente-quatre jeunes gens et jeunes filles choisis parmi les meilleures familles romaines. Il en avait créé la musique aussi bien que les vers. Il avait dirigé lui-même la noble chorale....
- Zola, l'Assommoir, chapitre 10 - Au milieu de cette existence enragée par la misère...
- Victor Hugo : Ruy Blas (1838), acte II, scène 2.
- Victor Hugo, Les Misérables, I, II, chapitre 12
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Jean Rostand, Peut-on modifier l'Homme ?
DÉFENSE DES SCIENTISTES Ce n'est pas, en effet, parce qu'on les admire, ces merveilleux progrès de la biologie, parce qu'on ne peut faire autrement que de s'enthousiasmer pour les perspectives grandioses que le laboratoire découvre au destin de l'homme, ce n'est pas pour cela qu'on ne voit pas, qu'on ne comprend pas, qu'on ne sent pas ce qu'il peut y avoir de troublant, de déconcertant, d'effrayant à voir l'homme peu à peu s'approcher de l'homme avec ses grosses mains et se préparer à éprouver s...
- La Bruyère, Caractères, Des biens de fortune
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Les salons de 1700 à 1750.
Les salons de 1700 à 1750. Au temps de la Fronde, les femmes qui voulaient jouer un rôle se lançaient dans les intrigues de l'amour ou de la politique. Sans doute il y eut l'Hôtel de Rambouillet. Mais la marquise ne prétendait à rien de plus qu'à faire régner autour d'elle la délicatesse des manières et les agréments de l'esprit. Maintenant ce sont les femmes qui dirigent et orchestrent la vie intellectuelle. Le préjugé qui s'attachait aux « femmes savantes » s'est dissipé. Les salons ne son...
- Henri Barbusse, Le Feu, XX
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- Lesage, Gil Blas de Santillane, I, 8
- Zola, Thérèse Raquin.
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre CXL
- Maupassant, Une vie, chapitre 10
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Je n'ai songé qu'à toi ...
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Emile Zola, La Bête humaine (le train fou)
Émile Zola, La Bête humaine, chapitre XII, le train fou. Mais Pecqueux, d'un dernier élan, précipita Jacques ; et celui-ci, sentant le vide, éperdu, se cramponna à son cou, si étroitement, qu'il l'entraîna. Il y eut deux cris terribles, qui se confondirent, qui se perdirent. Les deux hommes, tombés ensemble, entraînés sous les roues par la réaction de la vitesse, furent coupés, hachés, dans leur étreinte, dans cette effroyable embrassade, eux qui avaient si longtemps vécu en frères. On les retro...
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L'art est-il une reproduction de la nature ou une invention ?
Comment comprendre l'art ? Doit-on penser qu'il n'est qu'une copie de la nature, ou au contraire qu'il est le signe d'une pure création ? L'art est-il ce par quoi l'homme se lie à la nature, ne cessant pas de la répéter, ou est-ce ce par quoi il s'en sépare, par un travail de mise à distance et de transformation ? Nous verrons que le regard des philosophes a changé sur cette question, à laquelle il semble donc impossible de répondre en ignorant l'évolution historique du problème. Cependant il fa...
- Vous analyserez ce texte de Nathalie Sarraute extrait du « Planétarium » en montrant l'originalité de sa conception romanesque, et vous direz quelle place il convient de lui assigner au sein du Nouveau Roman.
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- Boris Vian, L'Ecume des jours, (l'enfer des usines)
- Balzac, Le Colonel Chabert.
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Les Désarrois de l'élève Törless Robert Musil
Les Désarrois de l'élève Törless Robert Musil (1880-1942) Roman, Autriche, 1906 Résumé « Une petite gare sur la ligne de Russie. » Madame la conseillère Törless souffrait une fois de plus à l'idée de laisser son fils dans cette petite ville loin de la capitale, dans les campagnes arides, presque inhabitées. La ville abritait une des écoles les plus réputées du pays où étaient formés les fils des meilleures familles. A l'heure du départ, dans un ultime accès de sollicitude maternelle, elle confia...
- Colette, Les Vrilles de la vigne, 1908.
- Colette, Vrilles de la Vigne (jour gris)
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Ode sur la naissance du Duc de Bordeaux
- Roger Ikor Je porte plainte 1981
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Héron
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- Léon DIERX (1838-1912) (Recueil : Les lèvres closes) - Le remous
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A la mi-carême
- Ionesco, le Roi se meurt - Commentaire de la tirade sur le chat
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Jehova ou l'idée de dieu
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Ernst Jünger
Ernst Jünger Depuis la mort de Hermann Hesse et de Thomas Mann, Ernst Jünger tient la première place dans les lettres allemandes, mais une place si singulière, si gênante pour ses cadets qu'ils préfèrent tenir pour inexistant celui dont la grandeur les offusque et qu'ils accusent de vivre en dehors de son temps. Il est vrai que cet ancien disciple de Nietzsche, après avoir chanté dans Orages d'acier (1920) la guerre notre mère et l'idéal viril du guerrier, prône dans sa Visite à Godenholm (1952)...
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Le Tasse
Le Tasse Torquato Tasso, qu'en France nous appelons Le Tasse, naquit à Sorrente, le 11 mars (mois des fous) 1544. Son père, Bernard, appartenait à la flatteuse catégorie des diplomates poétiques. L'un des ancêtres de la famille, Amédée, reste connu pour avoir, dès 1280, établi, en Europe, un système cohérent de courriers accélérés. Le blason des Tasso, depuis, comporte une tête de cheval (image de la diligence postale) casquée de peaux de blaireau. " Tasso ", en effet, veut dire " blaireau ". Be...
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SAINTE-BEUVE
SAINTE-BEUVE (18o4-1869) Sainte-Beuve se mêle d'abord au mouvement romantique; il tente sa chance comme poète lyrique et comme romancier, mais ne parvient pas à s'imposer au premier rang. Il renonce alors aux oeuvres d'imagination pour exercer le métier de critique. Amateur d'âmes et d'idées, il conquiert une place, grâce au prestige de son art, parmi les grands créateurs de sa génération, dont il jalousa longtemps la gloire. LE POÈTE. Charles-Augustin Sainte-Beuve, né à Boulogne, mais parisien...
- Flaubert - Madame Bovary (1857), I, 8 (Le bal à la Vaubyessard)
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Analyse linéaire juste la fin du monde : en quoi ce prologue est-il atypique ?
Analyse Linéaire 1 – Juste la fin du monde (Jean-Luc Lagarce) LOUIS. – Plus tard‚ l’année d’après – j’allais mourir à mon tour – j’ai près de trente-quatre ans maintenant et c’est à cet âge que je mourrai‚ l’année d’après‚ de nombreux mois déjà que j’attendais à ne rien faire‚ à tricher‚ à ne plus savoir‚ de nombreux mois que j’attendais d’en avoir fini‚ l’année d’après‚ comme on ose bouger parfois‚ à peine‚ devant un danger extrême‚ imperceptiblement‚ sans vouloir faire de bruit ou co...
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - L'illusion suprême
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - L'âme de la ville
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - La révolte
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Les aspects comiques d'une pièce ne servent-ils qu'à faire rire ?
Analyse du sujet : La comédie est un genre à part entière au théâtre. Elle consiste à utiliser les ressorts du comique pour représenter sur une scène des personnages et des situations qui prêtent à rire ou à sourire. Le théâtre, d'après son étymologie grecque de theonomai, désigne cela même que l'on regarde ; cependant, il suppose un texte et des actions, de sorte qu'il est avant tout une oeuvre écrite ; à ce titre, la comédie commence dans les mots qu'est le texte de la pièce. Problématique : Q...
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - Le Déluge
- Musset, Lorenzaccio, Acte I, scène 6.
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Crimen amoris
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- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : Epîtres) - À mon jardinier
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Illuminations) - Mouvement
Les Illuminations, « Mouvement », Arthur Rimbaud Introduction : Rimbaud a dix-neuf ans lorsqu’il entreprend l’écriture de ses derniers poèmes qui constitueront les Illuminations. En 1875, à vingt ans, il choisit le silence. Dans ce recueil Rimbaud renouvelle en profondeur tous les codes de l’écriture poétique. Il met à mal les formes traditionnelles pour se livrer à un véritable travail sur le langage, il exploite les rapports entre la forme du poème et le fond, entre le signifiant et le signifi...









