1393 résultats pour "s+etend"
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Le tens leger s'enfuit sans m'en apercevoir
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Si ma raison en moy s'est peu remettre
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - S'il est vrai que le ciel ait sa course éternelle
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque s'épand sur notre seuil la neige fine
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - Le feu brusque, et leger, aus Astres s'achemine
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Cheval s'étant voulu venger du Cerf
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Commentez et discutez cette analyse du genre autobiographique : « L'autobiographie, qui est à la fois témoignage, plaidoyer, justification et réquisitoire, s'inscrit par là dans le judiciaire, auquel elle emprunte sa mise en scène, ses rôles et les modalités de son énonciation. Le judiciaire et le théâtral ont partie liée ici, tant le théâtre est le lieu privilégié du procès, comme dans la tragédie grecque, tant le tribunal ressemble à un théâtre. » (G. Mathieu-Castellani, La Scène jud
I, L'Autobiographie comme acte judiciaire _L'autobiographie est investie d'une fonction narrative originale : elle est étymologiquement « écriture de sa propre vie », narration de soi. L'intérêt le plus évident qu'il puisse y avoir à publier le récit de son existence est de la faire connaître, ou bien si l'auteur est déjà célèbre, de l'éclairer sous un jour nouveau, mais en tout cas d'en faire reconnaître une valeur jusqu'alors passée sous silence. Ainsi, Pierre Abélard rédige L'Histoire de mes...
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- Rousseau, Les Confessions, II - Portrait de Mme de Warens
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FONTENELLE: sa vie, son oeuvre.
FONTENELLE (1657-1757) BERNARD LE BOVIER DE FONTENELLE est le neveu des frères Corneille. Parenté illustre qui lui sert de tremplin pour se lancer dans la littérature. Il se croit d'abord une vocation de poète. Il écrit des tragédies, des comédies, des églogues et jusqu'à des livrets pour les opéras de Lulli. Par solidarité envers ses oncles, il prend position contre Racine et Boileau, ce qui le pousse dans le clan des modernes. Il partage son temps entre Rouen et Paris et ne se fixe dans la cap...
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Mais quoi ! déjà les Cieux s'accordent à pleurer
- « Le théâtre peut apparaître comme un genre littéraire inférieur, un genre mineur. Il fait toujours un peu gros. C'est un art à effets sans doutes. On a l'impression que les choses s'y alourdissent. Les nuances des textes de littérature l'éclipsent. Un théâtre de subtilité littéraire s'épuise vite. » Commentez cette citation de Ionesco.
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - La spirale sans fin dans le vide s'enfonce
- Voltaire, L'Éducation d'une fille
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Expliquez et discutez cette opinion de Pierre Loti en s'appuyant sur des exemples précis: Les vrais poètes, dans le sens le plus libre et le plus général du mot, naissent avec deux ou trois chansons qu'il leur faut à tout prix chanter, mais qui sont toujours les mêmes: qu'importe, du reste, s'ils les chantent chaque fois avec tout leur coeur ?
Expliquer et discuter cette opinion de Pierre Loti en s'appuyant sur des exemples précis : « Les vrais poètes, dans le sens le plus libre et le plus général du mot, naissent avec deux ou trois chansons qu'il leur faut à tout prix chanter, mais qui sont toujours les mêmes : qu'importe, du reste, s'ils les chantent chaque fois avec tout leur coeur!... » (Baccalauréat.) REMARQUES POUR UN PLAN 1. Le texte de Loti est difficile à orienter parce que, tout en étant extrêmement naïf, il touche un des pr...
- « Un des lieux communs qu'on rabâche dans certains milieux, c'est que désormais la littérature n'aura plus à jouer qu'un rôle secondaire ; l'avenir est au cinéma, à la télé : à l'image. Je n'en crois rien. L'image sur le moment nous envoûte ; mais ensuite elle pâlit et s'atrophie. Les mots ont un immense privilège : on les emporte avec soi. » Que pensez-vous de cette affirmation de Simone de Beauvoir ?
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- Dans son Discours de Suède, Albert Camus affirme que la noblesse de son métier s'enracinera toujours dans deux engagements difficiles à maintenir : le refus de mentir sur ce que l'on sait et la résistance à l'oppression". Vous expliquerez et justifierez d'abord ce point de vue en vous appuyant sur son oeuvre La Peste. Dans une deuxième partie vous envisagerez les objections que l'on peut faire à A. Camus en vous appuyant aussi sur la peste et d'autres oeuvres.
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On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires le plus conventionnel. Quelles sont ces conventions et pourquoi le spectateur s'y plie-t-il volontiers et accepte-t-il sur scène les fantaisies les plus débridées qu'il refuserait dans la vie réelle ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d'une part il implique que l'on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d'autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu'il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adjecti...
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Francisque Sarcey affirmait: Je suis convaincu qu'un drame excellent doit se pouvoir jouer dans une grange et y réussir, tout aussi bien que sur une grande scène, où s'ajoute pourtant au mérite de l'oeuvre, la séduction du décor et du costume. Expliquez et discutez ?
1. Le sujet se rapproche des deux précédents en ce sens qu'il nous invite à réfléchir sur l'essence du spectacle théâtral : cette essence est-elle dans le spectacle (« séduction du décor et du costume ») ou dans ce que Sarcey appelle d'un mot assez vague « le mérite de l'œuvre »? 2. Mais il est beaucoup plus large, puisque Sarcey oppose à une décoration tout extérieure le mérite intrinsèque d'une pièce : la psychologie, l'intrigue et peut-être même le jeu des acteurs, la mise en scène, en exclua...
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André Malraux
André Malraux Quand André Malraux naît à Paris, la France s'essuie de l'Affaire Dreyfus et entre allégrement dans cette "belle époque" qu'interrompra seulement le coup de revolver de Sarajevo. Mais si belle soit-elle, une belle époque n'est pas belle pour tout le monde. La jeunesse d'André Malraux, marquée par des deuils tragiques, n'a guère subi le charme de la frivolité de son temps. C'est dans l'ébrouement de l'adolescence que l'enfant annonce l'homme qu'il sera : encore faut-il que le clima...
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Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui e
« Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujo...
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Méthode et théorie scientifique de BUFFON
BUFFON (1707-1788) BUFFON est né au château de Montbard en Bourgogne. Il fait d'honnêtes études chez les jésuites de Dijon. Sa jeunesse est assez dissipée. En 1730, après une fâcheuse affaire, un duel où il tue son adversaire, il se met à voyager. Il parcourt le midi de la France, l'Italie la Suisse, l'Angleterre, en compagnie d'un jeune Anglais, le duc de Kingston, et de son précepteur, un homme passionné pour les sciences de la nature. La réputation de Buffon dans les milieux savants s'établit...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Une dentelle s'abolit ...
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L'oeuvre littéraire de DIDEROT
DIDEROT (1713-1784) DENIS DIDEROT est le fils d'un coutelier de Langres, artisan aisé, qui lui fait faire de bonnes études d'abord à Langres, puis à Paris. On le destine à la prêtrise. Mais la vocation lui fait défaut et, comme il ne se décide pas à choisir un autre état, son père lui coupe les vivres. Le jeune homme vit des leçons qu'il donne, des sermons qu'il compose, besogneux et bohème comme son « neveu de Rameau », et il met le comble au mécontentement des siens en épousant une lingère. E...
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- T. S. Eliot
- Verlaine - Sagesse: Le son du cor s'afflige vers les bois...
- Paul SCARRON (1610-1660) - Chanson : Helas ! elle s'en va...
- Antoine de LA SABLIERE (1624-1679) - Je ne sais pas, Iris, à quoi mon coeur s'attend
- Charles LE GOFFIC (1863-1932) - Une aube de douceur s'éveille sur la lande
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Il s'en alloit prier,...
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De l'absent de s'amie
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Syrtes) - Sur la nappe ouvragée où le festin s'exalte
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- Jean de SPONDE (1557-1595) - Tout s'enfle contre moy, tout m'assaut, tout me tente
- Olivier de MAGNY (1530-1561) (Recueil : Odes) - De l'absence de s'amie
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Comme un qui s'est perdu dans la forest profonde
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Le ciel en nuit, s'est déplié
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Quand deux coeurs en s'aimant ont doucement vieilli
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Voici encor de l'heure qui s'argente
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Le poète s'en va dans les champs
- Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, II - Puis s'adressant à Bougainville, il ajouta...
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- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Sonnets pour Hélène) - Tant de fois s'appointer, tant de fois se fascher
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Durant les grand's chaleurs, j'ai vu cent mille fois
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Ballade de s'amie bien belle
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A propos du romancier, Marcel Proust écrit: D'un mot, il peut nous affranchir. Par lui, nous perdons notre ancienne condition pour connaître celle du général, du tisseur, de la chanteuse, du gentilhomme campagnard, la vie des champs, le jeu, la chasse, la haine, l'amour, la vie des camps... Notre infortune ou notre fortune cesse pour un instant de nous tyranniser... C'est pourquoi, en fermant un beau roman triste, nous nous sentons si heureux. Commentez et critiquez.
Marcel Proust considère le romancier comme pouvant être pour nous le faiseur d'une vie nouvelle, et nous transporter de notre existence quelconque, aussi bien mouvementée, pleine de dangers ou de succès, que banale et du premier homme venu. Le roman est et doit être un moyen d'oublier momentanément ou notre joie ou nos soucis. Enfin, ajoute-t-il, un roman bien composé, à la fois bien écrit et bien mené, un beau roman, a le pouvoir de nous rendre heureux pendant un moment, qu'il soit triste et ém...
- Honorat de Bueil, seigneur de RACAN (1589-1670) - Bussy, nostre Printemps s'en va presque expiré
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Coco Chanel aurait déclaré: Il faut mieux suivre la mode, même si elle est laide. S'en éloigner, c'est devenir un personnage comique. Commentez et discutez.
PLAN ADOPTÉ DANS LE DEVOIR I. La nécessité de suivre la mode A . Sa fonction sociale B. L'expression des goûts d'une génération C . Le poids des médias IL La nécessité de prendre ses distances avec elle A . La mode ne doit pas asservir B. Résister aux pressions de la société de consommation C . C réer un espace de liberté et d'individualité DEVOIR RÉDIGÉ La mode est un phénomène social qui touche à tous les aspects de notre vie : vêtements, mais aussi forme du corps, choix des vacances, de la dé...
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Pour Voltaire, la perfection des fables de La Fontaine s'explique par une sorte d'instinct qu'aurait possédé le poéte, d'ailleurs homme assez ordinaire. Etes-vous de cet avis ?
Au XVIIe siècle, on était très frappé du contraste qu'il y a entre la « simplicité » de La Fontaine (le bonhomme), son air gauche, stupide, comme dit La Bruyère avec quelque exagération, et l'art de ses fables qui est divin. On le regardait volontiers comme un grand enfant qui faisait de belles choses sans s'en douter. Mme de La Sablière l'appelait son « fablier. » Aussi n'est-il pas étonnant qu'on se soit servi du terme d'instinct pour caractériser son génie. « Le caractère de ce bonhomme, dit...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Le ménétrier
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Gustave FLAUBERT. Madame Bovary
Gustave FLAUBERT. Madame Bovary Emma, épouse du médecin Charles Bovary, a pris un amant, Rodolphe; elle espérait partir avec lui. Rodolphe se dérobe : elle vient de recevoir une lettre de rupture. « Tout épouvantée, (...) haletante, éperdue, ivre », elle fuit jusqu'à la mansarde située au second étage de sa maison. En face, par-dessus les toits, la pleine campagne s'étalait à perte de ! vue. En bas, sous elle, la place du village était vide, les cailloux du trottoir scintillaient, les girouettes...
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Soir sur la plaine