1044 résultats pour "commentaire jean robertet 14xx exposition couleurs 17110 5559"
- Jean-Paul SARTRE « J'aime New York... » (Situations III, 2)
- Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) (Recueil : Fables) - L'habit d'Arlequin
- Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755)
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Aux monarques vainqueurs la rouge cotte d'armes
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La maison de verre) - Ton visage est le mot de la nuit étoilée
- Jean Ogier de GOMBAULD (1588-1666) (Recueil : Sonnets chrétiens) - Une fleur passagère, une vaine peintur
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Chaque jour un oiseau rencontre ce garçon
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Le Songe de Vaux) - Le Songe de Vaux - Éloge de la Peinture
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Jean de Sponde, "Sonnets sur la mort"
Jean de Sponde, "Sonnets sur la mort" : Tout s'enfle contre moi, tout m'assaut, tout me tente, Et le monde, et la Chair, et l'Ange révolté, Dont l'onde, dont l'effort, dont le charme inventé, Et m'abîme, Seigneur, et m'ébranle, et m'enchante. Quelle nef, quel appui, quelle oreille dormante, Sans péril, sans tomber, et sans être enchanté, Me donras-tu ? Ton Temple où vit ta Sainteté, Ton invincible main, et ta voix si constante ? Et quoi ! mon Dieu, je sens combattre maintes fois Encor avec ton T...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Le Songe de Vaux) - Le Songe de Vaux - Éloge de la Poésie
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Le roman et le théâtre de JEAN GIRAUDOUX
JEAN GIRAUDOUX (1882-1944) Né à Bellac, fils d'un de ces petits fonctionnaires qu'il a spirituellement dépeints, JEAN GIRAUDOUX, après de brillantes études au lycée de Châteauroux, devient normalien, puis agrégé d'allemand. Cet intellectuel se double d'un sportif : il est joueur de rugby et champion de course. En 1910, il entre dans la diplomatie. Pendant la guerre, il est deux fois blessé. En 1917, il accompagne Joffre et Bergson dans leur voyage en Amérique. La suite de sa carrière se dérouler...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Chat, la Belette, et le petit Lapin
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - Après les vents, après le triste orage
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Que pensez-vous de l'attitude exprimée en ces termes par Jean Cocteau: "l'engagement d'un écrivain ? Je suis neutraliste. j'hésite en face de l'engagement"
INTRODUCTION Les formes de la vie moderne établissent une relation de plus en plus étroite entre chacun de nous et le milieu humain dans lequel il se trouve plongé. Les philosophes contemporains ont insisté sur cette « situation » de l'homme « engagé » dans la société. Pour réaliser pleinement sa liberté, chacun doit d'abord définir la nature de ses rapports avec le monde. Les artistes et les écrivains dont les oeuvres tendent à exprimer la sensibilité individuelle ne peuvent pas rester indiffér...
- Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) (Recueil : Fables) - Les deux jardiniers
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JEAN-BAPTISTE ROUSSEAU et le lyrisme formel
JEAN-BAPTISTE ROUSSEAU (1671-1741) JEAN-BAPTISTE ROUSSEAU, fils d'un cordonnier, reçoit une éducation soignée, se fait de puissants protecteurs et acquiert, très jeune, une situation littéraire de premier plan. Mais son arrogance, sa vanité, sa sécheresse de coeur lui attirent des inimitiés. A la suite d'une affaire de pamphlets anonymes, qui n'a jamais été bien éclaircie et dans laquelle il eut contre lui tout le clan de La Motte-Houdar, il est accusé de diffamation et condamné au bannissement...
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Jean-Paul Marat, les Chaînes de l'esclavage
Jean-Paul Marat, Les Chaînes de l'esclavage. L'opinion est fondée sur l'ignorance, et l'ignorance favorise extrêmement le despotisme. C'est elle qui, tenant le bandeau sur les yeux des peuples, les empêche de connaître leurs droits, d'en sentir le prix, et de les défendre. C'est elle qui, leur voilant les projets ambitieux des princes, les empêche de prévenir les usurpations de l'injustice puissance, d'arrêter ses progrès, et de la renverser. C'est elle qui, leur cachant les noirs complots, les...
- THEATRE & CINEMA: Jean Renoir (1894- 1979)
- Les passants - Jean JOUBERT
- L'oeuvre de JEAN ANOUILH
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Paul-Jean Toulet
Paul-Jean Toulet 1867-1920 Pour certains, il est avant tout l'auteur des délicieuses Contre-rimes (1921), où l'émotion frémissante se dissimule sous l'ironie. D'autres, au poète, préfèrent le romancier original et doucement sarcastique de Monsieur du Paur, homme public (1898), du Métier d'amant (1900), du Voyage de Don Quichotte (1902), de Mon amie Nane (1905), etc. Servie par d'admirables amis, la renommée de cet écrivain exquis, et qui fut assez méconnu, n'a cessé de croître à la faveur de pub...
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Jean-François Regnard
Jean-François Regnard 1655-1709 Excellentes études. A dix-sept ans commence à voyager : Constantinople, Italie, Algérie, Hollande, Suède, Laponie, etc. Puis l'existence d'un "épicurien aimable". Il meurt d'indigestion. D'une œuvre très variée où la Provençale, court roman où il raconte sa captivité d'Alger, et le Voyage en Laponie méritent une place à part, on ne peut retenir ici que les meilleures pièces : Attendez-moi sous l'orme et la Sérénade, en prose ; le Bal, en vers ; le Joueur (1700) ;...
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Jean-Louis Vaudoyer
Jean-Louis Vaudoyer 1883-1963 Né au Plessis-Piquet (Seine). Voyageur érudit, conservateur du musée Carnavalet, administrateur du ThéatreFrançais où il monta la Reine morte et le Soulier de satin ce descendant d'une lignée de grands architectes a beaucoup écrit : la Bien-aimée (1909) ; la Maîtresse et l'amie (1912), les Permissions de Clément Bellin (1918), les Papiers de Cléonthe (1919), la Reine évanouie (1923), Peau d'ange (1926) sont ses meilleurs romans. Il a consacré de nombreux essais à la...
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MUSIQUE: Jean-Baptiste Lully (1632-1687)
Jean-Baptiste Lully (1632-1687) Un magicien de l'harmonie. Travailleur acharné, habile courtisan, génial musicien, à la fois objet de haine et d'admiration, Lully doit à l'amitié et aux faveurs du roi une réussite sans pareille. La musique de Lully participe essentiellement à la grandeur de Versailles. Fils d'un meunier de Florence, Jean-Baptiste entre à 14 ans au service de Mlle de Montpensier. En 1652, il fait partie de la Musique de la cour comme violoniste, acteur et ballerin. Louis XIV adol...
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Le Voyageur sans bagage Jean Anouilh
Sujet d'entrainement au commentaire de texte Lucie He, 1ère 5 Plan détaillé: I) La confusion, le questionnement a) L'incompréhension entre Mme Renaud et Gaston dans les choix et décisions de chacun b) Le trouble de Gaston face à sa relation avec Jacques II) Colère et remord, synonyme d'un mauvais lien avec son passé (rédigé) a) Renaissance d'un conflit entre Mme Renaud et Gaston b) Le reniement et le rejet de Gaston face à son passé dont il est en désaccord Commentaire de texte:...
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COMMENTAIRE SUR MODERATO CANTABILE
>COMMENTAIRE SUR MODERATO CANTABILE: Marguerite Duras est née en 1914, c'est un auteur du XX° siècle qui a une multiplicité de cordes à son arc, elle s'intéressa au cinéma en parallèle à la littérature et aux idées politiques notamment au travers du PCF qu'elle quittera après 6ans d'adhésion. Elle écrivit Moderato Cantabile qui parut en 1958 aux éditions de minuits, cette œuvre s'inscrit dans le nouveau roman dans la mesure où le personnage principale à l'origine appelé « héros » n'a ri...
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Commentaire du « Tombeau de Charles Baudelaire » de Mallarmé
Commentaire du « Tombeau de Charles Baudelaire » de Mallarmé Introduction : Ce poème de Mallarmé fut écrit en 1893 et publié en 1895. Il appartient au genre du tombeau. Pratique littéraire plutôt difficile à circonscrire en raison de l’absence de règles et de critères génériques spécifiques, le tombeau apparaît avant tout comme un dispositif éditorial et structurel mais l’appellation « tombeau » sert aussi à désigner un poème individuel comme c’est le cas pour ce poème et pour l’ensemble des « t...
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THEATRE & CINEMA: Jean-Philippe Rameau (1683 - 1764)
Jean-Philippe Rameau (1683 - 1764) Celui qui fut "le compositeur de la chambre du roi" (Louis XV) composa essentiellement de la musique pour clavecin et pour la scène. Mais il fut également un grand théoricien de la musique. De la théorie au clavecin. Né à Dijon, dans une famille de musiciens, Jean-Philippe Rameau eut un unique professeur, son père, et il travailla en semi-autodidacte tant pour la théorie que pour la composition. Après un séjour à Milan, il fut maître de chapelle à Avignon (1702...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Curé et le Mort
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Le XXe siècle réintroduit les mythes dans le théâtre. Jean Cocteau choisit de réécrire le mythe d'Oedipe dans une tragédie moderne : La Machine Infernale. Quel est l'intérêt d'actualiser le mythe et la tragédie à l'époque contemporaine ?
Le XXe siècle réintroduit les mythes dans le théâtre. Jean Cocteau choisit de réécrire le mythe d'Oedipe dans une tragédie moderne : La Machine Infernale. Quel est l'intérêt d'actualiser le mythe et la tragédie à l'époque contemporaine ? La Machine infernale est une pièce surréaliste de Jean Cocteau, rédigée en 1934. Elle se fonde sur Œdipe roi de Sophocle. 1934 : après la Première Guerre Mondiale, avant la Seconde (mais un an après la montée au pouvoir d'Hitler). Au XXe siècle, de nombreux aute...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
Jean de SPONDE, « Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve ». Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve Qui traîne lentement les ondes dans la mer, Sans que les Aquilons le fassent écumer Ni bondir, ravageur, sur les bords qu'il abreuve. Et contemplant le cours de ces maux que j'épreuve, Ce fleuve, dis-je alors, ne sait que c'est d'aimer ; Si quelque flamme eût pu ses glaces allumer, Il trouverait l'amour ainsi que je le treuve. S'il le sentait si bien, il aurait plus de flots, L'Amou...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Je sens dedans mon âme une guerre civile
Jean de SPONDE, « Je sens dedans mon âme une guerre civile ». 1. Je sens dedans mon âme une guerre civile, 2. D'un parti ma raison, mes sens d'autre parti, 3. Dont le brûlant discord ne peut être amorti 4. Tant chacun son tranchant l'un contre l'autre affile. 5. Mais mes sens sont armés d'un verre si fragile 6. Que si le coeur bientôt ne s'en est départi 7. Tout l'heur vers ma raison se verra converti, 8. Comme au parti plus fort, plus juste et plus utile. 9. Mes sens veulent ployer sous ce pes...
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PEINTURE: Jean-Jacques Waltz, dit Hansi (1873-1951)
Jean-Jacques Waltz, dit Hansi (1873-1951) A l'assaut du pangermanisme. Jean-Jacques Waltz naît à Colmar où son père est conservateur du musée d'Unterlinden. Depuis 1871, l'Alsace est devenue allemande et Hansi, que sa famille élève dans le culte du particularisme alsacien, ne tarde guère à se révolter contre les tentatives de germanisation que font subir aux écoliers les professeurs allemands. «Mon séjour au lycée de Colmar compte parmi les plus mauvais souvenirs de ma vie, dira-t-il ; les rigue...
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Des trois couleurs, gris, tanné et noir
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée
Jean de SPONDE, « Si c est dessus les eaux que la terre est pressée ». 1. Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée, 2. Comment se soutient-elle encor si fermement, 3. Et si c'est sur les vents qu'elle a son fondement, 4. Qui la peut conserver sans être renversée ? 5. Ces justes contrepoids qui nous l'ont balancée 6. Ne penchent-ils jamais d'un divers branlement ? 7. Et qui nous fait solide ainsi cet élément, 8. Qui trouve autour de lui l'inconstance amassée ? 9. Il est ainsi, ce corps...
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Commentaire de texte : Théodore de Banville, « Hérodiade », les princesses (1874), Sonnet XII
Français Commentaire de texte : Théodore de Banville, « Hérodiade », les princesses (1874), Sonnet XII Théodore de Banville est un dramaturge et poète français du XIXe siècle. Il écrit « Hérodiade » (Sonnet XII) dans son recueil Les princesses publié en 1874. Théodore emprunte le mouvement du Parnasse dans ce poème qui est un mouvement très à la mode à la fin du XIXème siècle. Le Parnasse est un mouvement poétique qui s’oppose au mouvement du lyrism. Il en est tout le contraire, car l...
- Charles FONTAINE (1515-158x) - Chant sur la naissance de Jean, second fils de l'auteur
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Jean-Baptiste Antoine Suard
Jean-Baptiste Antoine Suard 1733-1817 Collaborateur du Journal étranger (1754), de la Gazette littéraire de l'Europe, de la Gazette de France, des royalistes Nouvelles politiques sous le Directoire, du Publiciste du 18 Brumaire à 1810, des Archives littéraires de l'Europe, du Journal de Paris... Un vrai journaliste. Et presque tous ses autres écrits ont quelque rapport à sa profession. Censeur royal, il accepta le dangereux Mariage de Figaro. Mais cela ne compense pas tout a fait sa porte f...
- JEAN FERRAT - Nuit et brouillard
- JEAN-JACQUES ROUSSEAU, Les Confession
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Jean-François de Saint-Lambert
Jean-François de Saint-Lambert 1716-1803 A vingt-six ans, il devint l'amant de Madame du Châtelet, qui en avait trente-six. Mais Voltaire en avait cinquantequatre et pardonna. La pauvre "Emilie" mourut d'ailleurs peu après, assez tragiquement. Puis, pendant près d'un demi-siècle, il fut fidèle à Madame d'Houdetot. C'est à elle et à la faveur qu'il rencontra dans les salons (Madame Geoffrin, Mademoiselle Quinault, Madame Necker) qu'il doit sa réputation. Son grand poème, les Saisons (1769), en qu...
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Jean Anouilh, Antigone, (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) - Épitaphe d'un paresseux
- Jean GOUDEZKI (1866-1934) - Invitation
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Jean Anouilh, Antigone, extrait (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est cela,...
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Exposition et dénouement
Exposition et dénouement L'exposition lance l'intrigue; le dénouement clôt l'action. Les analyser ensemble peut donc de prime abord sur prendre. Mais, bien que dans la structure d'une pièce ils soient à l'exact opposé l'un de l'autre, l'exposition et le dénouement posaient aux dramaturges classiques les mêmes problèmes, appelant souvent les mêmes solu tions. Aucun d'eux ne les concevait séparément. Il fallait déjà songer au dénouement quand on composait l'exposi tion, et se souvenir...
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Quelles sont les véritables différences entre la prose et ta poésie ?
Introduction : a) On a souvent tendance à croire que tout ce qui s'écrit en vers est poésie, que tout ce qui s'écrit en prose est... disons : prose, faute d'un meilleur mot. b et c) Mais les faits sont là pour démentir cette opposition élémentaire. I. — Le démenti des faits : a) La versification n'est pas la poésie. Fénelon écrivait déjà dans la Lettre à l'Académie : « Il y a des gens qui font des vers sans poésie ». La poésie ne se réduit pas, en effet, au seul respect des règles de versificati...
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De l'astrologie, telle qu'elle est bâtie depuis des millénaires sur des connaissances dépassées, et largement, depuis quatre siècles, il ne reste rien... Et pourtant, des millions de gens continuent à y croire sans y croire, et à alimenter une industrie florissante... Le goût du merveilleux, l'inquiétude de la vie quotidienne et ses difficultés : certes, on comprend ! Mais il n'est pas possible de ne pas proclamer qu'il vaudrait mieux diffuser dans le public la compréhension des faits
étude de la citation Lorsqu'une citation est très longue — le libellé parle d'extrait —il convient de procéder à une véritable explication. Dès la première lecture, on constate que l'auteur prend le parti de la physique contre l'astrologie, de la vraie science contre la fausse science, impression justifiée par l'appartenance de J.-C. • Quelles sont les disciplines en présence ? D'un côté la science exacte, aux faits avérés (prouvés, réels), cohérents (en accord avec la droite logique), de l'autr...
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- Est ce que la scène d'exposition au théâtre avec ses contraintes et ses conventions est propice à a la créativité théâtrale ?
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Jean de La Fontaine
Jean de La Fontaine Il ne semble pas que les temps soient à La Fontaine. Nous avons besoin de héros et de prophètes. Suivre son humeur, être libre, n'être que soi, mais l'être en pur artiste : voilà l'auteur des Fables. Il n'est qu'un promeneur ; tout le tente et l'amuse ; s'il enseigne (pourquoi pas ?), il s'amuse encore. Il n'est pas sérieux. Il n'a rien d'actuel. Non, La Fontaine n'est pas un héros, ni dans la vie, ni dans les Lettres. De tous nos grands écrivains, le plus discret, le plus "...