1136 résultats pour "contr+amours"
- CHARLES D'ORLÉANS
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LES FRÉNÉTIQUES
Les poètes « frénétiques » sont des révoltés, en lutte ouverte contre toutes les valeurs consacrées. Leur attitude répond à un besoin ardent de se dépasser en affirmant, par le défi ou le blasphème, la toute-puissance de l'homme Pétrus Borel (1809-1859) publia en 1832 un recueil de Rhapsodies, tumultueuses variations en vers sur le thème de la révolte; puis des contes cruels, réunis sous le titre Champavert (1833); enfin un roman au style parfois apocalyptique, Madame Putiphar (1839). Borel lass...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Romances) - Un moment
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Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Valentines) - Jaloux
Germain Nouveau, Valentines, « Jaloux ». 1. En été dans ta chambre claire, 2. Vers le temps des premiers aveux, 3. (Ce jeu-là paraissait Te plaire) 4. On ouvrait parfois Baudelaire, 5. Avec ton épingle à cheveux, 6. Comme un croyant ouvre sa Bible, 7. En s'imaginant que le Ciel, 8. Dans un verset doux ou terrible, 9. Va parler à son coeur sensible, 10. Quelque peu superficiel ; 11. D'avance on désignait la page 12. A droite ou bien à gauche, et puis, 13. Par un chiffre le vers, ce mage 14. Qui...
- Anatole FRANCE (1844-1924) (Recueil : Idylles et légendes) - La part de Madeleine
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Vous qui habitez l'Orque noir
- Charles SAINTE-BEUVE (1804-1869) (Recueil : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme) - La veillée
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Allez en paix
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- Honoré d'Urfé
- Rousseau - Préface de Julie ou La Nouvelle Héloïse
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - Glaucé
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - La blanche Aminte
- Stuart MERRILL (1863-1915) (Recueil : Petits poèmes d'automne) - Ce fut en un soir où les chansons
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Par quelles qualités, particulièrement françaises, Molière vous paraît-il mériter l'admiration durable de la France ?
Molière fut très combattu de son vivant, mais après sa mort, on lui rendit justice et la postérité ne s'est jamais démentie à son égard... Les Romantiques traitèrent Boileau de perruque et Racine de polisson, ils professèrent toujours la plus grande admiration pour Molière, comme pour Corneille. Ici le peuple est d'accord avec les lettrés. Il n'est pas d'écrivain plus aimé et plus populaire. Celte admiration durable s'explique parce qu'en lui plus qu'en aucun autre nous reconnaissons « les quali...
- Flaubert, l'Éducation sentimentale, I, 1 - Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans...
- Jean RACINE (1639-1699) (Recueil : Cantiques spirituels) - A la louange de la Charité
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Les morts
- "La BRUYERE - De la Cour ", 74 (1re Édition)
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Odes en son honneur) - Laisse dire la calomnie
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Louis Aragon (1897-1982) : Maintenant que la jeunesse
Indications: Analysez le texte de Louis Aragon, "maintenant que la jeunesse" en répond à une de ces deux questions: Quel regard le poète porte-t'il sur lui même? OU Dégagez l'image de la jeunesse a partir de ce poème. voici le texte: Louis Aragon (1897-1982) Maintenant que la jeunesse s'éteint au carreau bleui maintenant que la jeunesse machinale m'a trahi maintenant que la jeunesse tu t'en souviens, souviens-t-en maintenant que la jeunesse chante à d'autres le printemps maintenant que la jeune...
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Charles Baudelaire : Je n'ai pas oublié, voisine de la ville... (Les Fleurs du Mal, Spleen et Idéal, LXX, 1857).
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Spleen et Idéal, LXX, « Je n'ai pas oublié, voisine de la ville... ». 1. 2. Je n'ai pas oublié, voisine de la ville, 3. 4. 5. 6. 7. Sa Pomone (1) de plâtre et sa vieille Vénus (2) Notre blanche maison, petite mais tranquille ; Dans un bosquet chétif cachant leurs membres nus, Et le soleil, le soir, ruisselant et superbe, Qui, derrière la vitre où se brisait sa gerbe, Semblait, grand oeil ouvert dans le ciel curieux, 8. Contempler nos dîners longs et s...
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AMYOT
AMYOT (1513-1593) D'humble origine, JACQUES AMYOT, poussé par le goût des études, quitte en 1526 Melun, sa ville natale pour Paris. Dès la fondation du Collège des lecteurs royaux, il est élève de l'helléniste Danès. Il devient ensuite, grâce à l'appui de Marguerite de Navarre, professeur à l'Université de Bourges. Chargé de missions officielles en Italie, il en profite pour étudier des manuscrits anciens. Henri II le choisit comme précepteur de ses fils, les futurs Charles IX et Henri III. Amyo...
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) - En la nef de bonne nouvelle
- Rosemonde GÉRARD (1871-1933) - L'éternelle chanson
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- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Fleur d'enfance
- STENDHAL: résumé complet de sa vie et de ses oeuvres
- Flaubert, L'Education sentimentale
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Les rêves morts
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - L'irrémédiable
- Flora Tristan - Le tour de France (Tome 1)
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Le cartésianisme
Le cartésianisme Le grand responsable du durcissement de la ligne galiléenne et le génie de l'esprit nouveau est « notre Descartes, né pour découvrir les erreurs de l'Antiquité, mais pour y substituer les siennes » (Voltaire, Treizième Lettre philosophique). Après avoir construit, dans l'isolement, une oeuvre monumentale, Descartes acquiert, dès la seconde moitié du siècle, un prestige grandissant, qui en fait le rival triomphant d'Aristote comme père de la philosophie. Il le doit surtout au fam...
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« La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument », a prétendu Victor Hugo. Commentez ?
« La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument », a prétendu Victor Hugo. Commentez. Introduction : a) La poésie, qui chante nos joies ou nos douleurs, est éternelle. Mais doit-elle sa pérennité à sa Beauté ? b) Victor Hugo ne semble pas croire à cette explication quand il écrit : « La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument ». c) Qu'entend-il par là et pouvons-nous être d'accord ? I. — Thèse de Hugo : Elle exprime une double conception : A. — La poésie n'est pas un ornem...
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- Flaubert, l'Éducation sentimentale, I, 1 - Ce fut comme une apparition...
- Racine, Britannicus, acte II, scène 2
- Molière, L'École des femmes, Acte IV, scène 5
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - La dame en pierre
- Boccace
- François de MALHERBE (1555-1628) - Sur le mariage du roi et de la reine
- Arthur Rimbaud
- François de MALHERBE (1555-1628) - Dure contrainte...
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- Flaubert, Madame Bovary, (la mort de Charles).
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L'originalité de Maupassant
1 Le pessimisme La vision du monde chez Maupassant révèle un pessimisme invétéré, qui s'est exprimé sous des formes diverses au cours de sa carrière littéraire. LA NÉGATION DE L'ESPÉRANCE Maupassant nie comme à plaisir tout ce qui peut entretenir l'espérance chez les hommes. Il dépasse sur ce point Flaubert, qui croyait au moins à l'art; et il s'apparente à Schopenhauer, en qui il reconnaît « le plus grand saccageur de rêves qui ait passé sur la terre ». Maupassant nie la Providence, car Dieu «...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - Une statue (1)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - La neige
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Il paraît qu'il est immoral de parler de soi. Moi je ne sais guère que parler de moi. Le moi n'est pas du tout haïssable, bien au contraire, écrit Paul Léautaud dans son Journal. Qu'en pensez-vous ?
Blaise Pascal dans une formule célèbre des Pensées proclame que « le moi est haïssable ». Il s'en explique au nom de valeurs morales : « En un mot, le moi a deux qualités : il est injuste en soi, en ce qu'il se fait centre de tout ; il est incommode aux autres, en ce qu'il les veut asservir : car chaque moi est l'ennemi et voudrait être le tyran de tous les autres ! » (VII, 455). C'est pourquoi Pascal condamne les Essais de Montaigne : « Le sot projet qu'il a de se peindre ! » (II, 62). Trois si...
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Qu'il soit permis au folâtre poète...
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La vertu par le chant) - Manque d'illusions
- Quelles sont les caractéristiques du héros romantique ?
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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit d...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans quelque ville morte, au bord de l'eau