1757 résultats pour "c+est+a+dire"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Le cantique de Bethphagé
- Lle théâtre africain
- Camus, L'Étranger - Meursault dans le prétoire.
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Écrivez un apologue en prose ayant pour morale la phrase de Cioran : La misère n'est pas un état transitoire : elle coïncide avec la certitude que, quoi qu'il arrive, vous n'aurez jamais rien, que vous êtes né en deçà du circuit des biens, que vous devez combattre pour respirer, qu'il faut conquérir jusqu'à l'air, jusqu'à l'espoir, jusqu'au sommeil. ?
Écrivez un apologue en prose ayant pour morale la phrase de Cioran : La misère n'est pas un état transitoire : elle coïncide avec la certitude que, quoi qu'il arrive, vous n'aurez jamais rien, que vous êtes né en deçà du circuit des biens, que vous devez combattre pour respirer, qu'il faut conquérir jusqu'à l'air, jusqu'à l'espoir, jusqu'au sommeil. Examen du sujet Le sujet est un sujet d'invention, combinant une contrainte formelle avec une contrainte thématique. La contrainte formelle est la...
- Camus, La Peste, Incipit.
- Beckett, En attendant Godot. I.
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Gustave Flaubert
Gustave Flaubert Avant que fussent publiées les OEuvres de Jeunesse et la Correspondance de Flaubert, Emile Faguet put prétendre qu'il y avait en lui un romantique et un réaliste acharnés à se combattre, et qui écrivirent, le premier La Tentation de saint Antoine, Salammbô, Hérodias, le second Madame Bovary, L'Education sentimentale, Un Coeur simple. Explication séduisante, à première vue, d'une dualité qui n'est qu'apparente : quand on y regarde de plus près, on aperçoit vite qu'il y a tout au...
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Un critique moderne écrit à propos de la Lettre à d'Alembert sur les spectacles. « C'est cette curieuse liaison entre le sentiment, la littérature et la politique, qu'il faut dévoiler ». Votre lecture de l'oeuvre de Rousseau inscrite au programme vous semble-t-elle éclairée par cette affirmation ?
Un critique moderne écrit à propos de la Lettre à d'Alembert sur les spectacles. « C'est cette curieuse liaison entre le sentiment, la littérature et la politique, qu'il faut dévoiler ». Votre lecture de l'œuvre de Rousseau inscrite au programme vous semble-t-elle éclairée par cette affirmation ? La Lettre à d'Alembert de Jean-Jacques Rousseau s'inscrit dans le cadre d'une controverse intellectuelle autour de points particuliers de l'article « Genève » de l'Encyclopédie, et notamment concernant...
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- Gavalda, Ensemble c'est tout. Chapitre 18
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Qui dira ma robe fourrée
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Comment un auteur peut-il contribuer à améliorer la société à travers ses oeuvres ?
Sujet : Comment un auteur peut-il contribuer à améliorer la société à travers ses oeuvres ? Problématique : Le sujet propose d'aborder le rôle de l'auteur et la fonction de l'œuvre au sein de la société. Il s'agit vraisemblablement de discuter de la mission de l'homme de lettres et de sa capacité à faire évoluer les mentalités (par extension la société) vers un idéal. De ce fait, il est intéressant de se s'interroger sur la manière dont procède les auteurs pour contribuer à améliorer la société...
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Les ennemis de Boileau : Cotin, Boursault, Pradon, etc., lui ont violemment reproché d'avoir choisi le plus misérable des métiers, celui de satirique. Boileau s'est justifié dans la satire IX, A son esprit, où il démontre qu'il a toujours épargné les personnes, la vie privée; mais que c'est son droit et même son devoir, puisque c'est son tempérament, de dénoncer les méchants écrivains. Que pensez-vous de cette justification ?
Les ennemis de Boileau : Cotin, Boursault, Pradon, etc., lui ont violemment reproché d'avoir choisi le plus misérable des métiers, celui de satirique. Boileau s'est justifié dans la satire IX, A son esprit, où il démontre qu'il a toujours épargné les personnes, la vie privée; mais que c'est son droit et même son devoir, puisque c'est son tempérament, de dénoncer les méchants écrivains. Que pensez-vous de cette justification? Le sujet peut être conçu soit comme un « sujet général » : quels sont l...
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est en toi, bien-aimé, que j'écoute
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Cardinal de Retz
Cardinal de Retz 1614-1679 Archevêque à vingt-neuf ans, avec "l'âme peut-être la moins ecclésiastique qui fût dans l'univers", ambitieux, amoureux de tous les succès, Jean-François-Paul de Gondi, cardinal de Retz, déploya dans la Fronde une activité dont rendent compte ses admirables Mémoires, qui sont d'un très grand écrivain et, sinon d'un véritable politique, du moins d'un homme qui excelle à déceler les ressorts secrets des grandes affaires. Après bien des intrigues, il termina sa vie dans u...
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - C'est un grand mal se sentir offensé
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Michel Eyquem de Montaigne
Michel Eyquem de Montaigne On peut faire de Montaigne quatre ou cinq portraits différents et vrais. C'est un sceptique ou même un cynique, c'est un stoïcien, c'est un catholique, c'est un humaniste... Sur quelques-uns de ses sujets préférés, il a passé du pour au contre. Il a enseigné qu'il fallait laisser les passions qui "nous esclavent à autrui". Mais il a aimé La Boétie d'une amitié si absolue que vingt-cinq ans après sa mort il lui semblait encore vivre sous ses yeux. "Lui seul, dit-il, jo...
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Peut-on apprendre en s'amusant ?
Étymologiquement, "apprendre" aurait pour origine le latin "apprehendere" qui signifie saisir ou prendre. Il y aurait donc dans le fait d'apprendre une certaine forme d'appropriation, de prise de possession. Apprendre dès lors c'est saisir et faire mienne une connaissance, un savoir. Le verbe s'amuser lui vient de la racine celte « muser » qui signifie se promener, flâner le museau en l'air. L'emploi traditionnel de ce mot renvoie à une activité futile qui détourne l'esprit des choses importante...
- Tout dire - Paul Eluard
- La Rochefoucauld, Mémoires, Portrait de lui-même,
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FÉNELON - François de SALIGNAC DE LA MOTHE
FÉNELON - François de SALIGNAC DE LA MOTHE Aux remarquables couples antithétiques que forment les philosophes, Descartes et Pascal ; les dramaturges, Corneille et Racine, il faut joindre celui des prélats de génie que furent Bossuet et Fénelon. Aux contrastes qui les opposent les uns et les autres dans les caractères de leur création, il faut, à chaque fois, ajouter l'affrontement des personnes : courtois mais perceptible dans la relation entre les philosophes, âpre dans la rivalité entre les dr...
- Le vicomte de BLOSSEVILLE (x-1480) - C'est grand peine que de vivre
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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit d...
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie II.
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« L'idée même que la signification d'une oeuvre valable puisse être épuisée après deux ou trois lectures est une idée frivole. Pire que frivole : c'est une idée paresseuse », écrivait Claude-Edmonde Magny en 1950 dans Histoire du roman français depuis 1918. En vous appuyant sur des exemples précis que vous emprunterez à la littérature et, éventuellement, à d'autres formes artistiques, vous montrerez pourquoi certains aspects essentiels d'une oeuvre ne se livrent que peu à peu et commen
« L\'idée même que la signification d\'une oeuvre valable puisse être épuisée après deux ou trois lectures est une idée frivole. Pire que frivole : c\'est une idée paresseuse », écrivait Claude-Edmonde Magny en 1950 dans Histoire du roman français depuis 1918. En vous appuyant sur des exemples précis que vous emprunterez à la littérature et, éventuellement, à d\'autres formes artistiques, vous montrerez pourquoi certains aspects essentiels d\'une oeuvre ne se livrent que peu à peu et comment l\'...
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- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - La nuit d'octobre
- Musset, Lorenzaccio, Acte II, scène 2
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Arthur Schnitzler
Arthur Schnitzler 1862-1931 Reconnu comme le peintre de la bourgeoisie riche et mondaine de Vienne à son apogée c'est-à-dire à la fin du XIXe siècle, il était aussi l'observateur aigu des relations amoureuses, du goût du plaisir, et de la peur de la mort. Né le 15 mai à Vienne, fils d'un célèbre médecin autrichien, il fut lui-même médecin et exerça la plus grande partie de sa vie, se passionnant pour la psychiatrie et suivant de près le travail de son compatriote et contemporain, Sigmund Freud q...
- Guy Goffette, Solo d'ombres (1983), « Maintenant c'est le noir »
- Auguste VILLIERS DE L'ISLE-ADAM, Le réalisme dans la peine de mort.
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Bernanos donnait, à la question: Quel personnage de roman ou de théâtre vous est le plus sympathique ? La réponse suivante: Don Quichotte. Vous-même, en réfléchissant à ce que représente la notion de sympathie vis-à-vis des héros de fiction et en faisant appel à vos souvenir de lectures ou d'études, quel personnages de roman ou de fiction pourrez-vous citer ?
Introduction Don Quichotte étant devenu par la grâce de Massenet et de... Jacques Brel, personnage de théâtre autant que de roman, c'est à la scène que nous emprunterons notre héros le plus sympathique, ce qui ne veut pas dire le plus beau ou le plus vertueux mais celui que nous aurions voulu connaître et avec qui il nous aurait plu de vivre... au moins un moment. Développement (Schématique) Nous choisirons, dans l'œuvre de Brecht, Mère Courage, ainsi appelée « parce qu'elle a peur de perdre son...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dieu) - Âme ! être, c'est aimer...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Odes politiques) - Contre la peine de mort
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- Madame de Staël, Corinne ou l'Italie, 1807.
- Marivaux, Le Jeu de l'amour et du hasard, acte II, scène 12.
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies de jeunesse) - Les écrivains
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Ma foi, c'est fait de moi ...
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Anouilh: Antigone face à Créon
[Antigone a désobéi aux ordres du roi Créon, son oncle. Elle a enseveli le corps de Polynice, son frère. Elle encourt, par sa désobéissance, la peine de mort. Dans cette scène, Antigone comparaît devant Créon qui cherche à s'expliquer sa conduite et à lui sauver la vie. Créon la regarde et murmure soudain. — L'orgueil d'Œdipe. Tu es l'orgueil d'Œdipe. Oui, maintenant que je l'ai retrouvé au fond de tes yeux, je te crois. Tu as dû penser que je te ferais mourir. Et cela te paraissait un dénouemen...
- POURQUOI ÉCRIVEZ-VOUS ? - Eugène IONESCO, Notes et Contre notes, 1962
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : Satires) - Damon, ce grand auteur ...
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre I.
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- Marivaux, Préface à La Voiture embourbée, 1715.
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La mise en scène est-elle une recréation ?
La transposition de l'œuvre théâtrale vers sa représentation pose le problème de la fidélité au texte. Pour ces raisons il est intéressant de s'interroger sur le rôle du metteur en scène : peut-il ou doit-il rester fidèle à la pièce qu'il souhaite faire jouer? La mise en scène est-elle l'aboutissement de la création ou une recréation inévitable? I/Texte et représentation : deux éléments complémentaires · Le théâtre comprend différents types de pièces (comédie, drame, tragédie, tragi-comédie)....
- Marivaux (1688-1763), L'île des esclaves (1725).
- FURETIÈRE, Le Roman bourgeois, 1666 Avertissement du libraire au lecteur
- Marivaux, L'Île des esclaves, scène 1.
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - C'est le paysage longtemps ...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Élégies) - Élégie sixième
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Georges Bernanos
Georges Bernanos Né à Paris, de père lorrain et de mère berrichonne, Georges Bernanos a pour vrai terroir l'Artois. C'est dans cette province, à Fressin (Pas-de-Calais) qu'était la maison de famille. Comme elle servait aux réunions du doyenné, l'enfant y connut beaucoup de prêtres. Après plusieurs collèges et petits séminaires à Paris et à Bourges, c'est en Artois, au collège Sainte-Marie d'Aire-sur-la-Lys, qu'il reçut sa formation décisive ; enfin c'est en Artois qu'il situera ses romans. Il es...
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- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions. Epilogue (Livre IV)
- « Un personnage n'est jamais qu'un morceau intime de nous-même, et toute oeuvre, quelle qu'elle soit, est une confession qui subit une métamorphose ». Pierre Jean Jouve, Commentaires, Mercure de France, 1950.