1707 résultats pour "s+arreter"
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Les deux Coqs
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Cochet, le Chat, et le Souriceau
- Jules LAFORGUE, "Soleil couchant", Les Complaintes (1885).
- Maupassant, Bel-Ami, II, chapitre 8.
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Béguinage flamand
- Calderon, La vie est un songe, Troisième journée
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Destins
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Hérodote
Hérodote Taine aurait pu appliquer au Père de l'Histoire sa théorie de la race, du moment et du milieu pour montrer que l'ouvrage d'Hérodote était déterminé à l'avance, puisque son auteur appartenait à ce peuple grec si curieux, si intelligent, si désireux de connaître, de décrire et de rapprocher, puisqu'il vivait au siècle du grand conflit entre Hellènes et Perses qui forment le sujet de son récit, puisque, étant né en Carie, en pays non grec, il était capable par expérience de comprendre bien...
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- Louise ACKERMANN (1813-1890) (Recueil : Poésies philosophiques) - Pascal
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Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil
Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil, Et d'un grave souris à chacun faire fête, Balancer tous ses mots, répondre de la tête, Avec un Messer non, ou bien un Messer si : Entremêler souvent un petit E cosi, Et d'un Son Servitor contrefaire l'honnête, Et comme si l'on eût sa part en la conquête, Discourir sur Florence, et sur Naples aussi : Seigneuriser chacun d'un baisement de main, Et sui...
- Beaumarchais, le comique et le critique
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Recueillement
Introduction. La vie de Baudelaire fut une méditation de sa douleur. Il en a dit souvent les cruautés. Mais quand il faisait un retour profond sur lui-même, dans le silence et la solitude, quand il songeait à ses péchés, à ses voluptés au goût amer, à ses vains élans vers la pureté, elle lui apparaissait comme revêtue d'une sorte de dignité, car il y trouvait le témoignage d'une conscience vigilante au sein même de ses égarements. Dans ce sonnet, il s'adresse à elle comme à un être humain; il en...
- LES TOURMENTS DE L'AMOUR - Benjamin CONSTANT, Adolphe, 1816
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - La louange du corps humain
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie II.
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Le comique exige, pour produire tout son effet, quelque chose comme une anesthésie momentanée du coeur. Qu'en pensez-vous ?
Introduction « Le comique, a-t-on dit, est vite douloureux lorsqu'il est humain. » En d'autres termes, dès qu'il cesse de s'adresser à l'intelligence pure, dès que pitié, sympathie ou affection entrent en jeu, le rire s'estompe, perd de sa force ou même disparaît. C'est ce que veut dire Bergson par anesthésie du coeur. I. — Demandons tout d'abord à la vie même de nous éclairer cette proposition. Un élève manque une marche et se retrouve assis simplement par terre : ses camarades sourient ; il t...
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) - Voeu
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Les clairs de lune - II
- Maurice BARRÈS, N'importe où hors du monde, 1958
- François-René de Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe (Passage de l'enfant à l'homme) :
- Nathalie Sarraute (1900-1999), Enfance (1983).
- Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux.
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« J'ai l'optimisme de croire qu'on a enfin compris dans les autres sphères de l'Enseignement que plus un auteur est proche de l'enfant dans le temps, plus il a de chance de l'intéresser et de l'enrichir. Toute éducation littéraire doit commencer par les contemporains » écrit Michel Tournier dans Le Vent Paradet (1977). Partagez-vous cette opinion? Vous illustrerez votre pensée par des exemples précis tirés de vos lectures.
« J'ai l'optimisme de croire qu'on a enfin compris dans les autres sphères de l'Enseignement que plus un auteur est proche de l'enfant dans le temps, plus il a de chance de l'intéresser et de l'enrichir. Toute éducation littéraire doit commencer par les contemporains » écrit Michel Tournier dans Le Vent Paradet (1977). Partagez-vous cette opinion? Vous illustrerez votre pensée par des exemples précis tirés de vos lectures. L'éducation des enfants soulève beaucoup de controverses : certains préte...
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JEAN GIRAUDOUX, La Guerre de Troie n'aura pas lieu, II, 5.
O vous qui ne nous entendez pas, qui ne nous voyez pas, écoutez ces paroles, voyez ce cortège. Nous sommes les vainqueurs. Cela vous est bien égal, n'est-ce pas ? Vous aussi, vous l'êtes. Mais nous, nous sommes les vainqueurs vivants. C'est ici que commence la différence. C'est ici que j'ai honte. Je ne sais si, dans la foule des morts, on distingue les morts vainqueurs par une cocarde. Les vivants, vainqueurs ou non, ont la vraie cocarde. Ce sont leurs yeux. Nous, nous avons deux yeux, mes pauv...
- Bernard Clavel, L'Espagnol.
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Intellectualisme et poétique de Valéry
PAUL VALÉRY (187I-I945) Né à Sète, d'origine corse par son père, génoise par sa mère, PAUL VALÉRY, après avoir rêvé d'être marin, se résigne à étudier le droit. En 1890, il rencontre Pierre Louis, qui l'introduit dans le monde littéraire parisien. Il devient le disciple de Mallarmé, l'ami de Gide. Ses premiers poèmes, ses essais en prose le montrent en possession de son esthétique et de sa méthode, mais passent à peu près inaperçus. Il se persuade alors que « le souci de l'effet à produire sur l...
- Ronsard a écrit en 1550 que « la mort guide nos pas » (odes II, 12). Pensez-vous que les poètes doivent en faire un sujet essentiel de leurs textes ?
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les débâcles) - Heures mornes
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La genèse polynésienne
- Molière, L'École des femmes, Acte IV, scène 5
- Honoré de Balzac, Étude de femme, 1830. Fin.
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- Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux1, 1974.
- Zola, Au bonheur des dames.
- Philippe Delerm, La première gorgée de bière, « La bicyclette et le vélo »
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Le génie de BAUDELAIRE
Baudelaire fut toute sa vie un malheureux. Il souffrit de sa solitude morale, de sa gêne matérielle, de ses déceptions de carrière, de ses tares physiques. Toutes ces misères expliquent la profondeur de son « spleen », auquel il tenta d'échapper avec une obstination vaine et pathétique. L'ANGOISSE DU SPLEEN. Le spleen, chez Baudelaire, n'est pas seulement une forme exaspérée du mal du siècle. Certes, le dégoût du monde contemporain arrache au poète des cris de lassitude ou de révolte. Mais son é...
- Jean-François de SAINT-LAMBERT (1716-1803) - La bourrasque d'été
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Musset, Lorenzaccio - Acte III, scène 3
Musset, Lorenzaccio, acte III, scène 3. LORENZO. Tu me demandes pourquoi je tue Alexandre ? Veux-tu donc que je m’empoisonne, ou que je saute dans l’Arno ? veux-tu donc que je sois un spectre, et qu’en frappant sur ce squelette (il frappe sa poitrine), il n’en sorte aucun son ? Si je suis l’ombre de moi-même, veux-tu donc que je m’arrache le seul fil qui rattache aujourd’hui mon cœur à quelques fibres de mon cœur d’autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma...
- Claude-Joseph DORAT (1734-1780) (Recueil : Les baisers) - Hymne au baiser
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - La valse
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- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Curé et le Mort
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Musset, Lorenzaccio, III, 3.
Musset, Lorenzaccio, acte III, scène 3. LORENZO. Tu me demandes pourquoi je tue Alexandre ? Veux-tu donc que je m’empoisonne, ou que je saute dans l’Arno ? veuxtu donc que je sois un spectre, et qu’en frappant sur ce squelette (il frappe sa poitrine), il n’en sorte aucun son ? Si je suis l’ombre de moi-même, veux-tu donc que je m’arrache le seul fil qui rattache aujourd’hui mon cœur à quelques fibres de mon cœur d’autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma vertu? Song...
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Les caractéristiques essentielles du classicisme ?
Puisqu'on vous demande de dégager les caractères essentiels du Classicisme, l'examen de chacun de ces caractères vous fournira naturellement les divers points de votre exposé. Et comme on vous demande de dégager ces traits de vos connaissances sur la littérature française^c'est aussi aux différentes œuvres classiques que vous emprunterez des exemples à l'appui. PLAN DÉTAILLÉ Introduction: Le classicisme. français correspond à la production littéraire d environ vingt-cinq ans : c'est-à-dire qu'il...
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Voltaire a déclaré : « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire. » Sans vous limiter à l'activité de l'auteur de cette réflexion, vous l'expliquerez et en montrerez la portée.
étude de la citation — Cette citation très connue de Voltaire peut plonger le candidat dans l'embarras. En effet, elle est tellement riche de prolongements possibles qu'il ne verra pas d'emblée un plan de discussion. De plus, cette phrase s'inscrit dans la lutte philosophique de Voltaire. Elle y trouve nécessairement ses sources. Il faut toutefois se méfier de cet angle d'approche : le libellé du devoir met le candidat en garde contre cet écueil ; le devoir ne doit pas être une rétrospective de...
- Guy de Maupassant : « La nuit. Cauchemar », extrait de Scènes de la vie parisienne
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NÉAERE (fragment) - Idylles.
NÉAERE (fragment) - Idylles. O! Soit que l'astre pur des deux frères d'Hélène Calme sous ton vaisseau la vague ionienne, Soit qu'aux bords de Paestum, sous ta soigneuse main, Les roses deux fois l'an couronnent ton jardin, Au coucher du soleil, si ton âme attendrie Tombe en une muette et molle rêverie, Alors, mon Clinias, appelle, appelle-moi, Je viendrai, Clinias, je volerai vers toi. Mon âme vagabonde à travers le feuillage Frémira. Sur les vents ou sur quelque nuage Tu la verras descendre, ou...
- Huysmans, Les Similitudes.
- Gautier, Pluie, in Premières Poésies
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- Charles LEVESQUE (1817-1859) - Jubilé en Canada
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Lord Byron
Lord Byron Affligé à la naissance d'un pied-bot, Byron souffrit de cette malformation ; raillé par les autres enfants d'Harrow et rejeté par son premier amour, il se réfugia dans la composition de vers mélancoliques. Étudiant au Trinity College, où il avait accumulé un nombre considérable de dettes, il publia deux recueils de poèmes : Heures de loisir (1807) et Bardes anglais et critiques écossais (1808), et débuta une grande amitié avec Hobbhouse, qui le fera admettre dans le cercle libéral des...