230 résultats pour "jour"
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Oeil éloigné du Jour, qui te recrée
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - Donne moy tes presens en ces jours que la Brume
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Ô Toy par qui jour et nuit je soupir
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - Un jour, quand de lyver l'ennuieuse froidure
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : Vers amoureux) - Maintenant qu'un air doux nous ramene un beau Jour
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Chaque jour un oiseau rencontre ce garçon
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Les jours de fraîche et tranquillé santé
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire !
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Jour de fête aux environs de Paris
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ny voir flamber au point du jour les roses
- Pourquoi le poète n'écrit-il pas dans la langue de tous les jours ?
- Collette - La naissance du jour
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Savetier et le Financier
Jean de La Fontaine, Fables, « Le Savetier et le Financier ». 1. Un Savetier chantait du matin jusqu'au soir : 2. C'était merveilles de le voir, 3. Merveilles de l'ouïr ; il faisait des passages, 4. Plus content qu'aucun des sept sages. 5. Son voisin au contraire, étant tout cousu d'or, 6. Chantait peu, dormait moins encor. 7. C'était un homme de finance. 8. Si sur le point du jour parfois il sommeillait, 9. Le Savetier alors en chantant l'éveillait, 10. Et le Financier se plaignait, 11. Que le...
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« Quand un homme n'a plus rien à construire, ou à détruire, il est très malheureux. » (Alain) ?
ANALYSE Alain étudie ici les causes de l'ennui et ses remèdes. Pour lui, l'origine en est dans la rêverie ou la méditation : l'esprit seul y est occupé. Or, il faut que l'homme sente ses doigts en activité, et qu'il perçoive autre chose que des phantasmes. Si les femmes s'ennuient moins que les hommes, c'est peut-être qu'elles sont sans cesse occupées à des travaux d'aiguille ou de maison. Le vrai remède serait dans quelque occupation secondaire, à côté du métier. Mais on la choisit bien mal le...
- Maupassant: Et il raconta sa vie de chaque jour
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Denis Diderot, Le neveu de Rameau.
Rien ne dissemble plus de lui que lui-même. Quelquefois, il est maigre et hâve comme un malade au dernier degré de la consomption ; on compterait ses dents à travers ses joues. On dirait qu'il a passé plusieurs jours sans manger, ou qu'il sort de la Trappe. Le mois suivant, il est gras et replet, comme s'il n'avait pas quitté la table d'un financier, ou qu'il eût été renfermé dans un couvent de Bernardins. Aujourd'hui, en linge sale, culotte déchirée, couvert de lambeaux, presque sans souliers,...
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Saint-Simon
Saint-Simon Ce qui rend d'ordinaire les "Mémoires" si ennuyeux, c'est que leurs auteurs attendent un âge avancé Pour les écrire. Après avoir passé leur vie à faire la guerre, l'amour de la politique, quand il ne leur reste plus assez de force ou d'esprit pour briller dans ces occupations, ils rédigent leur apologie et donnent un tour historique à leurs petites haines. Saint-Simon, lui, a sacrifié sa vie à ses Mémoires. Il les a commencés à dix-neuf ans et n'a, pour ainsi dire, travaillé...
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
- Résumé :L'Écume des jours de BORIS VIAN
- Victor Hugo, Le Dernier jour d'un condamné.
- Provence, garde-moi - Colette, la Naissance du jour.
- Victor Hugo, Le dernier jour d'un condamné.
- Victor Hugo, Le Dernier jour d'un condamné.
- Boris Vian, L'Ecume des jours, Incipit.
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- Boris Vian, L'Ecume des jours (1946)
- Victor Hugo, Le Dernier jour d'un condamné.
- Edmond LAFOREST (1876-1915) - Baiser du jour
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L'Écume des jours de Boris Vian
Boris Vian, l'auteur mythique de ce merveilleux roman, vécut de 1920 à 1959 une existence démultipliée : ingénieur, inventeur, trompettiste, jazzman, chanteur, acteur, romancier, poète et bon vivant. Mais il était aussi atteint d'une maladie de coeur qui l'emporta, un peu comme Chloé, l'héroïne de son roman L'Écume des jours, dont la mort pathétique annonce, prophétique, celle de son auteur. Colin est un joli garçon, riche, sympathique et désoeuvré. Colin rencontre Chloé. Leur amour bientôt fait...
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Saint Paul
Saint Paul "Paul apôtre, non pas des hommes ni par l'intermédiaire d'un homme, mais par Jésus-Christ..." Celui qui se présente ainsi est sans doute l'un des douze choisis par Jésus-Christ pour être témoins de sa mort et de sa résurrection ? Non ; Paul avertit sans fard : "J'ai persécuté l'Église de Dieu." Qu'il se soit trouvé à Jérusalem en même temps que Jésus, c'est pure conjecture, car il n'en dit rien ; si son regard a rencontré le Christ, ce fut un regard d'indifférence, plutôt d'hostilité...
- Bosquet, « Passage d'un poète », Un jour après la vie, 1984.
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Horace
Horace Il est probable qu'Horace ne s'attarda pas à Rome après l'inoubliable journée du 3 juin de l'an 17 av. JC . Ce jour-là avait été le troisième jour des jeux séculaires solennellement organisés par Auguste et c'est Horace qui avait composé la grande cantate officielle exécutée au Palatin et au Capitole par trente-quatre jeunes gens et jeunes filles choisis parmi les meilleures familles romaines. Il en avait créé la musique aussi bien que les vers. Il avait dirigé lui-même la noble chorale....
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PROUST - Du côté de chez Swann
Une église à laquelle le temps a apporté la majesté des vieilles pierres, l'oeil aiguisé et admiratif d'un jeune enfant et la maturité de l'adulte revivant amoureusement ses souvenirs font renaître cette atmosphère que seules les églises peuvent distiller. L'âge de cette église est imprimé dans ses pierres, offertes à la violence des saisons et des caprices du temps, et ces forces impitoyables qui ont tant marqué l'extérieur s'opposent à la douceur des gestes pieux et au calme des mouvements de...
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- Boris Vian, L'Ecume des jours, (le mariage de Colin et Chloé).
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Jules Supervielle, "San Bernardino", Débarcadères (1922)
Jules Supervielle, Débarcadères, « San Bernardino ». 1. Que j'enferme en ma mémoire, 2. Ma mémoire et mon amour, 3. Le parfum féminin des courbes colonies, 4. Cet enfant nu-fleuri dans la mantille noire 5. De sa mère passant sous la conque du jour, 6. Ces plantes à l'envi, et ces feuilles qui plient, 7. Ces verts mouvants, ces rouges frais, 8. Ces oiseaux inespérés, 9. Et ces boules d'harmonies, 10. J'en aurai besoin un jour, 11. J'aurai besoin de vous, souvenirs que je veux 12. Modelés dans le...
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Victor Hugo, « Soleils couchants »
Introduction Lorsque Victor Hugo compose ce poème il vient de publier Les Orientales où son sens de la couleur se donne libre cours. On peut donc s'étonner de n'y trouver aucun élément descriptif. La vision du soleil couchant, qui va donner l'élan à l'inspiration du poète, est seulement notée d'une manière précise et incolore dans le premier vers. Et même la strophe qu'il consacre au spectacle de la nature est volontairement dénuée de pittoresque. Tout s'efface devant l'ampleur d'une émouvante m...
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Béatrice
Béatrice vers 1265-vers 1290 L'histoire est trop connue pour être vraie. Un petit garçon de neuf ans rencontre à Florence une fillette de son âge. Jeune homme, il la croise de nouveau, dans la rue ; elle sourit. C'est tout. Elle en a épousé un autre ; bientôt, elle sera morte. Lui l'aime depuis l'enfance, l'aimera toujours. Comme il est poète, très grand poète, le plus grand, le seul grand poète selon ses dévots qui l'appellent l'Altissime, il fera de l'Aimée le centre, le soleil de son oeuvre,...
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Un jour d'hiver
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Jour des morts
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Une belle écriture et une bonne othographe sont-elles encore de nos jours des atouts appréciables ?
Introduction Deux opinions ont cours de nos jours : on regrette que les petits enfants, qui apprennent à écrire avec un stylo à bille écrivent mal et, d'autre part, on se moque des grand-mères qui ont une « belle écriture ». Etre moderne, être de son temps, c'est ne pas trop bien écrire et ne pas trop respecter la grammaire. Les speakers de la télévision, qui rougiraient d'employer un imparfait du subjonctif, en sont un bel exemple. Mais en réalité, dans la vie courante, eston apprécié si on écr...
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Gérard de Nerval
Gérard de Nerval Le souvenir de mes belles cousines, ces intrépides chasseresses que je promenais dans les bois, belles toutes deux comme les filles de Léda, m'éblouit encore et m'enivre. Pourtant je n'aimais qu'elle alors. Ces paumes de Gérard de Nerval, qu'il appuie tantôt sur son front ou ses yeux et tantôt contre sa poitrine, sont imprégnées de ce parfum qui nous vient des distances et que nous respirons parfois au lendemain d'un beau jour quand l'imagination, enhardie par un soupçon d'amou...
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- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La vertu par le chant) - Petit jour
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Mémoires d'Outre-Tombe de Chateaubriand - Chapitre 14.
Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe, Livre III, Chapitre 14 Tentation. Bientôt, ne pouvant plus rester dans ma tour, je descendais à travers les ténèbres, j'ouvrais furtivement là porte du perron comme un meurtrier, et j'allais errer dans le grand bois. Après avoir marché à l'aventure, agitant mes mains, embrassant les vents qui m'échappaient ainsi que l'ombre, objet de mes poursuites, je m'appuyais contre le tronc d'un hêtre ; je regardais les corbeaux que je faisais envoler d'un arbre pour s...
- En quoi peut-on dire que Beckett a transformé au XXe siècle l'idée que l'on se fait de la représentation théâtrale ? Vous répondrez à cette question en vous servant d'exemples pris dans Oh les beaux jours ?
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...
- Mellin de SAINT-GELAIS (1487-1558) - Sonnet faict apres le sermon du jour de la trinité 1548
- Vidocq déclaré un jour à Balzac : j'ai le nez fendu comme les chiens chasseurs. Vous aussi vous avez le nez fendu. Nous flairons de loin . En quoi, dans Le Père Goriot, Balzac flaire-t-il de loin ?
- Que faut-il entendre, selon vous, lorsque, de nos jours, on qualifie un paysage, une idée, un sentiment, une révolution ou un être de « romantique » ? Aimez-vous personnellement ce qui est « romantique ». Tentez de fonder votre définition et votre sentiment sur l'évocation précise de quelques exemples probants ?
- La tragédie, dit Racine, demande une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les passions et les sentiments des personnages. Expliquez à l'aide d'exemple ?
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- Un jour, en Sorbonne, un candidat ayant employé la formule connue « le tendre Racine », l'examinateur l'interrompit en disant : « Racine n'est pas tendre, Monsieur, il est féroce. » Vous direz, en vous appuyant sur des faits précis, ce qui a pu faire donner à Racine cette épithète de tendre, et pourquoi d'autres, au contraire, le jugent féroce.
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L'OLIVE de du BELLAY (commentaire)
INTRODUCTION — Une jeune femme à son lever éclipse de sa beauté le jour naissant : L'argument, hérité à travers Pétrarque de la poésie courtoise, est repris par du Bellay dans un sonnet, forme fixe par excellence. Le sonnet, parce qu'il repose sur un jeu d'opposition (rimes, strophes) et grâce à sa structure binaire, facilite l'antithèse en même temps qu'il la circonscrit. Il apparaît donc parfaitement adapté à l'objet du poème : cette opposition conventionnelle de la Femme et du Jour qui rivali...