109 résultats pour "fin"
-
La fin du siècle
La fin du siècle La fin siècle commence en 1885, à la mort de Victor Hugo. Date importante : la même année, Mallarmé ouvre aux jeunes poètes sa salle à manger de la rue de Rome, et Edmond de Goncourt, aux jeunes romanciers, son Grenier d'Auteuil. Certes, les cénacles n'avaient pas attendu 1885 pour s'affirmer en tant que foyer d'activité novatrice. Depuis l'hôtel de Rambouillet si l'on fait abstraction des cours d'amour les poètes avaient toujours éprouvé le besoin de s'assembler pour échanger d...
-
Analyse linéaire juste la fin du monde : en quoi ce prologue est-il atypique ?
Analyse Linéaire 1 – Juste la fin du monde (Jean-Luc Lagarce) LOUIS. – Plus tard‚ l’année d’après – j’allais mourir à mon tour – j’ai près de trente-quatre ans maintenant et c’est à cet âge que je mourrai‚ l’année d’après‚ de nombreux mois déjà que j’attendais à ne rien faire‚ à tricher‚ à ne plus savoir‚ de nombreux mois que j’attendais d’en avoir fini‚ l’année d’après‚ comme on ose bouger parfois‚ à peine‚ devant un danger extrême‚ imperceptiblement‚ sans vouloir faire de bruit ou co...
- Michel Deguy, A ce qui n'en finit pas
- Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - J'ay voulu voyager, à la fin le voyage
- Gilles CORROZET (1510-1568) - Regarder la fin de son oeuvre
-
Faut-il forcément une fin inatendue pour faire un roman ou une piéce de théatre réussie ?
Analyse du sujet et problématisation : Le sujet porte sur la question du dénouement dans deux genres littéraires : le roman et le théâtre. Il semble fondé sur un présupposé : un roman ou une pièce de théâtre propose souvent, voire quasi systématiquement, « une fin inattendue », c'est-à-dire, un dénouement surprenant. Par roman, on entendra un long récit fictif en prose. Par pièce de théâtre, on entendra plus précisément ici le texte dramatique fixant les ressorts de l'intrigue, et déterminant do...
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Rondeaux) - En verrai ge jamais la fin
-
Discutez de propos de Barthes : « De toutes les lectures, la lecture tragique est la plus perverse : je prends plaisir à m'entendre raconter une histoire dont je connais la fin. » ?
Barthes opère un rapprochement entre deux sujets : d'une part, le tragique et la tragédie : c'est le propre de la pièce tragique que de raconter une histoire dont on connaît la fin puisqu'elle s'appuie souvent sur un mythe connu (on a ainsi plusieurs Antigone, plusieurs Electre…). D'autre part, la lecture, qui a priori est justement l'inverse de ce que suppose la tragédie : en effet une tragédie appartient au genre du théâtre et se regarde en communauté ; tandis que la lecture concerne tous les...
-
- Balzac, Le Chef-d'oeuvre inconnu - Vers la fin de l'année 1612...
-
« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit d...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Chanson des oiseaux
-
Lecture linéaire 3 : les lettres elliptiques Jean Luc la garce juste la fin du monde
Lecture linéaire 3 : les lettres elliptiques Jean Luc la garce juste la fin du monde L’extrait étudier : Notre extrait est situé à la scène trois de la première partie c’elle ci porte sur le retour de Louis dans sa famille qui constitue un choc pour chacun des membres de celle-ci. Suzanne la petite sœur est la première à se retrouver en tête à tête avec son frère ici. Nous pouvons déjà remarqué que ce n’est pas un vrai dialogue qui se noue entre eux deux, Suzanne va alors tenter...
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - La spirale sans fin dans le vide s'enfonce
-
Dans ses Réflexions sur le roman, publiées en 1938, le critique Albert Thibaudet distingue les «lecteurs» qui « ne demandent au roman qu'une distraction, un rafraîchissement, un repos de la vie courante» et les «liseurs» pour qui le roman existe « non comme un divertissement accidentel, mais comme une fin essentielle». En vous fondant sur votre expérience personnelle et en vous aidant d'exemples précis, vous direz ce que vous pensez d'une telle distinction.
Dans ses Réflexions sur le roman, publiées en 1938, le critique Albert Thibaudet distingue les «lecteurs» qui « ne demandent au roman qu\'une distraction, un rafraîchissement, un repos de la vie courante» et les «liseurs» pour qui le roman existe « non comme un divertissement accidentel, mais comme une fin essentielle». En vous fondant sur votre expérience personnelle et en vous aidant d\'exemples précis, vous direz ce que vous pensez d\'une telle distinction. Introduction Quand nous ouvrons un...
-
PAUL CLAUDEL, Partage de Midi, III, fin.
Ysé : Vois-la maintenant dépliée, ô Mésa, la femme pleine de beauté déployée dans la beauté plus grande! Que parles-tu de la trompette perçante ? lève-toi, ô forme brisée, et vois-moi comme une danseuse écoutante, Dont les petits pieds jubilants sont cueillis par la mesure irrésistible! Suis-moi, ne tarde plus! Grand Dieu, me voici, riante, roulante, déracinée, le dos sur la subsistance même de la lumière comme sur l'aile par-dessous de la vague! O Mésa, voici le partage de minuit! et me voici,...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Quelle est la fin de tout ?
-
- Jules Romains, Knock, acte III, Scène 9 (fin)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Le crucifix
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Il faut finir mes jours en l'amour d'Uranie
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - La dure épreuve va finir
- Albert MÉRAT (1840-1909) (Recueil : Les chimères) - Le bal allait finir...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Des fleurs fines et mousseuses comme l'écume
- François Tristan L'HERMITE (1601-1655) (Recueil : Les vers héroïques) - Sur la fin de son cours le Soleil sommeillait
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Satan dans la nuit - I
-
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque s'épand sur notre seuil la neige fine
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - De ta lèvre mignarde un fin sucre courant
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Bel albâtre vivant qu'un fin crêpe nous cache
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La fin de l'homme
- Quel est l'intérêt du théatre si l'on connait déjà la fin ?
- Pourquoi les écrivains, même réticents, finissent-ils par se lancer dans l'écriture autobiographique ?
- Voltaire, Candide, chapitre 30 (fin).
-
Samuel Beckett, Oh ! les beaux jours (1963)
Demande d'échange de corrigé de Smith Elodie ([email protected]). Sujet déposé :Commentaire de \"Oh Les Beaux Jours\" de Beckett Oh les Beaux Jours est une pièce a deux personnages, si on peut considere Willie comme un personnage, qui emmetera quelques grognements durant la piece. Elle fait partie de la fameuse trilogie de théâtre de l'absurde de Beckett avec En Attendant Godot et Fin de Partie. Beckett illustre a travers ces oueuvres la condition humaine qui sera confronte a différent problè...
-
-
Sénèque
Sénèque D'une part une vie pleine de faiblesses et de fautes, de l'autre une oeuvre qui contient toute la sagesse antique et une mort que Tacite a immortalisée. Une telle vie n'a rien pu contre une telle fin, ni contre une telle oeuvre. En quoi Sénèque peut étonner. Les faits sont connus. On vante la constance dans l'épreuve et pour échapper à l'exil on flatte bassement un affranchi. On est rappelé par Claude et en même temps que l'on écrit son éloge officiel, on le ridiculise dans cette cocass...
- Honoré de Balzac, Étude de femme, 1830. Fin.
-
Etude linéaire Le Prologue JUSTE LA FIN DU MONDE (2)
Etude linéaire Le Prologue JUSTE LA FIN DU MONDE est une pièce qui s’ouvre par un Prologue, une prise de parole que l’on retrouve dans la tragédie antique. Le lecteur est un peu décontenancé à sa lecture : les propos de Louis sont confus voire ambigus. Il s’agit d’un monologue qui met en scène non seulement une crise personnelle et familiale mais aussi une crise de la communication. Constitué d’une seule phrase, il est écrit sous la forme de versets ; des répétitions, des variations, des c...
- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions. Fin du livre VII.
- IONESCO, RHINOCEROS, 1960, extrait de l'acte III, fin de la pièce.
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - La fin de la journée
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Fin d'hiver
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Fin d'année
-
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Le champ du potier
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Satan pardonné
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - La plume de Satan
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Le cantique de Bethphagé
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Satan dans la nuit - II
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Le soleil était là qui mourait dans l'abîme
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme
- La tragédie, dit Racine, demande une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les passions et les sentiments des personnages. Expliquez à l'aide d'exemple ?
-
- Commentez ces réflexions de Voltaire : « Je, veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. »
- La biographie ou l'autobiographie était jadis une entreprise réservée exclusivement à des personnes célèbres. Au cours des années cette exclusivité c'est peut à peut élargie à des personnes de moins en moins connues, pour aujourd'hui être accessible à presque tous. A la fin de sa propre autobiographie (Les Mots) J.P. Sartre dit : « Tout un homme, fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n'importe qui. » Est-ce que cette affirmation rend elle compte de l'autobiographie à