1757 résultats pour "c+est+a+dire"
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Henry Miller
Henry Miller Henry Miller est né à Yorkville, dans l'État de New York, sous le signe du Capricorne. Au bout de quelques mois, sa famille vint habiter Brooklyn, et il se considérera toujours comme un enfant de Brooklyn, un faubourien. Pendant dix ans il vivra comme il dit "dans la rue", la vie intense, joyeuse, anarchique qui était alors celle de ce quartier populaire et qu'il a évoquée avec verve et truculence dans Black Spring (1936). II notera plus tard que cet "ancien voisinage" est sa patrie...
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Horace
Horace Il est probable qu'Horace ne s'attarda pas à Rome après l'inoubliable journée du 3 juin de l'an 17 av. JC . Ce jour-là avait été le troisième jour des jeux séculaires solennellement organisés par Auguste et c'est Horace qui avait composé la grande cantate officielle exécutée au Palatin et au Capitole par trente-quatre jeunes gens et jeunes filles choisis parmi les meilleures familles romaines. Il en avait créé la musique aussi bien que les vers. Il avait dirigé lui-même la noble chorale....
- Mathurin REGNIER (1573-1613) - Satire III
- Molière, L'Avare, Acte III, Scène V
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William Shakespeare, Macbeth, acte V, scène 8.
William Shakespeare, Macbeth, acte V, scène 7 (dernière scène). MACBETH Pourquoi ferais-je ici sottement le Romain, et mourrais-je sur ma propre épée? Tant que je verrai devant moi des vies, les blessures y seront bien mieux placées. (Rentre Macduff.) MACDUFF Retourne, chien d’enfer, retourne. MACBETH De tous les hommes tu es le seul que j’aie évité : va-t’en, mon âme est déjà trop chargée du sang des tiens. MACDUFF Je n’ai rien à te dire, ma réponse est dans mon épée, misérable, plus sanguinair...
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Joris-Karl HUYSMANS (1848-1907) (Recueil : Le drageoir aux épices) - Le hareng saur
Introduction : Notre texte est un poème en prose de Joris-Karl Huysmans. Notre poème appartient au recueil Le drageoir aux épices qui est la première œuvre de l’auteur publiée en 1774. Huysmans débute sa carrière dans les lettres en adhérant d’abord au groupe naturaliste. Avec les autres disciples de Zola, il participe aux Soirées de Médan. Il souhaite rendre compte de la réalité dans toute la brutalité des sensations. Assez rapidement, il s’éloigne du groupe car il en demande davantage à l’écri...
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Premiers poèmes) - La Solitude
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Lydé
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Selon vous , la littérature a-t-elle le pouvoir de changer la vie, comme le disait Rimbaud ?
Analyse du sujet et problématisation Le sujet invite à une réflexion personnelle sur le pouvoir de la littérature. Par « littérature », il faut entendre toute production de textes écrits à visée artistique et esthétique. On prendra ici littérature au sens plus concret d'œuvre littéraire. L'évocation du pouvoir qu'aurait la littérature de « changer la vie » est ici très générale et vague et appelle plusieurs interrogations qu'il faudra prendre en compte dans le cours du devoir : comment changer l...
- Antoine-Léonard THOMAS (1732-1785) - Ode sur le temps
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Rousseau avait critiqué durement les fables De la Fontaine les jugeant trop complexes et utilisant des exemples mal adaptés tandis que Erasme avait applaudit l'efficacité de L'apologue. Quelle est, selon vous, la portée éducative de L'apologue ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet oppose deux points de vue différents sur la finalité didactique de l'apologue : celui de Rousseau qui se présente comme sceptique à la portée didactique de la fable chez La Fontaine, et, celui d'Erasme qui, au contraire, applaudit son efficacité. La question posée interroge la portée éducative de l'apologue. L'apologue est un discours narratif, souvent allégorique, en vers ou en prose ayant une fonction démonstrative et une visée argumentative et ren...
- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions. Autoportrait
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A mon frère, revenant d'Italie
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Vous composerez un dialogue argumentatif dans lequel deux interlocuteurs défendent leur conception du bonheur. Vous veillerez à ce que chaque interlocuteur prenne en compte tour à tour les arguments de l'autre ?
Analyse du sujet et règles générales et formelles qu'il implique Ce sujet invite à élaborer un dialogue argumentatif, c'est-à-dire qu'il faut mettre en présence, à travers deux interlocuteurs, deux thèses qui s'opposent. Il va donc falloir procéder en deux temps: identifier dans un premier temps les deux thèses en développant l'argumentation, puis, ensuite, se plier aux exigences du dialogue. La discussion doit progresser de manière cohérente, tenir compte des avis opposés, les rapprocher. Il co...
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Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes.
Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes. Le narrateur reconduit à la maison sa grand-mère qui vient d'être victime d'une congestion cérébrale durant une promenade aux Tuileries. Le soleil déclinait ; il enflammait un interminable mur que notre fiacre avait à longer avant d'arriver à la rue que nous habitions, mur sur lequel l'ombre, projetée par le couchant, du cheval et de la voiture, se détachait en noir sur le fond rougeâtre, comme un char funèbre dans une terre cuite de Pompéi. Enfin nous arriv...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Quoi donc c'est un arrêt ...
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- François de MALHERBE (1555-1628) - C'est fait, belle Caliste, ...
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La poésie italienne
La poésie italienne La fin de la Seconde Guerre mondiale constitue dans l'histoire de la poésie italienne contemporaine un jalon qui n'est pas uniquement d'ordre chronologique. C'est surtout une ligne de démarcation, à la fois morale, morphologique et technique, qu'ont du franchir, plus ou moins consciemment, tous les poètes qui s'étaient déjà exprimés antérieurement à cette époque. D'aucuns ont cru devoir, durant les années qui suivirent la guerre, écarter purement et simplement du tableau cert...
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La Frégate La Sérieuse
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les fenêtres) - C'est pour t'avoir vue
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« Voltaire vit, Voltaire dure : il est indéfiniment actuel ». Le XXe siècle offre le spectacle de deux guerres mondiales qui ont fait des millions de morts ; la dénonciation de la guerre par différents écrivains (Cf. Candide chap. III) n'a rien perdu au fil des ans. n'aurait-on pas besoin d'un nouveau Voltaire pour combattre l'intolérance et la haine qui font rage ?
« Une boucherie héroïque » : c'est par cette formule frappante et paradoxale que Voltaire évoque la guerre dans le chapitre III de son Candide. L'auteur de ce conte philosophique a longtemps été tenu pour l'un des exemples les plus fameux, sinon pour le premier, de ces écrivains que le XXe siècle a nomme les écrivains « engagés ». En dépit du caractère légèrement anachronique de cette caractérisation lorsque nous l'appliquons a un auteur du XVIIIe siècle comme Voltaire, nous tiendrons que ce der...
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Je suis tant bien que je ne le puis dire
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Amiel écrit dans son journal: j'ai relu le Cid et Rodogune. c'est puissant, mais on a devant soi des idées héroïques plutôt que des êtres vivants ?
Amiel écrit dans son journal : « J'ai relu le Cid et Rodogune. C'est puissant, mais on a devant soi des idées héroïques plutôt que des êtres vivants. » On peut voir dans ces paroles une condamnation de la psychologie de Corneille en général. En prenant vos exemples dans les pièces de ce poète que vous connaissez le mieux, vous direz si les personnages cornéliens vous paraissent justifier le jugement sévère d'Amiel. On n'a jamais refusé à Corneille la grandeur ni la puissance, tri lui a souvent d...
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« Le philosophe se sert de la fiction comme d'une grille à travers laquelle l'esprit du lecteur doit saisir une intention et une pensée. Dans la mesure où elle renvoie à cette pensée, la fiction est un prétexte et le lecteur doit sentir comme telle ». Vos connaissances du conte voltairien vous permettent-elles d'expliquer cette affirmation ?
Cette citation met en regard deux mondes : d'un côté, le monde du philosophe, qui manie "l'intention" et la "pensée", c'est-à-dire les idées; de l'autre, le monde de l'écrivain et du lecteur, qui repose sur la "fiction". Ces deux mondes sont supposés se rencontrer dans le genre de la fiction philosophique. Les contes philosophiques de Voltaire peuvent en fournir un parfait exemple : ils sont constitués de courtes fictions, qui reposent sur l'art de la simplification et du grossissement, dans le...
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Hugo a écrit: Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi. Qu'en pensez-vous ?
Hugo a écrit: « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi. » Qu'en pensez-vous ? Analyse du sujet et problématisation : Hugo évoque, dans cette phrase des Contemplations, la portée universelle d'une littérature personnelle. Il établit une équivalence entre le « moi » de l'auteur et celui du lecteur( donc de tous les lecteurs potentiels) qui semblent entrer en communion lors de la lecture. Le lecteur refusant...
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Mon seul Sauveur, que vous pourrais-je dire ?
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Analyse linéaire juste la fin du monde : en quoi ce prologue est-il atypique ?
Analyse Linéaire 1 – Juste la fin du monde (Jean-Luc Lagarce) LOUIS. – Plus tard‚ l’année d’après – j’allais mourir à mon tour – j’ai près de trente-quatre ans maintenant et c’est à cet âge que je mourrai‚ l’année d’après‚ de nombreux mois déjà que j’attendais à ne rien faire‚ à tricher‚ à ne plus savoir‚ de nombreux mois que j’attendais d’en avoir fini‚ l’année d’après‚ comme on ose bouger parfois‚ à peine‚ devant un danger extrême‚ imperceptiblement‚ sans vouloir faire de bruit ou co...
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Enfin, puisque c'est Sa demeure
- François de MALHERBE (1555-1628) - C'est assez, mes désirs, ...
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - C'était, dans les vapeurs du nard
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - C'est qu'il nous faut consentir
- Paul SCARRON (1610-1660) - Chanson : C'estoit assés de vos yeux...
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Ce que c'est que la mort
- Céline, Voyage au bout de la nuit - Ce colonel, c'était donc un monstre ! À présent...
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Antoine de Saint-Exupéry
Antoine de Saint-Exupéry Parce qu'il est né dans une famille catholique, aristocratique et provinciale ; parce qu'il était aviateur et que la solidarité de l'équipage fut pour toujours pour lui le modèle des liens qui peuvent exister entre les hommes ; parce que son oeuvre ne nous propose guère que des exemples de courage, d'honneur et de fidélité ; parce que le Petit Prince fait la joie de tous les instituteurs du monde...; parce qu'il est mort "en plein ciel de gloire", à quarante-quatre ans.....
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - C'était au jour piteux que la troupe sacrée
- Max WALLER (1860-1889) (Recueil : La flûte à Siebel) - C'est ainsi
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - C'est presque l'invisible qui luit
- Hector de SAINT-DENYS GARNEAU (1912-1943) (Recueil : Regards et jeux dans l'espace) - C'est là sans appui
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Avec Voltaire, c'est un monde qui finit; avec Rousseau, c'est un monde qui commence (Goethe). qu'en pensez-vous ?
Voltaire et Rousseau ont, en somme, travaillé à la même oeuvre. Cependant on ne peut concevoir d'hommes plus différents. Par son tempérament et ses idées Voltaire regarde le passé, Rousseau annonce et prépare l'avenir.... (Goethe.) I. En morale. Voltaire partage tous les préjugés de son temps : amoureux de la civilisation et de la vie de société, partisan de la science et du progrès par la raison, ennemi de la religion et des prêtres. Jean-Jacques est l'adversaire de la vie factice et des conven...
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- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - C'est une ardeur d'autant plus violente
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - C'était alors que le présent des dieux
- François Tristan L'HERMITE (1601-1655) (Recueil : Les vers héroïques) - C'est fait de mes Destins...
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ce n'est pas le trépas, c'est un très doux sommeil
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est de leurs voix que j'ai redit
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Lors qu'avecque deux mots que vous daignâtes dire
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Diverses amours) - C'était un jour d'été de rayons éclairci
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Me voici ! c'est moi ! Rochers, plages
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L'essentiel dans l'éducation, ce n'est pas la doctrine enseignée, c'est l'éveil disait Renan Qu'en pensez-vous ?
Introduction - A l'heure des réformes de l'orthographe française, des débats sur le maintien ou non de certains examens, l'on peut s'interroger plus profondément sur les finalités de l'éducation. - Un auteur du siècle passé, Renan, proposait déjà un pro-gramme d'éducation qui semble très moderne : « L'essentiel dans l'éducation, affirme-t-il, ce n'est pas la doctrine enseignée, c'est l'éveil. » Il opposait une tâche primordiale à l'éducation, essentielle, celle d'éveiller, à l'accessoire qui ser...
- Décrire un endroit comme le texte de La Bruyère, c'est a dire évoquer avec un regard étranger une réalité bien connue avec une visée critique et satirique (on ne doit pas situer l'endroit).