1515 résultats pour "s+echappe"
-
Miguel Angel Asturias
Miguel Angel Asturias Que ce soit dans l'étroit bureau du journal radiophonique de Guatemala " Diario del Aire ", où je l'ai connu jadis, dans un restaurant du Quartier latin ou dans le grand appartement de Buenos Aires toujours empli de livres et d'amis choisis, Miguel Angel Asturias donne une impression de puissance tranquille et réfléchie, puisée aux sources mêmes de la Nature américaine au sein de laquelle il est né. C'est dans ce Guatemala de la Asunción que naquit l'écrivain, dans la quiét...
- Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - Les gueux de nuit
- PEINTURE: Henri Rousseau, dit le Douanier (1844- 1910)
- Jean Giono, Regain.
-
Guillaume de Lorris
Guillaume de Lorris Le Roman de la Rose, on le sait, a deux auteurs : Guillaume de Lorris et Jean de Meung. Traité de philosophie amoureuse pour le premier, il est devenu chez le continuateur un vaste poème encyclopédique en même temps qu'une satire âpre et brillante de la société humaine. Guillaume de Lorris, qui a laissé son oeuvre inachevée, n'avait pas de si grandes ambitions ; il ne s'est proposé que la mise en action des préceptes de l'amour courtois tel qu'on le concevait alors, mais sa...
-
Gustave Flaubert
Gustave Flaubert Avant que fussent publiées les OEuvres de Jeunesse et la Correspondance de Flaubert, Emile Faguet put prétendre qu'il y avait en lui un romantique et un réaliste acharnés à se combattre, et qui écrivirent, le premier La Tentation de saint Antoine, Salammbô, Hérodias, le second Madame Bovary, L'Education sentimentale, Un Coeur simple. Explication séduisante, à première vue, d'une dualité qui n'est qu'apparente : quand on y regarde de plus près, on aperçoit vite qu'il y a tout au...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - Le bazar
-
Léopold Sédar Senghor
Introduction Léopold Sédar Senghor reprend une longue tradition poétique qui lie la nature et la femme. Mais le lecteur sent fort bien qu'il ne s'agit pas, dans ce poème, d'une simple convention littéraire. La symbiose est totale. La force de la nature africaine, la sensualité, le lyrisme, tout concourt à faire de ce texte un bel hymne à la négritude. Il sera possible d'étudier la correspondance avec le continent et l'éloge vibrant de l'amour. Développement Le plan de la première partie sera plu...
-
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Le vallon) - Ô Beauté nue
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Odelettes) - Sur le pays des chimères
- Esope, Fables « L'Aigle et la renarde »
-
Proust et Swan
J'appuyais tendrement mes joues contre les belles joues de l'oreiller qui, pleines et fraîches, sont comme les joues de notre enfance. Je frottais une allumette pour regarder ma montre. Bientôt minuit. C'est l'instant où le malade, qui a été obligé de partir en voyage et a dû coucher dans un hôtel inconnu, réveillé par une crise, se réjouit en apercevant sous la porte une raie de jour. Quel bonheur c'est déjà le matin! Dans un moment les domestiques seront levés, il pourra sonner, on viendra lui...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - La mort
- Pierre LOUŸS (1870-1925) - Pervigilium mortis
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Une ruelle de Flandre
- Zola, Thérèse Raquin, chapitre 21
-
-
LAMENNAIS: vie et oeuvre
LAMENNAIS (1782-1854) Son nom était Félicité de la Mennais. Mais par un souci égalitaire il se fit appeler FÉLICITÉ LAMENNAIS. Né à Saint-Malo, il passe une jeunesse inquiète, éprouve une grande passion, se bat en duel. En 1816, sous l'influence de son frère aîné, lui-même prêtre, il entre dans les ordres. Il rêve d'abattre l'incroyance. Il s'y emploie dans son Essai sur l'indifférence, ouvrage dont le retentissement est comparable à celui du Génie du christianisme. Autour de lui, se groupent de...
-
Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - L'empreinte
Sujet: Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le cœur innombrable) - L'empreinte Je m'appuierai si bien et si fort à la vie, D'une si rude étreinte et d'un tel serrement, Qu'avant que la douceur du jour me soit ravie Elle s'échauffera de mon enlacement. La mer, abondamment sur le monde étalée, Gardera, dans la route errante de son eau, Le goût de ma douleur qui est âcre et salée Et sur les jours mouvants roule comme un bateau. Je laisserai de moi dans le pli des collines La chaleur de mes yeux...
-
LA POÉSIE AU MOYEN AGE
La poésie française profane n'apparait qu'au 11' siècle. Méprisée par les siècles suivants, la poésie médiévale sera réhabilitée par les romantiques qui s'en inspireront quelque peu. I. LES CHANSONS DE GESTE En France comme en Grèce et à Rome, tout commence par l'épopée. Nées dans un monde féodal qui exalte l'amour de la prouesse guerrière, le sentiment de l'honneur chevaleresque et la foi religieuse et patriotique, les chansons de geste (geste = exploits) sont des poèmes narratifs qui relatent...
- Stuart MERRILL (1863-1915) (Recueil : Petits poèmes d'automne) - Le lierre noir et la rose églantine
- Charles LEVESQUE (1817-1859) - La fiancée
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - L'agonie d'un saint
- Balzac, Le Père Goriot (corruption des ménages : amour et argent).
- Musset, Lorenzaccio, Acte I, scène 6.
-
- Flaubert, Madame Bovary, chapitre 1.
-
Pourquoi moliere est-il le plus populaire des auteurs dramatique francais ?
Si Molière n'a pas toujours trouvé grâce auprès des critiques, il a toujours été apprécié du grand public. A de rares exceptions près, ses pièces connurent, en dépit des cabales, le plus beau succès. Elles tiennent encore brillamment l'affiche, de nos jours. Le choix des sujets, la vigueur de son comique, la vérité de ses peintures sociales et morales, le style, la morale enfin sont autant d'éléments qui expliquent la popularité de Molière. I. Les sujets des pièces de Molière plaisent au grand p...
- Lle théâtre africain
- Rabelais, Gargantua, LV.
- Jean de La Bruyère : «Du Souverain» (Les Caractères, fragment XXIX, 1688)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les ailes rouges de la guerre) - Ceux de Liége
-
Madame de La Fayette
Madame de La Fayette Par le même besoin de variété qui, dans la vie, lui faisait parfois désirer d'être à la place d'autrui “ quand ce ne serait que pour changer ”, Mme de La Fayette, dans son œuvre, va comme en se jouant d'un genre à un autre. Parfois elle revient sur ses pas. En 1622, sa Princesse de Montpensier est aussitôt, entre roman et nouvelle, le triomphe du récit bref et six ans plus tard elle s'amuse à cette longue Zayde à tiroirs. Mais elle ne peut faire qu'un ce ces tiroirs ne cont...
- Dans quelle mesure l'écriture autobiographique peut-elle recréer le passé ?
-
- Les Deux coqs de La Fontaine
-
Musluh al-Din Saadi
Musluh al-Din Saadi vers 1200-1291 Musluh al-Din — connu sous son nom de plume, Saadi (Sa'di) qu'il prit en l'honneur du protecteur de son père : le prince de Chiraz, Saad ben Zengui — naquit en cette ville, au cours des dernières années du XIIe siècle. Pour sa naissance, comme pour son décès, on hésite entre plusieurs dates. A Chiraz régnait alors la dynastie des Salghoris. Après y avoir passé sa jeunesse, Saadi continua ses études à l'Université de Bagdad : il s'y pénétra de mysticisme et inau...
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le cygne
- Chateaubriand, Lettre à Julie Récamier, 1829.
-
Le roman romantique.
Le roman romantique. C'est du XIXe siècle que date le prodigieux essor du roman. Il se développe dans tous les sens, adopte toutes les formes. Une classification est difficile à établir. Mais on peut dégager quelques tendances. Le roman fantastique dérive de l'inquiétude et de l'exaltation romantiques. A ces sentiments fondamentaux viennent se joindre l'influence des légendes allemandes et nordiques, celle du roman noir, la curiosité inspirée par l'occultisme, la sympathie pour les conspirateurs...
-
Réécrire, est-ce imiter ou innover ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet prend place dans l'objet d'étude des « réécritures » en littérature. La réécriture en littérature c'est le fait de réécrire un texte en y apportant des modifications. Ainsi, dans la définition même de cette notion on perçoit déjà qu'il n'est pas question de choisir, de trancher entre imitation et innovation, mais de montrer qu'il s'agit de deux facettes de la réécriture. La notion de réécriture est étudiée par Genette dans Palimpsestes : il crée pour...
- Émile Zola, L'Assommoir, chapitre XIII.
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - Pan
-
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Les clairs de lune - III
- La Bruyère, Les Caractères, Chapitre XI, De l'Homme (Morceau 122)
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Mon âme est triste jusqu'à la mort !
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - La bénédiction de la mer
-
Frédéric Mistral
Frédéric Mistral Il naquit à Maillane, non loin de Saint-Rémy-de-Provence, le 8 septembre 1830. Son enfance champêtre au mas du Juge, sur le domaine du patriarche campagnard qu'était son père, a quelque chose d'évangélique, de même ses études à l'école rurale de Saint-Michel-de-Frigolet, puis au pensionnat Dupuy, en Avignon. Bachelier à Nîmes, puis licencié en droit à A ix, il devait, pour tout usage de ses diplômes, rejoindre paisiblement le mas paternel, où l'appelait une vocation déjà très m...
- Dans le Taureau blanc, Voltaire fait dire à la princesse Armaside : les contes qu'on pouvait faire à la quadrisaïeule de la quadrisaïeule de ma grand-mère ne sont plus bon pour moi [...] Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désir qu'il n'y ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelques vérités fines qui échappent au vulgaire. Vous mont
-
« Quand un homme n'a plus rien à construire, ou à détruire, il est très malheureux. » (Alain) ?
ANALYSE Alain étudie ici les causes de l'ennui et ses remèdes. Pour lui, l'origine en est dans la rêverie ou la méditation : l'esprit seul y est occupé. Or, il faut que l'homme sente ses doigts en activité, et qu'il perçoive autre chose que des phantasmes. Si les femmes s'ennuient moins que les hommes, c'est peut-être qu'elles sont sans cesse occupées à des travaux d'aiguille ou de maison. Le vrai remède serait dans quelque occupation secondaire, à côté du métier. Mais on la choisit bien mal le...
- Nicolas de RAMPALLE (1603-1660) (Recueil : Les Idylles) - Le Départ funeste
-
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie II.
- Théophile de VIAU (1590-1626) - La solitude









