1549 résultats pour "s+attache"
- Charles de Marguetel de SAINT-ÉVREMOND (1616-1703) - Une paisible et longue jouissance
- Sylvie Germain, Livre des Nuits.
- Louise ACKERMANN (1813-1890) (Recueil : Poésies philosophiques) - L'amour et la mort
- Léon DIERX (1838-1912) (Recueil : Les lèvres closes) - Le remous
- Jean Giono, Regain.
- Marcel Aymé, La Vouivre.
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Introduction Ce poème est l'un des quatre qui dans Les Fleurs du mal portent le même titre : « Spleen ». La première partie du livre, où figurent ces quatre poèmes, s'appelle « Spleen et Idéal ». C'est assez dire quelle importance revêt au sein de l'œuvre le thème ici traité et quelles résonances il évoque dans l'âme du poète. On ne saurait donc s'étonner que la qualité de l'expression soit à la hauteur de l'émotion ressentie. « Spleen » nous ouvre de riches perspectives sur l'inspiration et l'a...
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On est parfois tenté de reléguer la tragédie au magasin d'antiquités. Les conflits qu'elle représente nous sont-ils si étrangers ? N'est-elle pour nous que de l'art en perruques ? Et vous paraît-elle dénuée de sens aujourd'hui ?
On est parfois tenté de reléguer la tragédie au magasin d'antiquités. Les conflits qu'elle représente nous sont-ils si étrangers? N'est-elle pour nous que de l'art en perruques? Et vous paraît-elle dénuée de sens aujourd'hui? Introduction La tragédie, ce genre en apparence aussi anachronique que la cantate du Grand Prix de Rome, conquiert pourtant encore aujourd'hui une audience extrêmement vaste : on ne cesse de jouer RACINE et CORNEILLE à la ComédieFrançaise; on redécouvre les grandes tragédie...
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- Ionesco, le Roi se meurt - Commentaire de la tirade sur le chat
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Marguerite Duras - Un barrage contre le Pacifique
La vie qu'on mène n'est pas toujours - pas souvent ? - à la hauteur de nos rêves, ambitions ou illusions... Pour certains, aux jours ternes et monotones de la vie quotidienne, il faut substituer des jours en couleurs, des jours de lumière où l'esprit se perd : quelques-uns s'évadent dans des paradis artificiels, d'autres préfèrent les paradis, plus nobles, de la poésie, d'autres encore - Emma Bovary - s'élancent par des romans faciles vers des cieux plus beaux... Le XXe siècle inventa la plus su...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les rythmes souverains) - Le paradis
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Albertus) - Albertus, XLIV
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UN LOGEMENT NOUVEAU - FLAUBERT, Madame Bovary, 2e Partie, Chapitre II.
UN LOGEMENT NOUVEAU - FLAUBERT, Madame Bovary, 2e Partie, Chapitre II. Emma, dès le vestibule, sentit tomber sur ses épaules, comme un linge humide, le froid du plâtre. Les murs étaient neufs, et les marches de bois craquèrent. Dans la chambre, au premier, un jour blanchâtre passait par les fenêtres, sans rideaux. On entrevoyait des cimes d'arbres, et plus loin la prairie, à demi noyée dans le brouillard, qui fumait au clair de lune, selon le cours de la rivière. Au milieu de l'appartement, pêle...
- Zola (1840-1902) ou le roman naturaliste
- Flaubert - Madame Bovary (1857), I, 8 (Le bal à la Vaubyessard)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) - Les Djinns
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - L'âme de la ville
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - L'orbe d'or
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - Le spectacle
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - L'illusion suprême
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - L'immortalité
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - La révolte
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Les pauvres gens
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La femme adultère
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François de La Rochefoucauld
François de La Rochefoucauld François VI, prince de Marsillac, puis duc de La Rochefoucauld, issu d'une puissante famille de l'angoumois dont les titres de noblesse remontent au XIe siècle, est né le 15 septembre 1613. Marié à quinze ans à A ndrée de V ivonne, il en eut cinq fils et trois filles. Dans sa première jeunesse, il fut de toutes les cabales montées par la duchesse de C hevreuse afin de soutenir la reine A nne d'Autriche contre Richelieu. Mais pendant la Régence, il se retourna contre...
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Alfred de Vigny - LES DESTINEES : LA MAISON DU BERGER
Jean-Jacques Rousseau puis les romantiques ont célébré la nature comme un havre de paix, propice à la méditation. A lfred de V igny, bien qu'il ait su décrire les splendeurs de Paris dans ses P oèmes antiques et modernes, nous invite, dans « La M aison du Berger », à quitter les villes pour trouver la liberté dans la campagne. Dans ce poème des Destinées, l'auteur peint les pouvoirs de séduction de la nature, comme la variété des paysages et la beauté du soleil couchant. Il y ajoute d'autres att...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour le premier ballet de monseigneur le Dauphin. Au roi Henri le grand
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Le barde de Temrah
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pourquoi mon âme est-elle triste ?
- Antoine-Léonard THOMAS (1732-1785) - Ode sur le temps
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L'originalité de Stendhal
LE TEMPÉRAMENT La personnalité de Stendhal apparaît en pleine lumière dans ses trois ouvrages autobiographiques : le Journal, la Vie de Henry Brulard, les Souvenirs d'égotisme. Le passionné. «je sais que je suis très passionné », déclare Stendhal. Il avoue même dans la Vie de Henry Brulard : « La nature m'a donné les nerfs délicats et la peau sensible d'une femme. » L'inflexion d'un mot, l'esquisse d'un geste, suffisent à le mettre au comble du bonheur ou du désespoir : à la mort de sa mère, on...
- Rousseau, La Nouvelle Héloïse. Cinquième partie : Lettre VII (La fête des vendanges ou le sentiment de l'égalité)
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- Musset, Lorenzaccio, Acte I, scène 6.
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Résumé: La Chartreuse de Parme de STENDHAL
La Chartreuse de Parme de STENDHAL En 1798, deux ans après que le général Bonaparte a fait son entrée à Milan, Fabrice del Dongo vient « de se donner la peine de naître » (p. 11). L'imagination passionnée de l'enfant est exaltée à la fois par la beauté des lacs et des collines, près du château de Grianta où résident ses parents ; par l'affection excessive que lui voue sa tante Gina Pietranera auprès de qui il vit des heures enivrantes ; par la figure de Napoléon enfin que lui rappelle comme un p...
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Heinrich Böll
Heinrich Böll Après chaque guerre, des bouleversements profonds surviennent dans la littérature des pays qu'elle a atteints ; après 1918 l'Allemagne s'était abandonnée au délire du théâtre et de la poésie expressionnistes, comme si elle voulait transcender la défaite qu'elle avait subie et en extraire un bouleversant symbole. Le roman allemand d'après 1945 traduit exactement l'ébranlement d'un peuple durement frappé dans sa vie économique et dans ses concepts moraux et cherchant un équilibre ca...
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : Epîtres) - À mon jardinier
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Bertrand de Born
Bertrand de Born vers 1150-avant 1215 S'il était question de donner la palme à l'un de nos grands poètes méridionaux des XIIe et XIIIe siècles, Bertrand de Born, à coup sûr, serait sur les rangs. Du moins apparaît-il comme le type ac hevé du troubadour politique et guerrier. Il naquit vers le milieu du XIIe siècle à Hautefort — Born étant le nom d'un étang et d'une forêt, non loin de là. Il n'est que de se référer à la vieille biographie provençale d'Uc de Saint-C irc, miroir grossissant pe...
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Louise LABÉ: Je vis, je meurs...
Je vis, je meurs: je me brûle et me noie, J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure, Mon bien s'en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, E...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Crimen amoris
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - Le Déluge
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Résumé: A la recherche du temps perdu de MARCEL PROUST
A la recherche du temps perdu de MARCEL PROUST D'une santé fragile, mais d'une vive intelligence, Marcel Proust (1871-1922) fut dès son enfance sensible aux souvenirs qui s'attachent aux lieux familiers. Après avoir renoncé à la carrière diplomatique, il se consacre aux Lettres à partir de 1892. Dès 1907, il conçoit le projet d'un vaste roman dont le premier volet, Du côté de chez Swann, parait en 1913. La mort de sa mère, la solitude, la maladie, l'enferment de plus en plus en lui-même. Il...
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Depuis le XVIIIième siècle, on affirmait la concordance des progrès techniques et du progrès moral. Pensez-vous qu'on ait des raisons aujourd'hui de la remettre en cause ?
Pour la plupart des philosophes du XVIIIe siècle, le progrès scientifique et technique qu'ils appelaient d e leurs vœux devait nécessairement s'accompagner d'un progrès moral d e l'humanité tout entière, le second étant d'ailleurs conditionné par le premier. À chaque pas accompli par l'homme dans le champ du savoir, à chaque progrès de l'esprit, devait logiquement correspondre une évolution positive dans le domaine des mœurs. Les penseurs des Lumières comptaient ainsi sur le génie scientifique p...
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On ne doit écrire, on ne doit parler que pour l'instruction. Discutez ce point de vue de La Bruyère ?
Au XVIIe siècle, la manière de s'exprimer, à la cour de Louis XIV par exemple, prend une importance démesurée dans le jeu social : témoin le mouvement des Précieuses, dont s'est moqué Molière. Parallèlement, l'écriture, via les Fables ou les Caractères, illustre un impératif qui lie l'art au savoir : "docere, placere, movere". La Bruyère est en accord avec son temps lorsqu'il définit à l'expression parlée et écrite une vocation définie, qui est l'éducation : cette vocation prend la valeur d'un d...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Ischia
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Le premier regret
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Odelettes) - Vers dorés
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L'oeuvre de MUSSET
A Le poète Musset nous apparaît tantôt comme un mondain, qui goûte avec avidité la joie de vivre, tantôt comme un passionné, qui aspire avec ardeur à l'extase, finalement comme un désenchanté, qui ne croit plus au bonheur et qui trouve au plaisir une saveur amère. Ces visages divers se retrouvent dans son oeuvre. LA VERVE BRILLANTE. Musset aime les jeux de la rime et du rythme, de l'imagination et de la sensibilité. Au début de sa carrière, il cultive surtout l'acrobatie verbale; quelques années...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les forces tumultueuses) - Les baptêmes
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On a souvent considéré la poésie comme le moyen privilégié d'exprimer ses sentiments ou ses émotions. Cette conception est-elle la seule possible ?
On a souvent considéré la poésie comme le moyen privilégié d'exprimer ses sentiments ou ses émotions. Cette conception est-elle la seule possible ? Quelles sont les fonctions de la poésie ? R : le sujet premier des poésies, c'est l'amour, la célébration de la femme aimée ou le désespoir, la mélancolie... il semble donc que la poésie soit le lieu de l'expression des sentiments (lyrisme...) La poésie est-elle seulement le lieu de l'expression personnelle des sentiments ? Est-ce son seul but, sa se...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - L'infini dans les cieux