2622 résultats pour "s+aimant"
- Paul DESFORGES-MAILLARD (1699-1772) - Le tabac
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La pensée philosophique de Victor HUGO
LE GÉNIE DE VICTOR HUGO A La personnalité. Équilibre, orgueil et générosité apparaissent comme les traits essentiels de la physionomie morale de Victor Hugo. L'ÉQUILIBRE. Victor Hugo n'a rien d'un inadapté ni d'un névrosé; il possède au contraire un équilibre qui lui permit toujours de faire face aux nécessités communes de l'existence. Il jouissait d'une santé robuste; sexagénaire, à Guernesey, il partait, seul, hiver comme été, pour d'interminables promenades; il se délassait de ses travaux lit...
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John Dos Passos
John Dos P assos La place de Dos P assos dans la littérature américaine est manifestement considérable : chez aucun romancier des États-Unis on ne trouve ambition si grande, oeuvre à ce point soucieuse de traduire, sous ses multiples aspects, la confrontation pathétique de l'individu humain avec la plus moderne, la plus téméraire des civilisations. N é à C hicago dans Lakeshore Drive, l'année même où s'affirmait dans tout son éclat, par l'élection de McKinley à la présidence, la puissance du gr...
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Agrippa D'Aubigné
A grippa D'A ubigné A partir de 1668, la vie de ce huguenot est liée à celle d'Henri de Navarre. En 1572, il échappe de peu à la Saint-Barthélemy. P ourtant, il revient à la cour, à peine un an plus tard. En effet, il est l'écuyer d'Henri. P endant des années, il est de tous les combats et, chaque fois, que ce soit à Jarnac, en 1569, à C outras, en 1587, ou à Ivry, en 1590, sa bravoure est remarquée. En dépit de sa fidélité à Henri de Navarre, intransigeant, il n'admet pas la moindre compromiss...
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Vous direz si selon vous le roman et le genre narratif ont seulement pour fonction de distraire le lecteur ?
On entend ordinairement par « distraction » une étourderie de l'esprit, souvent synonyme d'une légèreté, d'une indifférence de la conscience aux problèmes concret qui lui sont posés. La tournure restrictive « ne que » dévalorise visiblement cette attitude, et interroge par extension le genre narratif lui-même. De plus, le recours au terme de « distraction » renvoie implicitement au concept de « divertissement » mis en place par Pascal, et achève de donner à la fonction ludique du genre narratif...
- Flaubert, L'Éducation sentimentale.
- Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte V, scène 7
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Le roman a-t-il pour seul but de diverir ?
On entend ordinairement par « distraction » une étourderie de l'esprit, souvent synonyme d'une légèreté, d'une indifférence de la conscience aux problèmes concret qui lui sont posés. La tournure restrictive « ne que » dévalorise visiblement cette attitude, et interroge par extension le genre narratif lui-même. De plus, le recours au terme de « distraction » renvoie implicitement au concept de « divertissement » mis en place par Pascal, et achève de donner à la fonction ludique du genre narratif...
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- Musset, Lorenzaccio, acte II, scène 3
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Aux arbres
- Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, II.
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : L'âme en bourgeon) - Il est né...
- Christian Bobin - Une petite robe de fête
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Je respire où tu palpites,
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Le Roman italien
Le Roman italien Un des principaux facteurs qui contribuent à différencier les lettres italiennes de celles des autres pays (même lorsqu'il s'agit de pays limitrophes, comme la France) est l'extrême décentralisation de l'Italie ; celle-ci, en effet, ne compte pas une, mais plusieurs capitales culturelles ; et la café-society pourtant puissante de Rome ou les grandes maisons d'édition de Milan fournissent un tableau à peu près complet de l'état actuel de la situation. Les lettres italiennes ont,...
- Honorat de Bueil, seigneur de RACAN (1589-1670) - La venue du Printemps
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Les Baroques
Les Baroques Après avoir été considéré, au XIXe siècle, comme une épithète péjorative, le terme de Baroque a pris depuis les années 20, une valeur apologétique. A la base de cette transformation, il y a un changement d'appréciation des valeurs psychologiques et une connaissance plus approfondie des faits historiques. Pour les hommes du XIXe siècle, le sens de l'histoire moderne était simple ; la Renaissance constituait la dernière forme valable de la vraie civilisation, parce que l'homme est éte...
- Fénelon, -Lettre à Louis XIV (1694)
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François Rabelais
François Rabelais Rabelais un auteur facile. Et sans mystères, moins pour un lecteur instruit aux bonnes lettres, nourri de latin et plus encore de grec, féru de mythologie et d'histoires anciennes : bref, parfait humaniste à la façon dont on l'était en France, entre 1860 et 1880. Verve entraînante et intarissable ; langue dont la richesse n'a pas fini d'émerveiller nos philologues ; style d'un rythme, d'une ampleur, d'une harmonie surprenants pour le temps. Et quant au reste : goût français du...
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - En mieux il tournera l'usage des cinq sens
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Résumé: A la recherche du temps perdu de MARCEL PROUST
A la recherche du temps perdu de MARCEL PROUST D'une santé fragile, mais d'une vive intelligence, Marcel Proust (1871-1922) fut dès son enfance sensible aux souvenirs qui s'attachent aux lieux familiers. Après avoir renoncé à la carrière diplomatique, il se consacre aux Lettres à partir de 1892. Dès 1907, il conçoit le projet d'un vaste roman dont le premier volet, Du côté de chez Swann, parait en 1913. La mort de sa mère, la solitude, la maladie, l'enferment de plus en plus en lui-même. Il...
- François Payot de LINIERES (1626-1704) - Stances
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Stances
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André Maurois
André Maurois Printemps 1918. La guerre dure, et les Allemands, en un dernier sursaut, tentent de s'emparer d'Amiens. C'est alors que parait, chez Bernard Grasset, le premier livre d'un inconnu, un livre tout scintillant d'humour : les Silences du Colonel Bramble. D'un coup, son auteur est célèbre ; des écrivains aussi différents qu'Anatole France et Kipling lui adressent des félicitations, et on ne tarde pas à découvrir, sous le pseudonyme d'André Maurois, un jeune officier-interprète auprès d...
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- Charles Juliet : Lambeaux (1995).
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PEINTURE: Emile-Antoine Bourdelle (1861-1929)
Emile-Antoine Bourdelle (1861-1929) Marqué par l'influence de Rodin, Bourdelle fut un des grands sculpteurs du début du XXe siècle. Son art inégal, marqué par les conceptions du XIXe siècle, obstinément à l'écart des grands mouvements contemporains, s'attacha à l'étude exclusive de la figure humaine et à l'expression des passions. La recherche de la grandeur. Fils d'un menuisier, Bourdelle travailla d'abord dans l'atelier paternel. Grâce à une bourse de sa ville natale, il étudia à l'Ecole des b...
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La fantaisie dans l'oeuvre de Victor HUGO
L'écrivain exilé ne s'est pas toujours tenu sur les cimes. Aux accents solennels du prophète qui vaticine face à l'Océan se mêlent parfois, jusque dans les oeuvres les plus graves, les accents frivoles d'un faune qui gambade en liberté par les chemins et les taillis. La fantaisie répond chez Victor Hugo à une exigence permanente du tempérament : déjà présente dans les oeuvres antérieures à l'exil, elle lui dicte le rythme de ses chansons, dans les Châtiments, inspire de nombreux poèmes dans les...
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Charles Péguy
C harles Péguy C e qui m'a plu tout de suite dans Péguy, quand j'ai regardé pour la première fois un livre de lui, c'est qu'il écrit comme on marche. O u peut-être comme on travaille de ses mains ? A han ahan. Son origine, peut-être ? Le père menuisier, la grand-mère rempailleuse de chaises. Là cadence est surtout binaire. 0 mère, ense/velie/hors du/premier/jardin Il arrive que l'attaque soit ternaire : C omme Dieu/ne fait rien mais le premier temps est comme le regard sur la route qu'il va fal...
- Alfred de Vigny, Chatterton, Acte III, Scène 1, 1835.
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Hymne de l'enfant à son réveil
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Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Odelettes) - El Desdichado
Introduction. Gérard de Nerval a composé ce sonnet en 1853, au lendemain d'une nouvelle période de troubles mentaux. Il vit désormais sous la menace constante d'une rechute. Il tente de se ressaisir en se reportant par le souvenir, comme il l'a déjà fait dans Sylvie, aux jours heureux de son enfance et de sa jeunesse; mais il n'a plus guère d'espoir et prend conscience d'une fatalité redoutable qui pèse sur lui. Le Destin, tel est le premier titre qu'il a donné à ces vers. Il s'arrête finale...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Idylles) - Les roses
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- Rabelais, Gargantua, chapitre LVII (L'abbaye de Thélème).
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Ô Rus
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Joies du soir
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre XCII
- Dumas, Le Comte de Monte-Cristo.
- Albert Cohen, Le livre de ma Mère (1954)
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - La sagesse
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Jean Cocteau
Jean Cocteau Dès le 4 avril 1908, une première lecture des poèmes de Jean Cocteau est organisée dans un théâtre parisien. Immédiatement le poète, qui n'a pas vingt ans, est admiré. Il est reçu dans les salons parisiens. Il fréquente aussi bien Anna de Noailles qu'Edmond Rostand, Léon Daudet que Marcel Proust. En 1912 il compose pour Diaghilev un argument de ballet, Le Dieu bleu. Un soir, sur la place de la Concorde, le créateur des Ballets russes, qui redoute que le jeune poète ne perde son tal...
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Résumé: Voyage au bout de la nuit de LOUIS-FERDINAND CÉLINE
Voyage au bout de la nuit de LOUIS-FERDINAND CÉLINE Louis-Ferdinand Destouches dit Céline (1894-1961), grièvement blessé à la guerre de 14, en restera marqué toute sa vie. Reçu docteur en médecine en 1924, il exerce dans les quartiers pauvres de la banlieue parisienne. Il y côtoie la misère et l'alcoolisme. Témoin des crises de l'entre-deux-guerres, il en est le peintre réaliste et satirique. Défaitiste avant 40, il se rallie à Vichy et doit fuir : il se fera le chroniqueur de ces nouvelles anné...
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : L'art poétique) - Craignez-vous pour vos vers la censure publique ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Lorsque l'enfant paraît
- L'opposition des classes, dans la pièce de XVIIIe siècle, s'exprime-t-elle seulement par un opposition des langues ?
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Vous vous demanderez pourquoi certains ecrivains ont recours à la fiction pour transmettre des verités ou des leçons ?
- L'écrivain ne peut rester enfermé dans sa bulle fictive et ressent le besoin de poser un regard sur le réel. Ainsi en tant que messager, il choisit de faire passer certaines vérités auprès de ses lecteurs. - Cependant, on peut se demander pourquoi certains écrivains ont recours à la fiction pour transmettre des vérités ou des leçons. I. Pour des raisons propres à l'auteur 1. Pour éviter la censure Si l'on prend le cas des Fables de la Fontaine, les dénonciations sont exprimées à travers des...
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Le récit littéraire, avec les moyens qui lui sont propres, constitue-t-il une voie efficace pour transmettre au lecteur des vérités de portée universelle?
- L'écrivain ne peut rester enfermé dans sa bulle fictive et ressent le besoin de poser un regard sur le réel. Ainsi en tant que messager, il choisit de faire passer certaines vérités auprès de ses lecteurs. - Cependant, on peut se demander pourquoi certains écrivains ont recours à la fiction pour transmettre des vérités ou des leçons. I. Pour des raisons propres à l'auteur 1. Pour éviter la censure Si l'on prend le cas des Fables de la Fontaine, les dénonciations sont exprimées à travers des...
- Marcel Proust, Un Amour de Swan, 1913.
- Flaubert, L'Education Sentimentale, 1869, « Ce fut comme un apparition »
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- Jean de SPONDE (1557-1595) - Vous languissez, mes vers...
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Fiodor Dostoïevski
Fiodor Dostoïevski Kierkegaard et Dostoïevski ont été les premiers, au XIXe siècle, et les seuls d'une manière aussi éclatante, à annoncer que le nihilisme ne comporte qu'un remède, celui de la foi, et précisément de la foi chrétienne, parce qu'il est uniquement le produit de la méfiance et de la haine. Pas de solutions rationnelles possibles, donc, dans les domaines de la philosophie et de la politique, car la raison n'a pas de prise sur la violence lorsque celle-ci ne se reconnaît pas de règl...









