112 résultats pour "zola"
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Emile Zola
Emile Zola Le père de Zola était un ingénieur italien. Après avoir été officier d'artillerie, il devint ingénieur civil et se fixa à Marseille après avoir parcouru la plupart des pays d'Europe. Il avait quarante ans quand il conçut le projet d'un canal qui ravitaillerait Aix-en-Provence en eau potable. C'est durant ces travaux que mourut François Zola, le 27 mars 1847. Il laissait un fils unique et une femme âgée de vingt-cinq ans. Emile Zola a sept ans à la mort de son père. Cinq ans plus tard...
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L'oeuvre de Zola Emile
Après une période de ferveur romantique, le jeune Zola découvre les ressources que la science peut fournir au romancier. Il conçoit alors une oeuvre monumentale, Les Rougon-Macquart. Un de ses romans, L'Assommoir, triomphe : Zola devient alors le chef de l'école naturaliste. Enfin, converti aux doctrines socialistes, il consacre ses dernières années à des oeuvres de propagande sociale et humanitaire. A La carrière de Zola DU ROMANTISME AU NATURALISME (1840-1877) Né d'une mère française et d'un p...
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Zola, L'assommoir.
Avant de quitter l'estaminet du père Colombe où ils viennent de manger une prune, les deux héros de ^'Assommoir, Gervaise et Coupeau, attirés par l'étrange instrument qui sert à distiller l'alcool, vont le regarder de près. C'est ainsi que Zola insère l'une des descriptions de l'alambic dans le récit, mais il ne s'en tient pas là ; son imagination visionnaire transforme la machine en un monstre. • Ce passage, qui présente tous les indices caractéristiques d'une des-cription, marque une pause dan...
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À partir des textes proposés et d'autres que vous connaissez, vous vous demanderez quelles formes (genre) peut prendre, selon les époques, l'engagement de l'écrivain au service dune cause. Puis vous vous interrogerez sur l'efficacité d'un tel engagement. [Voltaire, Correspondance (juillet 1766) - correspondance avec le comte d'Argental ; Zola, Lettre à M. Félix Faure (l'Aurore, 13 Janvier 1898) ; Hugo, Préface du Dernier jour d'un condamné (1832) ?
- De tout temps, des hommes de lettres n'ont pu s'en tenir à raconter des histoires fictives. Qu'il s'agisse d'évènements ponctuels ou de situations amenées à durer, l'écrivain ne peut rester sans prendre position. Conscient de son impact sur les foules, il multiplie les types d'écrits au fur et à mesure que la diffusion s'accroît et tente de toucher chacun en profitant de sa position de lettré. - Et précisément, quelles formes peuvent prendre ces engagements ? Quelle en est l'efficacité ? I....
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Emile ZOLA, La Curée, 1871.
[Introduction] Le premier roman du cycle des Rougon-Macquart avait raconté les répercussions du coup d'État du 2 décembre dans une petite ville du Midi. Dans le deuxième, La Curée, Zola transporte la scène à Paris, y peint la frénésie des affaires et y campe le portrait d'un arriviste, Aristide Rougon. Doué de « ce flair des oiseaux de proie qui sentent de loin les champs de bataille », il prend le nom de Saccard et le voilà « brasseur de millions » et propriétaire d'un magnifique hôtel particul...
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Résumé: L'Assommoir d'ÉMILE ZOLA
L'Assommoir d'ÉMILE ZOLA Après une enfance modeste et des études médiocres à Aix, Émile Zola (1840-1902) publie à vingt-quatre ans son premier roman, les Contes à Ninon (1864). C'est après Thérèse Raquin (1867) qu'il conçoit le projet d'un cycle analogue à la Comédie Humaine. Vingt romans, publiés de 1871 à 1893, retracent « l'histoire naturelle d'une famille sous le Second Empire ». La chance pourrait sourire à Gervaise Macquart et à Auguste Lantier quand ils arrivent de Plassans à Paris :...
- ZOLA: maître du naturalisme.
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Zola, Thérèse Raquin, Chapitre IV
Zola, Thérèse Raquin, Chapitre IV Thérèse jouait avec une indifférence qui irritait Camille. Elle prenait sur elle François, le gros chat tigré que Mme Raquin avait apporté de Vernon, elle le caressait d'une main, tandis qu'elle posait les dominos de l'autre. Les soirées du jeudi étaient un supplice pour elle ; souvent elle se plaignait d'un malaise, d'une forte migraine, afin de ne pas jouer, de rester là oisives, à moitié endormie. Un coude sur la table, la joue appuyée sur la paume de la mai...
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- Mallarmé, Lettre à Zola
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Emile Zola, La Bête humaine (le train fou)
Émile Zola, La Bête humaine, chapitre XII, le train fou. Mais Pecqueux, d'un dernier élan, précipita Jacques ; et celui-ci, sentant le vide, éperdu, se cramponna à son cou, si étroitement, qu'il l'entraîna. Il y eut deux cris terribles, qui se confondirent, qui se perdirent. Les deux hommes, tombés ensemble, entraînés sous les roues par la réaction de la vitesse, furent coupés, hachés, dans leur étreinte, dans cette effroyable embrassade, eux qui avaient si longtemps vécu en frères. On les retro...
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« Le roman cherche l'Art et la Vérité ainsi que la Souffrance humaine », remarquent les frères Goncourt dans leur préface de Germinie Lacerteux (1865). Cette vision sociale du roman naturaliste vous paraît-elle correspondre au roman de l'Assommoir de Zola ?
PLAN I. Le roman lu cherche effectivement la Vérité 1. Il montre la société telle qu'elle est. 2. Il met en évidence le rôle de l'argent. 3. Il met en valeur les souffrances humaines. II. Ce roman peint la vérité avec art 1. La mise en scène est artistique. 2. Les descriptions proposées sont littéraires (plus que scientifiques). 3. L'amplification est au service d'une vision sociale. III. Il invite à nuancer la conception des Goncourt. 1. Ce roman est organisé comme une « histoire naturelle et s...
- Zola (1840-1902) ou le roman naturaliste
- Émile Zola
- Zola, L'Assommoir
- Zola, « J'Accuse »,
- Zola, L'Assommoir.
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
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Commentaire - L'assommoir Zola
Commentaire sur L’assommoir, Émile Zola L’assommoir est un roman écrit par Émile Zola en 1877. Le courant littéraire de Zola est le naturalisme, courant populaire durant la deuxième moitié du XIXe siècle consistant à mettre en relation le réalisme et des travaux scientifiques en gardant une objectivité sur le sujet. C’est dans ce contexte que Zola raconte la rencontre des deux personnages principaux, Gervaise et Coupeau, tout deux dans le monde ouvrier, et rebutés par l’alcool. Dans ce p...
- Zola, Au bonheur des dames.
- Zola, Au bonheur des dames.
- Zola, Le ventre de Paris
- Zola, Germinal, Incipit
- Emile Zola, Nana
- Zola, Thérèse Raquin.
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- Zola - Au bonheur des dames
- Zola, Au bonheur des dames.
- Emile Zola, La Curée
- Émile Zola, L'Assommoir
- Zola, Au bonheur des dames.
- Zola, Au bonheur des dames.
- Zola, l'Assommoir, Incipit.
- Émile Zola, La Terre
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- Zola, Le Roman expérimental
- Extrait de L'Assoimoir de Zola
- Emile Zola - L'Assommoir
- Emile Zola, L'amour des bêtes
- Zola, L'Assommoir, chapitre 13.
- Zola, Nana, chapitre I.
- Zola, Thérèse Raquin, Préface.
- Zola, L'Assommoir, chapitre X.
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- Zola, L'Assommoir, chapitre X.
- Émile Zola, La Curée (1872)
- Zola, Thérèse Raquin, Préface.
- ZOLA, Le Roman expérimental, 1880
- Émile Zola, Germinal, 1885.
- Zola, L'Assommoir, chapitre 2.
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Edmond DE GONCOURT écrit, dans la préface des Frères Zemganno (1879) : Le réalisme, pour user du mot bête, du mot-drapeau, n'a pas l'unique mission de décrire ce qui est bas, ce qui est répugnant, ce qui pue. Il est venu au monde aussi, lui, pour définir dans de « l'écriture artiste » ce qui est élevé, ce qui est joli, ce qui sent bon, et encore pour donner les aspects et les profils des êtres raffinés et des choses riches : mais cela en vue d'une étude appliquée, rigoureuse et non con
Edmond DE GONCOURT écrit, dans la préface des Frères Zemganno (1879) : Le réalisme, pour user du mot bête, du mot-drapeau, n\'a pas l\'unique mission de décrire ce qui est bas, ce qui est répugnant, ce qui pue. Il est venu au monde aussi, lui, pour définir dans de « l\'écriture artiste » ce qui est élevé, ce qui est joli, ce qui sent bon, et encore pour donner les aspects et les profils des êtres raffinés et des choses riches : mais cela en vue d\'une étude appliquée, rigoureuse et non conventio...
- Émile Zola, L'Assommoir, chapitre VII.
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- Émile Zola, L'Assommoir, chapitre II.
- Émile Zola, L'Assommoir, chapitre IX