47 résultats pour "volonté"
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Le temps est bref et ma volonté grande
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Je change de désirs, non pas de volonté
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Philosopher, c'est secouer le joug de l'autorité. En quoi cette définition éclaire sur la philosophie des Lumières ?
La philosophie est depuis 2500 ans un immense débat qui anime la pensée occidentale. Chacun de ses représentants n'a de cesse, par delà les siècles, de préciser, de critiquer, de combattre l'ordre établi. La philosophie est polymorphe, il est délicat d'en donner une définition fixe, elle n'a pas de canal privilégié d'expression, mais elle a besoin d'un objet extérieur pour exister ce qui tend à faire d'elle une discipline parasite qui se nourrit de l'analyse et de la critique de savoirs, de comp...
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Selon Alain, « il n'y a point de fatalité dans le roman : au contraire, le sentiment qui y domine est d'une vie où tout est voulu, même les passions et les crimes, même le malheur » (Système des Beaux-Arts, 1920). Partagez-vous cette opinion ?
Introduction Jusqu'au milieu du XXe siècle, la lecture des romans apparaît comme une activité licencieuse. Ainsi, le roman dans la société moderne a pour fonction de traiter les interdits, sur un mode fictif, mais dont le discours se constituent en regard de la norme, vis-à-vis de laquelle elle joue le rôle de contrepoids. Dès lors, il convient de s'interroger sur un paradoxe essentiel qui touche le héros de roman, et par extension le lecteur : qu'appelle-t-on une « vie où tout est voulu », dans...
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« Il n'y a point de fatalité dans le roman ; au contraire le sentiment qui y domine est d'une vie où tout est voulu, même les passions et les crimes, même les malheurs ». Partagez-vous ce point de vue ? Vous pouvez vous appuyer sur votre connaissance de l'Assommoir de Zola.
Introduction Jusqu'au milieu du XXe siècle, la lecture des romans apparaît comme une activité licencieuse. Ainsi, le roman dans la société moderne a pour fonction de traiter les interdits, sur un mode fictif, mais dont le discours se constituent en regard de la norme, vis-à-vis de laquelle elle joue le rôle de contrepoids. Dès lors, il convient de s'interroger sur un paradoxe essentiel qui touche le héros de roman, et par extension le lecteur : qu'appelle-t-on une « vie où tout est voulu », dans...
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Maniaque
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Romance
- Commenter cette remarque de Brunetière sur le théâtre de Corneille: Ce n'est proprement ni le devoir ni la passion qu'il s'est plu à nous représenter; c'est la volonté, quel qu'en fût d'ailleurs l'objet ?
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- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Esthétique
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Figurez-vous un peu
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Cythère
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Rigueurs à nulle autre pareilles
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Air de biniou
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - L'éternel Quiproquo
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Soirs de fête
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Le vrai de la chose
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- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Notre petite compagne
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Arabesques de malheur
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Dimanches (III)
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - La mélancolie de Pierrot
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Dimanches (I)
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Dimanches (IV)
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Les chauves-souris
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Sancta simplicitas
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- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Dimanches (VI)
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Aquarelle en cinq minutes
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Dimanches (II)
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Dimanches (V)
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Petites misères de mai
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Solo de lune
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Petites misères d'août
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Le brave, brave automne !
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- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Petites misères d'hiver
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Petites misères d'octobre
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Petites misères d'automne
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Complainte des crépuscules célibataires
- Paul Valéry a écrit : « La confidence songe toujours à la gloire, au scandale, à l'excuse, à la propagande ». Vous réfuterez ce jugement de Valéry en montrant que ses buts ne se réduisent pas à la volonté de choquer, mentir, se vanter mais présente d'autres intérêts pour l'écrivain et son lecteur.
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« Pour l'artiste, et en dépit de ses convictions politiques les plus fermes, en dépit même de sa bonne volonté de militant, l'art ne peut être réduit à l'état de moyen au service d'une cause qui le dépasserait, celle-ci fût-elle la plus juste, la plus exaltante ». Vous commenterez et discuterez à l'aide d'exemples précis cette affirmation d'Alain Robbe-Grillet, écrivain contemporain ?
Analyse du sujet et problématisation : Le sujet s'intéresse à l'art en général : il ne faudra donc pas négliger les exemples extra-littéraires, issus du domaine des beaux-arts ou du cinéma. Robbe-Grillet nie ici l'utilisation militante de l'art, au service d'une cause. Cette utilisation est envisagée comme une « réduction » de l'art, comme une sorte d'asservissement incompatible avec les fins véritables de l'art. Robbe-Grillet souligne plus particulièrement ici l'incompatibilité entre art et pol...
- Dans la scène du dénouement, Perdican s'exclame « Orgueil, le plus fatal des conseillers humains, qu'es-tu venu faire entre cette fille et moi ? » et un critique, Jean Giraud, écrit de Camille : « Elle est tout orgueil. Elle met une intelligence aiguë, une volonté redoutable, au service de son amour propre ». En analysant le comportement des protagonistes d'On ne badine pas avec l'amour, vous montrerez que ce proverbe de Musset est effectivement un drame de l'orgueil. Mais n'est-il q
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Dans La mort au siècle des Lumières, Robert Favre s'exprimait ainsi :« Dénonciation et appel, La Religieuse est toute entière frémissante de vulnérabilité tendue et de volonté inflexible. Dans sa longue lutte pour échapper à l'abîme du désespoir quand « il y a des puits partout », Suzanne incarne l'esprit des Lumières où se mêlent courage et besoin de puissante protection, ingénuité et habileté, lucidité et vertige devant les gouffres ». Vous commenterez cette citation.
Sujet: Dans La mort au siècle des Lumières, Robert Favre s'exprimait ainsi :« Dénonciation et appel, La Religieuse est toute entière frémissante de vulnérabilité tendue et de volonté inflexible. Dans sa longue lutte pour échapper à l'abîme du désespoir quand « il y a des puits partout », Suzanne incarne l'esprit des Lumières où se mêlent courage et besoin de puissante protection, ingénuité et habileté, lucidité et vertige devant les gouffres ». Vous commenterez cette citation. En 1761, dans Elo...
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Friedrich von Schiller
Friedrich von Schiller A l'opposé de l'épanouissement organique de la personnalité et de la création de Goethe, entre 1759 et 1805, la vie et l'oeuvre tout entières de Schiller se développent dans un style dramatico-dialectique. Ses hérédités souabo-alémaniques sont à l'origine de son penchant à la spéculation et de son besoin de prêter aux idées générales une forme concrète, en conciliant réflexion et fantaisie. Né dans un milieu petit-bourgeois, il y reçoit de sa mère une dévotion piétis...
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Le brasier, Alcools (Apollinaire)
Ce poème a été écrit en 1908, une période assez faste sentimentalement qui correspond au début de la liaison avec Marie Laurencin et un sentiment de renouveau existentiel. Particulièrement chéri par l'auteur, « son meilleur poème sinon le plus immédiatement accessible », il le définit aussi comme l'exemple d'un lyrisme neuf et humaniste. Le poème offre trois temps forts. Dans le premier mouvement, Apollinaire montre qu'il ne peut devenir poète qu'en brûlant son passé, dans le second mouvement le...
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En vous référant à votre expérience personnelle aussi bien qu'à votre connaissance du répertoire racinien, vous commenterez et, éventuellement discuterez cette affirmation d'Eugène Ionesco : « Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football, de boxe, de tennis. Le match nous donne en effet l'idée la plus exacte de ce qu'est le théâtre à l'état pur : antagonismes en présence, oppositions dynamiques, heurts sans raison de volontés contraires » ?
Sujet: "Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football", dit le dramaturge Eugène Ionesco, car le théâtre montre des "antagonismes en présence, [des] oppositions dynamiques, [des] heurts sans raison de volontés contraires" Que pensez-vous de cette conception du théâtre comme reposant sur l'affrontement ? - - On constate souvent que les évènements sportifs procurent aux spectateurs des émotions, parfois intenses. Il en est de même pour le théâtre selon Eugène Ionesco pour qui : "I...
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Eugène IONESCO affirme: Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football, de boxe, de tennis. Le match nous donne en effet l'idée la plus exacte de ce qu'est le théâtre à l'état pur: antagonismes en présence, oppositions dynamiques, heurts sans raison de volontés contraires. Vous commenterez cette opinion, en vous appuyant sur les textes étudiés en classe, sans exclure vos lectures ni, éventuellement, votre expérience personnelle ?
Sujet: "Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football", dit le dramaturge Eugène Ionesco, car le théâtre montre des "antagonismes en présence, [des] oppositions dynamiques, [des] heurts sans raison de volontés contraires" Que pensez-vous de cette conception du théâtre comme reposant sur l'affrontement ? - - On constate souvent que les évènements sportifs procurent aux spectateurs des émotions, parfois intenses. Il en est de même pour le théâtre selon Eugène Ionesco pour qui : "I...
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On ne doit écrire, on ne doit parler que pour l'instruction. Discutez ce point de vue de La Bruyère ?
Au XVIIe siècle, la manière de s'exprimer, à la cour de Louis XIV par exemple, prend une importance démesurée dans le jeu social : témoin le mouvement des Précieuses, dont s'est moqué Molière. Parallèlement, l'écriture, via les Fables ou les Caractères, illustre un impératif qui lie l'art au savoir : "docere, placere, movere". La Bruyère est en accord avec son temps lorsqu'il définit à l'expression parlée et écrite une vocation définie, qui est l'éducation : cette vocation prend la valeur d'un d...
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Que vous inspirent ces remarques d'un directeur de troupe : « Notre volonté est de mettre en scène la société, la présenter et provoquer vis à vis d'elle des regards critiques. C'est une fonction du théâtre. Elle n'est pas nouvelle. Mais dans le même temps, le théâtre doit être le lieu où se libèrent les forces de l'imagination, où s'organise le rêve. Ces deux fonctions ne sont-elles pas contradictoires. » ?
Que vous inspirent ces remarques d'un directeur de troupe : « Notre volonté est de mettre en scène la société, la présenter et provoquer vis à vis d'elle des regards critiques. C'est une fonction du théâtre. Elle n'est pas nouvelle. Mais dans le même temps, le théâtre doit être le lieu où se libèrent les forces de l'imagination, où s'organise le rêve. Ces deux fonctions ne sont-elles pas contradictoires. » ? Le théâtre, école de « vice et de mauvaises moeurs ». Bossuet (17» s., prédicateur chrét...
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Vous composerez un dialogue argumentatif dans lequel deux interlocuteurs défendent leur conception du bonheur. Vous veillerez à ce que chaque interlocuteur prenne en compte tour à tour les arguments de l'autre ?
Analyse du sujet et règles générales et formelles qu'il implique Ce sujet invite à élaborer un dialogue argumentatif, c'est-à-dire qu'il faut mettre en présence, à travers deux interlocuteurs, deux thèses qui s'opposent. Il va donc falloir procéder en deux temps: identifier dans un premier temps les deux thèses en développant l'argumentation, puis, ensuite, se plier aux exigences du dialogue. La discussion doit progresser de manière cohérente, tenir compte des avis opposés, les rapprocher. Il co...