57 résultats pour "voix"
- Hector de SAINT-DENYS GARNEAU (1912-1943) (Recueil : Les solitudes) - La grande voix du vent
- Ondine VALMORE (1821-1853) - La voix
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - La voix d'un ami
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Voix de l'Orgueil : un cri puissant comme d'un cor
- François FABIÉ (1846-1928) (Recueil : Fleurs de genêts) - Voix éteinte
- Victor de LAPRADE (1812-1883) (Recueil : Symphonies et poèmes) - Une voix dans l'herbe
- Jean Ogier de GOMBAULD (1588-1666) (Recueil : Sonnets chrétiens) - La voix qui retentit de l'un à l'autre Pole
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - La voix
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MALRAUX - LA Voix Royale
MALRAUX - LA Voix Royale Le roman relate l'expédition de Claude Vannée, qui recherche des temples khmers enfouis dans la jungle. À travers la clairière, aucun sentier. Pourtant un au moins en partait : celui qu'ils avaient suivi, et qui continuait au-delà. Malgré son calme, cette clairière où ils devaient dormir vivait d'une vie de piège ; une moitié envahie déjà par l'ombre, l'autre éclairée par la lumière très jaune qui précède le soir. Pas de palme, l'Asie n'était présente que par la chaleur,...
- Olivier de MAGNY (1530-1561) (Recueil : Les Soupirs) - Ce n'est pas moy qui sçait d'une voix feinte, ...
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Doucette voix qui confortes mon âme
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Qu'elle est triste en Octobre avec sa voix pourprée
- Jean Tardieu : « Lettre d'ici », extrait de Une voix sans personne
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - La voix du vent
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - A Virgile
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - La voix du soir
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Passé
- Savinien LAPOINTE (1812-1893) (Recueil : Une voix d'en bas) - Les barrières
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est de leurs voix que j'ai redit
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - A des oiseaux envolés
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir
- Victor Hugo (1802-1885), « Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures (1837).
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène
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L'inspiration poétique
Demande d'échange de corrigé de Abitboul Christian ([email protected]). \Sujet déposé : L\'inspiration poétique Dissertation sur l'inspiration poétique. 1. Une influence secrète. 1.1. la voix de dieu ou de la nature. Pour Platon « ce n'est pas grâce à un art que les poètes proférant leurs poèmes, mais grâce à une puissance divine ». L'inspiration, dans cette conception est un don des dieux, et le poète un instrument entre les mains de ces mêmes dieux. Ronsard dans Hymne de l'automne est fidèl...
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Voltaire a déclaré : « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire. » Sans vous limiter à l'activité de l'auteur de cette réflexion, vous l'expliquerez et en montrerez la portée.
étude de la citation — Cette citation très connue de Voltaire peut plonger le candidat dans l'embarras. En effet, elle est tellement riche de prolongements possibles qu'il ne verra pas d'emblée un plan de discussion. De plus, cette phrase s'inscrit dans la lutte philosophique de Voltaire. Elle y trouve nécessairement ses sources. Il faut toutefois se méfier de cet angle d'approche : le libellé du devoir met le candidat en garde contre cet écueil ; le devoir ne doit pas être une rétrospective de...
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Jean de Sponde, "Sonnets sur la mort"
Jean de Sponde, "Sonnets sur la mort" : Tout s'enfle contre moi, tout m'assaut, tout me tente, Et le monde, et la Chair, et l'Ange révolté, Dont l'onde, dont l'effort, dont le charme inventé, Et m'abîme, Seigneur, et m'ébranle, et m'enchante. Quelle nef, quel appui, quelle oreille dormante, Sans péril, sans tomber, et sans être enchanté, Me donras-tu ? Ton Temple où vit ta Sainteté, Ton invincible main, et ta voix si constante ? Et quoi ! mon Dieu, je sens combattre maintes fois Encor avec ton T...
- « PREMIÈRE MARCHE LA VOIX D'UN AUTRE » - Poème de Paul Eluard
- Marguerite Yourcenar, L'Œuvre au noir, (1968) (La voix publique)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Quelle est la fin de tout ?
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - Voix intérieure
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - A l'Arc de triomphe
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - La tombe dit à la rose
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Chanson d'automne de Oscar-Vadislas de Milosz, Le poème des décadences.
L'évocation de l'automne est un sujet souvent traité par les poètes qu'ils appartiennent au mouvement baroque qui aime traduire le changement et la mouvance du monde ou au Romantisme parce que cette saison se prête à des accents mélancoliques. Telle est en effet la tonalité de cette Chanson d'automne du poète d'origine lithuanienne Milosz. Cet auteur de romans, de pièces de théâtre qui célèbre le verbe, l'amour divin et transcrit des visions mystiques est plus connu pour sa poésie décadente, mor...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Deux voix dans le ciel
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Dans ce jardin antique où les grandes allées
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Puisqu'ici-bas toute âme
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Regardez : les enfants se sont assis en rond
- Victor Hugo (1802-1885), Les Voix intérieures (1837), XXVII « Après une lecture de Dante »
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- « C'est propre la tragédie. (...) Et puis surtout c'est reposant la tragédie, parce qu'on sait qu'il n'y a plus d'espoir, le sale espoir ; qu'on est pris, qu'on est pris comme un rat, avec tout le ciel sur notre dos, et qu'on n'a plus qu'à crier, pas à gémir, non, pas à se plaindre, - à gueuler à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on avait jamais dit et qu'on ne savait peut-être même pas encore ». Dans quelles mesures cette définition de la tragédie correspond-elle à Phèdre de Racin
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MUSIQUE: La musique au Moyen Age (XIe-XVIe siècle)
La musique au Moyen Age (XIe-XVIe siècle) Un art surtout vocal. L'histoire de la musique au Moyen Age se confond avec celle du chant vocal; les instruments servent surtout à accompagner les voix ou encore à rythmer les danses, aussi ne sont-ils guère perfectionnés (violes, luths, lyres, flûtes, trompettes, etc.). De l'Antiquité, le Moyen Age avait hérité l'homophonie qui, peu à peu, évolua vers une polyphonie de plus en plus savante. On connaît mal l'histoire de la musique pendant le haut Moyen...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Nevermore
INTRODUCTION : I. — Ce sonnet est à la fois un épanchement, un récit et une évocation. Verlaine y évoque un souvenir au deuxième degré qui hante sa pensée et souligne le caractère inéluctablement révolu du passé; d'où le titre Nevermore (en français : Jamais plus) emprunté au célèbre refrain du Corbeau d'Edgar Poë, traduit par Baudelaire. II. — Le poème est une confidence sur un ton d'abord mélancolique comparable à celui d'une complainte (1 à 4) — puis désinvolte et lancinant par l'évocation d'...
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Paul Éluard
Paul Éluard Paul Éluard est né à Saint-Denis. Les parents de Paul Éluard s'étaient (comme on dit) faits eux-mêmes. Paul-Eugène Grindel a 16 ans lorsque ses études sont interrompues par une lésion pulmonaire. L'adolescent passera les années 1911, 1912 et une partie de 1913, au sanatorium de Clavadel en Suisse. A Clavadel, le jeune reclus écoutait le silence, et il écoutait les voix contradictoires des écrivains et des poètes qui l'atteignaient. Je l'ai entendu souvent répéter, reprenant à son com...
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Nathalie SARRAUTE, Le planétarium
« Qui est là? — C'est moi, ton frère, c'est Pierre... » Il entend comme un pépiement, un remue-ménage heureux, un déclic rapide, un bruit de chaîne léger, joyeux, la porte s'ouvre... « Ah, c'est toi... » Il avait oublié ce regard sous les paupières usées, fardées, un bon regard d'où ruisselle une tendre émotion... « C'est toi, Pierre... Mais bien sûr que tu ne me déranges pas... Je suis contente de te voir, tu viens si rarement... Mais fais voir un peu, que je te regarde, que je regarde un peu l...
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laiss...
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Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poésies diverses) - Nox
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, Poésies diverses, « Nox ». Nox 1. Sur la pente des monts les brises apaisées 2. Inclinent au sommeil les arbres onduleux ; 3. L'oiseau silencieux s'endort dans les rosées, 4. Et l'étoile a doré l'écume des flots bleus. 5. Au contour des ravins, sur les hauteurs sauvages, 6. Une molle vapeur efface les chemins ; 7. La lune tristement baigne les noirs feuillages ; 8. L'oreille n'entend plus les murmures humains. 9. Mais sur le sable au loin chante la Mer divine, 10...
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Hugo, Hernani, acte I, scène 2
Hugo, Hernani, Acte I scène 2 Doña Sol : Je vous suivrai. Hernani : Parmi nos rudes compagnons, Proscrits, dont le bourreau sait d'avance les noms, Gens dont jamais le fer ni le coeur ne s'émousse, Ayant tous quelque sang à venger qui les pousse? Vous viendrez commander ma bande, comme on dit? Car, vous ne savez pas, moi je suis un bandit! Quand tout me poursuivait dans toutes les Espagnes, Seule, dans ses forêts, dans ses hautes montagnes, Dans ses rocs, où l'on est que de l'aigle aperçu, La vi...
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Georges Bernanos, Sous le soleil de Satan
M'aimes-tu ? » dit-elle tout à coup d'une voix où la plainte se faisait étrangement grave et dure. Puis elle ajouta aussitôt : Je te demande ça à cause d'une idée que j'ai dans la tête. Quelle idée ? M'aimes-tu ? » reprit-elle soudain de la même voix. En même temps, elle se levait, toute vibrante, ridiculement nue dans son manteau entrouvert, nue et menue, et dans les yeux ce même regard d'où l'orgueil était tombé. ... Réponds-moi ? dit-elle encore, réponds-moi vite ! Voyons... Germaine... Rien...
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- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Dies irae
- Molière, Le Bourgeois Gentilhomme, Acte II, scène 4, 1670.