300 résultats pour "ver"
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : Vers amoureux) - J'ay fait des vers toute ma vie
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Que pensez-vous de cette réflexion de d'Alembert (Réflexions sur la poésie) : « Quand on prend la peine de lire des vers, on cherche et on espère un plaisir de plus que si on lisait de la prose » ?
INTRODUCTION Les recueils de poèmes ne rencontrent pas de nos jours, en librairie, le même succès que les romans ou même les ouvrages historiques. Toute une partie du public demeure fermée au charme des vers, et cette méconnaissance n'est pas le propre de notre temps : au XV IIIe siècle, les milieux cultivés n'étaient favorables qu'à la prose ; pourtant d'A lembert écrivait dans ses Réflexions sur la poésie : « Quand on prend la peine de lire des vers, on cherche et on espère un plaisir de plus...
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Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Autres vers) - Mendiants
Germain NOUVEAU, Autres vers, « Mendiants ». 1. Pendant qu'hésite encor ton pas sur la prairie, 2. Le pays s'est de ciel houleux enveloppé. 3. Tu cèdes, l'oeil levé vers la nuagerie, 4. A ce doux midi blême et plein d'osier coupé. 5. Nous avons tant suivi le mur de mousse grise 6. Qu'à la fin, à nos flancs qu'une douleur emplit, 7. Non moins bon que ton sein, tiède comme l'église, 8. Ce fossé s'est ouvert aussi sûr que le lit. 9. Dédoublement sans fin d'un typique fantôme, 10. Que l'or de ta pr...
- Qu'est-ce qu'un beau vers ?
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Premiers vers) - Vers dorés
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Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) - En regardant vers le païs de France
Sujet: Charles d’ORL EANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) « E n regard an t vers le p aïs d e Fran ce » E n reg ardan t vers le p aïs d e Fran ce U n jou r m'avin t, a Dovre su r la mer, Qu 'il me sou vin t de la d oulce p laisan ce Qu e sou loye ou d it p ays trou ver Si commençay d e cu eu r a sou spirer Comb ien certes qu e g rant b ien me faisoit De voir France q u e mon cu eu r amer d oit. Je m'avisay q u e c'estoit non savan ce De telz sousp irs ded en s mon cueu r g ard er, Veu q u e...
- Un critique contemporain affirme : « Une longue association du vers et de la poésie, qui sont choses distinctes, a fini par les confondre et la versification devient alors brevet de poésie. Chacun reconnaît aujourd'hui que les deux notions ne se confondent pas. » Cette distinction entre la versification, technique du vers, et la poésie proprement dite vous semble-t-elle nécessaire ? En vous appuyant sur vos lectures personnelles, sur des oeuvres précises que vous avez étudiées, vous vo
- Vous rédigerez un apologue en prose ou en vers qui s'achèvera sur une morale de votre choix : a ou b. a- Aucune idée sur terre n'est digne d'un trépas. (Brassens) ; b- Pour faire un soldat, il faut défaire un civil. (Vian). L'ensemble respectera le style de Brassens, les exigences d'un apologue et fera une cinquantaine de vers ou lignes minimum ?
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- Alfred Poisat dit, dans une introduction à une étude sur le symbolisme: Des vers de Musset il n'y a pas grand-chose à dire. Ils sont d'un collégien, extraordinairement bien doué, qui jette sa gourme. Cela n'a souvent ni queue ni tête. La qualité de la pensée n'en fait pas honneur aux lettres. Que pensez-vous de ce jugement ? Ne croyez-vous pas qu'il y a vraiment autre chose à dire des vers de Musset ?
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Je rêve de vers doux ...
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G. de NERVAL, Le Voyage en Orient (1851), [Introduction : vers l'Orient, extraits des chapitres XII et XVI].
Dans ce texte, peuplé de souvenirs mythologiques et inondé de lumière, Gérard de Nerval nous transporte dans un monde fabuleux, riche en couleurs, et qui nous paraît à la limite du rêve et de la réalité. Et nous nous laissons gagner par l'enthousiasme, par l'exaltation fébrile de l'auteur pour découvrir avec lui ce que cache ce mot enchanteur, l'Orient, pays du soleil et dans ces lignes il nous semble entendre les accents d'une musique étrange et langoureuse, surgie du fond des âges. Dès la prem...
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Etudier les vers suivants de Ronsard :
Etudier les vers suivants de Ronsard : Ecoute, bûcheron, arrête un peu le bras : Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas ; Ne vois-tu pas le sang, lequel dégoutte à force Des Nymphes qui vivaient dessous la dure écorce ? Sacrilège meurtrier ! Si l'on pend un voleur Pour piller un butin de bien peu de valeur, Combien de feux, de fers, de morts et de détresses Mérites-tu, méchant, pour tuer nos déesses ? Forêt, haute maison des oiseaux bocagers ! Plus le cerf solitaire et les chevreuils légers...
- Paul SCARRON (1610-1660) - Cent quatre vers
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : L'art poétique) - Craignez-vous pour vos vers la censure publique ?
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - Vers la mer
- Villiers de L'Isle -Adam , « Véra », Contes Cruels.
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Religions et religion) - Dante écrit deux vers
- Guillaume DES AUTELZ (1529-1581) (Recueil : Amoureux Repos) - De ses vers, à sa Sainte
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Vers pour être calomnié
Paul VERLAINE, Jadis et naguère, « Vers pour être calomnié ». Ce soir je m'étais penché sur ton sommeil. Tout ton corps dormait chaste sur l'humble lit, Et j'ai vu, comme un qui s'applique et qui lit, Ah ! j'ai vu que tout est vain sous le soleil ! Qu'on vive, ô quelle délicate merveille, Tant notre appareil est une fleur qui plie ! O pensée aboutissant à la folie ! Va, pauvre, dors ! moi, l'effroi pour toi m'éveille. Ah ! misère de t'aimer, mon frêle amour Qui vas respirant comme on respire un...
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Derniers vers) - L'hiver qui vient
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Le monologue d'Auguste, dans Cinna de Pierre CORNEILLE. Expliquez le monologue d'Auguste, dans Cinna, Acte IV, Scène II, du vers 1121 à 1148.
Le monologue d'Auguste, dans Cinna de Pierre CORNEILLE. Expliquez le monologue d'Auguste, dans Cinna, Acte IV, Scène II, du vers 1121 à 1148. 1. Localisation du morceau. Auguste vient d'apprendre d'Euphorbe, confident de Maxime, le complot ourdi par Cinna et par ses amis. Il est atterré. Resté seul, il prononce un monologue qui est dans la pièce un morceau capital. Nous allons assister à un drame intérieur dans l'âme d'Auguste. Une transformation très curieuse va se produire en lui : double inté...
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PEINTURE: Nicolas Froment (Vers 1435-1484)
Nicolas Froment (Vers 1435-1484) Un peintre éclectique. Le peintre Nicolas Froment est né à Uzès vers 1435. En 1461, il achève, à Florence, le triptyque de la Résurrection de Lazare qui comporte notamment une Marthe aux pieds du Sauveur. En 1468, il est à Avignon. En 1472, il accepte la commande d'un vitrail pour l'église Saint-Pierre. En 1475 et 1476, il travaille au triptyque du Buisson ardent de la cathédrale Saint-Sauveur d'Aix. Le roi René le charge ensuite de diriger les travaux de décorat...
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Vous languissez, mes vers...
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PEINTURE: François Clouet (Vers 1516-1572)
François Clouet (Vers 1516-1572) «Peintre du Roy, honneur de nostre France». Né à Tours vers 1516, François Clouet est formé par son père dont il possède les qualités et recueille l'héritage de «peintre et valet de chambre ordinaire du Roy». Les renseignements sur François Clouet sont maigres. A la mort de François Ier, en 1547, il est chargé de la préparation des obsèques royales; il moule la figure royale et confectionne l'effigie destinée à être placée sur le chariot funèbre. Peintre d'Henri...
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- François MAYNARD (1582-1646) - Il est vray. Je le sçay. Mes Vers sont mesprisez
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PEINTURE: Jean Fouquet (vers 1420-avant 1481)
Jean Fouquet (vers 1420-avant 1481) Le plus grand peintre français du XVe siècle n'a laissé qu'un ouvrage attesté comme étant de sa main. Il s'agit du manuscrit des Antiquités Judaïques. A partir de ses caractéristiques stylistiques on a pu reconstituer l'œuvre, alors que la biographie reste incertaine. Le portraitiste. On l'a dit fils d'un prêtre, rien n'est moins sûr, on ignore où il est formé mais on sait qu'il est le premier à introduire l'esprit de la Renaissance dans la peinture française....
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Commentez ce vers de Boileau : « On peut être héros sans ravager la terre ».
INTRODUCTION Les héros antiques constituaient une race intermédiaire entre les hommes et les habitants de l'Olympe : les uns étaient demi-dieux dès leur naissance, les autres recevaient la qualité divine comme récompense de leurs hauts faits. Le mot a perdu dans notre langue sa valeur mythologique, mais il s'applique toujours à ceux qui se distinguent du commun des mortels. Boileau écrivait à ce sujet la mise en garde suivante : « On peut être héros sans ravager la terre ». Ce vers s'explique pa...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Où que je tourne l'oeil, soit vers le Capitole
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - L'un chante les amours de la trop belle Hélène
- Salomon CERTON (1552-1615) (Recueil : Vers leipogrammes) - Espritz qui voletez sur le bruict que bourdonne
- Etienne DURAND (1586-1618) - Voici des vers mourants et des plaintes de cygne
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies) - Le ver luisant
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- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Autres vers) - La fête chez Toto
- Evariste de PARNY (1753-1814) - Vers gravés sur un oranger
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Stances) - Ce n'est pas vers l'azur ...
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Autres vers) - Ciels
- Guy de MAUPASSANT (1850-1893) (Recueil : Des vers) - Désirs
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le collier de griffes) - Je ne vous ferai pas de vers
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Entends comme brame
- François de MALHERBE (1555-1628) - Vers funèbres sur la mort de Henri le Grand
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- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Je te donne ces vers...
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Derniers vers) - Sur une défunte
- Balzac, Le Chef-d'oeuvre inconnu - Vers la fin de l'année 1612...
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : La Marguerite) - Les vers Toscans du Cygne Florentin
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Contr'amours) - Combien de fois mes vers ont-ils doré
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le collier de griffes) - Je sais faire des vers perpétuels
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - La douce nuit vers elle est venue
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Bonne pensée du matin
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- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Vers le soleil s'en vont ensemble
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Derniers vers) - Simple agonie