140 résultats pour "ronsard"
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Pierre de Ronsard
Pierre de Ronsard Presque oublié pendant deux siècles, réhabilité fort timidement par Sainte-Beuve, et devenu, comme le dit avec mépris Gobineau, "pour ainsi dire l'Homère des Romantiques", Ronsard est aujourd'hui communément regardé comme notre plus grand poète avec Hugo. Il se taille la part du lion dans les manuels et les anthologies : mais, trop lu peutêtre à l'école, il l'est trop peu des amateurs de poésie. Son oeuvre est une puissante forêt où l'on ne s'aventure que par chemins rebattus,...
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PIERRE DE RONSARD
PIERRE DE RONSARD Amoureux de la poésie et consacré « prince des poètes » à son moment de gloire, Ronsard n'a cessé de créer l'étonnement par de nouvelles formes et de nombreuses impressions. Celui qui exécrait les « poétâtres » n'a certes pas réussi à faire admettre le rôle essentiel du poète dans la Cité, mais il a fait admirer son oeuvre aussi diverse que ses premières maîtresses, Nature et Fortune. Entre Cour et Pléiade La vie de Ronsard est un continuel effort : 'même lorsqu'il retourne en...
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La France lettrée a célébré en 1924 le quatrième centenaire de Ronsard. Dites, sans insister sur quelques charmantes poésies bien connues, par quelles qualités et par quels services Ronsard a bien mérité de la littérature française ?
Ronsard a été de son vivant considéré comme le prince des poètes français. Mais sa gloire fut suivie d'un long oubli. Sainte-Beuve le réhabilite en 1828. (Tableau historique et critique de la poésie française et du théâtre français au XVIe siècle et Oeuvres choisies de Pierre de Ronsard, avec notice, notes et commentaire.) Les romantiques voient en lui un précurseur et depuis les études et les éditions se sont multipliées. On le considère comme l'un de nos plus grands poètes, très supérieur à Ma...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les meslanges) - Ode en dialogue, l'Espérance et Ronsard
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Vous expliquerez cette pensée de Jean Rostand en l'appliquant à l'oeuvre de Ronsard et de Du Bellay : « Dans le domaine spirituel, parmi les oeuvres qui durent, il en est qui demeurent vivantes et pleines de suc, tandis que d'autres ne subsistent que comme de beaux fossiles caractéristiques d'une époque. » ?
Vous expliquerez cette pensée de Jean Rostand en l'appliquant à l'œuvre de Ronsard et de Du Bellay : « Dans le domaine spirituel, parmi les œuvres qui durent, il en est qui demeurent vivantes et pleines de suc, tandis que d'autres ne subsistent que comme de beaux fossiles caractéristiques d'une époque. » Introduction : A la fois biologiste et écrivain, Jean Rostand a établi un savoureux parallèle entre le domaine scientifique et le domaine littéraire. Ainsi compare-t-il le sort des œuvres litté...
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Développez ce jugement de Fénelon : « Ronsard n'avait pas tort, ce me semble de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie et pour dénouer notre versification naissante ».
Fénelon, dans un jugement sur Ronsard, loue le chef de la Pléiade de ses efforts pour enrichir notre langue, enhardir notre poésie, dénouer notre versification naissante. I. Critique de quelques expressions de Fénelon. Aujourd'hui que nous connaissons mieux l'importance du rôle joué par Ronsard et la valeur de son oeuvre, nous pouvons nous étonner de la tiédeur des éloges que lui décerne Fénelon (n'avait pas tort) et du soin qu'il prend de nous présenter son jugement comme une opinion strictemen...
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Expliquer le sonnet qu'en 1828 Sainte-Beuve consacrait à Ronsard, en publiant un recueil de ses Oeuvres choisies.
Expliquer le sonnet qu'en 1828 Sainte-Beuve consacrait à Ronsard, en publiant un recueil de ses Oeuvres choisies. A toi, Ronsard, à toi, qu'un sort injurieux Depuis deux siècles, livre aux mépris de l'histoire, J'élève de mes mains l'autel expiatoire Qui te purifiera d'un arrêt odieux. Non que j'espère encore, au trône radieux D'où jadis tu régnais, replacer ta mémoire; Tu ne peux de si bas remonter à la gloire ; Vulcain impunément ne tomba point des cieux. Mais qu'un peu de pitié console enfin...
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L'amour Mouillé de Ronsard
INTRODUCTION : A. — Ce texte est un poème narratif, avec cette nuance que Ronsard s'y met directement en scène, ce qui lui confère aussi l'aspect d'un épanchement. Il est un des acteurs du drame qu'il raconte, et il finit par en être la victime. B. — L'inspiration en est lyrique, épisodiquement dramatique. En dépit des allusions mythologiques (38, 42), la tonalité en demeure simple et familière; mais la grâce a, surtout à la fin, fait place à l'émotion. C.— L'art du poème. Il y a, comme dans l'A...
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José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard
Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard Jadis plus d'un amant, aux jardins de Bourgueil, A gravé plus d'un nom dans l'écorce qu'il ouvre, Et plus d'un coeur, sous l'or des hauts plafonds du Louvre, A l'éclair d'un sourire a tressailli d'orgueil. Qu'importe ? Rien n'a dit leur ivresse ou leur deuil. Ils gisent tout entiers entre quatre ais de rouvre Et nul n'a disputé, sous l'herbe qui les couvre, Leur inerte poussière à l'o...
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Etudier les vers suivants de Ronsard :
Etudier les vers suivants de Ronsard : Ecoute, bûcheron, arrête un peu le bras : Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas ; Ne vois-tu pas le sang, lequel dégoutte à force Des Nymphes qui vivaient dessous la dure écorce ? Sacrilège meurtrier ! Si l'on pend un voleur Pour piller un butin de bien peu de valeur, Combien de feux, de fers, de morts et de détresses Mérites-tu, méchant, pour tuer nos déesses ? Forêt, haute maison des oiseaux bocagers ! Plus le cerf solitaire et les chevreuils légers...
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Ronsard, Sonnets pour Hélène I, 2
Ronsard, Sonnets pour Hélène I, 2 Quand à longs traits je boy l'amoureuse étincelle Qui sort de tes beaux yeux, les miens sont esblouïs. D'esprit ny de raison troublé je ne jouïs, Et comme yvre d'amour tout le corps me chancelle. Le coeur me bat au sein, ma chaleur naturelle Se refroidit de peur, mes sens esvanouïs Se perdent tout en l'air, tant tu te resjouïs D'acquerir par ma mort le surnom de cruelle. Tes regards foudroyans me percent de leurs rais' La peau, le corps, le coeur, comme pointes...
- Ronsard, Sonnets pour Hélène.
- La poésie de RONSARD
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Puisqu'elle est Tout Hiver. Pierre RONSARD: Sonnets pour Hélène
ELEMENTS POUR UNE INTRODUCTION 1. Rappel historique et littéraire Ronsard a célébré de nombreuses jeunes femmes à travers son oeuvre poétique ; Cassandre, Marie, et la fille d'honneur de Catherine de Médicis, Hélène de Surgères à qui ce sonnet est adressé. Son amour, le poète ne l'exprime jamais sans évoquer en même temps son angoisse du temps qui passe (« Cueillez, cueillez votre jeunesse » écrit-il à Cassandre), du temps qui creuse entre la jeune fille qu'il aime et luimême un écart tragique,...
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Ronsard: « Doux desdains, douce amour d'artifice cachée… »
Ronsard : « Doux desdains, douce amour d’artifice cachée… » "Doux desdains, douce amour d’artifice cachée, Doux courroux enfantin, qui ne garde son cœur, Doux d’endurer passer un long temps en longueur, Sans me voir, sans m’escrire, et faire la faschee : Douce amitié souvent perdue et recherchée, Doux de tenir d’entrée une douce rigueur, Et sans me saluer, me tuer de langueur, Et feindre qu’autre part on est bien empeschee : Doux entre le despit et entre l’amitié, Dissimulant beaucoup, ne parle...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los
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Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les Elégies) - Contre les bucherons de la forest de Gastine
Commentaire de l’élégie de Ronsard : « Contre les bucherons de la forest de Gastine » Introduction : Le texte à commenter est extrait de l’élégie de Ronsard intitulée « Contre les bucherons de la forest de Gastine ». Dans ce poème, Ronsard évoque la destruction de la forêt de Gastine, à côté de laquelle il vit, oscillant entre accusation et mélancolie. Projet de lecture : Comment l’écriture poétique dans ces deux strophes permet le développement d’une argumentation efficace et le passage de la d...
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Commenter cette opinion d'un critique : «Si Ronsard a imposé à la langue et à la versification des réformes aussi profondes, ce n'était en définitive que pour fournir à de nouveaux thèmes d'inspiration des moyens d'expression et des cadres dignes d'eux. » ?
Commenter cette opinion d'un critique : «Si Ronsard a imposé à la langue et à la versification des réformes aussi profondes, ce n'était en définitive que pour fournir à de nouveaux thèmes d'inspiration des moyens d'expression et des cadres dignes d'eux. » Introduction Ronsard est avant tout un poète orgueilleux de sa mission. Il n'est grammairien que par occ asion. Mais la langue qui manquait de richesse et de vigueur, la versification qui manquait de souples se, de variété et d'ampleur se révé...
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Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Soit que son or se crêpe lentement
Pierre de Ronsard, Premier livre des Amours, « Soit que son or se crêpe lentement ». 1. Soit que son or se crêpe lentement 2. Ou soit qu'il vague en deux glissantes ondes, 3. Qui çà, qui là par le sein vagabondes, 4. Et sur le col, nagent folâtrement ; 5. Ou soit qu'un noeud illustré richement 6. De maints rubis et maintes perles rondes, 7. Serre les flots de ses deux tresses blondes, 8. Mon coeur se plaît en son contentement. 9. Quel plaisir est-ce, ainçois quelle merveille, 10. Quand ses chev...
- SUR LE LIVRE DES AMOURS DE PIERRE DE RONSARD - HEREDIA, Les Trophées.
- roi CHARLES IX (1550-1574) - Ton esprit est, Ronsard,...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ne t'ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme
- Odes (Ronsard) de Pierre Ronsard
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - Pour son tombeau
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- Mellin de SAINT-GELAIS (1487-1558) - A Pierre de Ronsard
- Pourquoi Ronsard a-t-il été aimé des Romantiques ?
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Divin Ronsard, après que la douleur
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - L'on a blâmé Ronsard d'avoir, vieil sacrilège
- Robert GARNIER (1535-1601) - Elégie sur la mort de Ronsard
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ronsard, j'ai vu l'orgueil des colosses antiques
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - A Ronsard
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Sonnets pour Hélène) - Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
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- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Ronsard si tu as su par tout le monde épandre
- Charles SAINTE-BEUVE (1804-1869) (Recueil : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme) - A Ronsard
- Peut-on considérer Ronsard comme le véritable ancêtre de nos Romantiques ?
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Hélène de Surgères
Hélène de Surgères XVIe siècle Ronsard allait atteindre la cinquantaine — la vieillesse alors — quand il s'éprit d'Hélène de Surgères ("la docte de la cour, aussi l'appelle-t-on la Minerve", dit Brantôme ; et selon Ronsard, on la voyait toujours "quelque livre en la main"). Elle semble ne lui avoir jamais rien accordé, que l'honneur de la chanter. Est-elle la triste héroïne du scandale auquel donna lieu certaine perquisition policière au Louvre, le 2 juin 1574, qui dut faire rire aux dépens de l...
- Sonnet à Marie - Pierre de Ronsard
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Histoire de la Pléiade.
Histoire de la Pléiade. L'école littéraire à laquelle fut donné tardivement le nom de Pléiade s'est formée peu à peu autour d'un remarquable animateur, le poète PIERRE DE RONSARD. Ce poète semble avoir pris conscience de sa vocation en 1543• S'étant rendu au Mans cette année-là, pour recevoir la tonsure, il y rencontre l'humaniste Jacques Peletier, son aîné de sept ans, qui lui fait partager ses vues sur la rénovation de la poésie. Peu après, par un autre hasard non moins heureux, il se trouve a...
- Pierre de Ronsard, Nouvelle continuation des Amours.
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les Odes) - Odelette
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- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les meslanges) - J'ai pour maitresse ...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les meslanges) - Que tu es Cicéron ...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les meslanges) - A sa lyre
- Pierre de RONSARD, « Je n'ai plus que les os...», Derniers vers (1586).
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les meslanges) - Quand au temple nous serons
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Le bocage) - A lui mesme
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les Odes) - A Cupidon
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les meslanges) - Odelette à l'Arondelle
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- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - A son âme
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les meslanges) - Odelette à sa maistresse