Résultats pour "passion"
- À la recherche d'un objet improbable et fuyant, la passion chez Marguerite Duras se vit toujours comme une tragédie (...) L'enjeu de la passion dans l'oeuvre et, semble t-il, de montrer cette mort dans une vie en cours qui devient l'ombre même du passionné. Ces propos vous paraissent-ils rendre compte des oeuvres au programme ? (Le Ravissement de Lol V. Stein ; La Princesse de Clèves et La Princesse de Montpensier de Madame de Lafayette ; Les Désordres de l'Amour de Madame de Villedieu) ?
- La conception de la passion, l'expression du sentiment et de l'émotion à travers l'oeuvre. Comment interpréter le sacrifice de Mme de Clèves ?
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Parallèlement) - Ces passions qu'eux seuls nomment encore amours
- Parlant du monde et de ses personnages, Albert Camus écrit dans l'Homme révolté : Les héros ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Leur univers n'est ni plus beau, ni plus édifiant que le nôtre. Mais eux, du moins, courent jusqu'au bout de leur destin et il n'est jamais de si bouleversant héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leurs passions. Vous expliciterez et illustrerez ce point de vue à partir de vos lectures romanesques et vous le discuterez si cela vous semble nécessaire.
- Parlant du monde romanesque et de ses personnages, Albert Camus écrit dans L'Homme révolté : les personnages ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Leur univers n'est ni plus beau ni plus édifiant que le notre. Mais eux du moins,courent jusqu'au bout de leur destin et il n'est jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leur passion. Commentez. Objets d'étude (extraits) : La Princesse de Clèves de La Fayette, Histoire du Chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut de l'abbé Prévost, le Rouge et Noir de Stendhal et La Condition Humaine de Malraux.
- Le rôle des passions humaines selon Balzac ?
- Est-ce la passion ou le devoir qui anime les personnages d'Iphigénie de Racine ?
- Discutez ce propos : "La grande littérature c'est celle des grandes passions exaltées, violentes, douloureuses" ?
- Molière, Le Misanthrope, Acte IV Scène III (Passion et Jalousie).
- Commenter cette remarque de Brunetière sur le théâtre de Corneille: Ce n'est proprement ni le devoir ni la passion qu'il s'est plu à nous représenter; c'est la volonté, quel qu'en fût d'ailleurs l'objet ?
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Comment Racine fait du sentiment amoureux une passion tragique dans cette seconde scène d'aveu de cette pièce ? (Racine, Phèdre, I, 3 v.269-316)
Demande d'échange de corrigé de Boireau Maxence ([email protected]). Sujet déposé : Problématique : Comment Racine fait du sentiment amoureux une passion tragique dans cette seconde scène d'aveu de cette pièce ? (Racine, Phèdre, I, 3 v.269-316) Introduction : Dès le début du Vème siècle avant Jésus-Christ, la tragédie apparaît à Athènes. On la représente dans le cadre des fêtes de Dionysos qui se déroulaient fin janvier et fin mars. A l'opposé de la comédie, elle a pour but d'inspirer « te...
- Seriez-vous aussi sévère qu'un critique affirmant, à propos de la reprise des mythes antiques par les dramaturges modernes : « Il y a une étonnante mesquinerie à rapetisser ainsi ces grandes figures qui, sur la route de l'humanité, incarnent nos éternelles passions. » ? Pour répondre, vous vous appuierez sur la pièce étudiée cette année ?
- La tragédie, dit Racine, demande une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les passions et les sentiments des personnages. Expliquez à l'aide d'exemple ?
- Dans un article de 1968 intitulé La mort de l'auteur, le critique Roland Barthes écrit: L'image de la littérature que l'on peut trouver dans la culture courante est tyranniquement centrée sur l'auteur, sa personne, son histoire, ses goûts, ses passions. En vous appuyant sur les documents fournis, les textes étudiés en classe et vos lectures (et/ou expériences) personnelles, vous discuterez ce jugement ?
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Dans le journal d'un poète, en 1836, Alfred de Vigny écrivait: Le drame est vrai puisque, dans une action tantôt comique, tantôt tragique, suivant les caractères, il finit avec tristesse comme la vie des hommes puissants de caractère, énergiques de passion. Le drame n'a été appelé bâtard que parce qu'il n'est ni comédie ni tragédie. [...] Mais les vivants sont ainsi. Vous expliquerez cette opinion en l'illustrant à partir des drames romantiques que vous connaissez ?
Stùets traités Dans le Joumol d'uu jJoèlt, en 18.'36, Alrred de Vigny écri,·ait :
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Commentez cette réflexion de P.-A. Touchard dans L'Amateur de théâtre ou la Règle du jeu : « Il y a une fatalité dans le roman comme il y a une fatalité au théâtre, mais la fatalité du roman est dans le personnage, celle du théâtre dans la situation. Le roman tend à nous faire souvenir que l'homme est déterminé par ses propres passions; le théâtre à nous rappeler que son destin demeure le jouet des événements. »
Commentez cette réflexion de P.-A. Touchard dans L'Amateur de théâtre ou la Règle du jeu : « Il y a une fatalité dans le roman comme il y a une fatalité au théâtre, mais la fatalité du roman est dans le personnage, celle du théâtre dans la situation. Le roman tend à nous faire souvenir que l'homme est déterminé par ses propres passions; le théâtre à nous rappeler que son destin demeure le jouet des événements. » En premier lieu, le théâtre de Corneille. Les héros y sont déterminés par l'événemen...
- Le monde romanesque n'est que la correction de ce monde-ci, suivant le désir profond de l'homme. Car il s'agit bien du même monde. La souffrance est la même, le mensonge et l'amour. Les héros ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Mais eux, du moins, courent jusqu'au bout de leur destin et il n'est même jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu'à l'extrémité de leur passion. Commentez ce propos.
- Expliquez et discutez la conception de l'art dramatique qui apparaît dans les lignes suivantes : « Quoi! Vous ne concevez pas l'effet que produiraient sur vous une scène réelle, des habits» vrais, des discours proportionnés aux actions, des actions simples, des dangers dont il est impossible que vous n'ayez tremblé pour vos parents, vos amis, pour vous-même? Un renversement de fortune, la crainte de l'ignominie, les suites de la misère, une passion qui conduit l'homme à sa ruine, de sa ruine au désespoir, du désespoir à une mort violente, ne sont pas des événements rares, et vous croyez qu'ils ne vous affecteront pas autant que la mort fabuleuse d'un tyran, ou le sacrifice d'un enfant aux autels des dieux d'Athènes ou de Rome? » (Diderot, Entretiens sur « Le Fils naturel », 1757, Troisième entretien, éd. de La Pléiade, p. 1284) ?