Résultats pour "mesurer"
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Quand je veux mesurer votre auguste hautesse
- Dans quelle mesure peut-on parler d'un travail de l'écrivain ?
- Dans quelle mesure la lettre permet-elle l'épanchement du moi ?
- Dans quelle mesure peut-on parler d'engagement humaniste au 16e siècle ?
- Dans quelles mesures y parvient-elle ? Serait-ce sa seule fonction ?
- Dans quelle mesure peut-on dire que toute représentation théâtrale est une rencontre ?
- Dans quelle mesure une autobiographie demande t-elle selon vous la collaboration du lecteur ?
- Dans quelle mesure l'essai vous paraît-il être un genre propice à l'argumentation sur l'altérité ?
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Dans quelle mesure la poésie vous semble-t-elle particulièrement apte à susciter une remise en question du langage ?
Dans quelle mesure la poésie vous semble-t-elle particulièrement apte à susciter une remise en question du langage ? Analyse du sujet et problématisation : Le sujet porte sur la définition du genre poétique. Il interroge sur l'essence de la poésie. Qu'est-ce que la poésie ? Est-ce une réflexion sur le langage ? Le sujet met en rapport deux pôles distincts, la poésie et le langage en interrogeant sur les rapports qui existent entre ces deux concepts. De par son étymologie, le terme « poésie » vie...
- Dans quelle mesure une correspondance privée non fictive peut-elle intéresser un public auquel elle n'est pas a priori destinée ?
- Dans quelle mesure un récit de vie concernant une personne privée peut-il devenir une oeuvre littéraire digne d'intérêt pour le public ?
- Dans quelle mesure on peut dire que le théâtre du XVIIIe siècle est une interrogation sur les contraintes que représentent les préjugés sociaux ?
- Dans quelle mesure peut-on dire que les personnages, dans un roman ou une nouvelle sont seulement les représentants d'une époque et d'un milieu social ?
- Dans quelle mesure pouvez-vous affirmer que : Si Polyeucte est la plus parfaite des tragédies c'est peut-être parce que le métier y est d'une adresse achevée ?
- Dans quelle mesure une forme de prose poétique telle que vous l'avez découverte dans les trois textes proposés, et éventuellement dans d'autres textes, favorise-t-elle l'expression de la rêverie ?
- Dans quelle mesure Flaubert dans Madame Bovary vous semble-t-il avoir concilié le réalisme de ses peintures avec ses préoccupations d'artiste soucieux de la souveraine beauté de la forme ?
- Goethe affirme en 1829 dans sa Conversation avec Eckermann : « J'appelle classique ce qui est beau, romantique ce qui est malade ». Dans quelle mesure, cette affirmation peut-elle s'appliquer aux oeuvres étudiées ?
- Vous vous demanderez dans quelle mesure la poésie permet le dépassement d'une épreuve. Vous vous appuierez sur les textes du corpus, ceux que vous avez étudiés en classe, et sur vos lectures personnelles ?
- « J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or », écrit Baudelaire dans un projet d'épilogue des Fleurs du Mal. Dans quelle mesure ce vers rend-il compte de son écriture poétique ?
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Dans quelle mesure la poésie vous semble-t-elle particulièrement apte à susciter une remise en question du langage ?
Dans quelle mesure la poésie vous semble-t-elle particulièrement apte à susciter une remise en question du langage ? Analyse du sujet et problématisation : Le sujet porte sur la définition du genre poétique. Il interroge sur l'essence de la poésie. Qu'est-ce que la poésie ? Est-ce une réflexion sur le langage ? Le sujet met en rapport deux pôles distincts, la poésie et le langage en interrogeant sur les rapports qui existent entre ces deux concepts. De par son étymologie, le terme « poésie » vie...
- Dans quelle mesure une correspondance privée non fictive peut-elle intéresser un public auquel elle n'est pas a priori destinée ? Vous vous appuierez sur les textes du corpus et sur vos lectures de l'année, pour répondre à cette question ?
- Personnage souvent aux prises avec ses pulsions, Pierre devient, au paroxysme de l'aliénation, un monstre ». En quoi cette approche du personnage de Pierre et Jean de Maupassant vous paraît-elle justifiée ? Et dans quelle mesure peut-on l'affilier à l'expérience naturaliste ?
- « Les grands livres changent la vie, les bons l'éclairent, les mauvais l'attristent ». M. Robert, Livres de lectures. Après avoir expliqué cette affirmation, vous vous demanderez dans quelle mesure elle correspond à votre expérience : vous vous appuierez sur des analyses tirées de vos lectures ?
- Au début du livre II des Confessions, Rousseau présente la jeunesse comme « l'âge de la faiblesse et de l'innocence... » Dans quelle mesure cette formule paraît-elle convenir à l'image que, par l'écriture, Rousseau donne de lui dans les deux premiers livres des Confessions ?
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Dans quelle mesure et par quels moyens la littérature a-t-elle le pouvoir de dénoncer et dévoiler les masques sociaux et les tartufferies de toutes sortes.
Dans quelle mesure et par quels moyens la littérature a-t-elle le pouvoir de dénoncer et dévoiler les masques sociaux et les tartufferies de toutes sortes ? Analyse du sujet et problématisation : Ce sujet interroge la fonction critique de la littérature sous deux aspects : « dans quelle mesure » invite à statuer sur les limites de ce « pouvoir » critique de littérature, de son rôle dans la dénonciation sociale ; « par quels moyens » invite à déterminer les différents procédés littéraires servan...
- Un critique contemporain présente le mythe antique comme « une histoire vraie qui s'est passée au commencement des temps et qui sert de modèle aux comportements humains. » En vous appuyant sur l'oeuvre théâtrale du XXe que vous avez étudiée, vous vous demanderez dans quelle mesure elle exploite le mythe ainsi défini ?
- Pierre Magnan écrit au début de ses Mémoires : « Je vais descendre nu et cru dans la fosse aux hommes. Ils ne me feront pas quartier. [...] Mais c'est moi, d'abord, qui ne dois pas me faire quartier. » Dans quelle mesure ce propos peut-il définir l'entreprise autobiographique ? Vous en discuterez en vous appuyant sur les textes du corpus...
- Vous commenterez cette formule d'Albert CAMUS: Le plus grand style est l'expression de la plus haute révolte. Comme le vrai classicisme n'est qu'un romantisme dompté, le génie est une révolte qui a créé sa propre mesure ?
- Dans Études sur le temps humain, Georges Poulet rend compte de ce qu'il appelle « la mesure de l'instant parfait chez Casanova » en la définissant comme « un moment de nouveauté pure, où rien ne compte, ni passé, ni avenir, où le présent se limite à la somme de joie goûtée à l'intérieur de ses limites. Moment que rien ne prépare, que rien non plus ne prolonge » ?
- Après avoir lu plusieurs chroniques de Jean Giono, l'écrivain Jean-Louis Bory faisait ce commentaire : Giono avait longtemps cru que la machine et les allumettes chimiques, voilà les responsables du malheur. Tout se passait comme s'il ouvrait les yeux et sous la somptueuse peau de tigre, qu'est le feuillage des arbres, découvrait un corps cruel. Dans quelle mesure, Un roi sans divertissement peut-il illustrer ces propos ?
- Un roman est un miroir promené le long d'un chemin » ; « toute oeuvre d'art est un beau mensonge »... Comment concilier ces déclarations apparemment contradictoires de Stendhal ? En vous appuyant sur vos lectures, vous vous demanderez dans quelle mesure l'oeuvre littéraire peut et doit refléter la réalité.
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Le thème de tout roman, c'est le conflit d'un personnage romanesque avec des choses et des hommes qu'il découvre en perspective à mesure qu'il avance, qu'il connaît d'abord mal et qu'il comprend jamais tout à fait. Commentez cette pensée d'Alain ?
I Tout roman est initiatique _Le roman est en soi narration, c'est-à-dire qu'il est le récit créé par le regard d'un personnage, assimilable ou non à l'auteur, porté sur un monde réel ou fictif. De ce point de vue, l'aspect conflictuel du personnage avec les choses et les hommes s'avère être une véritable nécessité. L'Education sentimentale de Flaubert représente de ce point de vue un cas limite, puisque la particularité de son héros, Frédéric Moreau, est se trouver systématiquement extérieur au...
- Dans son traité d'éducation, Émile, publié en 1762, Rousseau déclare à propos de l'utilisation, fréquente à l'époque, des Fables pour l'éducation morale des jeunes enfants : Composons M. de La Fontaine. Je promets quant à moi de vous lire, de vous aimer, de m'instruire dans vos fables, mais pour mon élève, permettez que je ne lui en laisse pas étudier une seule. Dans quelle mesure votre lecture personnelle du 2e recueil des Fables vous permet-elle de comprendre et de partager les réticences de Rousseau ?
- « C'est propre la tragédie. (...) Et puis surtout c'est reposant la tragédie, parce qu'on sait qu'il n'y a plus d'espoir, le sale espoir ; qu'on est pris, qu'on est pris comme un rat, avec tout le ciel sur notre dos, et qu'on n'a plus qu'à crier, pas à gémir, non, pas à se plaindre, - à gueuler à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on avait jamais dit et qu'on ne savait peut-être même pas encore ». Dans quelles mesures cette définition de la tragédie correspond-elle à Phèdre de Racine ?
- Un critique contemporain définit l'esprit du 18e siècle en ces termes: Il fallait édifier une politique sans droit divin, une religion sans mystère, une morale sans dogme. Dans quelle mesure et avec quelles nuances ce jugement se trouve-t-il vérifié par les oeuvres du 18e siècle que vous connaissez ?
- Dans les comédies, il s'agit de re-créer le choc entre deux conceptions de la vie, le moment historique clé d'une société : l'effondrement d'un état féodal. Le monde est la Galice et sa synthèse le repentir de Don Juan Manuel, dernière décantation de l'âme galicienne. L'intention artistique : capter un moment d'un changement historico-social au moyen de l'écriture. La forme littéraire que choisit Valle Inclan pour représenter cet instant est le drame historique. Dans quelle mesure et jusqu'a quel point peut on dire, après avoir analysé les nuances de la citation, que les Comedias Barbaras sont un drame historique ?
- Dans son essai critique Sur Racine, Roland Barthes qualifie Bérénice de « tragédie de l'aphasie » ; Jean Starobinski, quant à lui, souligne « que dans le théâtre français classique, et singulièrement chez Racine, les gestes tendent à disparaître au profit du langage, il faut ajouter au profit du regard. Les scènes chez Racine sont des « entrevues ». Les personnes du drame se parlent et s'entre-regardent mais les regards échangés ont valeur d'étreinte et de blessure... Ils troublent les âmes. Une contrainte esthétique devient ainsi moyen d'expression ». Dans quelles mesures cette définition de la tragédie correspond-elle à la pièce de Racine que vous avez étudiée ?
- Selon l'opinion de deux auteurs contemporains, interpréter signifie dans son emploi courant: donner un sens à, et aussi s'agissant du théâtre: jouer, donner une image visuelle. l'interprétation du texte de théâtre est indispensable [...]. Elle peut être le fait des acteurs [...] Elle est aussi le fait du metteur en scène.[...]. Elle est, enfin, le fait du lecteur qui imagine selon ses goûts et sa culture les personnages, leurs faits et gestes, et charge donc le texte de sens divers. En faisant référence à vos lectures de pièces et aux spectacles que vous avez pu voir, vous expliquerez dans quelle mesure vous partagez cette opinion. ?
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Dans La Religieuse "Diderot se livre à ce qu'il nomme lui-même une effroyable satire des couvents, mais cette volonté polémique ne vaudrait que pour l'anecdote s'il n'y développait une véritable méditation sur les méfaits de la solitude et sur les effets pervers de la violence que l'homme exerce contre la nature et contre lui-même- spirituellement par le fanatisme, physiquement par la répression systématique des besoins du corps". Dans quelle mesure ce propos de Pierre Lepape (Diderot, Flammarion, coll.Champs) éclaire-t-il votre lecture de l'oeuvre ?
S'il y a bien une idée essentielle du siècle des Lumières, et qui trouve sa source chez Erasme, c'est celle de l'anthropocentrisme. La société féodale et monarchique considérait, selon l'enseignement de l'Eglise catholique, que l'homme est certes la créature la plus parfaite de la création car possédant une âme spirituelle, et qui utilise sa raison pour s'élever au dessus des réalités matérielles. Cette raison est essentiellement naturelle, elle appartient par nature à l'homme à la différence de...
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« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. Camus, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux? Vous avez lu des textes qui prouvent le contraire. Parmi les écrivains que vous connaissez, quels sont ceux qui, à votre avis, ont le mieux accompli la mission fixée par Camus ? Et pourquoi ?
« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. Camus, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux? Vous avez lu des textes qui prouvent le contr...
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« Nous autres, écrivains du xxe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. CAMUS, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux ? Vous avez lu des textes qui prouvent le contraire. Parmi les écrivains que vous connaissez, quels sont ceux qui, à votre avis, ont le mieux accompli la mission fixée par Camus ? Et pourquoi ?
« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. CAMUS, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux ? Vous avez lu des textes qui prouvent le cont...