1677 résultats pour "s+eclaire"
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Jack Kerouac
Jack Kerouac 1922-1969 Auteur américain, de son vrai nom Jean-Louis Lebris de Kerouac, dont l'écriture spontanée donna naissance à la “ littérature de l'instant ”, expression du vent de liberté qui souffla sur l'Amérique de la “ beat generation ”. Issu d'une famille d'origine canadienne-française, Jack Kerouac naquit à Lowell, Massachusetts, où il apprit l'anglais en seconde langue. Étudiant à Columbia College à la veille de l'entrée en guerre des États-Unis, il s'enrôla dans la US Navy. Réformé...
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Honoré de Balzac
Honoré de Balzac Honoré de Balzac naquit à Tours dans une famille de souche paysanne et étudia à Vendôme au collège des Oratoriens, avant que sa famille monte à Paris dans le sillage de la chute de Napoléon. Déterminé à entreprendre une carrière littéraire, il tâtonna durant deux ans, expérimentant divers genres qui tous se révélèrent purement alimentaires, puis abandonna pour un temps l'écriture et monta une maison d'édition. En 1828, au bord de la faillite, Balzac retourna à son labeur d'écri...
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Dans ses Réflexions sur le roman, publiées en 1938, le critique Albert Thibaudet distingue les «lecteurs» qui « ne demandent au roman qu'une distraction, un rafraîchissement, un repos de la vie courante» et les «liseurs» pour qui le roman existe « non comme un divertissement accidentel, mais comme une fin essentielle». En vous fondant sur votre expérience personnelle et en vous aidant d'exemples précis, vous direz ce que vous pensez d'une telle distinction.
Dans ses Réflexions sur le roman, publiées en 1938, le critique Albert Thibaudet distingue les «lecteurs» qui « ne demandent au roman qu\'une distraction, un rafraîchissement, un repos de la vie courante» et les «liseurs» pour qui le roman existe « non comme un divertissement accidentel, mais comme une fin essentielle». En vous fondant sur votre expérience personnelle et en vous aidant d\'exemples précis, vous direz ce que vous pensez d\'une telle distinction. Introduction Quand nous ouvrons un...
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Pensez-vous que le théâtre, lieu privilégie de l'expression et du dialogue, ait pour première vocation l'expression des idées et du débat ?
Pensez-vous que le théâtre, lieu privilégié de l'expression et du dialogue, ait pour première vocation l'expression des idées et du débat ? Analyse du sujet et problématisation : Le théâtre est envisagé ici à la fois comme genre littéraire et comme lieu public où ont lieu des représentations, des spectacles. Le terme de « lieu » est employé ici au sens propre ( d'endroit, d'infrastructure) comme au figuré (au sens plus large d'espace, et ici, concernant le théâtre, de média littéraire). Par sa f...
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LA GÉNÉRATION DE 1789
f:.A G:8N:8RATION DE Vi.89. LA GÉNÉRATION DE NA,POLÉON. On s'est étonné de l'obstination avec laquelle Chateau briand, né �m 1768, se rajeunit, toujours d1un an ; on a pensé uniquem�t qu'il s'agissait .pour lui de faire partir d'une année de naissance c9.mmune, 1769, .le parall�lisme où il se complaît entre la �ère de_ Bonaparte et �à sienne. Ce cou_p _ de pouce à l'mguille des chiffres, retenons-le et adoptons-le comme une intention de créer cette réalité : la génération de N�pol...
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Les adversaires des philosophes des Lumières.
Les adversaires des philosophes des Lumières. Naturellement la propagande philosophique rencontre des oppositions. Mais il ne faudrait pas se figurer les philosophes d'une part, les bien-pensants de l'autre, formant deux blocs homogènes, caractérisés le premier par un libéralisme irréprochable, le second par un traditionalisme aveugle. A l'intérieur du clan philosophique, on constate un certain conformisme doctrinal, quelque étroitesse de vues. Quant au parti de la tradition, il sait à l'occasio...
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Baudelaire, « A une passante »
Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, « À une passante ». La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait so...
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Savetier et le Financier
Jean de La Fontaine, Fables, « Le Savetier et le Financier ». 1. Un Savetier chantait du matin jusqu'au soir : 2. C'était merveilles de le voir, 3. Merveilles de l'ouïr ; il faisait des passages, 4. Plus content qu'aucun des sept sages. 5. Son voisin au contraire, étant tout cousu d'or, 6. Chantait peu, dormait moins encor. 7. C'était un homme de finance. 8. Si sur le point du jour parfois il sommeillait, 9. Le Savetier alors en chantant l'éveillait, 10. Et le Financier se plaignait, 11. Que le...
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Constantin Cavafis
Constantin Cavafis Le 17 avril 1863, le patriarcat d'Alexandrie, en Égypte, inscrivait sur ses registres le nom de Constantin P. Cavafis, rejeton d'une riche famille grecque : le père, un négociant fixé dans la colonie alexandrine ; la mère, une phanariote. Comme plusieurs des fils de cette " bonne société ", le jeune Constantin fit ses études en Angleterre. Plus tard, il vécut à Constantinople, où sa mère était née ; il connut la France et la Grèce. La trentaine passée, il revint en Égypte, tr...
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Jean Giono, Le Hussard sur le toit, ch. VI (1951)
Jean Giono, Le Hussard sur le toit, ch. VI (1951) Durant la grande épidémie de choléra qui sévit en Provence au milieu du XIXe siècle, le héros du Hussard sur le toit, Angélo, perché sur les toits de Manosque, assiste à une procession destinée à conjurer les forces du mal. Bien longtemps avant que le soleil se lève, une petite cloche se mit à sonner dans les collines. Il y avait de ce côté-là, sur une éminence couronnée de pins, un ermitage semblable à un osselet. La lumière encore relativement...
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - L'échafaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « L'échafaud ». 1. C’était fini. Splendide, étincelant, superbe, 2. Luisant sur la cité comme la faulx sur l’herbe, 3. Large acier dont le jour faisait une clarté, 4. Ayant je ne sais quoi dans sa tranquillité 5. De l’éblouissement du triangle mystique, 6. Pareil à la lueur au fond d’un temple antique, 7. Le fatal couperet relevé triomphait. 8. Il n’avait rien gardé de ce qu’il avait fait 9. Qu’une petite tache imperceptible et rouge. 10. Le bourreau s’en ét...
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Robert Graves
Robert Graves 1895-1985 Robert Ranke Graves est né à Londres, d'un père irlandais, lui-même poète, et d'une mère d'origine allemande. Entré tardivement à Charterhouse, en 1914, il avait dès avant cette date écrit quelques poèmes orientés vers la chevalerie, l'aventure, la féerie. Engagé volontaire, il servit dans le régiment de Siegfried Sassoon. Blessé, envoyé en convalescence à Oxford, il s'y maria en 1918. La guerre l'avait profondément marqué. Il y avait pris conscience d'une révolte fondame...
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Il paraît qu'il est immoral de parler de soi. Moi je ne sais guère que parler de moi. Le moi n'est pas du tout haïssable, bien au contraire, écrit Paul Léautaud dans son Journal. Qu'en pensez-vous ?
Blaise Pascal dans une formule célèbre des Pensées proclame que « le moi est haïssable ». Il s'en explique au nom de valeurs morales : « En un mot, le moi a deux qualités : il est injuste en soi, en ce qu'il se fait centre de tout ; il est incommode aux autres, en ce qu'il les veut asservir : car chaque moi est l'ennemi et voudrait être le tyran de tous les autres ! » (VII, 455). C'est pourquoi Pascal condamne les Essais de Montaigne : « Le sot projet qu'il a de se peindre ! » (II, 62). Trois si...
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Eschyle
Eschyle Eschyle est le seul des grands poètes grecs de l'âge classique qui ait vu de ses propres yeux la brillante victoire de la démocratie athénienne, à l'intérieur sur la tyrannie, à l'extérieur sur l'agression perse, et qui l'ait aidée de ses propres mains à la remporter. A vrai dire, Sophocle, alors âgé de seize ans, fut présent à Salamine, mais Hérodote et Euripide étaient encore enfants, et Thucydide et Socrate n'étaient pas encore nés. Eschyle a donc une place à part, non seulement à cau...
- Félix ARVERS (1806-1850) - La villégiature
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - La mère qui pleure
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- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Épître
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) (Recueil : Le chemin des saisons) - Le faisan doré
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Dans un parfum de roses blanches
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Octobre est doux...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Le ménétrier
- Jean Giono, Regain.
- AUTEUR ANONYME (Recueil : Comptines) - Une pomme rouge
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Soir sur la plaine
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- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Chaque jour un oiseau rencontre ce garçon
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Promenade à l'étang
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies complémentaires) - Sur une morte
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Les meules qui brûlent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Les routes
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Sous les arbres
- Henri Michaux, « La paresse »
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- Le Pont Mirabeau - Guillaume Apollinaire- Alcools
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L'art d'Anatole France
Anatole France, partisan de l'émancipation dans tous les domaines de la pensée, est conservateur en matière d'art. Clarté, ironie et sensibilité caractérisent le style de cet écrivain, qui est proposé en modèle dans tous les pays où s'enseigne la langue française. LA CLARTÉ Anatole France pense que seule une forme simple permet à un écrivain de passer à la postérité : « Un bon style est comme un rayon de lumière qui entre par ma fenêtre au moment où j'écris et qui doit sa clarté pure à l'union i...
- Maupassant, Bel-Ami, I, II
- Benjamin Constant, Adolphe, chapitre 10.
- Maupassant, Bel Ami.
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Soir de Printemps
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Le chêne - suite de Jehova
- Antoine HEROËT (1492-1568) - La parfaite amie
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- Camus, La Peste, Incipit.
- Stuart MERRILL (1863-1915) (Recueil : Les gammes) - Refrains mélancoliques
- Jacques DELILLE (1738-1813) - Ô Versaille !
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flamandes) - L'abreuvoir
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est le premier matin du monde
- Andrée Chedid - Lettres à la jeunesse
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Cochon, la Chèvre et le Mouton
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Les fièvres
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Les meules
- Jules VERNE (1828-1905) - Le silence dans une église









