2326 résultats pour "commentaire jean paul sartre mains sales 6eme tableau scene extrait 10482 5559"
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Satire première
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Commentaire Le blé en herbe Colette
Commentaire de Français Le Blé en herbe est un roman écrit par Colette en 1923. Colette, de son vrai nom Sidonie-Gabrielle Colette est une femme de lettre , également actrice et journaliste, c’est l’une des plus célèbres romancières en France mais également à l’étranger. Elle n’appartient pas à un mouvement défini mais fait principalement des romans sensuels et parfois de la littérature animalière. Dans ce roman, elle nous parle de deux personnages : Phil et Vinca, tous deux adolescents,...
- Paul Bourget
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Albert Cohen, Belle du Seigneur
Première partie (4 points) 1. Observez les temps verbaux pour identifier le type de texte Tous les verbes des propositions indépendantes ou principales de ce texte sont à l'imparfait (circulaient, écoutaient, répétait, citait...) et commandent parfois un futur du passé dans la subordonnée (serait, marquerait). Cette fréquence permet d'identifier une description : l'auteur brosse le tableau d'une soirée mondaine dans les milieux diplomatiques. 2. Relevez une allitération dans le premier para...
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Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie I, chapitre IV
Demande d'échange de corrigé de adel charaf ([email protected]). Sujet déposé : commentaire Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie 1 , chapitre IV Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1) partie, chapitre IV La noce est un morceau de choix dans la littérature réaliste du XIX siècle (cf. Zola dans L'Assommoir). Flaubert ne rate pas cette belle occasion de nous présenter une noce normande dans une description en mouvement d'un grand réalisme même si le narrateur adopte un regard amusé sur ces p...
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Colette, "La maison de Claudine", Chapitre 1 (extrait)
Les souvenirs d'enfance tiennent, depuis un ou deux siècles, une place prépondérante dans la littérature autobiographique : souvenirs associés bien souvent à la nostalgie d'une période révolue, d'un monde à jamais disparu ; occasion aussi pour l'écrivain qui se souvient, à travers l'évocation de son propre passé, de réfléchir sur lui-même, sur ce qu'il est devenu, ses éventuelles -trahisons- : l'adulte qu'on est devenu est-il digne toujours de l'enfant qu'on fut ? Ainsi dans le chapitre «Où sont...
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Racine, Phèdre, Acte V, scène 7.
Racine, Phèdre, Acte V, scène 7. THESEE Hé bien ! vous triomphez, et mon fils est sans vie. Ah ! que j'ai lieu de craindre ! et qu'un cruel soupçon, L'excusant dans mon coeur, m'alarme avec raison ! Mais, Madame, il est mort, prenez votre victime : Jouissez de sa perte, injuste ou légitime. Je consens que mes yeux soient toujours abusés. Je le crois criminel puisque vous l'accusez. Son trépas à mes pleurs offre assez de matières, Sans que j'aille chercher d'odieuses lumières, Qui ne pouvant le r...
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Commentaire - L'assommoir Zola
Commentaire sur L’assommoir, Émile Zola L’assommoir est un roman écrit par Émile Zola en 1877. Le courant littéraire de Zola est le naturalisme, courant populaire durant la deuxième moitié du XIXe siècle consistant à mettre en relation le réalisme et des travaux scientifiques en gardant une objectivité sur le sujet. C’est dans ce contexte que Zola raconte la rencontre des deux personnages principaux, Gervaise et Coupeau, tout deux dans le monde ouvrier, et rebutés par l’alcool. Dans ce p...
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JEAN RACINE
JEAN RACINE Corneille et Racine sont indéniablement les auteurs du siècle, dans le genre du siècle, et on voit mal pourquoi on cesserait d'exploiter un parallèle aux ressources inépuisablement éloquentes. Corneille est l'action tragique ; il fait éclater au théâtre l'affrontement des forces qui font l'histoire. Racine est l'essence tragique ; il fait chanter sur le théâtre la souffrance de l'individu broyé par le destin. Tout aussi sanglant que celui de Racine, le théâtre de Corneille, du fait...
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : La forêt bleue) - Les Zingaris
- Molière, L'École des femmes, Acte I, scène 2
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : La forêt bleue) - Les nymphes
- MOLIÈRE (1622-1673) - Jean-Baptiste POQUELIN, dit.
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Poème extrait de La légende des siècles « Orphée » - Victor HUGO
Poème extrait de La légende des siècles « Orphée » "J'atteste Tanaïs, le fleuve noir aux six urnes, Et Zeus qui fait traîner sur les grands chars nocturnes Rhéa par des taureaux et Nyx par des chevaux Et les anciens géants et les hommes nouveaux, Pluton qui nous dévore, Uranus qui nous crée, Que j'adore une femme et qu'elle m'est sacrée. Le monstre aux cheveux bleus, Poséidon, m'entend; Qu'il m'exauce. Je suis l'âme humaine chantant, Et j'aime. L'ombre immense est pleine de nuées, La large plui...
- « L'écrivain est en situation dans son époque : chaque parole a des retentissements. Chaque silence aussi. » Commentez cette phrase de Sartre.
- Corneille, L'Illusion comique, Acte III, scène 11, 12.
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JEAN GIRAUDOUX, La Guerre de Troie n'aura pas lieu, II, 5.
O vous qui ne nous entendez pas, qui ne nous voyez pas, écoutez ces paroles, voyez ce cortège. Nous sommes les vainqueurs. Cela vous est bien égal, n'est-ce pas ? Vous aussi, vous l'êtes. Mais nous, nous sommes les vainqueurs vivants. C'est ici que commence la différence. C'est ici que j'ai honte. Je ne sais si, dans la foule des morts, on distingue les morts vainqueurs par une cocarde. Les vivants, vainqueurs ou non, ont la vraie cocarde. Ce sont leurs yeux. Nous, nous avons deux yeux, mes pauv...
- Hugo, Ruy Blas, acte I, scène 1
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Corneille, L'Illusion comique, acte V, scène 5
Corneille, L’Illusion comique, acte V, scène 5. (…) Alcandre Cessez de vous en plaindre. A présent le théâtre Est en un point si haut que chacun l'idolâtre; Et ce que votre temps voyait avec mépris Est aujourd'hui l'amour de tous les bons esprits, L'entretien de Paris, le souhait des provinces, Le divertissement le plus doux de nos princes, Les délices du peuple, et le plaisir des grands; Il tient le premier rang parmi leurs passe-temps; Et ceux dont nous voyons la sagesse profonde Par ses illus...
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Jean Giono, Le Hussard sur le toit, ch. VI (1951)
Jean Giono, Le Hussard sur le toit, ch. VI (1951) Durant la grande épidémie de choléra qui sévit en Provence au milieu du XIXe siècle, le héros du Hussard sur le toit, Angélo, perché sur les toits de Manosque, assiste à une procession destinée à conjurer les forces du mal. Bien longtemps avant que le soleil se lève, une petite cloche se mit à sonner dans les collines. Il y avait de ce côté-là, sur une éminence couronnée de pins, un ermitage semblable à un osselet. La lumière encore relativement...
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VOLTAIRE Candide - extrait chapitre 19 « Le nègre de Surinam»
Voltaire, Candide ou l’Optimisme, extrait du chapitre 19 (1759) Etude linéaire « Le nègre de Surinam» En approchant de la ville, ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n'ayant plus que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. "Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? - J'attends mon maître, monsieur Vanderdendur, le fameux n...
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commentaire de deux poèmes, Eluard et Victor Hugo (Elle était déchaussée et L'amoureuse)
- Enoncé du sujet= présentation du texte, de l’œuvre dont il est extrait, le titre, l’auteur, l’époque (histoire littéraire A SUPPRIMER QD TU REPRENDRAS 5c’est juste pour que tu comprennes ce qu’il faut faire Les textes proposés parlent du sentiment amoureux. Ce sont des poèmes, l’un de Victor Hugo, l’autre de Paul Eluard. « Elle était déchaussée,… » fait partie des Contemplations, un recueil lyrique publié en 1856 après le décès de sa fille Léopoldine. La tonalité générale des Co...
- Jules Romains, Knock, acte III, Scène 9 (fin)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Avec mes vieilles mains...
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- François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848) (Recueil : Tableaux de la nature) - Invocation
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L'Annonce faite à Marie (1912) PAUL CLAUDEL (1868-1955)
DRAME L'An nonc e faite à M ari e PAUL CLAUDE L (1 868- 1955) L'auteu r Paul Claudel est né dans une famille bourgeoise, à Villeneuve-sur-Fère, aux confins de la Champagne et des Ardennes. La nuit de Noël 1886, à Notre-Dame de Paris, il est soudain illuminé par la foi . Reçu au concours des Affaires étrangères, il devient diplomate et occupe divers postes à l'étranger, notamment aux États-Unis et en Extrême Orient. Ses principaux drames sont Tête d'or (deux versions : 1890, 19...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - L'angoisse
Le Parnasse est né comme une réaction contre les rigueurs du romantisme. A cette sévère poésie, composée comme un tableau de David, les parnassiens opposent la leur, plus légère, plus vive, =a peu plus dans le style de Delacroix. Le scientisme est à la mode et le nihilisme le suit de près. Beaucoup de parnassiens se laisseront tenter par ces concepts. Ainsi, Verlaine, qui, dans son poème l'Angoisse, nous présente une violente diatribe ou peut-être... un testament. Dans ce poème, Verlaine fait en...
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Extrait de "La beauté du diable" - Louis Aragon in Le Roman Inachevé.
Le texte qui est proposé ici est extrait d'un poème intitulé « La Beauté du diable ». C'est après « Sur le pont Neuf j'ai rencontré », le deuxième texte de l'autobiographie poétique d'Aragon, Le Roman inachevé, publié en 1956. Ce recueil de poèmes reprend la trame du poème précédent Les Yeux et la Mémoire, publié en 1954. C'est un ensemble de poèmes à la première personne, qui recomposent de manière fragmentaire l'autobiographie du poète et ses opinions devant les événements de sa vie ou du mond...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les douze mois) - La Saint-Jean
- François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848) (Recueil : Tableaux de la nature) - La mer
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Savetier et le Financier
Jean de La Fontaine, Fables, « Le Savetier et le Financier ». 1. Un Savetier chantait du matin jusqu'au soir : 2. C'était merveilles de le voir, 3. Merveilles de l'ouïr ; il faisait des passages, 4. Plus content qu'aucun des sept sages. 5. Son voisin au contraire, étant tout cousu d'or, 6. Chantait peu, dormait moins encor. 7. C'était un homme de finance. 8. Si sur le point du jour parfois il sommeillait, 9. Le Savetier alors en chantant l'éveillait, 10. Et le Financier se plaignait, 11. Que le...
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Le torrent orageux entraine renversées...
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- Rémy BELLEAU (1528-1577) (Recueil : La Bergerie) - Pendant que vostre main docte ...
- Le tourment de Chatterton (Vigny, Chatterton, 1835, Acte III, scène 1)
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Je vous envoye un bouquet que ma main
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Fille du vieux pasteur, qui d'une main agile
- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - Je pleure sur toi...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - La Laitière et le Pot au lait
- Giraudoux, La guerre de Troie n'aura pas lieu, 1935. Acte I scène 6.
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Images d'un sou
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Promenade sentimentale
Introduction En 1866, dans le monde de la poésie toujours dominé par le talent de Baudelaire et marqué par la constitution du groupe Parnassien sous l'autorité esthétique de Leconte de Lisle, se fait entendre une voix nouvelle à l'occasion de la publication des Poèmes Saturniens de Paul Verlaine (dont certains sont déjà parus dans des revues littéraires). L'inspiration générale du recueil a été définie par l'auteur lui-même qui se présente comme un de ces êtres « nés sous le signe de Saturne »,...
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La Femme gelée Annie Ernaux, commentaire
Références du devoir Matière : Français Code de la matière : FR16 N° du devoir : 2 (tel qu’il figure dans le fascicule devoirs) Pour les devoirs de langues étrangères, cochez obligatoirement ☐ LVA, ☐ LVB ou ☐ LVC Vos coordonnées Indicatif : Nom : Prénom : Ville de résidence Pays (si vous ne résidez pas en France) : FRANCE Saisir les différentes informations demandées puis commencez à saisir votre devoir en page 2. Nom du professeur correcteur : Note : Observations général...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Liturgies intimes) - A Charles Baudelaire
Commentaire d’un poème de Verlaine « à Charles Baudelaire » Introduction : Dès l’adolescence, Verlaine est partagé entre les « deux positions simultanées » dont parle Baudelaire « l’une vers Dieu, l’autre vers Satan ». Dans ce poème, Verlaine, qui n’a jamais connu Baudelaire affirme l’influence que ce dernier a eue sur sa poésie, même si les deux hommes n’ont jamais pu se rencontrer. Baudelaire meurt en 1967 ; ce poème peut donc apparaître comme un poème d’adieu. A cette époque, la vie de Verla...
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Clair de Lune
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Assis sur un fagot, une pipe à la main
- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions. Justification après l'abandon des enfants (VIII)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque ta main confie, un soir...
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Texte : Cyrano de Bergerac, acte II, scène 10, Edmond Rostand, 1897
CHRISTIAN. CYRANO. CHRISTIAN. CYRANO. CHRISTIAN. CYRANO. Hélas ! Quoi ! C’est me perdre que de cesser de rester coi ! Comment ? Las ! je suis sot à m’en tuer de honte. Mais non, tu ne l’es pas puisque tu t’en rends compte. D’ailleurs, tu ne m’as pas attaqué comme un sot. CHRISTIAN. Bah ! on trouve des mots quand on monte à l’assaut ! Oui, j’ai certain esprit facile et militaire, Mais je ne sais, devant les femmes, que me taire. Oh ! leurs yeux, quand je passe, ont pour moi des...
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- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ève pleurait. Ses mains cachaient sa tête pâle
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Je prendrai par la main les deux petits enfants