85 résultats pour "philippe"
- Philippe Soupault
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Philippe Quinault
Philippe Quinault 1635-1688 Entre la grande période de Corneille et celle de Racine, c'est Quinault qui tient la scène. Boileau a raillé à maintes reprises la fadeur et l'artifice de ses tragédies, dont Astrate (1663) est la meilleure. Mais, à partir de 1672, où Lully, concessionnaire du privilège de l'Opéra, fit appel à lui pour écrire les livrets, les défauts de Quinault se trouvèrent, en ce nouveau genre, des qualités, et il triompha dans Atys, Proserpine, Roland, Armide et autres pièces à ma...
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Philippe JACCOTTET Beauregard
Philippe JACCOTTET Beauregard Village perdu, presque un hameau, inconnu (mais il s'agissait bien de Beauregard, dans la Drôme), insignifiant, du moins pour qui n'y vit pas : je ne m'y suis jamais arrêté. Quelques maisons seulement, mais habitées, puisqu'on a vu s'y allumer les premières lampes ; et on ne sait rien de ce qu'elles éclairent, mais on ne le devine que trop aisément : les visages fatigués ou mornes, les mains usées, les assiettes sur la table miroitante (on a vendu ou brûlé celle en...
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LES LIBERTINS (Sous la régence de Philippe d'Orléans)
LES LIBERTINS (Sous la régence de Philippe d'Orléans) «La débauche générale est vraiment affreuse. Toute la jeunesse de l'un et l'autre sexe mène, en France, une vie des plus répréhensibles, leur conduite me semble celle des cochons et des truies», déclarait, vers 1720, Madame, mère du régent Philippe d'Orléans. Après la disparition de Louis XIV, une réaction s'est produite. On veut jouir de la vie. Un vent de liberté souffle à travers la société. Le Régent, dont les qualités politiques ne sont...
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PEINTURE: Philippe de Champaigne (1602-1674)
Philippe de Champaigne (1602-1674) Un talent austère. Philippe de Champaigne se destine de bonne heure à la peinture. Il fréquente les ateliers de Mons et de Bruxelles, sa ville natale. Poussé par le désir, commun à tous les artistes de l'époque, de visiter l'Italie, le jeune peintre quitte Bruxelles en 1621. Il passe par Paris où il travaille chez Lallemand, puis rencontre Nicolas Poussin qui lui procure des commandes pour décorer les appartements de Marie de Médicis. Au palais du Luxembourg, C...
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THEATRE & CINEMA: Jean-Philippe Rameau (1683 - 1764)
Jean-Philippe Rameau (1683 - 1764) Celui qui fut "le compositeur de la chambre du roi" (Louis XV) composa essentiellement de la musique pour clavecin et pour la scène. Mais il fut également un grand théoricien de la musique. De la théorie au clavecin. Né à Dijon, dans une famille de musiciens, Jean-Philippe Rameau eut un unique professeur, son père, et il travailla en semi-autodidacte tant pour la théorie que pour la composition. Après un séjour à Milan, il fut maître de chapelle à Avignon (1702...
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Je crois que tout mon lit de chardons est semé
Philippe DESPORTES, Les amours d'Hippolyte, « Je crois que tout mon lit de chardons est semé ». 1. Je crois que tout mon lit de chardons est semé ! 2. Qu'il est rude et malfait. Hé ! Dieu suis-je si tendre 3. Que je n'y puis durer ? je ne fais que m'étendre, 4. Et ne sens point venir le Somme accoutumé. 5. Il est après mi-nuit, je n'ai pas l'oeil fermé, 6. Et mes membres lassés repos ne peuvent prendre. 7. Sus Phebus, lève-toi ! ne te fais plus attendre. 8. Et de tes clairs regards rends le cie...
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Bergeries) - Douce Liberté désirée
Introduction Philippe Desportes est un poète français du XVI siècle. En marge des poètes de la Pléiade, son œuvre est typiquement celle des poètes de cour. Il devint d’ailleurs le favori du duc d’Anjou, futur Henri III. Nommé « poète officiel », sa plume est moins inspirée et plus conventionnelle que celle des poètes de la Pléiade, pour autant sa gloire ira jusqu’à éclipser celle de Ronsard. Paradoxalement, l’œuvre de Desportes contraste avec celle de ses contemporains : l’enthousiasme divin n’e...
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- Philippe de Commynes - Mémoires
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Démosthène
Démosthène Fils d'un riche armurier athénien, le jeune Démosthène fit d'excellentes études de rhétorique et de droit. Doté d'un défaut d'élocution, il s'entraînait à parler, dit-on, avec des cailloux dans la bouche. Devenu logographe, il rédigeait et déclamait ses plaidoyers dans les procès d'État, pour le compte du ministère public. Grâce à ses dons d'orateur, il entra en politique vers 354 avant JC, et tenta de mobiliser les sentiments nationalistes des Athéniens sur la menace d'invasion par...
- Philippe Claudel, Les Âmes grises
- Philippe Delerm, Les amoureux de l'Hôtel de Ville
- Philippe Delerm, Les amoureux de l'Hôtel de Ville
- Philippe DESPORTES (1546-1606) - Que vous m'allez tourmentant
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Bergeries) - Chanson
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Epigrammes) - Epigramme
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- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Bergeries) - D'une fontaine
- Philippe Delerm, La première gorgée de bière, « La bicyclette et le vélo »
- Philippe DESPORTES (1546-1606) - A pas lents et tardifs tout seul je me promène
- Philippe DESPORTES (1546-1606) - Celui qui n'a point vu le printemps gracieux
- Philippe FABRE D'EGLANTINE (1750-1794) - Il pleut, il pleut, bergère
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Chanson
- Philippe-Auguste-Mathieu VILLIERS DE L'ISLE-ADAM (1838-1889) - Zaïra
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Odes) - Cependant que l'honnêteté
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- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Vous n'aimez rien que vous, de vous-même maîtresse
- Philippe DESPORTES (1546-1606) - Hélas ! si tu prens garde aux erreurs que j'ay faites
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Diverses amours) - Rosette, pour un peu d'absence
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Odes) - De mes ans la fleur se déteint
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Prière au sommeil
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Si la vierge Erigone, Andromède, et Cythère
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Oeuvres) - Epouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Quand j'approche de vous, et que je prends l'audace
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- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Quand nous aurons passé l'Infernale rivière
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Qu'on m'arrache le coeur, qu'on me fasse endurer
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Si la loi des amours saintement nous assemble
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Oeuvres) - Sur les abysmes creux des fondements poser
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Misérables travaux, vagabonde pensée
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Odes) - Je l'aimais par dessein la connaissant volage
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Pourquoi si follement croyez-vous à un verre
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Un ivoire vivant, une neige animée
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- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Stances) - Arrête un peu, mon Coeur, où vas-tu si courant ?
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Oeuvres chrétiennes) - Sonnet spirituel (XVIII)
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Blessé d'une plaie inhumaine
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Elégies) - Je ne refuse point qu'en si belle jeunesse
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Elégies) - Que servirait nier chose si reconnue
- « L'épaisseur d'un tel mot est inépuisable. » À votre tour, vous rédigerez un dialogue dans lequel deux personnages choisissent un mot et s'efforcent d'expliquer ce que Philippe Jaccottet appelle son « épaisseur ». ?
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Diverses amours) - Contre une nuit trop claire
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : De la jalousie) - Amour, tu es aveugle et d'esprit et de vue
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- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - L'âpre fureur de mon mal véhément
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Elle pleurait, toute pâle de crainte