79 résultats pour "mme"
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Mme de Staël
Mme de Staël Coiffée de son turban en cachemire, d'où débordent ses riches boucles noires, armée de sa seule plume d'oie, ou du sceptre symbolique que ses mains nerveuses agitent perpétuellement (rouleau de papier, éventail, branche d'arbuste), Mme de Staël forme, jusque par son apparence, un parfait contraste avec son ennemi l'empereur. Et il n'est pas interdit de supposer qu'il pensait à elle, le jour où il déclarait qu'à la longue le sabre est toujours vaincu par l'esprit. Tout avait préparé...
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Mme de La Sablière
Mme de La Sablière Née au sein d'une famille particulièrement cultivée de financiers protestants, elle fut mariée fort jeune, selon la coutume, à un de ses cousins, Antoine de Rambouillet, seigneur de la Sablière, lui-même amateur d'art et de belleslettres. L'union s'annonçait bien ; elle finit très mal. Après treize ans d'un apparent bonheur, la jeune femme dut se séparer de son mari qui ne l'aimait plus, la maltraitait et lui reprochait de n'avoir pas fait les riches héritages qu'il escomptai...
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Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort.
Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort. Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélas! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris; nous sommes exposés à tous les vents; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui...
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Vie et oeuvre de Mme DE STAEL
Mme DE STAEL Née à Paris, GERMAINE NECKER, fille du ministre de Louis XVI, se rattache par ses origines à la Suisse calviniste. Dans le salon de sa mère, elle voit passer toutes les célébrités de l'époque et, parmi les écrivains, Grimm, l'abbé Raynal, La Harpe, Buffon. A vingt ans, elle épouse Erik-Magnus DE STAEL-HOLSTEIN, ambassadeur de Suède. Ce mariage lui apporte, à défaut du bonheur, la possibilité de jouer un rôle. Elle s'enthousiasme pour la Révolution. Mais elle ne tarde pas à déchanter...
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Vie de Mme DE LAFAYETTE et analyse de la Princesse de Clèves.
Mme DE LAFAYETTE (1634-1693) MARIE-MADELEINE PIOCHE DE LA VERGNE est née à Paris. Sa mère, devenue veuve, se remarie en 1650 avec le chevalier Renaud de Sévigné, oncle de la marquise. Marie-Madeleine se lie d'une étroite amitié avec la marquise, de huit ans son aînée. Elle achève de se former le goût auprès du savant Ménage et fréquente l'Hôtel de Rambouillet. Elle est, à cette époque, « fort jolie et fort aimable » (Retz), « toute lumineuse et toute précieuse » (Scarron). En 1655, elle épouse l...
- Mme de Lafayette, la Princesse de Clèves, tome deuxième.
- L'oeuvre de Mme de staël
- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions. La glace de Mme Basile
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- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions. Dernière rencontre avec Mme de Warens (Livre VIII, 1754)
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Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
Stendhal, Le Rouge et le Noir, partie I, chapitre 6, « L’ennui ». Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes, Mme de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait sur le jardin, quand elle aperçut près de la porte d'entrée la figure d'un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement pâle et qui venait de pleurer. Il était en chemise bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette. Le teint de ce pe...
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LA ROCHEFOUCAULD: Sentences et Maximes
LA ROCHEFOUCAULD (1613-1680) François de Marsillac, qui ne deviendra duc de LA ROCHEFOUCAULD qu'en 1651, à la mort de son père, fait ses premières armes en Italie, puis se mêle aux intrigues de la cour. Il est du parti d'Anne d'Autriche, qu'il songe à enlever et à conduire à Bruxelles. Faute d'avoir pu réaliser ce projet romanesque, il complote avec Mme de Chevreuse contre Richelieu. Après un court emprisonnement à la Bastille, il est exilé dans ses terres. La Fronde éclate. Il y joue son rôle,...
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Vie et oeuvre de BENJAMIN CONSTANT
BENJAMIN CONSTANT (1767-1830) BENJAMIN CONSTANT est le type même de l'écrivain cosmopolite. Né à Lausanne d'une famille de protestants réfugiés, il étudie successivement à Oxford, Erlangen, Edimbourg, Paris, Bruxelles. Il devient chambellan à la cour de Brunswick. Il se fait ensuite naturaliser français. Sous le Consulat, il réussit à être membre du Corps législatif, puis du Tribunat. En 1802, il est éliminé de cette assemblée par Bonaparte, qui se méfie de lui à cause de ses idées libérales et...
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Extension du mouvement précieux.
Extension du mouvement précieux. Après les troubles de la Fronde, la vie de société refleurit. Mais les beaux jours de l'Hôtel de Rambouillet sont passés. MLLE DE SCUDÉRY prend la relève de la marquise. Son salon supplante tous les autres : celui de la Grande Mademoiselle, celui de Mme de Sablé, celui de Mme Boucha-vannes, celui de Mme Sent-on. A ses réceptions du samedi participent quelquefois le duc et la duchesse de Montausier, Mme de Sablé. Mais les vrais familiers sont Conrart, Pellisson,...
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Ourika de Mme. Duras
Question – Sur Ourika, de Mme Duras. Examinez la perspective narrative de ce récit qui prend pour thème une femme noire vivant en France. Comment la question de l’esclavage est abordée dans le roman ? Comment interpréter l’hybridisme social qu’incarne Ourika ? L'année de 1824 est l'an de mort du roi Louis XVIII, celui qui a règne dans les périodes de la Révolution française et la Restauration. Dans ces années la discussion sur la traite des esclaves et l'abolition a été forte encore en ra...
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
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- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
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- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
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L'oeuvre littéraire de DIDEROT
DIDEROT (1713-1784) DENIS DIDEROT est le fils d'un coutelier de Langres, artisan aisé, qui lui fait faire de bonnes études d'abord à Langres, puis à Paris. On le destine à la prêtrise. Mais la vocation lui fait défaut et, comme il ne se décide pas à choisir un autre état, son père lui coupe les vivres. Le jeune homme vit des leçons qu'il donne, des sermons qu'il compose, besogneux et bohème comme son « neveu de Rameau », et il met le comble au mécontentement des siens en épousant une lingère. E...
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Madame de La Fayette
Madame de La Fayette Par le même besoin de variété qui, dans la vie, lui faisait parfois désirer d'être à la place d'autrui “ quand ce ne serait que pour changer ”, Mme de La Fayette, dans son œuvre, va comme en se jouant d'un genre à un autre. Parfois elle revient sur ses pas. En 1622, sa Princesse de Montpensier est aussitôt, entre roman et nouvelle, le triomphe du récit bref et six ans plus tard elle s'amuse à cette longue Zayde à tiroirs. Mais elle ne peut faire qu'un ce ces tiroirs ne cont...
- L'introspection de Mme de Clèves (Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678.)
- Mme de Staël, De l'Allemagne, II, 11 :
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L'oeuvre de BENJAMIN CONSTANT
BENJAMIN CONSTANT (1767-1830) Benjamin Constant, né à Lausanne, étudie dans des universités anglaises et allemandes, puis voyage à travers plusieurs pays et, après un mariage malheureux, s'installe à Paris, en 1796. Naturalisé français, il se signale par plusieurs brochures politiques; la protection de Mme de Staël lui vaut, après le 18 Brumaire, un siège au Tribunat. Il suit sa protectrice en exil et la retrouve, de 1805 à 1807, à Coppet, où il compose Adolphe. En 1808, il épouse en secret Char...
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Balzac, Le Père Goriot, arrivée de Mme Vauquer.
Balzac, Le Père Goriot Bientôt la veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis; elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s'est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire...
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
- Rousseau, Les Confessions, II - Portrait de Mme de Warens
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
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A propos du romancier, Marcel Proust écrit: D'un mot, il peut nous affranchir. Par lui, nous perdons notre ancienne condition pour connaître celle du général, du tisseur, de la chanteuse, du gentilhomme campagnard, la vie des champs, le jeu, la chasse, la haine, l'amour, la vie des camps... Notre infortune ou notre fortune cesse pour un instant de nous tyranniser... C'est pourquoi, en fermant un beau roman triste, nous nous sentons si heureux. Commentez et critiquez.
Marcel Proust considère le romancier comme pouvant être pour nous le faiseur d'une vie nouvelle, et nous transporter de notre existence quelconque, aussi bien mouvementée, pleine de dangers ou de succès, que banale et du premier homme venu. Le roman est et doit être un moyen d'oublier momentanément ou notre joie ou nos soucis. Enfin, ajoute-t-il, un roman bien composé, à la fois bien écrit et bien mené, un beau roman, a le pouvoir de nous rendre heureux pendant un moment, qu'il soit triste et ém...
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- Mme DE SEVIGNE (1626-1696). Lettre à sa fille, 1671.
- Jean-Jacques ROUSSEAU (1712-1778) - Le verger de Mme de Warens
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Marquise de Sévigné
Marquise de Sévigné Petite-fille de sainte Jeanne de Chantal, Marie de Rabutin-Chantal naquit à Paris dans une riche famille bourgeoise. Après la mort de son père sur le champ de bataille, puis de sa mère, elle fut élevée par son grand-oncle dans un hôtel particulier de la place Royale. Mme de Sévigné suivit une instruction littéraire classique et poussée, rare pour une jeune fille de l'époque. Habituée de la cour, elle épousa en 1644 un gentilhomme viveur qui dépensa toute la fortune du ménage...
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - A Mme N. Ménessier
- François Marie Arouet, dit VOLTAIRE (1694-1778) - A Mme du Châtelet
- François Marie Arouet, dit VOLTAIRE (1694-1778) - A Mme Lullin
- Louis-Honoré FRÉCHETTE (1839-1908) (Recueil : Oiseaux de neige) - A M. et Mme R. D...
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Méthode et théorie scientifique de BUFFON
BUFFON (1707-1788) BUFFON est né au château de Montbard en Bourgogne. Il fait d'honnêtes études chez les jésuites de Dijon. Sa jeunesse est assez dissipée. En 1730, après une fâcheuse affaire, un duel où il tue son adversaire, il se met à voyager. Il parcourt le midi de la France, l'Italie la Suisse, l'Angleterre, en compagnie d'un jeune Anglais, le duc de Kingston, et de son précepteur, un homme passionné pour les sciences de la nature. La réputation de Buffon dans les milieux savants s'établit...
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Ecrit sur l'album de Mme N. de V.
- Marcel PROUST (1871-1922) (Recueil : Pastiches et mélanges) - Petit pastiche de Mme de Noailles