59 résultats pour "mi+chemin"
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Pays, arrêté à mi-chemin
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Chemins) - Le chemin creux
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Chemins) - Chemins de l'ouest
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Chemins) - Le chemin de sable
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Chemins) - Le chemin de l'amour
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Chemins) - Le chemin de crève-coeur
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Les cariatides) - La chanson de ma mie
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Le chemin creux
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- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Chemins qui ne mènent nulle part
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Ainsi, ce chemin de nuage
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - J'allais par des chemins perfides
- Léon DIERX (1838-1912) (Recueil : Poëmes et poésies) - En chemin
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Des cloches, j'en ai su qui cheminaient sans bruit
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - C'était sur un chemin crayeux
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Une heure de soir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui de l'horizon
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui de la fatigue
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Va ton chemin sans plus t'inquiéter
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A la mi-carême
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Ce soir je reprendrai mon chemin solitaire
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Asseyons-nous tous deux près du chemin
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Ce soir, sur le chemin sonore du coteau
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Je l'oeilladais mi-nue, échevelée
- Jean Rouaud écrit : Nous n'avons jamais vraiment écouté ces vieillards de 20 ans dont le témoignage nous aiderait à remonter les chemins de l'horreur. Entre ce témoignage vécu et la fiction, quel est selon vous,l e meilleur moyen de dénoncer la guerre ? Vous développez votre opinion en prenant appuis sur l'ensemble du corpus et sur d'autres oeuvres (littéraires, cinématographiques, picturales) que vous avez abordées en classe ou personnellement.
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Pensez-vous que le romancier puisse, à partir d'un seul personnage, représenter tout un groupe social ?
Ce sujet fait écho à la problématique du roman réaliste : c'est en effet l'objectif poursuivi par l'école réaliste, que de créer par des personnages emblématiques une reproduction de la fresque sociale de l'époque vécue par les romanciers. Ce sujet pose donc le problème de la référentialité de la littérature :la création littéraire fait-elle référence au monde réel, peut-être être considérée comme une branche de la sociologie? Ou n'est-elle que fiction? I. La volonté de créer des personnages emb...
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Ressouvenance
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - L'enseigne
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - La peur
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Les jardins
- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Madrigal amer
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - La plaine (II)
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- Léon VALADE (1841-1884) (Recueil : À mi-côte) - Nuit de Paris
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) (Recueil : Le chemin des saisons) - Le faisan doré
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celle du jardin
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - La plaine (I)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui du rien
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Le mie prigioni (mes prisons)
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Colomba - Chapitre XI - Prosper Mérimée
Introduction On a souvent loué la sobriété suggestive du talent de Mérimée. Le passage de Colomba que nous étudions suffirait à nous en convaincre, tant l'auteur a su y fondre la variété des éléments qu'il met en œuvre. Sous la trame d'un épisode haletant, transparaît la richesse des deux caractères qui se trouvent aux prises. Soucieux de la couleur locale, l'écrivain évoque dans sa note juste et particulière l'atmosphère corse dans' laquelle baigne le récit. Enfin l'attachante figure de l'auteu...
- Un roman est un miroir promené le long d'un chemin » ; « toute oeuvre d'art est un beau mensonge »... Comment concilier ces déclarations apparemment contradictoires de Stendhal ? En vous appuyant sur vos lectures, vous vous demanderez dans quelle mesure l'oeuvre littéraire peut et doit refléter la réalité.
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- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - La pluie
- Colette : «Rêverie de nouvel an», Les Vrilles de la vigne, 1908.
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Quelle différence profonde faites-vous entre une tragédie et une comédie ?
Introduction : a) Le fait de dire, pour expliquer l'échec de Dom Garcie de Navarre, que Molière n'avait pas le génie tragique, ou que telle de ses comédies (L'Avare, L'Ecole des Femmes, Dom Juan, Le Misanthrope), touche a la tragédie, montre bien qu'on distingue d'emblée une tragédie dune comédie. b et c) Le problème est plus difficile s'il s'agit de préciser la nature de cette différence. I. — Ce qu'elle n'est pas : Elle ne réside, en effet, comme on se risque souvent à le dire... a) ni dans un...
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Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poésies diverses) - Nox
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, Poésies diverses, « Nox ». Nox 1. Sur la pente des monts les brises apaisées 2. Inclinent au sommeil les arbres onduleux ; 3. L'oiseau silencieux s'endort dans les rosées, 4. Et l'étoile a doré l'écume des flots bleus. 5. Au contour des ravins, sur les hauteurs sauvages, 6. Une molle vapeur efface les chemins ; 7. La lune tristement baigne les noirs feuillages ; 8. L'oreille n'entend plus les murmures humains. 9. Mais sur le sable au loin chante la Mer divine, 10...
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De l'essai ou du dialogue, quel vous paraît être le genre le plus adapté pour faire adhérer à une thèse ?
Définition des termes du sujet Le sujet invite à comparer deux genres littéraires qui ont en commun de chercher à convaincre leur lecteur. Il faut donc d'abord définir ces deux genres. Au sens étroit, l'apologue est un court récit à visée morale. En un sens plus large, le mot s'applique à toute fiction à visée argumentative. Il ne s'agit donc pas d'un genre littéraire aux frontières fixes, mais d'une forme en mouvement, qui inclut, la fable, le conte, la parabole, l'utopie, voire le roman à thès...
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Lesage, Gil Blas, « Au lecteur ».
Lesage, Gil Blas, « Au lecteur ». Avant que d’entendre l’histoire de ma vie, écoute, ami lecteur, un conte que je vais te faire. Deux écoliers allaient ensemble de Peñafiel à Salamanque. Se sentant las et altérés, ils s’arrêtèrent au bord d’une fontaine qu’ils rencontrèrent sur leur chemin. Là, tandis qu’ils se délassaient après s’être désaltérés, ils aperçurent par hasard auprès d’eux, sur une pierre à fleur de terre, quelques mots déjà un peu effacés par le temps et par les pieds des troupeaux...
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...
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- Jean Regnault de SEGRAIS (1624-1701) - Sur la carte de Tendre
- Vous illustrerez et discuterez cette opinion de René Huyghe, en vous fondant sur votre expérience personnelle des oeuvres littéraires ou artistiques : « L'oeuvre d'art n'est pas un simple miroir passif, elle joue dans notre psychologie un rôle agissant. Les images créées par l'art remplissent dans notre vie deux rôles très différents et presque opposés : tantôt elles y insinuent des manières de sentir et de penser, nous les imposent; tantôt, elles nous libèrent, au contraire, de certai