192 résultats pour "commentaire bonaventure desperriers 15xx jeanne princesse navarre 13504 5559"
- Bonaventure DESPERRIERS (15xx-1544) - A Jeanne, princesse de Navarre
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MARGUERITE DE NAVARRE
MARGUERITE DE NAVARRE Marguerite de Navarre étonne par les contrastes qui résument ceux de son époque : le talent de la forme dit la chair aussi bien que l'Esprit. Politique et spiritualité Soeur de François Ier et grand-mère d'Henri IV, la reine de Navarre joue un rôle important comme protectrice des Lettres et des nouvelles idées, et comme négociatrice politique (après Pavie), avant de se distinguer par ses propres productions littéraires. En 1521, elle est proche du « groupe de Meaux », animé...
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Résumé: L'Heptaméron de MARGUERITE DE NAVARRE
L'Heptaméron de MARGUERITE DE NAVARRE Soeur de François 1er, Marguerite d'Angoulême (1492-1549) épouse en secondes noces Henri II d'Albret, roi de Navarre. Elle soutient à la fois les débuts de la Renaissance et ceux de la Réforme. Elle accorde une protection de souveraine déjà éclairée aux poètes (Marot, Bonaventure des Périers) et aux Humanistes qui séjournent à sa cour. Primitivement intitulé Histoire des amants fortunés, ce recueil de nouvelles fut baptisé l'Heptaméron par l'imprimeur....
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MARGUERITE DE NAVARRE
MARGUERITE DE NAVARRE (1492-1549) MARGUERITE D'ANGOULÊME, plus tard duchesse d'Alençon, puis reine de Navarre est la soeur aînée de François Ier. Elle passa son enfance et sa jeunesse dans des cours provinciales (Cognac, Amboise), où son esprit s'ouvrit à la poésie, à l'humanisme, aux influences italiennes. On lui fit épouser à dix-sept ans le duc d'Alençon. En 1515, son frère devint roi. Elle vécut désormais à la cour. Elle y fut la protectrice des lettres. Favorable aux idées religieuses nouve...
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Commentaire de texte : Théodore de Banville, « Hérodiade », les princesses (1874), Sonnet XII
Français Commentaire de texte : Théodore de Banville, « Hérodiade », les princesses (1874), Sonnet XII Théodore de Banville est un dramaturge et poète français du XIXe siècle. Il écrit « Hérodiade » (Sonnet XII) dans son recueil Les princesses publié en 1874. Théodore emprunte le mouvement du Parnasse dans ce poème qui est un mouvement très à la mode à la fin du XIXème siècle. Le Parnasse est un mouvement poétique qui s’oppose au mouvement du lyrism. Il en est tout le contraire, car l...
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Jean Joinville
Jean Joinville Jean de Job, de Champagne, vassal du comte Thibault qui était aussi roi de Navarre, avait environ vingt-quatre ans quand, au moins d'août 1248, il s'embarqua à Marseille, avec le roi Louis IX et la fleur de la noblesse française, pour entreprendre la septième croisade, pieuse aventure qui finit assez mal, après avoir retenu Joinville six années hors de France. Le sénéchal était octogénaire quand, en 1305, la reine Jeanne de Navarre, femme de Philippe le Bel et fille de son suzera...
- Charles BOURDIGNÉ (15xx-15xx) - Pierre Faifeu
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Pensées de la reine de Navarre
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- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
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Comment faire un commentaire composé ?
Dissertation et commentaire composé posent les mêmes problèmes, dès lors que l'on passe du stade de l'élaboration à celui de la rédaction. Une fois établi le plan détaillé qui servira de charpente au développement, vous vous attacherez à rédiger entièrement sur une feuille de brouillon l'introduction et la conclusion de votre travail. Vous recopierez ensuite au propre l'introduction et, après avoir laissé un blanc, attaquerez directement au propre le développement. Le temps imparti à l'examen ne...
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Daphné se vit en laurier convertie
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Cent et cent fois j'ai désiré pouvoir
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Douce maîtresse et douces vos façons
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Pour donner de ma foi les preuves manifestes
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Doucette voix qui confortes mon âme
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Adriane, mon coeur, baise-moi, je te prie
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- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Étant au lit couché, au lieu de reposer
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Ô Songe humain et divin tout ensemble
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Songeant la nuit, bien souvent je pense être
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - De ta lèvre mignarde un fin sucre courant
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Ha ! main qui doucement me déchirez le coeur
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Gentil tertre élevé sur la blanche poitrine
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Voici du seul Phénix pourtraite la figure
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Oeil mon petit mignon, ma douce friandise
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- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Ô agréable Songe, où t'en vas-tu si vite ?
- À la recherche d'un objet improbable et fuyant, la passion chez Marguerite Duras se vit toujours comme une tragédie (...) L'enjeu de la passion dans l'oeuvre et, semble t-il, de montrer cette mort dans une vie en cours qui devient l'ombre même du passionné. Ces propos vous paraissent-ils rendre compte des oeuvres au programme ? (Le Ravissement de Lol V. Stein ; La Princesse de Clèves et La Princesse de Montpensier de Madame de Lafayette ; Les Désordres de l'Amour de Madame de Villedieu
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Jeanne songeait
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Oral – Princesse de Clèves (EAF)
Oral – Princesse de Clèves • Parce que c’est un roman historique et que c’est un genre qui me plaît :j’aime l’Histoire, la petite histoire celle des passions et la grande Histoire , celle des alliances politiques et des chroniques de la royauté ; Ce ce roman m’a plu car il contient justement ce mélange entre les deux dimensions de l’histoire des hommes. C’est une sorte de métissage , un mélange réussi entre la dimension historique et la dimension imaginaire avec le personnage de la P...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - A Petite Jeanne
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : Epigrammes) - Réplique à la reine de Navarre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Georges et Jeanne
- Stuart MERRILL (1863-1915) (Recueil : Les gammes) - La douleur de la princesse
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - A Jeanne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - A Jeanne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Jeanne était au pain sec...
- Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678) Incipit.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
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Commentaire du « Tombeau de Charles Baudelaire » de Mallarmé
Commentaire du « Tombeau de Charles Baudelaire » de Mallarmé Introduction : Ce poème de Mallarmé fut écrit en 1893 et publié en 1895. Il appartient au genre du tombeau. Pratique littéraire plutôt difficile à circonscrire en raison de l’absence de règles et de critères génériques spécifiques, le tombeau apparaît avant tout comme un dispositif éditorial et structurel mais l’appellation « tombeau » sert aussi à désigner un poème individuel comme c’est le cas pour ce poème et pour l’ensemble des « t...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Jeanne dort
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé
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- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.
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Pierre CORNEILLE (1606-1684), Rodogune , princesse des Parthes (1644) : Acte V, scène 1 : monologue de Cléopâtre
Pierre CORNEILLE (1606-1684), Rodogune , princesse des Parthes (1644) : Acte V, scène 1 : monologue de Cléopâtre Acte V, scène 1 : Cléopâtre CLEOPATRE Enfin, grâces aux dieux, j’ai moins d’un ennemi : La mort de Séleucus m’a vengée à demi ; Son ombre, en attendant Rodogune et son frère, Peut déjà de ma part les promettre à son père ; Ils le suivront de près, et j’ai tout préparé Pour réunir bientôt ce que j’ai séparé. O toi, qui n’attends plus que la cérémonie Pour jeter à mes pieds ma rivale pu...
- La préciosité dans La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette.
- François de MALHERBE (1555-1628) - A madame la princesse douairière, Charlotte de la Trémouille
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Jeanne fait son entrée
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Et Jeanne à Mariette a dit
- Gustave FLAUBERT, Lettre à Jeanne de Tourbey, Croisset, 8 octobre 1859.
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- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Les mains de Jeanne-Marie
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Pierre Corneille, Rodogune princesse des Parthes, acte V, scène 4.
Pierre Corneille, Rodogune princesse des Parthes, acte V, scène 4. Timagène Surpris d’un tel spectacle, à l’instant je m’écrie ; Et soudain, à mes cris, ce prince, en soupirant, Avec assez de peine entr’ouvre un oeil mourant, Et ce reste égaré de lumière incertaine Lui peignant son cher frère au lieu de Timagène, Rempli de votre idée, il m’adresse pour vous Ces mots où l’amitié règne sur le courroux : "Une main qui nous fut bien chère Venge ainsi le refus d’un coup trop inhumain. Régnez, et surt...