Résultats pour "celui"
- "Est marginal celui qui prend volontairement congé de la société ou celui que le monde de production rejette aux frontières" (Bernard Vincent).
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui du rien
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Quel est celui qui veut faire croire de soi
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les meslanges) - Celui qui boit ...
- Philippe DESPORTES (1546-1606) - Celui qui n'a point vu le printemps gracieux
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Je ne suis plus celui qui sous l'ombre plaisante
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Celui vraiment savait bien la manière ...
- Isaac HABERT (1560-1615) - Celui ne suis-je point, divine chasseresse
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Je ne suis plus celui qui respirait la vie
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Ô que celui était cautement sage
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui de qui l'amie a fait nouvel ami
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Sire, celui qui est a formé toute essence
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Celui que l'Amour range à son commandement
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ô qu'heureux est celui qui peut passer son âge
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - N'oser aimer celui, doué de bonne grâce
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui de la fatigue
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Celui qui va disant que la mort inhumaine
- « L'artiste est celui qui laisse parler l'enfant au fond de lui ». Qu'en pensez-vous ?
- En quoi le travail de l'écrivain est -il aussi long et précis que celui d'un horloger ?
- Pourquoi la littérature s'intéresse-t-elle à des destins tragiques (tel celui d'Emma Bovary) plutôt qu'à des destins heureux ?
- Boileau ne s'est-il pas condamné lui-même dans ce vers: c'est un méchant métier que celui de médire ?
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Pourquoi préférons-nous à tout autre récit celui d'un amour impossible?
Introduction On avait cru la passion amoureuse passée de mode, submergée dans les années soixante-dix par la vague de l'« amour libre », laminée au début des années quatre-vingts par l'idéologie libérale et le retour à des valeurs essentiellement économiques, reléguée, en somme, aux rayons poussiéreux des bibliothèques et des cinémathèques, et pour ainsi dire tombée d'elle-même en poussière. Mais le succès en 1984 de L'Amant de Marguerite Duras (Prix Goncourt, plus d'un million d'exemplaires ven...
- J-M. G. LE CLÉZIO, Celui qui n'avait jamais vu la mer, 1978
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui de l'horizon
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui ne pense qu'en s'amie
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui nouvellement a reçu lettres de s'amie
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui entra de nuit chez s'amie
- Commentez ce fameux propos : « Il obtient tous les suffrages celui qui unit l'utile à l'agréable, et plaît et instruit en même temps ». (Art poétique, III, 342-343).
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui incite une jeune dame à faire ami
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui, qui est demeuré, et s'amie s'en est allée
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Appréciez cette pensée de Sainte-Beuve: "Le théâtre, ce côté le plus invoqué de l'art moderne, est aussi, chez nous, celui qui a le moins produit et fait mentir toutes les espérances" ?
THÉATRE ROMANTIQUE Appréciez cette pensée pessimiste de Sain te-Beuve: • Le théâtre, ce côté le plus inçoqué de l'art moderne, est aussi, chez nous, celui qui a le moins produit et fait mentir toutes les esperances. , 1 Les temps modernes sont dramatiques, dit Hugo dans la préface de Cromwell. La poésie née du christianisme est le drame, » et ailleurs : « le drame est la poésie complète. • Ces raisons devaient pousser Victor Hugo à composer des drames. De plus il fallait battre les classiques s...
- En justifiant votre réponse à l'aide des oeuvres que vous avez lues, vues, ou étudiées, tentez de répondre à cette interrogation de Denis de Rougemont : « Pourquoi préférons-nous à tout autre récit celui d'un amour impossible ? »
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Stances
- Honoré d' URFÉ (1567-1625) (Recueil : L'Astrée) - Villanelle d'Amidor reprochant une légèreté
- Tout ce qui est dans la nature est dans l'art dit Victor Hugo dans Cromwell, et plus loi, Le domaine de l'art et celui de la nature sont parfaitement distincts. Comment concilier ces deux affirmations qui semblent contradictoires ?
- « Atala n'est jamais un "roman psychologique" [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Discutez ce propos ?
- « Atala n'est jamais un roman psychologique [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Commentez ce propos.
- « Atala n'est jamais un roman psychologique [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Commentez ces propos sur l'oeuvre de Chateaubriand ?
- Pensez-vous, comme Marcel Proust, que le poète est celui qui nous permet de saisir "les nuances" et que, grâce aux artistes et aux poètes, le "monde (qui n'a pas été créé une fois mais aussi souvent qu'un artiste original est survenu) nous apparaît entièrement différent de l'ancien mais parfaitement clair" ?
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Selon un poète contemporain le monde poétique est celui d'une autre planète ? En vous aidant des poèmes ou des chansons que vous connaissez, vous vous demanderez quelles peuvent être les relations qui unissent le monde poétique et le monde réel ?
Selon un poète contemporain le monde poétique est celui d'une autre planète ? En vous aidant des poèmes ou des chansons que vous connaissez, vous vous demanderez quelles peuvent être les relations qui unissent le monde poétique et le monde réel ? Il est toujours dangereux d'opposer le monde poétique au monde réel : ne pas oublier que la poésie est d'abord langage, parole produite par un individu (plus ou moins) bien ancré dans le monde réel. La problématique se pose donc d'abord au niveau du lan...
- « La création poétique est d'abord une violence faite au langage. Son premier acte est de déraciner les mots. Le poète les soustrait à leurs connexions et à leurs emplois habituels », écrit le poète contemporain mexicain Octavio Paz (L'Arc et la Lyre), faisant écho à Saint-John Perse qui affirme : « Poète est celui-là qui rompt avec l'accoutumance ». En vous appuyant sur les textes du corpus et sur vos lectures personnelles, vous expliquerez et développerez ces définitions de l'acte poétique ?
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En janvier 1976, lors de la parution de son roman, La Valse aux adieux, l'écrivain tchèque Milan Kundera déclarait : « Dans la vie, l'homme est continuellement coupé de son propre passé et de celui de l'humanité. Le roman permet de soigner cette blessure. » L'opinion de Kundera sur la fonction de l'oeuvre romanesque rejoint-elle votre expérience personnelle de lecteur ?
En janvier 1976, lors de la parution de son roman, La Valse aux adieux, l\'écrivain tchèque Milan Kundera déclarait : « Dans la vie, l\'homme est continuellement coupé de son propre passé et de celui de l\'humanité. Le roman permet de soigner cette blessure. » L\'opinion de Kundera sur la fonction de l\'oeuvre romanesque rejoint-elle votre expérience personnelle de lecteur ? Remarques préliminaires. Le sujet invite le candidat à réfléchir sur une fonction très précise du roman : « soigner [la]...
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant aux oeuvres littéraires que vous avez appréciées ?
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : « L'art est-il utile? Oui. Pourquoi ? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières. Il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait, son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus où mordre. Le crime est-il toujours châtié, la vertu gratifiée? Non; mais cependant si votre roman, si votre drame est bien fait, il ne prendra envie à personne de violer les lois de la nature. La première condition nécessaire pour un art sain est la croyance à l'unité intégrale. Je défie qu'on me trouve un seul ouvrage d'imagination qui réunisse toutes les conditions du beau et qui soit un ouvrage pernicieux. » (L'Art romantique, « Les drames et les romans honnêtes ».) ?
- En vous inspirant du texte de Ponge prenez un objet banal et transformez-le en lui donnant une vie particulière. Texte de Ponge : Le Pain La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des soeurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable... Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation. ?
- AUTEUR ANONYME (Recueil : Comptines) - Une petite souris passait par là