901 résultats pour "grand+place"
- Ben Jonson
- « L'eau permet au Grand Siècle de se contempler tout entier et sous toutes ses facettes, géomètre et baroque, passionné d'ordre et de méthode tout autant que de surprises et d'illusions, mystiques aussi bien qu'affamé de jeu et de plaisirs » Orsenna. Vous montrerez la pertinence de cette réflexion d'Érik Orsenna tirée de son Portrait d'un homme heureux (2000) en vous fondant sur les textes, documents étudiés, ainsi que votre culture personnelle ?
- Montherlant écrit dans ses Notes de Théâtre (Théâtre, Bibliothèque de la Pléiade, p. 1075) : « Une pièce de théâtre ne m'intéresse que si l'action extérieure, réduite à la plus grande simplicité, n'y est qu'un prétexte à l'exploration de l'homme; si l'auteur s'y est donné pour tâche non d'imaginer et de construire mécaniquement une intrigue, mais d'exprimer avec le maximum de vérité, d'intensité et de profondeur un certain nombre de mouvements de l'âme humaine. » Expliquez et discutez
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la ave
- Que pensez-vous de ce jugement porté en 1859 par Baudelaire sur le réalisme : « Dans ces derniers temps nous avons entendu dire de mille manières différentes : « Copiez la nature; ne copiez que la nature. Il n'y a « pas de plus grande jouissance ni de plus beau triomphe « qu'une copie excellente de la nature. » Et cette doctrine, ennemie de l'art, prétendait être appliquée non seulement à la peinture, mais à tous les arts, même au roman, même à la poésie. A ces doctrinaires si satisfai
- Dans le discours qu'il prononça en Suède lors de la remise de son prix Nobel, Albert Camus disait : « L'art n'est pas à mes yeux une réjouissance solitaire. Il est un moyen d'émouvoir le plus grand nombre d'hommes en leur offrant une image prilvilégiée des souffrances et des joies communes. » En l'appliquant au domaine de la littérature, vous direz quelles réflexions vous inspire cette formule, sans omettre de vous appuyer sur des exemples précis et variés.
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Henry de Montherlant
Henry de Montherlant Montherlant ! Un nom qui sonne, et qui roule avec un bruit de tonnerre dans le ciel littéraire français. Celui d'un écrivain qui a toujours dominé, " dressé " son oeuvre. Henry de Montherlant est né à Paris. Enfant unique, il fit la majeure partie de ses études à l'École Sainte-Croix de Neuilly. Mobilisé durant la Grande Guerre, il demanda, bien qu'appartenant au Service auxiliaire, d'être affecté à un poste au front de combat ; il fut grièvement blessé en 1918 et réformé l'...
- Alfred JARRY (1873-1907) - Bardes et cordes
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- Joachim Bernier de LA BROUSSE (x-1623) - C'est une folie extrême
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« Le personnage dramatique ne commence vraiment à vivre que sur scène. Les diverses interprétations qu'on peut en donner le modifient de façon sensible » de Maurice Desotes dans Les grands rôles du théatre de Racine en 1957. Je doit discuter cette affirmation en un développement organisé, s'appuyant sur des exemples précis tiré du corpus donné c'est à dire Phèdre de Racine, Hernani de Victor Hugo, En attendant Godot de Beckett et Le Roi se meurt de Ionesco.
« Le personnage dramatique ne commence vraiment à vivre que sur scène. Les diverses interprétations qu'on peut en donner le modifient de façon sensible » de Maurice Desotes dans Les grands rôles du théâtre de Racine en 1957. Analyse du sujet et problématisation Ce sujet porte sur le personnage dramatique, c'est-à-dire le personnage de théâtre et il met en jeu la différence entre le texte dramatique et la représentation qui en est faite sur scène. Dire que « le personnage dramatique ne commence...
- La Bruyère, Les Caractères, 1688
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Le déclin du romantisme
Le déclin du romantisme On peut fixer raisonnablement la fin de la mode romantique en France vers 1840. C'est l'année de la publication des Rayons et les Ombres, qui contenait un des plus grands poèmes romantiques, la Tristesse d'Olympio. Mais, en 1843, c'est la chute des Burgraves et le triomphe de la Lucrèce de Ronsard. C'est la fin du romantisme au théâtre. Il est vrai que ce qui lui succéda était un classicisme bien plus faux encore que le romantisme déjà vieilli et artificiel. On a écrit q...
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« Qui a mordu à la terre, il en conserve la trace », a dit Paul Claudel dans les Cinq grandes Odes. Essayez de dégager la signification du thème de la terre dans l'oeuvre de ce poète.
« Qui a mordu à la terre, il en conserve la trace », a dit Paul Claudel dans les Cinq grandes Odes. Essayez de dégager la signification du thème de la terre dans l'œuvre de ce poète. Introduction : « Qui a mordu à la terre, il en conserve la trace », a dit Claudel. Or cette affirmation, en forme de proverbe, caractérise d'une manière inattendue ce poète chrétien. On peut pourtant se demander si ce « fils de la terre », partagé entre ses aspirations mystiques et son amour pour la création, n'a pa...
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Un crêpe au bras
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La comtesse de Ségur
La comtesse de Ségur La comtesse de Ségur pourrait être une héroïne de roman. L'art d'être grand-mère, elle l'a élevé jusqu'à un genre littéraire qui garde sa fraîcheur et son succès comme au premier jour. Cette grand-mère modèle a été appelée le "Balzac de la jeunesse". Elle a commencé à écrire, pour ses petits-enfants, à l'âge de cinquante-huit ans. La littérature enfantine était alors (1857) d'une platitude extrême. Que l'on juge sur titres : Ernestine ou les charmes de la vertu, Hubert ou le...
- Que pensez-vous de cette citation d'Apollinaire : « Les grands poètes et les grands artistes ont pour fonction sociale de renouveler sans cesse l'apparence que revêt la nature aux yeux des hommes ».
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- Alexis de Tocqueville - Souvenirs
- Pascal, Les Pensées, Pensée 142.
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LE GÉNIE DE VOLTAIRE
Nous possédons plus de dix mille lettres de Voltaire, adressées à plus de sept cents correspondants et échelonnées sur soixante-sept années, de 1711 à 1778. Ces lettres, qui éclairent le siècle, font aussi vivre l'homme; elles nous permettent de fixer les aspects principaux de son caractère, de son coeur, de son esprit. LES FAIBLESSES DU CARACTÈRE. Voltaire avait bien des défauts, que ses lettres révèlent au grand jour. Il est frivole : il recherche avec avidité le luxe et les plaisirs. Il est â...
- Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne
- Aimé Césaire
- Gustave FLAUBERT , Madame Bovary, 1857
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Marquise du Deffand
Marquise du Deffand Pendant quarante ans, Marie de Vichy-Chamron, marquise du Deffand reçut dans son salon les plus grands écrivains. Devenue aveugle, elle prit pour lectrice Julie de Lespinasse avec qui elle se brouilla tempétueusement quand celle-ci prit une influence jugée concurrence déloyale. Ses Lettres à d'Alembert, à Montesquieu, à Voltaire, à Horace Walpole et à la duchesse de Choiseul révèlent une intelligence froide qui se mue, vers la fin, en exaltation, une grande liberté de jugeme...
- CHATEAUBRIAND, Les Mémoires d' Outre-Tombe
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- L'autobiographie d'un écrivain (Rousseau, Les Confessions, 1782)
- Jean de La Bruyère, Les Caractères, « De l'homme »
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Pauvres vieilles cités
- Zola, Au bonheur des dames.
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LE THÉÂTRE ANTIQUE
I. LE THÉÂTRE EN GRÈCE Il s'épanouit au 5e siècle avant J.C. et Dionysos est son dieu tutélaire. 1. Une manifestation religieuse • Les origines : la tragédie s'est progressivement constituée à partir du dithyrambe, hymne en l'honneur de Dionysos et la comédie trouve sa source dans les réjouissances populaires rituelles, sortes de kermesses qui accompagnaient les fêtes dionysiaques du vin. • Les représentations : les pièces ne sont jouées qu'une fois, lors des concours organisés à l'occasion des...
- Henry Bauchau : Antigone, 1997.
- Voltaire, MEMNON, ou LA SAGESSE HUMAINE.
- Balzac, Les Illusions perdues
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) - L'ancienne gloire
- Jules Romains, Knock, acte III, Scène 6
- Fénelon, -Lettre à Louis XIV (1694)
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Après trois ans
Premier commentaire (informé) 1) Un manifeste anti-romantique Thème du retour sur les lieux d'un bonheur (?), d'un amour (?). La nature n'a pas changé. On regarde les choses les unes après les autres, à la recherche de quoi? Que reste-t-il de l'amour? Rien, réponse probable, et le symbole en est alors la Velléda de plâtre, qui s'écaille au bout de l'avenue, figure peut-être de la vie, du chemin de la vie. Velléda, héroïne de Chateaubriand (les Martyrs), symbole de la passion, n'est plus qu'une d...
- Flaubert, L'Éducation sentimentale, 1re partie, chapitre 5 - Il passait des heures à regarder...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Les mains de Jeanne-Marie
- Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : Le lutrin) - Chant premier
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- EMMA BOVARY - Gustave FLAUBERT, Madame Bovary, 1857
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Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie I, chapitre IV
Demande d'échange de corrigé de adel charaf ([email protected]). Sujet déposé : commentaire Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie 1 , chapitre IV Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1) partie, chapitre IV La noce est un morceau de choix dans la littérature réaliste du XIX siècle (cf. Zola dans L'Assommoir). Flaubert ne rate pas cette belle occasion de nous présenter une noce normande dans une description en mouvement d'un grand réalisme même si le narrateur adopte un regard amusé sur ces p...
- Le roman européen
- Benjamin Constant, Adolphe, chapitre 2.
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - Les promeneuses
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - Misères
- Jules et Edouard de GONCOURT, Germinie Lacerteux.
- Mérimée, La Vénus d'Ille.
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- Flaubert, l'Education sentimentale, deuxième partie, chapitre IV.
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves.