683 résultats pour "charme+du+jour"
- Nérée BEAUCHEMIN (1850-1931) (Recueil : Les floraisons matutinales) - L'avril boréal
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - L'idée de Dieu - suite de Jehova
- Paul SCARRON (1610-1660) - Chanson pastorale
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Amour secret
- Gautier, Me voilà revenu de ce voyage sombre
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - Me voilà revenu de ce voyage sombre
- Pierre LE MOYNE (1602-1671) (Recueil : Lettres morales et poétiques) - De la vie champêtre
- Ponce Denis Écouchard LEBRUN-PINDARE (1729-1807) - Ode
-
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - L'une d'elles
- Edmond LAFOREST (1876-1915) - Baiser du jour
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Le Songe de Vaux) - Le Songe de Vaux - Éloge des Jardins
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre I.
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Poésies d'Humilis) - Dans les temps que je vois
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - L'oubli
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - Klytie
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A celle qui est voilée
-
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Poésies d'Humilis) - Mors et vita
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Meunier, son Fils, et l'Ane
- Jules VALLES, Le Bachelier
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Lydé
- Voltaire, Zadig, Chapitre 11 : Le bûcher.
- Théophile de VIAU (1590-1626) - La solitude
- Aimé FEUTRY (1720-1789) - Les tombeaux
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A mon frère, revenant d'Italie
-
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - La maison de ma mère
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Symphonie héroïque) - Le Fleuve
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Sur trois marches de marbre rose
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Odes funambulesques) - Les théatres d'enfants
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A Villequier
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - Dolorida
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - La pente de la rêverie
-
Mark Twain
Mark Twain Je n'en sais pas bien long sur Mark Twain ; car n'étant, quant à moi, ni lecteur ni critique, je n'ai pas lu un seul de ses livres. J'ai bien l'intention de lire quelque jour, lorsque j'aurai moi-même fini d'écrire, ses nouvelles et menus récits, de même que sa biographie : n'écrivant alors plus moi-même, j'apprendrai quelque chose sur sa vie et son oeuvre, mais il me manquera l'occasion d'en parler. Et c'est pourquoi j'écris aujourd'hui : parce que l'occasion m'en est offerte. Mais q...
-
-
L'Écume des jours de Boris Vian
Boris Vian, l'auteur mythique de ce merveilleux roman, vécut de 1920 à 1959 une existence démultipliée : ingénieur, inventeur, trompettiste, jazzman, chanteur, acteur, romancier, poète et bon vivant. Mais il était aussi atteint d'une maladie de coeur qui l'emporta, un peu comme Chloé, l'héroïne de son roman L'Écume des jours, dont la mort pathétique annonce, prophétique, celle de son auteur. Colin est un joli garçon, riche, sympathique et désoeuvré. Colin rencontre Chloé. Leur amour bientôt fait...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - L'infini dans les cieux
-
Saint Paul
Saint Paul "Paul apôtre, non pas des hommes ni par l'intermédiaire d'un homme, mais par Jésus-Christ..." Celui qui se présente ainsi est sans doute l'un des douze choisis par Jésus-Christ pour être témoins de sa mort et de sa résurrection ? Non ; Paul avertit sans fard : "J'ai persécuté l'Église de Dieu." Qu'il se soit trouvé à Jérusalem en même temps que Jésus, c'est pure conjecture, car il n'en dit rien ; si son regard a rencontré le Christ, ce fut un regard d'indifférence, plutôt d'hostilité...
- Bosquet, « Passage d'un poète », Un jour après la vie, 1984.
-
PROUST - Du côté de chez Swann
Une église à laquelle le temps a apporté la majesté des vieilles pierres, l'oeil aiguisé et admiratif d'un jeune enfant et la maturité de l'adulte revivant amoureusement ses souvenirs font renaître cette atmosphère que seules les églises peuvent distiller. L'âge de cette église est imprimé dans ses pierres, offertes à la violence des saisons et des caprices du temps, et ces forces impitoyables qui ont tant marqué l'extérieur s'opposent à la douceur des gestes pieux et au calme des mouvements de...
- Boris Vian, L'Ecume des jours, (le mariage de Colin et Chloé).
-
Jules Supervielle, "San Bernardino", Débarcadères (1922)
Jules Supervielle, Débarcadères, « San Bernardino ». 1. Que j'enferme en ma mémoire, 2. Ma mémoire et mon amour, 3. Le parfum féminin des courbes colonies, 4. Cet enfant nu-fleuri dans la mantille noire 5. De sa mère passant sous la conque du jour, 6. Ces plantes à l'envi, et ces feuilles qui plient, 7. Ces verts mouvants, ces rouges frais, 8. Ces oiseaux inespérés, 9. Et ces boules d'harmonies, 10. J'en aurai besoin un jour, 11. J'aurai besoin de vous, souvenirs que je veux 12. Modelés dans le...
-
Victor Hugo, « Soleils couchants »
Introduction Lorsque Victor Hugo compose ce poème il vient de publier Les Orientales où son sens de la couleur se donne libre cours. On peut donc s'étonner de n'y trouver aucun élément descriptif. La vision du soleil couchant, qui va donner l'élan à l'inspiration du poète, est seulement notée d'une manière précise et incolore dans le premier vers. Et même la strophe qu'il consacre au spectacle de la nature est volontairement dénuée de pittoresque. Tout s'efface devant l'ampleur d'une émouvante m...
-
-
Béatrice
Béatrice vers 1265-vers 1290 L'histoire est trop connue pour être vraie. Un petit garçon de neuf ans rencontre à Florence une fillette de son âge. Jeune homme, il la croise de nouveau, dans la rue ; elle sourit. C'est tout. Elle en a épousé un autre ; bientôt, elle sera morte. Lui l'aime depuis l'enfance, l'aimera toujours. Comme il est poète, très grand poète, le plus grand, le seul grand poète selon ses dévots qui l'appellent l'Altissime, il fera de l'Aimée le centre, le soleil de son oeuvre,...
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Un jour d'hiver
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Jour des morts
-
Une belle écriture et une bonne othographe sont-elles encore de nos jours des atouts appréciables ?
Introduction Deux opinions ont cours de nos jours : on regrette que les petits enfants, qui apprennent à écrire avec un stylo à bille écrivent mal et, d'autre part, on se moque des grand-mères qui ont une « belle écriture ». Etre moderne, être de son temps, c'est ne pas trop bien écrire et ne pas trop respecter la grammaire. Les speakers de la télévision, qui rougiraient d'employer un imparfait du subjonctif, en sont un bel exemple. Mais en réalité, dans la vie courante, eston apprécié si on écr...
-
Gérard de Nerval
Gérard de Nerval Le souvenir de mes belles cousines, ces intrépides chasseresses que je promenais dans les bois, belles toutes deux comme les filles de Léda, m'éblouit encore et m'enivre. Pourtant je n'aimais qu'elle alors. Ces paumes de Gérard de Nerval, qu'il appuie tantôt sur son front ou ses yeux et tantôt contre sa poitrine, sont imprégnées de ce parfum qui nous vient des distances et que nous respirons parfois au lendemain d'un beau jour quand l'imagination, enhardie par un soupçon d'amou...
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La vertu par le chant) - Petit jour
-
Mémoires d'Outre-Tombe de Chateaubriand - Chapitre 14.
Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe, Livre III, Chapitre 14 Tentation. Bientôt, ne pouvant plus rester dans ma tour, je descendais à travers les ténèbres, j'ouvrais furtivement là porte du perron comme un meurtrier, et j'allais errer dans le grand bois. Après avoir marché à l'aventure, agitant mes mains, embrassant les vents qui m'échappaient ainsi que l'ombre, objet de mes poursuites, je m'appuyais contre le tronc d'un hêtre ; je regardais les corbeaux que je faisais envoler d'un arbre pour s...
- En quoi peut-on dire que Beckett a transformé au XXe siècle l'idée que l'on se fait de la représentation théâtrale ? Vous répondrez à cette question en vous servant d'exemples pris dans Oh les beaux jours ?
-
- Mellin de SAINT-GELAIS (1487-1558) - Sonnet faict apres le sermon du jour de la trinité 1548
- Vidocq déclaré un jour à Balzac : j'ai le nez fendu comme les chiens chasseurs. Vous aussi vous avez le nez fendu. Nous flairons de loin . En quoi, dans Le Père Goriot, Balzac flaire-t-il de loin ?