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LA PERSONNALITÉ DE VIGNY
LA PERSONNALITÉ DE VIGNY Il y a chez Vigny un côté de vraie grandeur. Il médite noblement sur les sujets les plus graves : la liberté humaine, le mal social, le silence de la divinité, la valeur de l'amour, les conditions du progrès. En face des rigueurs de la destinée, il ne s'abandonne pas à un lâche désespoir, Il se force au courage stoïque. Il se fait une très haute idée du devoir. Il professe la religion de l'honneur, le culte de l'esprit. Fut-il vraiment, comme le pensent Leconte de Lisle,...
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Pour vos beaux yeux qui me vont consumant
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Dans quelle mesure un personnage médiocre devient-il un héros de roman ?
Remarques préalables Pourquoi ce sujet? parce que la tendance du roman contemporain est de mettre en scène des êtres ordinaires représentant l'humanité moyenne. Pourquoi y a-t-il là un problème? C'est parce que le roman, à son origine et pendant très longtemps, s'était construit autour de personnages hors du commun. Les romans d'aujourd'hui sont-ils encore des romans? Cette métamorphose du personnage dans le roman actuel, notamment dans le « nouveau roman », est-elle un progrès ou un appauvrisse...
- L'oeuvre de François MAURIAC
- Marcel Aymé, La Vouivre.
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Introduction Ce poème est l'un des quatre qui dans Les Fleurs du mal portent le même titre : « Spleen ». La première partie du livre, où figurent ces quatre poèmes, s'appelle « Spleen et Idéal ». C'est assez dire quelle importance revêt au sein de l'œuvre le thème ici traité et quelles résonances il évoque dans l'âme du poète. On ne saurait donc s'étonner que la qualité de l'expression soit à la hauteur de l'émotion ressentie. « Spleen » nous ouvre de riches perspectives sur l'inspiration et l'a...
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Du mal content d'amour
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Apollonie
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- Ionesco, le Roi se meurt - Commentaire de la tirade sur le chat
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Marguerite Duras - Un barrage contre le Pacifique
La vie qu'on mène n'est pas toujours - pas souvent ? - à la hauteur de nos rêves, ambitions ou illusions... Pour certains, aux jours ternes et monotones de la vie quotidienne, il faut substituer des jours en couleurs, des jours de lumière où l'esprit se perd : quelques-uns s'évadent dans des paradis artificiels, d'autres préfèrent les paradis, plus nobles, de la poésie, d'autres encore - Emma Bovary - s'élancent par des romans faciles vers des cieux plus beaux... Le XXe siècle inventa la plus su...
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui de qui l'amie a fait nouvel ami
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le cadre
- Jean de LA TAILLE (1540-1608) - Le blason de la rose
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On peut définir ainsi la comédie, dit Chamfort, l'art de faire servir la malignité humaine à la correction des moeurs. qu'en pensez-vous ?
La comédie corrige les hommes en les divertissant : castigat ridendo mores. Le poète comique n'est pas un prédicateur ni même un moraliste de profession. Il ne s'adresse pas à ce qu'il y a de plus élevé en nous et nous lui demandons surtout de nous faire rire : on ne va pas à la comédie comme au sermon. N'empêche qu'on peut quand même en tirer un certain profit moral. C'est ce que dit Chamfort. Molière nous servira d'exemple. I. La comédie utilise la malignité humaine. Nous allons à la comédie p...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Hier au soir
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UN LOGEMENT NOUVEAU - FLAUBERT, Madame Bovary, 2e Partie, Chapitre II.
UN LOGEMENT NOUVEAU - FLAUBERT, Madame Bovary, 2e Partie, Chapitre II. Emma, dès le vestibule, sentit tomber sur ses épaules, comme un linge humide, le froid du plâtre. Les murs étaient neufs, et les marches de bois craquèrent. Dans la chambre, au premier, un jour blanchâtre passait par les fenêtres, sans rideaux. On entrevoyait des cimes d'arbres, et plus loin la prairie, à demi noyée dans le brouillard, qui fumait au clair de lune, selon le cours de la rivière. Au milieu de l'appartement, pêle...
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- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Prière au printemps
- Elisa MERCOEUR (1809-1835) - La feuille flétrie
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Odes anacréontiques) - Le souhait
- Marguerite Duras, L'Amant
- Flaubert - Madame Bovary (1857), I, 8 (Le bal à la Vaubyessard)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) - Les Djinns
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Né l'enfant des grandes villes
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Ce jour de Mai qui a la tête peinte
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- Pierre de BRACH (1547-x) - Amour, adieu...
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LA RELIGION LAMARTINIENNE
LA RELIGION LAMARTINIENNE Élevé dans le catholicisme le plus strict, Lamartine traverse entre sa vingtième et sa trentième année une crise d'inquiétude religieuse. Vers 182o, il semble en être sorti, il redevient pratiquant. Mais il ne s'accommode pas de certaines rigueurs de la doctrine. Il trouve mauvaise l'alliance de l'Église et du pouvoir. Comme Lamennais', il songe à une rénovation religieuse fondée sur une meilleure interprétation de l'Évangile. Il entreprend son voyage en Orient avec l'e...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - L'âme de la ville
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - L'orbe d'or
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Et qu'importent et les pourquoi et les raisons
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le citadin) - Je vivais au milieu de choses mal unies
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - La cicatrice
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Autre chanson
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- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Tous ces oiseaux qui sous la nuit obscure
- « Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage... » (Marbeuf, Recueil de vers, 1628)
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Analyse linéaire juste la fin du monde : en quoi ce prologue est-il atypique ?
Analyse Linéaire 1 – Juste la fin du monde (Jean-Luc Lagarce) LOUIS. – Plus tard‚ l’année d’après – j’allais mourir à mon tour – j’ai près de trente-quatre ans maintenant et c’est à cet âge que je mourrai‚ l’année d’après‚ de nombreux mois déjà que j’attendais à ne rien faire‚ à tricher‚ à ne plus savoir‚ de nombreux mois que j’attendais d’en avoir fini‚ l’année d’après‚ comme on ose bouger parfois‚ à peine‚ devant un danger extrême‚ imperceptiblement‚ sans vouloir faire de bruit ou co...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - La révolte
- Raymond RADIGUET (1903-1923) (Recueil : Poèmes inédits) - Pas plus que montagnes de glace
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Quand les guignes furent mangées,
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Mais lors dans le vent ...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Romances) - Le pardon
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- Stendhal, la Chartreuse de Parme
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Je ne suis plus celui qui respirait la vie
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Il est vrai, mon amour était sujet au change
- Le dilemme de Chimène (Corneille, Le Cid, 1637, Acte III, scène 3)
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chair) - Chanson pour elles
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Virgilienne
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Les yeux d'Amaranthe
- Louis MÉNARD (1822-1901) (Recueil : Rêveries d'un païen mystique) - Résignation
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- Gaston COUTÉ (1880-1911) - L'aveu
- Pierre de Marbeuff, « À Philis »