930 résultats pour "l+eau+de+vie"
- Jorge Semprun - L'écriture ou la vie
-
ALFRED DE MUSSET: vie et théâtre
MUSSET (1810-1857) Jeune bourgeois pénétré de culture classique, ALFRED DE MUSSET se voit, dès l'âge de dix-sept ans, introduit au Cénacle. Il est élégant, intelligent et désinvolte. Il n'aime que les plaisirs légers, la fréquentation du monde, la poésie. A vingt ans, ses Contes d'Espagne et d'Italie le rendent célèbre. Mais trop indépendant pour se plier aux dogmes de l'école romantique, il abandonne ses amis et poursuit seul sa carrière d'écrivain. En 1833, il se lie avec George Sand. Ils part...
-
Herman Melville
Herman Melville Au temps où les baleiniers de Nantucket restaient plusieurs années le jeune Melville (vingt-deux ans) s'embarque sur l'un d'eux, puis sur un navire de guerre, et court les océans. Revenu en Amérique, il fait lire ses récits de voyage avec un certain succès et publie ses grands livres dans l'indifférence et l'incompréhension. Après la publication et l'échec d e L'Homme de Confiance (1857), Melville, découragé, "consent à l'annihilation". Devenu fonctionnaire des douanes et père d...
- Charles SAINTE-BEUVE (1804-1869) (Recueil : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme) - Chacun en sa beauté...
- Charles SAINTE-BEUVE (1804-1869) (Recueil : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme) - Le calme
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Le chant de l'eau
- Jacques Vallée Des Barreaux, La vie est un songe
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Usons ici le fiel de nos fâcheuses vies
-
-
Il n'y a pas d'oeuvre rigoureusement impersonnelle, je n'en connais pas une qui ne nous livre quelque confidence sur la vie de son auteur et sur l'ambiance de son époque ?
L'IMPERSONNALITÉ · « Il n'Y a pas d'œuvre rigoureusement ùnpe:rsonnelle.•• En dépit des ·lois d'un genre ou des principes d'une ~le, je n'en connais pas une qui ne nous livre quelque confidence sur la vie de son auteur et sur l'ambiance de son épaque. » Par l'étude d'une œuvre à votre choix, vous illustrerezce juge. ment d'un critique contemporain. (Rennes) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Le sens e~•t clair et les deux grandes parties nettement indiquées : I. Confidences sur la çie de l'auteur. IL...
- La vie à Paris - CHATEAUBRIAND, René, ( 1802 )
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - Le secret de la vie
- Henri Michaux - MA VIE
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Quand le fil de ma vie...
- Calderon, La vie est un songe, Troisième journée
-
On oppose souvent le roman autobiographique où l'écrivain, se campant lui-même sous les traits d'un de ses héros, fait revivre dans d'autres personnages ses proches et ses familiers et le roman où l'auteur, prenant sa revanche sur la vie, prête à l'un de ses héros des qualités et une forme d'existence dont il n'a pas bénéficié lui-même. Connaissez-vous une oeuvre romanesque où s'associent heureusement ces deux types de roman ?
INTRODUCTION La personnalité d'un romancier est toujours présente dans son oeuvre. Dans une certaine mesure il ne peut s'empêcher de faire appel à ses souvenirs vécus et sous les personnages qu'il met en scène on retrouve assez aisément l'image fidèle de gens qui, de près ou de loin, ont été mêlés à son existence. Il arrive aussi que dans l'un de ses acteurs principaux, il mette beaucoup de lui-même ; ainsi Stendhal dans Le Rouge et le Noir a transposé certains de ses familiers et pour une large...
-
« Presque tous les arguments contre Voltaire s'adressent, en somme, au trop d'esprit qu'il eut. Puisqu'il avait tant d'esprit, il était donc superficiel. Puisqu'il avait trop d'esprit, c'est donc qu'il manquait de coeur. Tels sont les jugements du monde. » (Paul Valéry.) Vous discuterez ce « jugement du monde », en vous fondant sur la connaissance que vous avez de la vie et de l'oeuvre de Voltaire.
« Presque tous les arguments contre Voltaire s'adressent, en somme, au trop d'esprit qu'il eut. Puisqu'il avait tant d'esprit, il était donc superficiel. Puisqu'il avait trop d'esprit, c'est donc qu'il manquait de cœur. Tels sont les jugements du monde. » (Paul Valéry.) Vous discuterez ce « jugement du monde », en vous fondant sur la connaissance que vous avez de la vie et de l'œuvre de Voltaire. Voltaire est par excellence le philosophe du XVIIIe siècle. Dans une époque où les « grands » et le...
-
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Joies grises) - Le rosaire des cloches
- Jacques Vallée DES BARREAUX (1599-1673) - La vie est un songe
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - Eau qui se presse, qui court
- Guy de MAUPASSANT, La Maison Tellier, 1881, « Sur l'eau ».
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Les autres en tout sens laissent aller leur vie
- Musset, On ne badine pas avec l'amour, acte III, scène 3
-
En janvier 1976, lors de la parution de son roman, La Valse aux adieux, l'écrivain tchèque Milan Kundera déclarait : « Dans la vie, l'homme est continuellement coupé de son propre passé et de celui de l'humanité. Le roman permet de soigner cette blessure. » L'opinion de Kundera sur la fonction de l'oeuvre romanesque rejoint-elle votre expérience personnelle de lecteur ?
En janvier 1976, lors de la parution de son roman, La Valse aux adieux, l\'écrivain tchèque Milan Kundera déclarait : « Dans la vie, l\'homme est continuellement coupé de son propre passé et de celui de l\'humanité. Le roman permet de soigner cette blessure. » L\'opinion de Kundera sur la fonction de l\'oeuvre romanesque rejoint-elle votre expérience personnelle de lecteur ? Remarques préliminaires. Le sujet invite le candidat à réfléchir sur une fonction très précise du roman : « soigner [la]...
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Je ne suis plus celui qui respirait la vie
-
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - Au bord du quai
-
LAMENNAIS: vie et oeuvre
LAMENNAIS (1782-1854) Son nom était Félicité de la Mennais. Mais par un souci égalitaire il se fit appeler FÉLICITÉ LAMENNAIS. Né à Saint-Malo, il passe une jeunesse inquiète, éprouve une grande passion, se bat en duel. En 1816, sous l'influence de son frère aîné, lui-même prêtre, il entre dans les ordres. Il rêve d'abattre l'incroyance. Il s'y emploie dans son Essai sur l'indifférence, ouvrage dont le retentissement est comparable à celui du Génie du christianisme. Autour de lui, se groupent de...
- Selon vous, l'intellectuel , l'artiste ont-il un rôle à jouer dans la vie publique ?
-
Giono, Regain
Aubignane est collé contre le tranchant du plateau comme un petit nid de guêpes ; et c'est vrai, c'est là qu'ils ne sont plus que trois ? Sous le village la pente coule sans herbe. Presque en bas, il y a un peu de terre molle et le poil raide d'une pauvre oseraie. Dessous, c'est un vallon étroit et un peu d'eau. C'est donc des maisons qu'on a bâties là ; juste au bord, comme en équilibre, puis, au moment où ça a commencé à glisser sur la pente, on a planté, au milieu du village le pieu du cloche...
-
Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Petit Paul
- Antoine de NERVÈZE (1570-1622) - Assis au bord des eaux d'une claire fontaine
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô ville, toi ma soeur à qui je suis pareil
-
- Le zapping vous paraît-il être devenu un mode de comportement caractéristique de la vie quotidienne ?
-
Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - L'empreinte
Sujet: Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le cœur innombrable) - L'empreinte Je m'appuierai si bien et si fort à la vie, D'une si rude étreinte et d'un tel serrement, Qu'avant que la douceur du jour me soit ravie Elle s'échauffera de mon enlacement. La mer, abondamment sur le monde étalée, Gardera, dans la route errante de son eau, Le goût de ma douleur qui est âcre et salée Et sur les jours mouvants roule comme un bateau. Je laisserai de moi dans le pli des collines La chaleur de mes yeux...
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : Vers amoureux) - J'ay fait des vers toute ma vie
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Bonheur) - Je voudrais, si ma vie était encore à faire
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Bonheur) - La vie est bien sévère
-
Inégalité de répartition et d’accès a l’eau
Inégalité de répartition et d’accès a l’eau L’eau douce est une ressource essentielle à la vie. Nous utilisons 8% d’eau pour l’usage à usage domestiques, 22% pour l’industrie et 70% pour l’agricoles. Certains pays manquent d’eau ils résident dans une situation de stress hydrique1 et d’autre pays souffrent de pénuries2 d’eau car elles n’ont plus du tout d’eau. Les ressources d’eau douce disponibles sont suffisantes pour répondre aux besoins de l’homme mais elles sont inégalement répartie...
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le jet d'eau
-
Céline, Voyage au bout de la nuit.
Céline, Voyage au bout de la nuit Sous le pont, l'eau était devenue toute lourde. J'avais plus du tout envie d'avancer. Aux boulevards, j'ai bu un café crème et j'ai ouvert ce bouquin qu'elle m'avait vendu. En l'ouvrant, je suis tombé sur une page d'une lettre qu'il écrivait à sa femme le Montaigne, justement pour l'occasion d'un fils à eux qui venait de mourir. Ca m'intéressait immédiatement ce passage, probablement à cause des rapports que je faisais tout de suite avec Bébert. Ah! Qu’il lui d...
-
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Dimanches (VI)
- Desnos, « j'ai tant rêvé de toi… » jusqu'à « …le cadran solaire de ta vie », Corps et Biens, 1930.
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les rythmes souverains) - Le paradis
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - La pensée est une eau sans cesse jaillissante
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - La foule
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - Au bord de l'eau
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - La vie ardente
-
Bashô
Bashô Bashô Matsuo le plus célèbre auteur de haïkaï du Japon, vint au monde en 1644. Il était le troisième fils d'un samouraï d'Ouéno, dans la province d'Iga ; son père était au service du daimyo de l'endroit. Vers l'âge de douze ans, le petit Bashô devient valet-compagnon du fils du daimyo, et entre les deux garçons naît une amitié humaine et profonde fondée sur l'amour commun de la poésie. On dit que l'un et l'autre étaient des disciples du poète alors célèbre, Kigin ; mais le fils du daimyo,...
-
- Jules Supervielle : « Hommage à la Vie »
-
PEINTURE: Antoine Coysevox (1640 - 1720)
Antoine Coysevox (1640 - 1720) Devenu un des nombreux artistes choisis par Louis XIV, Colbert et Le Brun pour réaliser le gigantesque chantier de Versailles, Coysevox n'est pas dérouté par les règles du classicisme, il s'y plaît, elles n'entraveront pas son génie. Un parcours sans obstacles. Fils d'un menuisier lyonnais, il n'a pas à se chercher une vocation : il apprend la menuiserie chez son père. A dixsept ans, comme bien des provinciaux, il "monte" à Paris, une recommandation pour Le Nôtre e...