515 résultats pour "terre+plein"
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Marcel Proust, Les Plaisirs et les Jours.
Celui qui est las des chemins de la terre ou qui devine, avant de les avoir tentés, combien ils sont âpres et vulgaires, sera séduit par les pâles routes de la mer, plus dangereuses et plus douces, incertaines et désertes. Tout y est plus mystérieux, jusqu'à ces grandes ombres qui flottent parfois paisiblement sur les champs nus de la mer, sans maisons et sans ombrages, et qui étendent les nuages, ces hameaux célestes, ces vagues ramures. La mer a le charme des choses qui ne se taisent pas la nu...
- Marin Le Roy de GOMBERVILLE (1600-1674) (Recueil : Second livre des Delices de la Poesie françoise) - Effroyables deserts, pleins d'ombre, et de silence
- Roger de COLLERYE (1470-1536) - Complainte de l'infortuné et de regrets importuné
- Le Clézio, L'Inconnu sur la terre « Le sommeil »
- Le cimetière marin - Poème de Paul Valéry
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Jehova ou l'idée de dieu
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
- Jacques GOHORRY (15xx-1576) - La puissance de l'amour
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A propos du théâtre, Victor Hugo déclare : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains sur la scène, des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans la salle ».
Demande d'échange de corrigé de dupont pierre ([email protected]). Sujet déposé : SUJET : A propos du théâtre, Victor Hugo déclare : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains sur la scène, des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans...
- CAMUS - La Peste, Recits et nouvelles (La Pléiade - pp. 1426 - 1427)
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HUGO - Les Châtiments
Les Châtiments naissent chez Victor Hugo du coup d'État du 2 décembre, par lequel le prince Louis Napoléon Bonaparte élu président de la seconde République (née de la Révolution de 1848) devient empereur sous le nom de Napoléon III. C'est une satire, un ouvrage engage et militant qui emploie tour à tour l'indignation et l'ordre pour flétrir celui que Victor Hugo appelle « Napoléon le Petit ». Ce poème fut composé à Jersey mais l'inspiration en vint à Bruxelles au poète réfugié, lors de meurtres...
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les roses) - De ton rêve trop plein
- Auguste BARBIER (1805-1882) - La cuve
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Symphonie héroïque) - Le Fleuve
- Musset, Lorenzaccio, Acte II, scène 2
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Ovide
Ovide Je vais peut-être donner la preuve d'un goût déformé : dans l'oeuvre d'Ovide, les Fastes sont, je crois, le morceau le plus puissant, le plus habile, le plus sincère. Pensum ? On le dit. Mais les élèves bien doués engagent vite leur coeur et leur tête dans la dissertation supplémentaire qui paye quelque chahut. A quarante ans, l'élève Ovide avait, au gré du maître, trop bien parlé d'amour. Il répare. C'est à chanter les grandeurs et les traditions de Rome qu'il se consacre, coulées dans l...
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- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Le poète mourant
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Nature et solitude (Livre XII) - Rousseau - Les Confessions
Nature et solitude (Livre XII) - Rousseau - Les Confessions Pour les après-dînées, je les livrais totalement à mon humeur oiseuse et nonchalante, et à suivre sans règle l'impulsion du moment. Souvent, quand l'air était calme, j'allais immédiatement en sortant de table me jeter seul dans un petit bateau, que le Receveur m'avait appris à mener avec une seule rame; je m'avançais en pleine eau. Le moment où je dérivais me donnait une joie qui allait jusqu'au tressaillement, et dont il m'est impossib...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Le premier regret
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Le cantique de Bethphagé
- Remy de GOURMONT (1858-1915) (Recueil : Les divertissements) - Dans la terre torride...
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Le silence régnait sur la terre et sur l'onde
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Les femmes sont sur la terre...
- Isaac HABERT (1560-1615) - Nuit fille de la terre, amène tes flambeaux
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- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Maintenant que le Ciel, plein d'une alme influence
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Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - La terre y est fertile, amples les édifices
Première partie 1. À quel rythme Du Bellay recourt-il constamment dans ce poème ? Ce poème se caractérise par le rythme binaire (les termes et les vers sont groupés deux par deux), qui produit des effets de symétrie ou d'opposition, parfois renforcés par une répétition ou un chiasme. 2. Relevez un trait satirique et commentez-le brièvement. Un alexandrin (v. 10) suffit à Du Bellay pour réunir trois termes péjoratifs (hurlent, chiens, barbares), une comparaison désobligeante ravalant l'homme au r...
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Vous qui avez écrit qu'il n'y a plus en terre
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - La nature est pleine d'amour
- Jean Ogier de GOMBAULD (1588-1666) (Recueil : Sonnets de Phillis) - Une effroyable horreur couvrait la terre et l'onde
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - L'ambre, le seigle mûr, le miel plein de lumière
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- Guillaume de Salluste DU BARTAS (1544-1590) (Recueil : La sepmaine) - La terre se couvre de fleurs et de fruits
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Ô mon coeur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Sur ses ailes, Amour, d'un vol plein de vitesse
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Ô doux plaisir plein de doux pensement
- A propos des utopies, le philosophe contemporain Cioran affirme : « La nouvelle terre qu'on nous annonce affect de plus en plus la figure d'un nouvel enfer. » Expliquez et discutez cette affirmation en vous appuyant sur le corpus et vos lectures personnelles ?
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« Tout homme qui sait lire a en lui le pouvoir de se magnifier, de multiplier ses modes d'existence, de rendre sa vie pleine, intéressante et significative. » Aldous HUXLEY. Vous commenterez cette phrase en illustrant vos idées par des exemples.
Introduction Après Rousseau : « Je hais les livres ; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas » ; après Montesquieu : « Je n'ai jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté », voici l'auteur du Meilleur des Mondes qui promet à l'homme qui « sait lire » un immense pouvoir. Que penser de cette opinion ? Développement (Sous forme de plan détaillé) I. — Partie négative. 1° Certes, un enfant est tout fier de raconter à tout le monde ce qu'il a appris « à l'école, dans les liv...
- A propos de l'utopie, le philosophe contemporain Cioran déclare : « Les nouvelles terres qu'elles (= les utopies) proposent affectent de plus en plus la figure d'un nouvel enfer ». Discutez cette affirmation en vous aidant des textes du corpus et d'autres utopies ou contre-utopies que vous connaissez.
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Les morts
- Rousseau, les Confessions, épisode du noyer (livre I).
- Remy de GOURMONT (1858-1915) (Recueil : Les divertissements) - Oraisons mauvaises
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Autres pensées faites un mois après la mort du roi
- Marguerite Duras, Un barrage contre le Pacifique.
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ROUSSEAU - Rêveries du promeneur Solitaire - Septième Promenade.
A la fin de sa vie, Rousseau cherche à donner l'impression de la sérénité retrouvée après de longs dérèglements et d'une paisible préparation à la mort, se présente « comme un navigateur entrant au port après avoir échappé au naufrage et s'abandonnant désormais, la tempête apaisée, au doux ^bercement des flots ». Il feint de croire que le temps de « penser assez profondément » est pour lui passé et ne veut plus que s'adonner à la rêverie et à la botanique. . Des dix promenades qui constituent le...
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Giuseppe Ungaretti
Giuseppe Ungaretti “ L‘auteur n'a pas d'autre ambition (et il croit que les grands poètes non plus n'en ont pas d'autre) que de laisser de soi une belle biographie. ” C 'est en ces termes qu'Ungaretti présentait en 1931 la réédition de l'A llegria écrit entre 1914 et 1919. On ne peut mieux marquer quels rapports s'établissent entre la vie et l'œuvre d'un artiste. Loin que son œuvre raconte les accidents de son existence, traduise ses expériences quotidiennes, c'est la préoccupation constante de...
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Victor HUGO (1802-1885)- Le mendiant
introduction : Dans ce poème, Victor Hugo une fois encore célèbre la grandeur des « pauvres gens », des « misérables ». Toute sa vie, le chef de l'école romantique respectera les humbles : comme le Poète est un « mage », le Pauvre est « l'homme de Dieu ». Aussi, dès 1843, Hugo exprime dans tes Burgraves l'idée inspiratrice du Mendiant : Soyez hospitaliers surtout ! C'est la loi douce Quand on chasse un passant, sait-on qui l'on repousse ? Sait-on de quelle part il vient ? Fussiez-vous rois,...
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- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Poésies d'Humilis) - Dans les temps que je vois
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Joies grises) - Le rosaire des cloches